Tina est prête à tout pour du fric

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L`A-fric du Sud prête à tout

Jour xx mois xxxx La Marseillaise
2
Sports
KJUAN MABROMATA
Mondial 2010
Goûtons notre plaisir : quatorze ans après s’être offert les Jeux olympiques, Coca Cola sacrera le champion du monde de football. Et tant pis si le spectacle d’un quart de finale
entre l’Espagne et le Paraguay rempli plus les caisses de la maire de Johannesburg que les gradins d’un l’Ellis Park stadium qui n’ose plus dire son nom.
Afrique du Sud. Nous terminons notre tour d’horizon de la nation arc en ciel(1) par un petit bilan
marketing de la première coupe du monde organisée sur le continent africain.
L’A-fric du Sud prête à tout

La plus prestigieuse compétition sportive du monde,
avec les Jeux olympique, touche à
sa fin. Fierté pour tout un pays,
c’est aussi l’occasion d’en tirer le
maximum de profit possible. Quitte
à vendre son âme
« Quelle belle fête ! ». De laquelle
parle-t-on, celle du sport ou celle du
porte-monnaie ? Certainement des
deux, bien que la seconde soit plus
prolifique. Le foot-business est devenu une réalité et plus que l’aspect
sportif, c’est avant tout le côté commercial et les retombées économiques d’un tel évènement qui à
présent attirent toutes les attentions. Et on peut dire que de ce
point de vue là, l’Afrique du Sud
joue dans la cour des grands depuis
plusieurs mois.
Petits profits…
En Afrique du Sud, plus qu’autre
part, le commerce de rue fait partie
des us et coutumes. Toute occasion
est bonne pour essayer de refourguer n’importe quel produit à un
client potentiel, aux feux rouges par
exemple, l’essentiel est qu’il l’achète. Pour pas cher, obtenez un chargeur de portable, des lunettes de soleil ou encore des cintres auprès des
vendeurs ambulants, parfois présents même au beau milieu de l’autoroute ! Mais surtout, depuis que la
coupe du monde, a débarqué, tous
types de produits dérivés en rapport
avec le foot sont à votre disposition.
Et jusque dans nos magasins avec la
terrible vuvuzela…
Outre les drapeaux que chaque supporter arbore à sa fenêtre de voiture, le concept original de « chaussettes pour rétroviseurs », accessibles dans une large gamme de
pays, fait fureur et s’exporte même
en Europe. Après le caniche de mémé tout habillé, voici donc la tuture
de gros beauf.
Mais ceci déplaît fortement à la FIFA qui ne rigole pas avec l’utilisation de sa marque et met en garde
contre le « marketing insidieux »
lors du Mondial. L’organisme international a carrément déployé « des
équipes aux alentours des stades
pour veiller à ce que sa marque soit
la seule visible », affirmait Mpumi
Mazibuko, responsable de la protection des droits au sein de la FIFA
Zakumi, la mascotte made in China
■ Sans doute avez-vous aperçu la
mascotte de la coupe du monde
2010. Elle est censée représenter un
léopard aux cheveux verts et portant
avec fière allure un ballon dans son
bras, vous invitant à le rejoindre sur
le terrain. Son slogan ? « Mon jeu est
le fair-play ». Belle maxime dans un
contexte où le sport est de plus en
plus accusé de tricheries en tout
genre.
Pourtant, Zakumi lui-même n’est pas
exempt de tout reproche en termes
de fair-play social. Le contrat de fabrication de la mascotte a été attribué
à un membre représentant de l’ANC,
parti au pouvoir, au parlement sudafricain. Sauf que sa société confectionnant les figurines, Shanghai Fashion Plastic Products, est basée
comme son nom l’indique en Chine.
D’où la double controverse qui en a
découlé. Dans unpremier temps, les
critiques de la part du Congrès des
avant le début de la compétition.
C’est chose faîte, avec l’exemple de
danseuses vantant une marque de
bière néerlandaise (lire la Marseillaise du 18 juin), qui ont dû rentrer au vestiaire, sous peine de
poursuites.
Mais la FIFA reste parfois impuissante dans un pays où tout objet
peut être contrefait et proposé à des
prix défiant toute concurrence. En
attestent les maillots de foot, vendus au coin des rues, semblables en
tout point à l’original, sauf pour le
prix : 7¤ au lieu de 70 !
… contre gros profiteurs
syndicats sud-africains ont fusé à
l’encontre du gouvernement qui a accepté de délocaliser la production
des figures, alors que le taux de chômage dans le pays dépasse les 30%.
Puis, le groupe chinois a été pointé
du doigt pour les conditions de vie
misérables dans lesquelles travaillaient ses employés qui en outre
ont été exposés à des produits plastiques toxiques non-conformes aux
normes internationales. « Mon jeu
est le fair-play »… ou presque.
Evénement mondial oblige, les opérations marketing autour de la coupe du monde ont fleuri en Afrique
du Sud comme jamais auparavant.
Chaînes d’hôtels qui se vantent
d’héberger telle ou telle équipe, opérateur téléphonique partenaire officiel des Bafanas, banque qui joue
avec son image « proche des gens »…
Rien d’original. Preuve en est que
l’Afrique peut tout aussi bien
s’adapter à la « mondialisation bienfaisante ».
Mais certains sont allés encore plus
loin, sans avoir peur du ridicule.
Profitant de l’image négative dont
pâtit l’Afrique du Sud en termes de
sécurité, une société proposait aux
supporteurs étrangers pour 48¤ de
commander sur son site internet…
un gilet pare-balles aux couleurs de
leur équipe favorite ! Face à l’afflux
de commandes, elle n’est plus en
mesure de satisfaire la demande.
Quant à la ville de Johannesbourg,
elle a carrément décidé de vendre
son âme. Après avoir cédé un espace publicitaire à Nike, qui placarde
une banderole géante à l’effigie de
Didier Drogba sur l’un des plus
grands immeubles de la capitale
économique du pays, elle a vendu le
nom de son stade historique. L’Ellis
Park Stadium s’appelle ainsi CocaCola Park du nom de la compagnie
qui a acheté la concession uniquement pour la compétition. Le stade
mythique datant de 1927, symbole
de la victoire des Springboks dans
la coupe du monde de rugby en
1995, est relégué au second plan
pour obéir à une stratégie purement commerciale. Imaginez une
seconde le Stade Vélodrome renommé Stade Carrefour. No comment.
A cela s’ajoutent d’autres abus,
ceux des prix prohibitifs appliqués
pendant le Mondial comme par
exemple le prix des hébergements
qui ont triplé ou quadruplé - et pas
seulement à Knysna - ou ceux des
billets d’avions qui se sont envolés.
Preuve en est que l’A-fric est aussi
prête à tout pour montrer aux yeux
du monde qu’elle est capable. Capable de prendre ses touristes pour
des pigeons.
DAVID COURBET
y 1). Voir « la Marseillaise » des 14,
17, 21, 24 et 28 juin, et des 1er et 5
juillet.



