Thérapie de famille : le voyage d'affaires
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Thérapie de famille : le voyage d'affaires
Allier voyage d’affaires et tourisme grâce à la pratique du bleisure
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Même si le phénomène n’est pas nouveau, le bleisure prend de l’ampleur. Je vous dévoile les grandes lignes de ce mode de travail devenu tendance.
Ce terme anglais est une contraction des mots business et leisure qui signifie loisir. Les collaborateurs en déplacement professionnel peuvent s’adonner aux loisirs touristiques.
Face à l’évolution du voyage d’affaires, le bleisure est devenu une quasi-généralité.
Un homme d’affaires en mission à l’étranger durant une semaine travaille durant cinq jours et profite du week-end pour faire du tourisme. Il peut visiter des sites touristiques, contacter les autochtones pour en savoir plus sur leur culture et s’adonner à des activités sportives ou ludiques.
En fait, les dirigeants d’entreprise ont toujours fait appel au bleisure. Actuellement les travailleurs même non encadrés apprécient la tendance.
D’après un sondage commandé par Bridgestreet, un fournisseur d’appartement d’entreprise, 83 % des businessman ou businesswoman visitent la ville de destination durant le voyage d’affaires. Ainsi, les activités culturelles et de loisirs ne sont pas négligés.
Par ailleurs, 20 % des voyageurs d’affaires sont en déplacement plus de deux mois par an. Cette période implique davantage de loisirs.
Pour leur part, 60 % des sondés avouent consacrer davantage de temps aux loisirs durant leur séjour lié au déplacement professionnel. En parallèle, 50 % des questionnés sont accompagnés par un membre de la famille ou un ami durant le séjour.
En règle générale, le voyage d’affaires est réservé à l’équipe dirigeante. Toutefois, un déplacement professionnel peut générer du stress.
Or le stress freine la productivité. Ainsi, le bleisure est associé à une forme de décompression nécessaire pour éviter le burn-out, le surmenage, loin de la famille et des collègues.
En combinant le déplacement professionnel aux activités apaisantes, le collaborateur gagne en performance. Le repos est aussi apprécié s’il est pratiqué en famille même à distance par rapport au foyer.
Favoriser le bleisure est une opportunité pour l’entreprise. De plus, le bleisure est aussi applicable en mode nomade digital pour les missions de consultance, d’expertise, entre autres.
Les pays de destination sont également conquis par le bleisure. En effet, les touristes sont présents uniquement par périodes.
Le collaborateur en bleisure est présent sur des périodes creuses. Ainsi, les travailleurs en mission boostent l’économie locale via l’hébergement, la restauration et la fréquentation des lieux culturels et les loisirs.
Crédit Photo : hospitalitynet.org & rtbf.be
A 18 ans, j’ai très vite compris comment ça marchait … tu attends après les autres > tu n’auras rien … tu te bats et tu te démènes pour atteindre tes objectifs qu’ils soient persos ou pros et tu arriveras au minimum à ne rien regretter de ce que tu entreprends. Ici, je vous partage mon goût de l’entreprenariat et du voyage
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Tout quitter pour voyager mais tout en travaillant et tirant un revenu d'une activité en ligne ou digital, oui c'est possible. Ce n'est pas un rêve utopique. Beaucoup l'ont fait !
Simple ... Non ! ça ne l'est pas contrairement à ce que vous entendrez. Mais avec un peu de passion, d'organisation et de travail ;) tout devient possible!
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Pourquoi les gens n’aiment pas voyager ?
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Si nous disons que nous n’aimons pas les vacances, malgré leur variété, c’est pour une raison. Cela peut être dû à une phobie sociale, par exemple. La personne craint alors de rencontrer des personnes qu’elle ne connaît pas et ne veut pas se sentir mal à l’aise à leur contact », explique la spécialiste.
Voyager en groupe : le pour et le contre A voir aussi : Qu’est-ce qu’un séminaire universitaire ? .
Pourquoi l’homme a-t-il besoin de voyager ? L’homme peut ressentir l’envie ou le besoin de voyager pour découvrir d’autres horizons, mieux se connaître, découvrir comment il peut s’adapter à différents climats et cultures. Voyager permet une expérience nouvelle et enrichissante.
Les vacances permettent à notre cerveau de quitter les routines de travail et les tâches quotidiennes répétitives pour se concentrer sur d’autres choses. Sur le même sujet : Pourquoi parcourir le monde ? . Découvrir de nouveaux endroits et faire de nouvelles activités le stimule, il le fait bien, si bien qu’il est lui aussi en vacances !
Pourquoi ne pas partir en vacances ? Selon une étude Ipsos pour le Secours Populaire, publiée mercredi, 84% des Français jugent important, voire indispensable, de s’absenter au moins une fois par an. L’absence de vacances aurait même des répercussions dans leur vie familiale, dans leur vie professionnelle ainsi que dans leur vie sentimentale et sexuelle.
A quoi servent les vacances ? Son objectif est de permettre au salarié de se reposer, de retrouver son équilibre, ainsi que de se distancier de ses obligations professionnelles. Voir l’article : Quels sont les objectifs d’un séminaire ? .
