Teub astique la force de jolis pieds

Teub astique la force de jolis pieds




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Teub astique la force de jolis pieds
(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Quand il arrive de la banque, il a juste le temps de passer au vestiaire pour retirer ses vĂȘtements de ville et endosser sa tenue de combat. Pas le temps de prendre une douche. La sĂ©ance se fait au naturel, avec les odeurs de la journĂ©e. Adrien, c'est un mec qui transpire. Poils sur le torse, il laisse tout pousser naturellement, sur le torse, sous les bras et mĂȘme la touffe pubienne. Si la nature a dotĂ© les mecs de poils, il se dit qu'il doit bien y avoir une raison. Et si les poils concentrent la sueur et les odeurs, eh bien, c'est naturel et c'est trĂšs bien ainsi. Ce jeudi-lĂ , Ă  la fin de la sĂ©ance, quelques pĂšres et mĂšres viennent chercher leur rejeton. Mais beaucoup partent tout seuls Ă©galement, les plus grands, ceux qui ont dans les 16-17 ans. Adrien aime bien s'occuper de ses petits mecs en pleine croissance qui commencent tous Ă  prendre du muscle et du poil, Ă  sentir le mĂąle quand ils transpirent. Ça lui rappelle sa propre adolescence oĂč le karatĂ©, c'est lĂ  qu'il est devenu un homme. Un mec. C'est lĂ  qu'il a pris confiance dans son corps.

Mais ce jeudi soir, le pĂšre de Quentin a l'air de vouloir s'attarder pour lui poser des questions sur les progrĂšs de son fils. Adrien, c'est pas que ça l'ennuie de discuter avec le pĂšre d'un Ă©lĂšve, mais ce soir, il a rencard, il ne peut pas trop s'Ă©terniser. Alors il propose au pĂšre de le suivre dans le bureau des entraĂźneurs pour continuer Ă  discuter, le temps qu'il range son matĂ©riel de sĂ©ance. La discussion est longue, le pĂšre est trĂšs impliquĂ© dans la pratique sportive de son fils, alors Adrien lui demande si ça ne l'ennuie pas de poursuivre la discussion jusque dans le vestiaire. Visiblement, le pĂšre a dĂ©cidĂ© que la discussion allait effectivement durer un certain temps, car il a lui-mĂȘme posĂ© ses affaires de boulot, sa veste, et mĂȘme retroussĂ© ses manches. Adrien ne peut s'empĂȘcher d'admirer une belle paire d'avant-bras bien musclĂ©s et gĂ©nĂ©reusement couverts de poils chĂątains. Le genre de pilositĂ© sur les bras oĂč les poils dessinent des sillons qui soulignent la musculature. Il est bi, Adrien, et il aime les meufs bien fĂ©minines et les mecs bien virils. Avec ce petit mec-ci il est comblĂ©.

Le pĂšre s'anime, demande si Quentin Ă  un niveau suffisant pour pouvoir bientĂŽt participer Ă  des compĂ©titions... Il fait chaud dans le vestiaire, la sueur commence Ă  assombrir le tissu de sa chemise sous les aisselles, le pĂšre retire sa cravate et dĂ©grafe un bouton de sa chemise, puis un deuxiĂšme. Adrien se sent de moins en moins pressĂ© de ranger ses affaires et de quitter le club de karatĂ©... Il prend maintenant son temps pour ranger dans les armoires tout le matĂ©riel qu'il a utilisĂ© pour la sĂ©ance. Et il ne manque pas, dĂšs que c'est possible, de scruter l'encolure du pĂšre de Quentin d'oĂč dĂ©passe une belle touffe de poils sombres, soulignĂ©e par une fine chaine en or qui s'agite au milieu des poils. Visiblement, voilĂ  un mec d'une petite quarantaine d'annĂ©es qui ne fait pas que parler sport, mais qui pratique lui aussi. Il a une belle gueule aussi, mĂąchoire carrĂ©e, front bombĂ©, une arcade sourciliĂšre qui encadre un regard pĂ©nĂ©trant, des pommettes saillantes et les joues couverte d'un beau poil poivre et sel de fin de journĂ©e. Poivre et sel aussi les cheveux du mec qui se dĂ©garnit joliment sur le front. Ça lui donne un air mĂ»r et viril, en accord avec le poil sombre de ses bras et du haut de son torse, qui n'est pas du tout pour dĂ©plaire Ă  Adrien.

