Thérapie familiale entre mère et fils

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Thérapie familiale entre mère et fils
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Quel est le but d'une thérapie familiale ?
Thérapie familiale systémique, psychanalytique et comportementale
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Expert : Éric Trapenniers, psychologue et thérapeute familial, directeur des Instituts d’études de la famille de Toulouse et de Lille.


Article mis à jour le 20 janv. 2022
par 
Mathilde Pujol, Journaliste santé
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Anorexie, toxicomanie, échec scolaire, souffrance psychologique, anxiété… La souffrance d’un enfant est parfois symptomatique de dysfonctionnements dans la famille. Face à certaines difficultés, la thérapie familiale est une aide précieuse pour venir en aide au jeune et à son entourage. Que faut-il en attendre ? Quand consulter ? Le point avec notre expert. 

"Nous avons décidé d’entamer une thérapie familiale sur les conseils de notre médecin de famille", se souvient Marc, papa de deux enfants de 12 et 14 ans. " À l’époque, Marine avait 9 ans et malmenait son petit frère : elle le frappait, lui prenait ses jouets... Avec ma femme, nous nous disputions sans cesse, aussi à cause des enfants. Enfin, c’est ce que nous pensions. Nous avons consulté pour Marine, mais la thérapie a été bénéfique pour tout le monde. Elle nous a permis d’exprimer des souffrances, des ressentiments qui n’avaient jamais été formulés et de repartir sur de bonnes bases".
La thérapie familiale regarde l’ enfant ou l’ adolescent dans ses interactions avec les différents membres de la famille : père, mère, frère, soeur, grands-parents... Elle cherche ainsi à comprendre ce que sa souffrance peut vouloir dire.
En effet, dans certains cas, les symptômes présentés par un jeune patient peuvent être considérés comme évocateurs d’un dysfonctionnement du groupe notamment dans les relations parents/enfants, frères/sœurs . Il peut s’agir de communications paradoxales (qui s’annulent ou se contredisent), de non-dits, de fausses croyances ou d’incompréhensions mutuelles, de résistances au changement...
L’objectif de la thérapie : comprendre dans quel contexte familial le symptôme a émergé et pourquoi il se maintient. "Prenez par exemple un enfant dont les résultats scolaires chutent brutalement. On s’aperçoit que les parents se disputent fréquemment et se fâchent contre l’enfant à chaque mauvaise note au lieu de s’intéresser à leur propre problème ! Et pour cause : le symptôme de l’enfant protège l’équilibre familial", explique Éric Trapenniers, psychologue et thérapeute familial, directeur des Instituts d’études de la famille de Toulouse et de Lille.
Avant d’entreprendre une thérapie familiale, une première rencontre avec le thérapeute est nécessaire. Elle permet d’évaluer la situation et de motiver éventuellement un membre de la famille qui refuserait de participer à la thérapie. "Celui qui fait obstruction au travail étant souvent celui qui a le plus à perdre !", constate-t-il.
Il existe différentes approches en thérapie familiale :
La famille ne devient pas pour autant un patient que l’on cherche à soigner ou réguler. Elle est plutôt envisagée comme un système qu’il s’agit de décrypter . La mise à jour des malaises familiaux a pour objectif prioritaire de soulager l’enfant souffrant, mais elle permet in fine à chacun de ses membres de mieux respirer .
Une thérapie familiale ne débouche jamais sur la mise en accusation d’un individu dans la famille . Au contraire, quand elle est bien menée, elle a plutôt pour effet de gommer les mécanismes d’exclusion éventuellement à l’œuvre dans le cercle intime (père trop effacé, enfant bouc émissaire...).
La thérapie aide les familles à retrouver une certaine souplesse relationnelle , et des réponses nouvelles aux problématiques. Elle ne donne pas seulement aux enfants des conseils éducatifs mais fait émerger les solutions que tous les membres ont trouvées et approuvées ensemble.