L’année scolaire comprend au moins trente-six semaines, réparties en cinq périodes de travail de durée comparable, séparées par quatre périodes de vacances scolaires. Le but est de se rapprocher le plus possible du rythme alterné sept semaines de travail / deux semaines de vacances.
Partir en vacances, c’est comme une thérapie. Être dans un environnement différent qui nous fait du bien, prendre soin de nous et de nos proches, se donner du temps, ne faire que ce qu’on aime sans aucune sorte de contrainte sont essentiels pour se ressourcer.
Prendre des vacances permet de reposer à la fois son corps et son esprit, elles permettent de « se ressourcer ». Ils jouent donc un rôle dans le renforcement du système immunitaire, car en renforçant les défenses de l’organisme, ils le rendent plus apte à se battre.
Prendre des jours de congé aide à soulager le stress lié au travail et réduit les symptômes d’épuisement professionnel[6]. Les vacances permettent de se ressourcer ; ils vous aident à reconstituer votre énergie afin que vous puissiez retourner au travail prêt à relever de nouveaux défis.
Départ pour la curiosité touristique, pour la recherche d’exotisme, de soleil et de mer, pour le tourisme solidaire ; partir en voyage d’étude, pour un plus dans le CV ; sortir à la rencontre d’autres religions, d’autres cultures ; sortir pour échanger, confronter des idées ; arrêter de vivre une expérience; partir, partir…
Peur des transports et peur de prendre l’avion La peur des transports est la forme la plus répandue et la plus connue d’anxiété liée aux voyages. Certains modes de transport provoquent plus d’anxiété que d’autres, et notamment l’avion.
Pourquoi suis-je déprimé quand je suis en vacances ? Le décalage horaire perturbe alors le sommeil, ce qui peut conduire au stress et à la dépression. De plus, les vacances peuvent être excessivement déstabilisantes lorsque vous rencontrez des membres de la famille avec qui les relations sont difficiles, d’autant plus que vous êtes tellement plus au-dessus les uns des autres.
Si nous disons que nous n’aimons pas les vacances, malgré leur variété, c’est pour une raison. Cela peut être dû à une phobie sociale, par exemple. La personne craint alors de rencontrer des personnes qu’elle ne connaît pas et ne veut pas se sentir mal à l’aise à leur contact », explique la spécialiste.
Vacances : inégalités salariales Ainsi, l’écart est de 40,1 points de pourcentage, alors qu’en 2010 il était de 17,1 points. En France, cette différence n’a pas beaucoup changé. Ainsi, selon les données établies en 2019-2020, 16,8% des habitants aux revenus les plus élevés ne peuvent pas partir en vacances.
Cette peur est principalement due à deux raisons : La peur de l’inconnu, car peu de gens comprennent comment un avion est capable de voler ; Les conséquences psychologiques des catastrophes aériennes.
Trouble panique avec agoraphobie Les personnes souffrant d’agoraphobie ont peur des lieux publics, souvent parce qu’elles craignent de ne pas pouvoir en sortir facilement ou d’y faire une crise. Une personne souffrant d’agoraphobie peut, par exemple, être incapable d’aller faire ses courses ou d’aller à un concert.
L’agoraphobie peut-elle être guérie ? Pouvons-nous guérir? Certains médecins peuvent prescrire des anxiolytiques ou des antidépresseurs, mais cela ne résoudra pas la racine du problème. Il est préférable de suivre une thérapie cognitivo-comportementale (TCC). Cela vous permet de sortir de l’évitement et d’affronter vos peurs.
Définition. L’agoraphobie est la peur des endroits d’où il serait difficile ou incommode de s’échapper ou d’être secouru. Cette phobie est basée sur la peur de ne pas pouvoir trouver aide et sécurité sur place si quelque chose devait arriver et non sur place en tant que telle.
Par exemple, certains exercices peuvent atténuer les conséquences de l’agoraphobie ou de la panique.
Les causes de ce trouble anxieux peuvent être différentes d’une agoraphobie à l’autre. Cependant, il survient le plus souvent chez des personnalités anxieuses, plus souvent après un traumatisme psychologique récent ou lointain (accident, deuil, chômage, etc.).
Définition de l’agoraphobie C’est une anxiété inattendue ou facilitée par des situations particulières comme la peur d’être seul à l’extérieur de chez soi, d’être dans une foule, dans une file d’attente, sur un pont, dans un train, une voiture ou un bus.
nausées, gêne abdominale, diarrhée; angoisses; peur de mourir, sentiment de mort imminente ; peur de devenir fou.
Le seul traitement efficace de l’agoraphobie est alors la thérapie cognitivo-comportementale (TCC). Il s’agit d’une thérapie brève (de quelques mois à deux ou trois ans) qui vise à remplacer les idées négatives et les comportements inappropriés par des pensées et des réactions conformes à la réalité.
Parce qu’il correspond au moment où nous nous demandons qui nous sommes, nous-mêmes et par rapport aux autres. On ressent le besoin de se recentrer un peu sur soi, sur ce qu’on aime et ce qu’on déteste, ce qui nous fait peur ou au contraire des envies… pour mieux se comprendre et trouver sa place dans le monde.