Il n'empĂȘche, l'heure tourne, Adrien doit quand mĂȘme se prĂ©parer, se changer. Et au moment oĂč il retire sa veste de kimono et se retrouve torse nu face au pĂšre de Quentin, il voit bien que celui-ci marque un instant d'arrĂȘt. La discussion reprend, mais Adrien se rend bien compte que la voix du pĂšre de Quentin et moins ferme, plus hĂ©sitante. Aucun doute, ce mec est en train de dĂ©tailler son anatomie. Son regard parcourt de haut en bas et dans tous les sens le torse musclĂ© et lĂ©gĂšrement poilu d'Adrien. Ils sont Ă  peu prĂšs dans la mĂȘme tranche d'Ăąge tous les deux, mais Adrien a 35 ans, tandis que le pĂšre de Quentin doit bien en avoir un peu plus de 40. Adrien donne des tas d'explications en faisant de grands gestes avec les mains et de grands mouvements avec les bras pour souligner son propos et pour mimer les attaques quand il parle. Il fait chaud dans le vestiaire, la moiteur des douches a envahi l'atmosphĂšre, Adrien a beaucoup donnĂ© toute la journĂ©e au travail et pendant toute la sĂ©ance de karatĂ©, la sueur a collĂ© les poils de son torse et de ses aisselles, et il s'en dĂ©gage un profond relent de mec, une puissante odeur de mĂąle en fin de journĂ©e.

La discussion tourne maintenant sur la maniÚre dont le pÚre de Quentin peut aider son fils à progresser en karaté. Adrien en profite pour lui demander quelle est sa pratique sportive. Le mec explique que lui, son truc, ce n'est pas le karaté, mais plutÎt l'endurance : natation, course, vélo. Alors Adrien en profite pour embrayer sur le sujet, complimente le pÚre sur sa carrure et ce qu'il devine de sa tonicité musculaire. Sourire satisfait du pÚre qui reconnaßt qu'il s'entretient et que, par rapport aux autres hommes de son ùge, il s'en sort plutÎt pas mal. "Pas mal, c'est peu dire, réplique Adrien. Je ne vous vois pas torse nu, mais d'aprÚs ce que je devine à travers la chemise, vous m'avez l'air tout à fait en forme et musclé." Aucun doute, le mec rougit un peu. Un demi-sourire, un petit rire, un "merci".

- Non mais sĂ©rieux, poursuit Adrien, faites-moi voir ça, que je me rende compte si vous ĂȘtes apte au karatĂ© pour aider votre fils Ă  s'entraĂźner.
- Comment ça ? Vous faire voir quoi ?
- Eh ben mettez-vous torse nu, que je voie un peu votre anatomie et votre musculature. Quand on veut aider un ado en pleine croissance Ă  progresser en karatĂ©, il faut quand mĂȘme avoir quelques atouts physiques !
- Euh, vous plaisantez là je suppose ?
- Non non pas du tout, allez, torse nu.

Le mec rigole, murmure un "eh ben si je m'attendais Ă  ça", mais s'exĂ©cute et dĂ©fait un Ă  un ses boutons de chemise pour finir par la quitter et se retrouver torse nu devant Adrien. Celui-ci ne peut rĂ©primer un sourire apprĂ©ciatif. Il faut dire qu'il est beau Ă  voir le pĂšre de Quentin, avec ses pectoraux fermes et poilus, son ventre bien musclĂ©, Ă  peine enrobĂ© au niveau du nombril et lui aussi bien garni de poils, et ses jolis tĂ©tons bien rouges, bien plats, pas trop larges, oĂč la chair pointe un tout petit peu au milieu. Et puis cette fine chaine en or qui orne son poitrail et qui contraste avec les poils sombres de son torse.

- Bon eh bien, puisque nous sommes tous les deux torse nu, autant en profiter pour faire un peu de pratique.
- Ah bon ? Depuis quand on pratique le karaté torse nu ?
- Non, bien sĂ»r, le karatĂ© ça se pratique en kimono, pas torse nu, mais lĂ , ça va nous permettre d'ĂȘtre dans la mĂȘme tenue. Puisque vous n'avez pas de kimono, un petit exercice torse nu, c'est un excellent entraĂźnement. On a toujours fait ça quand j'avais Ă  l'Ăąge de Quentin.