Dès la première séance, ce sont bien souvent les enfants qui pointent clairement, par leurs paroles ou leur comportement, ce qui ne va pas. Il s'agit d'être attentif au non-verbal, car beaucoup de choses significatives passent par les gestes, les mimiques (yeux levés au ciel) ou les attitudes corporelles (agitation, énervement).
Les blocages sont souvent dus à des charges émotionnelles très lourdes , transmises parfois sur plusieurs générations. C'est pourquoi il arrive que l'on demande aux grands-parents de participer.
Le but de la thérapie est non seulement le déblocage de situations difficiles , mais aussi le développement d'un certain "savoir être ensemble".
Il faut veiller à ne pas laisser chacun enfermé dans son monde : travail , école, télé, ordinateur ou baladeur contribuent à cloisonner les membres de la famille. Il ne s'installe pas de sentiments hostiles mais une indifférence un peu apathique aux autres. Se rencontrer vraiment et échanger devient une organisation mûrement réfléchie, d'autant plus difficile qu'elle n'est pas spontanée.
Et si hier, la retenue était de mise, les valeurs se sont à présent inversées, notamment sous l'influence des théories liées à la psychanalyse. La thérapie par la parole libérant les émotions , on a eu tendance à penser que les non-dits et les secrets étaient nocifs et que "tout dire" était garant de bonne santé psychique et de relations harmonieuses.
Chacun est ainsi incité à exprimer ses états d'âme, et ceux qui ne sont pas enclins aux épanchements sont suspectés d'avoir des difficultés relationnelles ou des blocages psychologiques.
Pourtant, si le silence est parfois rancœur, il est aussi pudeur. Certaines familles peuvent se sentir en harmonie sans entretenir un dialogue constant. Michel, le mari de Lyne, admet que son éducation ne le porte pas aux grands discours, mais il a compris que dans son couple le manque de communication pouvait être source d'incompréhensions.
Quand on se retrouve avec mes parents et mes frères, on peut vivre côte à côte sans trop discuter. On se comprend autrement. Ce qui compte, c'est d'être solidaires dans les moments difficiles, d'être là pour aider et soutenir. Lyne, elle, a besoin de connaître l'avis des gens et de donner le sien. Elle ouvre quelque chose dans la famille et je crois que tout le monde apprécie ça, observe Michel.
Alors, familles bavardes ou silencieuses ? Qu'importe au fond. Ce qui compte, c'est la parole vraie ou le silence plein de compréhension… au bon moment.
Une thérapie familiale est préconisée lorsqu'un enfant éprouve une difficulté qui a des répercussions dans la famille. "Les problèmes de l’enfant révèlent alors une souffrance collective", souligne Éric Trappeniers. "Même si on consulte au départ pour un enfant, la thérapie familiale permet à chacun des membres de la famille de se remettre en question".
Les principales indications d'une thérapie familiale sont :
La thérapie familiale est aussi un bon moyen de faire venir en consultation un adolescent en situation de mal-être ou de repli sur soi qui ne veut pas suivre une thérapie individuelle.
Dans les familles, la circulation harmonieuse de la parole reflète un essai sincère de compréhension sans effacement des uns ni intolérance des autres. Parler , oui, mais pour dire quelque chose ! Il est des familles où le bruit, les éclats ou les plaisanteries remplacent la communication vraie . Tout cela contribue à ériger une sorte d'écran de fumée qui évite que soient abordés les sujets fondamentaux.
Il en est d'autres où, sous prétexte de se lancer des vérités, on ne projette que de l' agressivité . Ne pas dire les choses suscite des sous-entendus et des interprétations fantasmatiques de la part d'autrui. Et chacun sait combien les fantasmes ont la vie dure ! On tombe des nues parfois quand on se rend compte de ce qui est enseveli dans le cœur des proches. 
