Teens ont aussi besoin d'attention

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Teens ont aussi besoin d'attention

Cat.: HP20-13/2008F-PDF
ISBN: 978-1-100-91841-9


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Il suffit de prononcer le mot « adolescent » pour que la plupart des parents aient tout de suite l'image de la génération branchée, c'est-à-dire de la génération de jeunes utilisant Internet pour jouer à des jeux, clavarder, envoyer des messages par messagerie textuelle et naviguer d'un site Web à l'autre. Quand nous pensons aux jeunes, nous les imaginons enfermés dans une pièce et acceptant à peine d'en sortir pour le souper, ou encore nous imaginons des groupes de jeunes potentiellement violents vivant dans une certaine promiscuité sexuelle, connectés les uns aux autres, traînant quelque part et prenant de la drogue. Pourtant, lorsque nous examinons la véritable situation des adolescents d'aujourd'hui, nous nous rendons compte qu'aucun de ces stéréotypes ne correspond à la réalité.
Les apparences sont trompeuses. Les adolescents d'aujourd'hui se portent étonnamment bien. Quand on leur demande s'ils souhaitent que leurs parents et que les aidants dans leur entourage (comme leurs entraîneurs, leurs professeurs, leurs mentors, leurs grands-parents ou leurs parents d'accueil) jouent un rôle dans leur vie, ils répondent par l'affirmative. De nos jours, il importe peu que ce soit un ou deux parents ou encore des beaux-parents ou des grands-parents aimants qui aident un jeune dans son cheminement et qui prennent la relève au besoin. Les adolescents ont besoin de nous, les adultes, et ils cherchent à obtenir notre aide pour faire le pont vers l'âge adulte. Ils veulent qu'on les considère comme des adultes en devenir qui sont dans une période d'apprentissage pour ce qui est de prendre leurs responsabilités par rapport à eux-mêmes et aux autres.
Si nous ouvrons grand nos oreilles, nous entendrons les adolescents d'aujourd'hui nous communiquer ce qui suit.
Si nous faisons l'effort de bien écouter nos adolescents, ils nous diront qu'ils aiment sentir qu'ils font partie de la famille et qu'ils appartiennent à leur école et à leur communauté. Note de bas de page 1 Beaucoup de travaux de recherche ont fourni des preuves à cet effet. Ce que la recherche a aussi permis de démontrer c'est que les petits efforts que les parents et les aidants peuvent faire pour aider les adolescents peuvent rapporter gros. Les jeunes veulent désespérément qu'on leur offre un emploi à temps partiel, qu'on leur donne la chance de se rendre utile, qu'on leur donne l'occasion de faire valoir leur talent. Même les plus récalcitrants, ceux qui nous troublent à cause de leur comportement délinquant, apprécient les petits gestes d'encouragement de temps à autre. Les adolescents veulent voir dans les yeux de quelqu'un d'autre qu'ils comptent pour cette personne et se le faire dire à l'occasion.
Au fil du temps, les différentes générations d'adolescents ont toujours eu d'innombrables défis à relever. Certains des problèmes éprouvés par les jeunes d'aujourd'hui sont les mêmes que ceux qui ont affecté la génération précédente alors que d'autres sont propres à leur génération. De nos jours, pour la plupart des familles, il y a cinq principaux sujets de préoccupation.
La réalité - Le fait de penser à la sexualité à l'adolescence est normal et fait partie du processus de développement physique et psychologique relié à la puberté. Au début de l'adolescence, au moment où les jeunes voient leur corps se transformer, les garçons et les filles commencent à se sentir fortement attirés par d'autres personnes et à s'intéresser à leur corps sur le plan sexuel. Mais le simple fait que le corps d'un adolescent soit physiquement prêt à avoir des rapports sexuels et, dans le cas des filles, à subir une grossesse ne signifie pas que le jeune soit émotionnellement prêt à vivre de telles expériences ni à en assumer les conséquences. Assez tôt, ou de façon assez précoce, les jeunes peuvent être amenés à entretenir des relations tumultueuses (souvent avec des jeunes plus âgés) à cause de leur développement sur le plan sexuel et de leur intérêt pour la sexualité, ce qui peut les amener à avoir des comportements sexuels à risque (comme pratiquer la pénétration ou le sexe oral sans protection), à contracter des maladies transmissibles sexuellement et, dans le cas des filles, à subir une grossesse non planifiée.