Adrien dit au pĂšre de le suivre, tous deux quittent le vestiaire, traversent le bureau et se retrouvent Ă  prĂ©sent face Ă  face sur le tatami. Adrien lui a fait quitter chaussures et chaussettes. Pieds nus et torse nu, les deux hommes s'affrontent dans un exercice trĂšs physique expliquĂ© et guidĂ© par Adrien. Pour quelqu'un qui n'est pas karatĂ©ka, il s'en sort trĂšs bien, lui dit Adrien. La sĂ©ance improvisĂ©e se poursuit, les corps se frĂŽlent, la sueur coule, la peau est moite, ça a beau ĂȘtre du karatĂ©, pas un sport de contact, il n'empĂȘche, les bras se touchent, les Ă©paules s'entrechoquent et, parfois, les torses se collent l'un Ă  l'autre. profite du fait que ce n'est pas un combat mais un exercice d'entraĂźnement pour ralentir le rythme, accompagner les gestes de son Ă©lĂšve d'un soir, prolonger ces instants de proximitĂ© physique oĂč les deux corps sont collĂ©s, unis par la peau moite et les poils imprĂ©gnĂ©s de sueur.

- Non mais ça marche pas comme ça, je suis super gĂȘnĂ© par mon pantalon, le costume, c'est quand mĂȘme beaucoup plus serrĂ© et moins souple que votre pantalon de kimono.
- OK, d'abord, j'ai l'habitude de dire tu à mes élÚves, donc si ça te dérange pas on va se tutoyer. Pas de problÚme, tu peux quitter ton pantalon. Si tu veux, je peux aussi quitter le mien.
- Eh ben, c'est comme vous voulez, enfin c'est comme tu veux. Tu peux garder ton bas de kimono, mais moi c'est sûr, je vire mon pantalon.

AussitĂŽt dit aussitĂŽt fait, le mec se retrouve en slip, pieds nus et torse nu face Ă  Adrien. Il a les jambes aussi musclĂ©es et poilues que le torse. Tout ça est trĂšs ferme. Pas de doute, la natation et le vĂ©lo sont passĂ©s par lĂ . Adrien le complimente, le mec rougit encore un peu. L'exercice reprend, mais Adrien s'interrompt car il est lui aussi gĂȘnĂ© par son bas de kimono. Par ailleurs, ce qu'il voit dans le slip de son Ă©lĂšve adulte lui semble fort intĂ©ressant et volumineux. À chaque attaque, Ă  chaque mouvement, le paquet ballotte dans le slip. Adrien, lui, c'est pas un mec Ă  slips, il porte des boxers. Les slips ça le serre trop, il prĂ©fĂšre laisser Ă  son sexe et ses boules un peu plus de place pour remuer. Il fait une pause, dĂ©fait le lien de la ceinture de son kimono, baisse le tout et se prĂ©sente en boxer devant le pĂšre de Quentin. Celui-ci ne peut s'empĂȘcher de jeter un coup d'Ɠil Ă  l'avant du sous-vĂȘtement, il faut dire que le tissu a beau ne pas ĂȘtre super serrĂ©, il ne peut dissimuler les attributs bien charnus d'Adrien.

La sĂ©ance reprend, mais manifestement le pĂšre de Quentin n'est plus aussi offensif et dynamique. Adrien le lui fait remarquer, lui demande son prĂ©nom pour faciliter la discussion. "FrĂ©dĂ©ric", rĂ©pond l'autre. Adrien a dĂ©finitivement laissĂ© tomber son rencard et se consacre entiĂšrement Ă  son nouvel Ă©lĂšve, lui prodigue patiemment ses conseils, en accompagnant autant que possible la parole par des gestes d'encouragement qui lui permettent aussi de montrer les mouvements et les postures. Sa main chaude et puissante se pose rĂ©guliĂšrement sur l'Ă©paule, le bas du dos, les bras, et mĂȘme l'abdomen et la poitrine de FrĂ©dĂ©ric. Le contact des muscles fermes, de la sueur et des poils de ce quadra viril Ă©lectrise complĂštement Adrien. De prĂšs, il remarque mĂȘme les quelques poils blancs qui parsĂšment le torse de FrĂ©dĂ©ric, autre dĂ©tail viril qui ne lui dĂ©plait pas. Sa queue prendre du volume dans le boxer, mais il s'en fout, si l'autre le remarque, ma foi tant mieux. Ça Ă©vitera de grandes explications.