Les séances durent en moyenne une heure. Elles réunissent les membres de la famille volontaires, une à deux fois par mois, pendant un an en moyenne (ou plus longtemps si la thérapie est d’inspiration psychanalytique), autour d’un thérapeute. Le thérapeute va aider à mettre en évidence les schémas familiaux et les problématiques tout en évitant de favoriser leur reproduction . Il agit alors comme un agent de la circulation, libérant les circuits de communication dans la famille.
L'accent est mis sur la parole , mais le travail s'appuie aussi sur des exercices et des outils de communication (jeux de rôle, discussion autour du génogramme…).
Les parents divorcés sont évidemment tous deux concernés ; le beau-père ou la belle-mère qui vit avec l’enfant, demi-frères et sœurs d’une famille recomposée peuvent y être invités…Si les circonstances le justifient, les grands-parents peuvent aussi se trouver concernés… Les séances sont très souvent filmées, avec l’accord de la famille, ce qui permet au thérapeute de réexaminer la séance, de proposer des pistes de réflexion.
Quelques séances suffisent parfois à résoudre un problème. Chez les familles avec des pathologies lourdes, la cothérapie (avec l’intervention de deux thérapeutes) est souvent proposée.
Le tarif d'une consultation de thérapie familiale varie en fonction du thérapeute, mais il se situe entre 40 et 130 euros. Certaines thérapies peuvent être en partie remboursées par la Sécurité Sociale, notamment si vous consultez un psychiatre. 
Demandez au psychiatre ou psychothérapeute qui suit l’enfant s’il trouve cette démarche indiquée et s’il peut vous conseiller un thérapeute spécialisé dans les thérapies familiales près de chez vous.
Sinon, des renseignements peuvent être pris auprès de :
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La thérapie familiale intergénérationnelle est une modalité qui fait partie des thérapies familiales systémiques et son objectif principal est le traitement des conflits interpersonnels entre les membres de une famille lorsque de tels conflits ont été constatés entre différentes générations les proches.
Dans cet article, nous verrons en quoi consiste cette modalité de thérapie familiale et les idées et propositions théoriques à partir desquelles elle part.
La thérapie familiale intergénérationnelle est un traitement psychologique, encadré dans les thérapies familiales systémiques, qui a été développé afin de résoudre divers conflits interpersonnels entre les membres de la famille qui ont été hérités par les générations précédentes de membres de la famille Par conséquent, ce conflit est resté au sein de la famille pendant de nombreuses années. Les auteurs les plus représentatifs de cette modalité d'intervention familiale étaient les psychiatres Ivan Boszormenyi-Nagy et Murray Bowen.
D'autre part, la thérapie familiale intergénérationnelle, étant un modèle systémique, est également utilisée pour analyser la configuration entre les systèmes familiaux et le rôle de chaque membre de la famille au sein du système . De même, puisqu'il a été initialement développé par des psychiatres d'orientation psychanalytique, il s'appuie théoriquement sur la psychanalyse, sur tout en ce qui concerne le mécanisme de projection dans la famille, dans le processus de différenciation de soi ou dans le besoin individuel de changement, entre autres.
Cette approche familiale systémique repose sur deux idées: que il y a une transmission des modèles émotionnels et comportementaux de génération en génération du membres de la famille, et la considération de la famille comme facteur déterminant l'autonomie individuel de chacun des membres qui le composent.
La première idée, sur la transmission entre générations de la famille des schémas comportementaux et émotionnels, vient de la thérapie contextuelle, le principal précurseur étant Ivan Boszormenyi-Nagy, et part de la considération de la famille comme unité émotionnelle, étant en même temps un réseau d'interrelations entre ses membres qui s'est développé de génération en génération. génération.
Par conséquent, il est important comprendre l'influence des membres des générations précédentes de la famille afin de mieux comprendre la famille actuelle . Et c'est à travers ces membres des générations précédentes que les schémas de réaction émotionnels, cognitifs et comportementaux ont été appris.
