Touchée par son médecin pervers

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Touchée par son médecin pervers

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rudyhadoux2 a posté le 14 août 2016 à 15h30
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serious a posté le 20 avril 2013 à 16h26
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kanellecharief a posté le 29 décembre 2012 à 07h22
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maidele a posté le 17 juin 2012 à 01h58
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carolerogel a posté le 30 avril 2012 à 20h21
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Dix ans après ses révélations sur le harcèlement moral, Marie-France Hirigoyen publie un nouveau livre sur les "Abus de faiblesse et autres manipulations"(JC Lattès) (lire des extraits dans le magazine) . Dans cet inventaire des ruses perverses, il est aussi question de ce mal qu’on commence à nommer : la perversion narcissique, et de son mode opératoire, la prédation morale.
L’expression entre dans la conversation. Ce n’est pas un abus de langage ni une lubie mais le signe, selon certains thérapeutes qui voient en consultation "de plus en plus de traumatisés psychiques", d'une pathologie en recrudescence. Il entrerait dans les relations humaines une perversité grandissante, c'est-à-dire un rapport à l’autre purement utilitaire, en résonance avec l’idéologie de surconsommation des dernières décennies.
Poison lent au bureau, la perversion narcissique est dans le huis clos familial si ignoble que les psychanalystes Maurice Hurni et Giovanna Stoll, auteurs de "Saccages au quotidien" (L’Harmattan), évoquent une "réalité clinique qui soulève notre révolte et même notre horreur".
Autant d’hommes que de femmes seraient confrontés à un prédateur. L’autre est un territoire à annexer. Le pervers va prendre contrôle de son partenaire en utilisant ses faiblesses pour affirmer sa force. Le ressort profond d’une personne perverse est l’absence d’empathie, permettant de manœuvrer sans états d’âme, voire avec cruauté, pour transférer à l’autre la dépression ou la psychose qu’elle cherche à éviter.
Cette acrobatie psychiatrique la rend extrêmement dangereuse. Ceux et celles qui se heurtent à sa froide mécanique ne sont soupçonnables ni de masochisme ni de complaisance victimaire. Ils sont retenus par un lien complexe : l’emprise, véritable domination sur l’esprit de l’autre.
Caroline, 42 ans, avocate, témoigne : "Le jour où je l'ai quitté, il est devenu fou"
"J’ai retrouvé Jean il y a cinq ans, que je croisais depuis longtemps sans vraiment le connaître. Immédiatement, j’ai eu l’impression d’être extrêmement bien comprise. Ces gens ont quelque chose que l’on prend pour de l’empathie mais en fait c’est le jeu de la capture.
Dès le début, il a réveillé l’idée que le grand amour est toujours possible, c’est comme s’il mettait en mot mes attentes. Il venait d’être quitté, il m’a fait rire et m’a ému dans sa détresse. J’étais touchée par sa confiance. Le pervers narcissique, c’est le piège de la compassion.
Un soir, il m'a dit qu'il comprenait enfin pourquoi il n'avait jamais voulu d'enfant : avant moi il n'avait pas trouvé la femme qui fasse naître ce désir. Il voulait tout avec moi, vivre ensemble, faire un enfant, être l'épaule qui me rassure, vieillir à mes côtés, tout mais pas de mensonge ni de tromperie entre nous. Le lendemain matin, j’ai quitté l’homme avec qui je vivais depuis 5 ans.
Immédiatement il est devenu plus froid. Il se fâchait, disait qu’il doutait de mon amour. Plus j'essayais de lui prouver, plus il était distant, narquois. Il disait que "finalement, j'étais comme les autres, et qu’il resterait seul toute sa vie", et que si je l'aimais vraiment, il fallait que je l’aide professionnellement, que je lui présente des gens. J’ai utilisé mon réseau pour l'aider, pour lui prouver. On a fait le tour de mon carnet d'adresses, il était déçu du résultat.
Il me disait : "Toi tu es intelligente mais tu n’es pas maligne". Finalement, je ne lui servais à rien, qu'à perdre son temps. Il parlait en boucle de ses problèmes. Je ne devais pas l’interrompre. Il devenait de plus en plus irascible puis il revenait comme si de rien n’était. J’avais peur que ça dégénère de nouveau. Je ne disais rien et je me recroquevillais de plus en plus.
Il était toujours très préoccupé de lui-même, hypocondriaque, à t’envoyer balader si tu poses une question, et à te le reprocher si tu n’en poses aucune. Il y avait cette façon de faire le vide autour de moi. En me faisant parler de mes amis, pour casser ceux avec qui j’avais des difficultés. Les autres, il les a vus une fois pour les dégommer. Il y avait la punition par l’absence.
Je me souviens d’une fois, on avait passé une bonne soirée. Le lendemain, il m’appelle en disant : "C’est vraiment moche ce que tu as fait, salope". Et là, silence pendant une semaine. Toi, tu cherches une explication. Tu te dis que forcément, pour qu’il soit dans une telle colère, quelqu’un a dû lui dire quelque chose de terrible sur toi. Il te laisse comme ça pendant huit jours, et toi tu n’as rien à quoi te raccrocher pour comprendre. Quand il revient, tu veux en parler et il te dit : "Non, non, surtout pas, ça va encore m’énerver". Et comme toute la semaine tu es passée par les larmes, les demandes d’explication sur répondeur, la peur que ce soit fini, tu n’insistes pas.
Il y avait la punition par l’abstinence. Quand on allait au lit, il prenait deux Stilnox, me faisait enfiler un grand pyjama et s’endormait à l’autre bout du lit. Il me disait que j’avais "un cul à la place du cerveau". Ca me faisait pleurer. Si tu te plains, tu es une pleurnicheuse ; si tu te fâches, une hystérique ; si tu t’attristes, une dépressive. Cette histoire a duré plus d’un an. Le jour où j'ai pu le quitter, il est devenu fou, m'a collée au mur, il voulu m'étrangler. Je me suis défendue. Il a claqué la porte et n'est pas revenu.
Je me suis souvent demandé, depuis, pourquoi je n’étais pas partie plus vite. Avec ces gens, tu te prends un bus dans la gueule et tu te retrouves K.O sans comprendre. Tu cherches du sens. Et ça peut durer très longtemps car il n’y en a pas. Dès que tu te rattaches à une logique, tu commences à réagir. Mais tant qu’il n’y a pas de logique, tu es paralysée."
Téléchargez "le Nouvel Observateur" du 15 mars 2012 :
Bonjour,