Au milieu d'un exercice, FrĂ©dĂ©ric perd l'Ă©quilibre et tombe littĂ©ralement dans les bras d'Adrien qui le rattrape d'une maniĂšre aussi ferme qu'attentionnĂ©e. Le pĂšre se rĂ©pand en excuses, "pas grave" rĂ©pond Adrien en lui mettant une petite claque amicale sur le derriĂšre. VoilĂ  qui est bien ferme et rebondi, se dit Adrien, on aurait envie d'y mettre plus qu'une petite claque, plutĂŽt de pĂ©trir ces jolies fesses musclĂ©es. Avec un peu de chance, elles sont mĂȘme poilues... Mais stupeur, au lieu de se dĂ©tacher pour reprendre l'exercice, FrĂ©dĂ©ric reste tout proche du corps dĂ©nudĂ© d'Adrien. Il y a presque une imploration dans le regard profond qu'il plonge dans les yeux clairs d'Adrien. La proximitĂ© des deux corps, les deux torses nus et poilus qui se touchent presque exhalent une chaleur, une moiteur et une odeur qui montent Ă  la tĂȘte d'Adrien. Ne plus rĂ©flĂ©chir, se lancer, pas d'explication, juste un geste, sa main retourne sur les fesses de FrĂ©dĂ©ric, les caresse Ă  travers le tissu du slip, plonge sous la ceinture et pĂ©trit Ă  prĂ©sent la chair nue. FrĂ©dĂ©ric ne doit pas en ĂȘtre Ă  son coup d'essai car, sans timiditĂ© aucune, il a empoignĂ© Adrien par la taille et lui a foutu directement une main au paquet. Adrien bande Ă  mort, les fesses de FrĂ©dĂ©ric sont aussi velues qu'il avait espĂ©rĂ© et la main de celui-ci sur sa bite lui procure des sensations dans tout le bas-ventre et les jambes jusqu'aux orteils.

Un frisson parcourt Ă©galement tout le torse de FrĂ©dĂ©ric, son poil se hĂ©risse, sa fourrure reprend du volume, un sourire illumine Ă  prĂ©sent son visage. Sans hĂ©siter, Adrien va y planter un profond baiser sur la bouche. Dans la bouche plus exactement. Le contact du torse poilu de FrĂ©dĂ©ric sur son propre torse nu lui fait perdre la raison. FrĂ©dĂ©ric est mince et musclĂ©, mais Adrien a une tĂȘte de plus que lui et il est plus baraquĂ©. D'un geste ferme et expert, il a saisi FrĂ©dĂ©ric pour l'allonger sur le tatami et parcourt maintenant tout son corps de ses baisers. Sa bouche, ses lĂšvres, sa langue parcourent le torse de FrĂ©dĂ©ric, ses joues frottent sur les poils de la poitrine, sa langue joue avec les tĂ©tons, ses narines hument la bonne odeur de mec tout le long de son abdomen en descendant jusqu'au paquet bien bandĂ© qui est Ă  prĂ©sent sur le point de faire craquer l'avant du slip. FrĂ©dĂ©ric, lui, ne cesse de caresser avidement le torse d'Adrien et de lui malaxer le zob Ă  travers le boxer. Adrien est sur le point de retirer le slip de FrĂ©dĂ©ric, mais celui-ci l'implore, "non pas encore s'il te plaĂźt".