Pourquoi aller? Départ pour la curiosité touristique, pour la recherche d’exotisme, de soleil et de mer, pour le tourisme solidaire ; partir en voyage d’étude, pour un plus dans le CV ; sortir à la rencontre d’autres religions, d’autres cultures ; sortir pour échanger, confronter des idées ; arrêter de vivre une expérience; partir, partir…
En devenant accessibles à tous, les destinations lointaines ont perdu de leur attrait. Mais le goût des voyages « psychologiques » se renforce. Aujourd’hui, le vrai désir est de s’évader de la vie sociale… Nous cherchons l’île déserte qui nous aidera à échapper à toutes les fluctuations du monde.
Cultivez la détermination. Tout laisser tomber et abandonner n’est pas une chose facile à faire du jour au lendemain. Cela signifie avoir le courage de lâcher prise sur tout ce qui vous gêne, tout ce qui vous empêche de changer de vie, tout ce qui jusqu’à présent a été votre raison de vivre.
Tout lâcher et partir vous permettra dans ce cas de développer votre ouverture d’esprit, mais aussi d’aiguiser vos compétences linguistiques. Certains décident même d’y aller en famille, ce qui en fait une aventure encore plus intéressante, surtout pour les enfants.
Wanderlust Syndrome, l’obsession du voyage C’est donc un besoin qui génère la passion de voyager, de découvrir de nouveaux lieux et des cultures différentes. Ce syndrome touche aussi bien les hommes que les femmes, généralement entre 20 et 40 ans. Ces personnes ont une envie irrésistible de partir.
Le sentiment de stagnation, l’ennui, la recherche de nouvelles opportunités, l’envie de changement… Autant de raisons qui peuvent vous pousser à envisager de partir vers d’autres horizons. Ce besoin, vous le partagez avec de nombreuses personnes.
Tout lâcher et partir vous permettra dans ce cas de développer votre ouverture d’esprit, mais aussi d’aiguiser vos compétences linguistiques. Certains décident même d’y aller en famille, ce qui en fait une aventure encore plus intéressante, surtout pour les enfants.
Les besoins psychologiques (autonomie, compétence, parenté) existent dans la nature humaine et sont donc inhérents à chacun de nous. Trois de ces besoins organiques sont l’autonomie, la compétence et l’appartenance.
Quels sont les besoins physiologiques ? Les besoins physiologiques sont les besoins de survie liés à la nature humaine, tels que respirer, manger, dormir, se loger, etc. A priori ces besoins sont satisfaits pour la plupart d’entre nous, cependant nous ne rapportons pas ces besoins avec la même appréciation.
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Ça y est votre séminaire surf à Biarritz est calé. Après la paperasse concernant la préparation de votre voyage d’affaire, vous voilà sur place et prêt à effectuer la mission qui vous a été assignée par votre entreprise. Il est en général conseillé d’arriver deux jours ou trois avant le début de vos prospections et rendez-vous… lire la suite
L’empreinte de nos souvenirs….
Contacts
Plusieurs voyageurs s’accordent sur ce point : le voyage peut être une thérapie à part entière.
Grâce aux voyages, Josef Schovanec, destiné à vivre entre quatre murs à cause de son autisme, fait partie aujourd’hui des grands voyageurs du XXIème siècle.
Philosophe, écrivain et polyglotte (il parle sept langues, dont l’hébreu, l’amharique et le persan) Josef Schovanec nous livre dans cette vidéo les secrets de la thérapie du voyage, thérapie qu’il a inventée et pratiquée.
J’ai voulu partager cette vidéo, car au-delà du parcours impression de cet homme, son discours sur le voyage est, je crois, profondément juste. « Le voyage ne vaut que s’il porte un risque au cœur de l’être ».
Tous les hommes ont un jour rêvé de voyages, d’évasion, d’aller à la rencontre de nouvelles cultures. Mais qu’en est-il du voyage au sens réel du terme ? Je parle du voyage qui nous transforme, qui nous fait changer de regard sur l’autre, le voyage qui lève nos barrières, nos limites.
« En voyage, libérez-vous des illusions, et surtout levez les barrières de la zone de confort par exemple, qui restreint nos déplacements à juste nos univers connus ; les barrières de l’illusion de la satisfaction immédiate des nos désirs et envies ponctuels. Le voyage n’est pas là pour satisfaire nos envies immédiates. Le voyage est là pour les transformées, pour nous transformer. »
Avec beaucoup de philosophie, et une touche d’humour, Josef Schovanec expose sa conception du voyage et comment celui-ci peut devenir une thérapie à part entière .
Je ne veux pas dévoiler la vidéo, car elle ne dure que 8 minutes et vaut sincèrement la peine d’être visionnée. Mais je terminerai sur un élément essentiel selon moi : « le voyage est un long professeur » , un professeur qui nous transmet la beauté de ce monde ainsi que cette humanité commune à tous les peuples.
Source : Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=yL3RIaAfKEA&sns=em .
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