Contrairement à ce que dit Renaud Dély dans la vidéo, les pervers narcissiques ne s'attaquent pas à des gens "faibles". Ils s'attaquent à des gens normaux, sensibles et sains.

C'est assez insupportable d'entendre aussi souvent que les victimes sont coupables (masochistes) et méritent le préjudice qu'ils subissent.

Quand on est un (ancien) naïf comme moi la perversion narcissique est une chose très désagréable que l'on comprend lorsqu'il est bien souvent trop tard.

Le problème est que nous vivons dans une société majoritairement perverse (avec un nuancier important de niveaux de toxicité). Par conséquent la perversion narcissique a de très beaux jours devant elle...

La perversion narcissique est la résultante de deux causes : la non-connaissance de soi et la peur "du vide". Ce même vide qu'il faut pourtant affronter pour comprendre qu'une fois qu'on l'a traversé il ne reste que l'amour universel.

Paul Claude Racamier a étudié et théorisé sur un élément très important de la perversion narcissique dont personne ne parle (hélas) : les noyaux pervers. Collusion entre plusieurs personnes qui leur permettra de parasiter et de gangréner une institution, une entreprise, une association, et cetera... Ce type de mécanisme peut être très violent et faire beaucoup de dégâts.

Bien à vous tous.

Rudy.
Bonjour à toutes et à tous.

Je m'appelle Nathanaël et en lisant la description sur les manipulatrices perverses narcissiques j'ai voulu immédiatement déposer mon témoignage.

Qu'on le veuille ou non nous sommes tous parfois à notre façon un peu manipulateur, c'est d'ailleurs parfois le premier doute que j'ai eu à propos de moi-même. En général ce mécanisme est directement lié à quelques complexes. Concrètement pour donner une idée de mon profil, je suis un homme d'une trentaine d'année, célibataire, quelques complexes liés au physique (je suis relativement mince), quelques complexes d'infériorité par rapport à mon niveau social. Rien de bien méchant, mais le genre d'éléments qui font de moi, un homme avec parfois un gros manque de confiance en lui.