Bonnes nouvelles - Les taux d'activité sexuelle chez les adolescents n'ont pas beaucoup changé depuis trois générations. Au fil des ans, les chercheurs en sont venus aux mêmes conclusions : 10 p. cent des adolescents deviennent actifs sexuellement à 14 ans environ. Par la suite, les taux augmentent d'environ 10 p. cent par année jusqu'au moment de la graduation de l'école secondaire. À ce moment-là, entre 50 p. cent et 60 p. cent des jeunes adultes ont déjà eu des rapports sexuels. Note de bas de page 2 La bonne nouvelle, c'est que bon nombre d'adolescents aujourd'hui qui font partie de groupes parmi les plus à risque - comme le groupe associé aux jeunes vivant en milieu urbain ou les groupes associés à certaines minorités - semblent avoir des relations sexuelles moins fréquemment que leurs parents lorsqu'ils avaient leur âge.
La réalité - Bon nombre d'adolescents font des choses qui peuvent être interprétées comme des actes de délinquance. Il existe toute une gamme de comportements délinquants caractérisés par divers degré de gravité. Un grand nombre de crimes parmi les plus sérieux sont commis par un petit nombre de jeunes. Footnote 3 Au sein de certaines familles et de certaines communautés, les enfants grandissent en étant exposés à la violence. Certains parmi ces jeunes seront attirés au sein de gangs; dans la plupart des cas, ce sera ceux qui n'ont pas beaucoup à espérer des voies traditionnelles qui mènent au succès (les études et les emplois intéressants).
Bonnes nouvelles - Dans presque toutes les provinces et territoires, les taux de criminalité associés aux adolescents sont à la baisse. Si nous avons l'impression que la criminalité augmente chez les jeunes, c'est à cause d'une poignée de jeunes qui ont mauvaise presse. Au fil du temps, des études ont démontré que plus de 95 p. cent des adolescents qui sont délinquants mettent fin à leurs comportements problématiques à l'âge adulte. De plus, des statistiques récentes indiquent que les infractions perpétrées contre les biens, comme les vols, par exemple, sont en déclin. Note de bas de page 4 Les chiffres à cet égard sont encore plus éloquents lorsqu'on tient compte du fait que la police arrête maintenant les jeunes pour les voies de fait et les vols perpétrés à l'école ou à la maison alors que de tels actes n'étaient pas considérés comme criminels pour la génération précédente. Les parents et les enseignants réglaient ces cas eux-mêmes.
La réalité - Il y a des nouvelles substances qui peuvent être dangereuses pour nos enfants s'ils en consomment. Certaines d'entre elles, notamment la méthamphétamine (ou « crystal meth »), sont des composés chimiques qui créent d'importantes dépendances. Les taux reliés à la dépendance sont plus élevés chez les jeunes qui vivent au sein de familles de la classe moyenne ou de familles aisées que chez ceux vivant dans des familles pauvres (plus les jeunes ont de l'argent et plus ils peuvent se permettre d'acheter de la drogue). Note de bas de page 5 L'alcool continue d'être la substance la plus couramment consommée par les jeunes gens, et se saoûler est toujours considéré par bon nombre d'entre eux comme un rite de passage qui marque leur accession à l'âge adulte. Le cannabis est la deuxième substance la plus couramment consommée par les jeunes et arrive au premier rang des drogues illicites. Note de bas de page 6
Bonnes nouvelles - La majorité des adolescents canadiens n'ont pas de problème de consommation d'alcool ni de drogues. Dans la plupart des cas, la consommation d'alcool ou de drogues illicites est expérimentale ou occasionnelle. De plus, les taux de consommation abusive d'alcool ou d'autres drogues sont à la baisse. Certains sondages ont d'ailleurs révélé que les taux de consommation abusive d'alcool ou d'autres drogues sont en déclin chez les jeunes. Note de bas de page 7 Cette nouvelle n'a toutefois rien de rassurant pour les familles qui ont un adolescent aux prises avec un problème de consommation. Par ailleurs, les programmes de traitement actuels attirent plus de jeunes que ceux qu'on proposait dans le passé, car ils se fondent sur des modèles qui visent la réduction des dommages plutôt que l'abstinence complète et ils incitent les jeunes à agir de façon responsable.