La seconde idée, concernant la considération de la famille comme facteur déterminant de l'autonomie de chacun des membres, dont le principal précurseur est Murray Bowen, une partie de l'idée que chaque personne a un débat interne entre deux les forces. L'un est la « force d'individuation », qui se concentre sur le développement de sa propre identité et sur le développement d'une vie indépendante. L'autre est la « force de liaison », qui se concentre sur le maintien d'un lien avec les autres membres de la famille (par exemple, les parents, les frères et sœurs, etc.).
Dans cette seconde idée, la clé serait d'atteindre un équilibre entre les deux forces, celle de l'individuation et celle de l'union , afin que les gens aient la capacité de prendre des décisions réfléchies et cohérentes, plutôt que ne réagissent qu'émotionnellement à certaines situations, sans y avoir réfléchi auparavant Acte.
Notamment pour Bowen la famille est d'abord une « masse indifférenciée du moi familial » , il est donc constitué d'un ensemble d'individus qui vivent dans le même contexte affectif dans lequel un échange de point de vue, des comportements, des réactions émotionnelles, etc. Pour cette raison, ses membres ont développé en commun un réseau d'attentes et de besoins qu'il faut satisfaire (par exemple, affection, fidélité, aide, etc.).
L'un des problèmes soulevés à cet égard par la thérapie familiale intergénérationnelle est que cette masse indifférenciée qui est à l'origine dans la famille doit se séparer progressivement , afin que chacun de ses membres atteigne une distance psychologique et émotionnelle qui permette prendre leurs propres décisions de manière autonome et c'est ce qu'on a appelé « la différenciation des soi ".
Sinon, une « fusion » se poursuivra dans laquelle les membres de la famille n'accèdent pas à l'autonomie et se retrouvent piégés dans la masse indifférenciée. famille, il leur est donc difficile d'établir les limites qui devraient exister par rapport aux autres membres et l'identité des membres est dissoute au sein de la famille.
Par conséquent, de ce point de vue, tout au long du cycle de vie, les gens sont à l'intérieur une lutte continue pour atteindre un équilibre entre l'attachement aux membres de la famille et la différenciation et l'autonomie personnelles .
Les étapes majeures et les plus courantes qui surviennent habituellement au sein d'une famille tout au long du processus d'« auto-différenciation » des enfants sont les suivantes :
Dans la nouvelle masse indifférenciée il est courant d'utiliser les modèles de relations avec leurs enfants qui avaient été précédemment appris de leurs propres parents . L'exemple précédent serait un processus d'individuation normal tout au long du cycle de vie; Cependant, ce n'est pas toujours le cas, car des crises inattendues peuvent survenir (par exemple, divorce des parents, décès d'un membre du noyau familial, changements fréquents d'adresse, etc.).
Selon la thérapie familiale intergénérationnelle, l'idée proposée d'une famille en bonne santé devrait avoir les caractéristiques suivantes.
Dans la famille nucléaire, celle-ci étant constituée uniquement des parents et des enfants sans compter les autres parents, des frontières claires doivent être établies entre les générations . Par conséquent, les parents devraient avoir des attentes équilibrées pour chacun de leurs enfants. dont ils disposent et, sur cette base, devrait contribuer au bon développement de l'autonomie et de l'identité de chacun fils.
De même, chaque membre de la famille doit avoir la capacité d'exprimer de l'affection d'une manière non possessive envers les autres membres de la famille, ainsi qu'ils doivent également être ouverts à interagir avec d'autres personnes (p. ex., grands-parents, cousins, oncles, amis, etc.) sans affecter l'union de la famille nucléaire.
Tant la mère que le père devraient avoir développé un processus correct et sain de différenciation par rapport à leur famille d'origine, donc il est normal qu'ils aient développé une plus grande cohésion avec la famille qu'ils ont créée ensemble qu'avec leur famille d'origine , sans pour cela qu'ils aient perdu leur affection envers leurs parents, leurs frères et sœurs et les autres membres
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