Alors Adrien continue Ă  lui flatter le sexe avec le nez et la bouche Ă  travers le slip. Ça doit ĂȘtre un mĂ©lange de coton et de lycra, la texture est douce et agrĂ©able, et elle concentre merveilleusement l'odeur d'entrecuisse de ce petit mĂąle viril. La nature l'a gĂ©nĂ©reusement dotĂ© de poils, elle lui a aussi confĂ©rĂ© un parfum pĂ©nĂ©trant. L'odeur est entĂȘtante, celle qu'Adrien lui-mĂȘme dĂ©gage envahit elle aussi l'atmosphĂšre. FrĂ©dĂ©ric ne s'y trompe pas, il est souple ce petit salaud et en se contorsionnant, il rĂ©ussit Ă  placer son museau contre l'entrejambe d'Adrien. Il voudrait bien que FrĂ©dĂ©ric lui sorte la queue du sous-vĂȘtement et le suce, mais celui-ci lui travaille le zob Ă  travers le tissu, Ă  coups de lĂšvres et de langue, le nez collĂ© au sous-vĂȘtement Ă  la hauteur de sa touffe. Pas dĂ©sagrĂ©able, se dit Adrien, le mec doit bien profiter de ses odeurs car Adrien sait qu'il transpire fort de l'aine, du cul et du pubis, il s'en rend compte Ă  chaque fois qu'il retire son boxer en fin de journĂ©e et qu'il le hume. Comme deux chiens, les deux mecs se flairent, se reniflent, se malaxent mutuellement la queue avec les lĂšvres Ă  travers les sous-vĂȘtements, tandis que leurs mains ne cessent de caresser leurs corps musclĂ©s, vigoureux et poilus. L'avant du slip de FrĂ©dĂ©ric et trempĂ©, visiblement il mouille comme une salope, son excitation doit ĂȘtre Ă  son comble, tandis qu'une tache sombre commence Ă  s'agrandir sur l'avant du boxer d'Adrien. Lui il ne mouille pas beaucoup, surtout quand il dĂ©bande, en fait, mais lĂ  il est super excitĂ© par le corps de FrĂ©dĂ©ric, par ce qu'il lui fait avec la bouche et par la situation de baiser un mec sur le tatami en plein dojo.

Adrien passe Ă  la vitesse supĂ©rieure et imite FrĂ©dĂ©ric, attrape carrĂ©ment avec les lĂšvres et la langue la hampe bien dure de son sexe Ă  travers le slip. Ça doit ĂȘtre ça qu'il attendait car il pousse un gĂ©missement de bonheur et finit par dĂ©gager Ă  son tour la queue d'Adrien, si bandĂ©e qu'elle commençait Ă  pointer par la ceinture du boxer. Dans le dĂ©sordre de ce 69, Adrien sent les poils du torse de FrĂ©dĂ©ric qui se frottent sur son abdomen tandis que ses propres tĂ©tons, charnus, dodus, trĂšs sensibles, sont excitĂ©s par les caresses du ventre de FrĂ©dĂ©ric Ă  chaque fois que leurs corps remuent l'un contre l'autre. Tandis qu'Adrien pousse des grognements de plaisir sous les coups de langue que FrĂ©dĂ©ric prodigue Ă  son dard, celui-ci se tortille de plus en plus Ă  mesure qu'Adrien lui bouffe de plus en plus activement le pieu dĂ©goulinant de mouille Ă  travers le slip. Adrien accompagne les mouvements de sa bouche par des mouvements du bassin qui enfoncent Ă  chaque fois plus profond dans la bouche de FrĂ©dĂ©ric sa queue bandĂ©e Ă  mort.

Les deux mecs se bouffent mutuellement le sexe pendant encore quelques minutes, Adrien ne se retient pas de caresser les cuisses poilues et musclées le son nouvel élÚve. Il passe aussi comme il peut, sans perdre l'équilibre, une main dans les poils de son torse. Il a aimé contempler la fourrure dense et bouclée qui orne la poitrine et le ventre de Frédéric, mais comme il aime il y faire courir ses mains, ses doigts, l'empoigner, la caresser, palper un muscle, flatter un téton, il aime ce corps poilu de mec. Mais il n'y tient plus, il veut aussi caresser ses fesses poilues, les voir, et puis voir l'animal ! Le faire sortir de sa cage de tissu. Alors il se redresse, quitte son boxer, se met à genoux et retire doucement le slip de Frédéric qui se laisse maintenant faire.