La réalité - L'adolescence est une période de grands bouleversements pendant laquelle les jeunes peuvent littéralement se perdre de vue comme individus et perdre le fil de leur vie alors qu'ils aspirent à un avenir meilleur. La douleur associée au fait de se sentir perdu, désespéré ou honteux peut en amener certains à s'enlever la vie. Un jeune, sans égard à sa race ou à son ethnie, sera beaucoup plus susceptible de se suicider s'il a perdu ses racines, s'il manque de liens avec les autres, s'il n'a pas suffisamment d'occasions de se sentir valorisé ou s'il a beaucoup souffert sur le plan émotionnel, ce qui se produit dans bien des cas lorsqu'ils ont été victimes d'actes violents sur le plan physique ou sexuel Note de bas de page 8 . Même si les jeunes garçons tentent moins souvent que les filles de se suicider, ils utilisent principalement des armes à feu et des voitures comme moyens pour mettre fin à leurs jours, des moyens qui ont beaucoup plus de chances de réussite que l'empoisonnement par surdose de médicaments sur ordonnance, qui est le moyen privilégié par les filles.
Bonnes nouvelles - Les taux de suicide chez les jeunes ont été à la hausse pour trois décennies, mais ils se sont stabilisés au cours des derniers dix ans. Note de bas de page 9 Dans le cas de la plupart des adolescents, le suicide pourrait être prévenu si on les aidait à trouver un sens à leur vie et à voir leur utilité comme personnes et si on faisait en sorte de leur procurer de l'aide lorsqu'ils subissent des traumatismes graves.
La réalité - Internet peut être dangereux. Un nombre croissant de jeunes rapportent qu'ils ont été sollicités sur le plan sexuel par l'entremise de ce médium. Note de bas de page 10 La pornographie y est très facilement accessible. De plus, les jeux de hasard et les autres types de jeux que l'on trouve en ligne créent des dépendances problématiques chez bon nombre de jeunes. On craint aussi le fait que passer trop de temps devant un écran fasse augmenter les taux d'inactivité et, du même coup, les taux de diabète de type II chez les jeunes gens. Par ailleurs, le fait de passer un temps excessif en ligne peut en amener certains à s'isoler. La cyberintimidation (ou le fait d'ennuyer ou de harceler quelqu'un par l'entremise d'affichages dans Internet) a contribué à causer le suicide de bon nombre d'adolescents. Note de bas de page 11
Bonnes nouvelles - On trouve une grande quantité d'information au sujet de la sécurité dans Internet. Certaines ressources sont d'ailleurs mentionnées dans la section du présent document intitulée Ressources pour les parents et les aidants . Dans bon nombre d'écoles, on apprend aux adolescents comment utiliser Internet de façon sécuritaire. Comme les trois quarts des cas de sollicitation par des prédateurs sexuels sont enregistrés alors que les enfants utilisent leur ordinateur à la maison, les parents peuvent aider en se rendant disponibles.
La plupart des problèmes peuvent être prévenus, et cela est particulièrement vrai lorsque les familles encouragent les écoles et leur communauté à faire de la prévention. L'avènement des centres de santé pour jeunes dans les écoles secondaires, les changements apportés au système de justice pénale - qui permet maintenant de trouver coupable ceux qui ont perpétré les pires offenses (et qui fait en sorte que les auteurs d'infractions de moindre importance ne subissent pas la mauvaise influence de pairs plus délinquants) - , les formations sur l'utilisation sécuritaire d'Internet et la mise en œuvre de programmes de prévention des dépendances sont toutes des mesures qui aident à assurer la sécurité des jeunes. Les parents peuvent faire connaître les programmes pertinents à leurs adolescents, mais aucun de ces programmes ne sera efficace sans leur soutien pour favoriser l'apprentissage.
Il y un mythe selon lequel les adolescents passeraient par une période de tumultes et de stress, et que les relations entre les adolescents et les parents devraient être grandement conflictuelles. En vérité, la plupart des jeunes n'ont pas la vie si dure que cela pendant la période de l'adolescence. La plupart d'entre eux valorisent leurs relations avec leurs parents et se tournent vers eux pour se faire guider. Dans le cas de ceux qui ne le font pas, le fait de se rebeller et de s'opposer aux règles peut en fait constituer une façon saine de gérer leur accession à l'indépendance.
Évidemment, tous les adolescents peuvent s'attendre à au moins quelques crises de nerfs. Mais la majeure partie de l'angoisse que ressentent les jeunes gens peut être attribuable aux changements dans leur corps, dans leur tête et dans leurs croyances.