Je suis dans les Deux-Sèvres depuis 3 ans environ. Et à mon arrivée dans la région, pour favoriser les rencontres je me suis inscris sur un site de rencontre. J'ai eu quelques histoires honnêtes mais hélas qui n'ont pas fonctionné, 50/50 dans les raisons pour que cela ne marche pas.
De toutes les histoires (une dizaine), celle qui m'a littéralement démonté est une histoire qui aura duré un mois seulement.


Nous sommes en Décembre 2012, à cette époque je travaille 85 heures par semaine, mon objectif est d'avancer des projets, je suis relativement concentré sur mon travail, et dans la vie avec ce genre de rythme autant dire que je n'ai pas trop le temps pour les rencontres. il y a des mois
Nous avons, nous en tant qu'humain la possibilité d'en parler, de nous défendre face à ces individus pervers narcissiques. Il y a aussi cette violence faite aux animaux où l'individu pervers se croit là aussi tout permis. Abuse aussi de la faiblesse de ces derniers pour leur infliger toutes les souffrances inimaginables mais on n'en parle beaucoup moins, vu que la cruauté envers l'espèce animale n'est pas sanctionnée comme elle le devrait. Pourtant, les gestes, les comportements, les actes de ces pervers narcissiques sont pratiquement similaires. .
Perso, je les cumule... J'en ai eu deux! J'ai rencontré il 'y a 18 ans un monsieur qui était drolement gentil avec moi. J'ai fini par emménager chez lui. Delà, tout a commencé. Il profité de la perte de mon emploi pour commencer son petit jeu de manipulation. De là, il m'a proposé le mariage. Je n'ai rien vu venir, j'ai dit oui sans hésiter. A l'époque, pour lui, seul le mariage pouvait faire de moi sa chose officiellement. Et puis quelques mois plus tard, j'étais enceinte et heureuse de l'être. Je n'avais pas envisagé ce qui allait se passer ensuite. C'est là que j'étais encore moins que sa chose. Seule sa fille avait de l'importance.
Il avait réussi à prendre mon argent en me disant que puisque nous vivions ensemble, il n'était pas utile d'avoir deux livrets. Un compte commun était bien suffisant. Le tout à son nom bien sur. C'est beacoup plus facile. A moi juste une procuration je suis a chose, besoin de rien d'autre. Lorsque nous recevions du mond ou que nous étions invités, il faisait tout pour me couper la parole et faire en sorte que je ne parle pas. Il était trés attentif à ce que je ne dise rien qui n'aille pas dans son sens. Les retous à la maison n'étaient pas toujours tendres. Il ne m'a jamais frappée. Pourtant cette violence morale n'a pas d'égale, elle marque et détruit pour trés longtemps. Je n'avais pas la possibilité de sortir, il faisait tout pour garder la voiture avec lui. Une sortie avec des copines n'était pas possible.
Je vous conseille une grande lecture « Le maître des âmes » d'Irène Némirovsky (1939). Totalement stupéfiant. L'auteure ne fait pas que dépeindre un médecin juif immigré dans la tourmente,épris d'ascension sociale, en prise avec un milieu bourgeois hostile et concupiscent, qui le pousserait à commettre des actes « immoraux » pour subvenir aux besoins de sa famille...A travers le personnage de Dario Asfar, Irène Némirovsky décrit avant l'heure le profil psychologique du pervers narcissique. Jusqu'à la page 171 (version Poche), le portrait n'était pas parfait , Dario éprouvant manifestement des sentiments pour sa femme et son enfant, et puis, il y eut cette phrase, ce verbe. Édifiant jusqu'à la fin où le salut des victimes ne peut être que dans la fuite où le déni et la logique implacable de Dario Asfar se déroule jusqu'au dernier mot. « Le maître des âmes » est le roman de chevet des pervers narcissiques, en tous cas de celui qui me tourmente. Votre article fût une révélation pour moi, ce roman également.

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Reprendre contact :







Le Toucher libérateur de Jean-Louis Abrassart. Ce guide nous met dans la peau du masseur pour mieux en accepter les gestes (Guy Trédaniel, 2001).


Le Massage minute de Joël Savatofski. Pour un "bien-être au quotidien", avec des gestes à la portée de tous (Dangles, 1995).





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