AllongĂ© sur le tatami, nu, tous muscles et tous poils dehors, FrĂ©dĂ©ric exhibe maintenant son sexe dressĂ©, au garde-Ă -vous. Adrien est toujours trĂšs Ă©mu de voir un mec super viril dans une position de total abandon. Il s'assied face Ă  FrĂ©dĂ©ric, le prend dans ses bras, le pose tendrement sur ses jambes repliĂ©es, l'embrasse Ă  pleine bouche, caresse d'une main ses bras et son torse poilus, et commence de l'autre Ă  branler doucement sa queue. Il est Ă  lui, il s'abandonne, Adrien se dit que c'est le moment, il tend le bras, attrape son bas de kimono, fouille dans la poche, trouve la capote qu'il a toujours sur lui, dans toutes ses poches de vĂȘtement, et la montre Ă  FrĂ©dĂ©ric d'un air interrogateur. Hochement de tĂȘte, c'est bon, Adrien s'Ă©quipe. Tous ses amants et ses maitresses le lui ont dit, il est le roi de la sodomie, alors il a confiance en lui, il sait que ça va bien se passer. Le caoutchouc enserre son gros zob bien charnu, il est toujours un peu Ă  l'Ă©troit dans une capote, mais il connaĂźt cette marque, il sait que les sensations seront bonnes. Il s'enduit la queue d'une bonne dose de salive, titille de ses doigts mouillĂ©s la rondelle de FrĂ©dĂ©ric, lui rentre dĂ©licatement un doigt dans le cul. C'est chaud, moite et doux, Adrien salive d'avance en se disant qu'il va planter son dard dans ce beau petit cul.

Il reste assis par terre, les jambes bien allongĂ©es, il contracte les fesses pour bien projeter sa teub vers le haut et commence Ă  travailler le sphincter du beau FrĂ©dĂ©ric. Celui-ci l'aide comme il peut, en posant une main et un pied Ă  terre pour ne pas perdre l'Ă©quilibre. Il pousse et accompagne avec le cul les mouvements de bitte d'Adrien. Ça y est, ça rentre, le gland est passĂ©, FrĂ©dĂ©ric pousse un rĂąle, mais il sourit. "C'est bon", dit-il. Il est ferme et musclĂ©, mais c'est quand mĂȘme un petit modĂšle comparĂ© Ă  Adrien. Alors celui-ci n'a pas de mal Ă  le manipuler, Ă  le mettre un peu sur le cĂŽtĂ© pour pouvoir plus facilement l'enculer. FrĂ©dĂ©ric est toujours dans un total abandon, mais comme il se contorsionne pour faciliter la manƓuvre, la moitiĂ© des muscles de ses jambes et de son torse est en action, bandĂ©e, c'est tellement beau Ă  voir un torse musclĂ©, se dit Adrien, et tous ces poils bouclĂ©s, si fins, si sombres qui ornent ce beau corps viril, il y a de quoi se damner.

FrĂ©dĂ©ric est maintenant Ă  moitiĂ© Ă  terre, Adrien finit de lui fourrer son pieu dans le cul. Les deux mecs alternent rĂąles et gĂ©missements. Ils Ă©changent aussi de profonds regards et des sourires. "Je vais te mettre, tu vas voir, dit Adrien, tu vas adorer." Et il commence lentement, mais fermement Ă  pilonner le derriĂšre de FrĂ©dĂ©ric. Ses couilles se balancent Ă  chaque mouvement, il a du mal Ă  tout faire, bourrer le petit FrĂ©dĂ©ric, lui caresser le torse, les muscles et les poils, et puis branler sa queue aussi. Car FrĂ©dĂ©ric bande Ă  fond, il mouille et son morceau est dur comme tout. Quand il commence Ă  s'astiquer lui-mĂȘme, Adrien en profite pour le caresser de plus belle avec les deux mains. Il accĂ©lĂšre le rythme de son enculage, mais FrĂ©dĂ©ric le supplie : "Plus lentement s'il te plaĂźt, plus lentement." Adrien s'exĂ©cute, il prend son temps, il lime le cul de FrĂ©dĂ©ric centimĂštre par centimĂštre, il l'encule profond, consciencieusement, savoureusement.

Par dieu sait quelle acrobatie, Frédéric parvient à libérer sa deuxiÚme main et la fait maintenant courir partout sur le torse
Prendre sa grosse bite black
Une vieille retraite avec son vibro
InfirmiĂšre se touche la chatte

Report Page