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Vers une disparition des nitrites dans les charcuteries vendues au supermarché ? ©AFP - PHILIPPE HUGUEN
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Les députés commencent à débattre cette semaine d'un texte visant à interdire progressivement aux fabricants de charcuterie d'utiliser des nitrites. Richard Ramos député Modem du Loiret est l'auteur de cette proposition qui prévoit une interdiction par étapes de ces additifs d’ici à 2025.
Interdire les nitrites, ces additifs qui permettent par exemple aux produits de charcuterie d'être plus roses : c'est la proposition de loi portée par le député MoDem Richard Ramos. Il avait déjà fait une précédente tentative il y a un an : " Ce premier retrait était tactique, je voulais regarder comment certains industriels allaient dépenser des millions d'euros en lobbyistes pour contrer le peuple français et la représentation national. C'est ce qu'il s'est passé : ils ont écrit à tous les députés des choses qui étaient fausses. Aujourd'hui, on a pu contrer les lobbyistes ".
"Aujourd'hui, le peuple français et surtout les pauvres ne vont pas crever à cause d'industriels qui veulent faire du fric sur leur dos"
Richard Ramos assure qu'il est soutenu par des députés de tous bords. Mais il subit encore des pressions, dit-il : " Quand on veut discréditer quelque chose, on fabrique de la fausse science : on met des millions d'euros pour faire écrire des choses fausses à des chercheurs. La deuxième chose, ce sont des connivences. Et le troisième, c'est le discrédit : dire que le député Ramos est un grand fou qui a fait des choses avec François Rufin, et envoyer ça à tous les autres députés ".
Pourquoi interdire les nitrites ? " On sait maintenant que les nitrites dans la charcuterie tuent les Français et les Françaises : quand ils font un effet cocktail avec le fer qui est dans la viande, cela provoque des cancers colorectaux ", explique-t-il. Selon lui, le président de l'Association française des industriels charcutiers traiteurs a reconnu devant l'Assemblée que cela était à l'origine d'au minimum 1200 morts par an.
" Certains industriels veulent créer deux charcuteries : une pour les pauvres, où ils auraient le droit de crever, et une pour les riches, avec une tranche supérieure, où ils n'auraient pas le droit de crever. On ne peut pas laisser deux alimentations en France, une pour les pauvres et une pour les riches ", affirme Richard Ramos. Répondant aux arguments de la filière qui affirme que les nitrites ont permis d'évacuer des bactéries, il dit que " ces gens-là sont des voyous : aujourd'hui, on trouve des centaines de millions de tranches de jambon qui sont consommées sans nitrites. Zéro retour du botulisme ".
"J'aime la cochonaille, je n'aime pas la cochonnerie"

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