Lorsque l'hypophyse, qui se situe à la base du cerveau, commence à sécréter des hormones de croissance, les changements corporels s'amorcent chez le jeune. Les stéroïdes sexuels (la testostérone produite par les testicules chez les garçons et l'œstrogène produit par les ovaires chez les filles) sont responsables des caractéristiques sexuelles secondaires, notamment de la croissance de la pilosité corporelle et d'autres changements physiques évidents.
Vu le grand nombre de changements corporels qui se produisent chez les adolescents, ce n'est pas étonnant qu'ils soient anxieux et quelque peu sensibles par rapport à leur apparence physique. S'ils ont une image négative d'eux- mêmes, cela pourra les amener à adopter des comportements néfastes et causer, entre autres, des troubles alimentaires comme l'anorexie, qui est caractérisée par un désir de demeurer terriblement mince et le fait de ne pas manger, ou encore la boulimie, qui est un trouble qui fait en sorte que le jeune mange mais se force à vomir sa nourriture tout de suite après l'avoir consommée. Les deux types de troubles constituent des problèmes graves et peuvent mener à l'hospitalisation et même à la mort. Si ce type de problèmes affecte plus souvent les filles, les garçons peuvent également en souffrir. Ces derniers peuvent aussi essayer de développer leur musculature et de modeler leurs corps à l'excès en prenant des stéroïdes. Ces comportements, qui visent à gérer les changements corporels, sont malsains et nécessitent une intervention.
Ce que les parents peuvent faire - C'est rassurant pour les jeunes de savoir que, peu importe le rythme auquel leur corps se développe, que ce soit rapidement ou lentement, il n'y a pas de norme fixe; le processus de maturation diffère d'une personne à l'autre. Les parents peuvent rassurer leurs jeunes en les incitant à s'accepter pour ce qu'ils sont et en soulignant les caractéristiques positives desquelles ils devraient être fiers. Le fait de leur offrir un soutien pratique, pour choisir des vêtements dans lesquels ils se sentiront bien, par exemple, ne fait pas de tort non plus. Toutefois, ce que les adolescents ne trouvent pas utile, c'est le fait d'être trop rassurés ou de trop dépendre de solutions matérielles pour résoudre leurs problèmes d'image physique. Le fait de dire aux jeunes que vous les acceptez comme ils sont est une chose, mais d'exagérer leur beauté ou leurs habiletés en est une autre et peut engendrer un faux sentiment d'estime de soi, que leurs pairs auront vite fait de mettre à l'épreuve.
La capacité d'analyser les problèmes et de penser à la pensée elle-même se développe rapidement chez les adolescents, en même temps que leur cortex préfrontal, qui se situe à la hauteur du front et qui est constitué d'une couche de neurones. Cela leur permet d'acquérir la capacité d'envisager les conséquences futures de leurs actes, de stopper leurs gestes irréfléchis et de voir l'effet de leur comportement sur les autres. La croissance dans cette zone de leur cerveau fait aussi en sorte qu'ils s'ouvrent aux notions abstraites comme le temps et la religion, par exemple. À partir de l'âge de 11 ans environ, les enfants connaissent une évolution dans leur capacité de penser autrement qu'en termes concrets. Mais cela peut leur prendre des années par la suite avant qu'ils soient pleinement et visiblement en mesure de penser comme un adulte. Plus un enfant utilise son cerveau et plus ce dernier deviendra un bon outil.
À l'adolescence, on peut également voir apparaître les premiers signes de maladie mentale. À ce moment-là, les jeunes peuvent commencer à avoir plus que des relations orageuses avec les autres. En fait, ils peuvent commencer à montrer des signes de troubles mentaux, comme la dépression ou l'anxiété, ou encore des signes de psychose précoce, qui a pour effet de troubler leur esprit.
Ce que les parents peuvent faire - Pour la plupart des adolescents, il est important qu'on leur confie des responsabilités qui sont à leur mesure et qu'on les laisse assumer des risques qui sont gérables pour eux. Ils ont besoin de vivre des expériences qui les amèneront à explorer les limites de leur processus de développement des habiletés. Trop leur faciliter les choses peut avoir pour effet de les priver d'occasions d'acquérir de nouvelles compétences. Le bon sens et le contrôle des émotions qu'on peut acquérir de même que l'instinct qu'on peut développer dans la rue ne sont pas des choses qu'on enseigne aux adolescents. On ne peut que guider les jeunes dans cet apprentissage. Les adolescents doivent vivre de nouvelles expériences pour que leur cerveau se développe sainement
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