Teen obse dilate sa moule coups de gode

Teen obse dilate sa moule coups de gode




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Teen obse dilate sa moule coups de gode




Full text of " Revue de thérapeutique médico-chirurgicale "


See other formats


Google


This is a digital copy of a book thaï was prcscrvod for générations on library shelves before it was carefully scanned by Google as part of a project

to make the world's bocks discoverablc online.

It has survived long enough for the copyright to expire and the book to enter the public domain. A public domain book is one that was never subject

to copyright or whose légal copyright term has expired. Whether a book is in the public domain may vary country to country. Public domain books

are our gateways to the past, representing a wealth of history, culture and knowledge that's often difficult to discover.

Marks, notations and other maiginalia présent in the original volume will appear in this file - a reminder of this book's long journcy from the

publisher to a library and finally to you.

Usage guidelines

Google is proud to partner with libraries to digitize public domain materials and make them widely accessible. Public domain books belong to the
public and we are merely their custodians. Nevertheless, this work is expensive, so in order to keep providing this resource, we hĂąve taken steps to
prcvcnt abuse by commercial parties, including placing lechnical restrictions on automated querying.
We also ask that you:

+ Make non-commercial use of the files We designed Google Book Search for use by individuals, and we request that you use thĂšse files for
Personal, non-commercial purposes.

+ Refrain fivm automated querying Do nol send automated queries of any sort to Google's System: If you are conducting research on machine
translation, optical character récognition or other areas where access to a laige amount of text is helpful, please contact us. We encourage the
use of public domain materials for thĂšse purposes and may be able to help.

+ Maintain attributionTht GoogX'S "watermark" you see on each file is essential for informingpcoplcabout this project and helping them find
additional materials through Google Book Search. Please do not remove it.

+ Keep it légal Whatever your use, remember that you are lesponsible for ensuring that what you are doing is légal. Do not assume that just
because we believe a book is in the public domain for users in the United States, that the work is also in the public domain for users in other
countiies. Whether a book is still in copyright varies from country to country, and we can'l offer guidance on whether any spécifie use of
any spécifie book is allowed. Please do not assume that a book's appearance in Google Book Search means it can be used in any manner
anywhere in the world. Copyright infringement liabili^ can be quite severe.

About Google Book Search

Google's mission is to organize the world's information and to make it universally accessible and useful. Google Book Search helps rcaders
discover the world's books while helping authors and publishers reach new audiences. You can search through the full icxi of ihis book on the web

at|http: //books. google .com/l


Google


A propos de ce livre

Ceci est une copie numĂ©rique d'un ouvrage conservĂ© depuis des gĂ©nĂ©rations dans les rayonnages d'une bibliothĂšque avant d'ĂȘtre numĂ©risĂ© avec

précaution par Google dans le cadre d'un projet visant à permettre aux internautes de découvrir l'ensemble du patrimoine littéraire mondial en

ligne.

Ce livre étant relativement ancien, il n'est plus protégé par la loi sur les droits d'auteur et appartient à présent au domaine public. L'expression

"appartenir au domaine public" signifie que le livre en question n'a jamais été soumis aux droits d'auteur ou que ses droits légaux sont arrivés à

expiration. Les conditions requises pour qu'un livre tombe dans le domaine public peuvent varier d'un pays Ă  l'autre. Les livres libres de droit sont

autant de liens avec le passé. Ils sont les témoins de la richesse de notre histoire, de notre patrimoine culturel et de la connaissance humaine et sont

trop souvent difficilement accessibles au public.

Les notes de bas de page et autres annotations en maige du texte présentes dans le volume original sont reprises dans ce fichier, comme un souvenir

du long chemin parcouru par l'ouvrage depuis la maison d'Ă©dition en passant par la bibliothĂšque pour finalement se retrouver entre vos mains.

Consignes d'utilisation

Google est fier de travailler en partenariat avec des bibliothÚques à la numérisation des ouvrages apparienani au domaine public et de les rendre
ainsi accessibles à tous. Ces livres sont en effet la propriété de tous et de toutes et nous sommes tout simplement les gardiens de ce patrimoine.
Il s'agit toutefois d'un projet coûteux. Par conséquent et en vue de poursuivre la diffusion de ces ressources inépuisables, nous avons pris les
dispositions nécessaires afin de prévenir les éventuels abus auxquels pourraient se livrer des sites marchands tiers, notamment en instaurant des
contraintes techniques relatives aux requĂȘtes automatisĂ©es.
Nous vous demandons Ă©galement de:

+ Ne pas utiliser les fichiers à des fins commerciales Nous avons conçu le programme Google Recherche de Livres à l'usage des particuliers.
Nous vous demandons donc d'utiliser uniquement ces fichiers Ă  des fins personnelles. Ils ne sauraient en effet ĂȘtre employĂ©s dans un
quelconque but commercial.

+ Ne pas procĂ©der Ă  des requĂȘtes automatisĂ©es N'envoyez aucune requĂȘte automatisĂ©e quelle qu'elle soit au systĂšme Google. Si vous effectuez
des recherches concernant les logiciels de traduction, la reconnaissance optique de caractÚres ou tout autre domaine nécessitant de disposer
d'importantes quantités de texte, n'hésitez pas à nous contacter Nous encourageons pour la réalisation de ce type de travaux l'utilisation des
ouvrages et documents appartenant au domaine public et serions heureux de vous ĂȘtre utile.

+ Ne pas supprimer l'attribution Le filigrane Google contenu dans chaque fichier est indispensable pour informer les internautes de notre projet
et leur permettre d'accéder à davantage de documents par l'intermédiaire du Programme Google Recherche de Livres. Ne le supprimez en
aucun cas.

+ Rester dans la légalité Quelle que soit l'utilisation que vous comptez faire des fichiers, n'oubliez pas qu'il est de votre responsabilité de
veiller Ă  respecter la loi. Si un ouvrage appartient au domaine public amĂ©ricain, n'en dĂ©duisez pas pour autant qu'il en va de mĂȘme dans
les autres pays. La durée légale des droits d'auteur d'un livre varie d'un pays à l'autre. Nous ne sommes donc pas en mesure de répertorier
les ouvrages dont l'utilisation est autorisée et ceux dont elle ne l'est pas. Ne croyez pas que le simple fait d'afficher un livre sur Google
Recherche de Livres signifie que celui-ci peut ĂȘtre utilisĂ© de quelque façon que ce soit dans le monde entier. La condamnation Ă  laquelle vous
vous exposeriez en cas de violation des droits d'auteur peut ĂȘtre sĂ©vĂšre.

A propos du service Google Recherche de Livres

En favorisant la recherche et l'accÚs à un nombre croissant de livres disponibles dans de nombreuses langues, dont le français, Google souhaite
contribuer à promouvoir la diversité culturelle grùce à Google Recherche de Livres. En effet, le Programme Google Recherche de Livres permet
aux internautes de découvrir le patrimoine littéraire mondial, tout en aidant les auteurs et les éditeurs à élargir leur public. Vous pouvez effectuer
des recherches en ligne dans le texte intégral de cet ouvrage à l'adressefhttp: //book s .google . coïrïl


>-. -\ ^


%‱ *


\


't


>:


■Mij


y


^Afc y^^^


/


, ^


il -


\


No.


Boston
MĂ©dical Library

Association,


19 BOYLSTON PLACE.


, t


4Mh'


- , '■Pil . c


;f>


«*\


|'"'^i*.


;*lJv


< - V*.


^„f:


'■'t:


‱ -(>i^


^1


CVÎ


t* ‱ -.j


" i


■^rj«


j' I


f^


t>/


^


JOURNAL DES COSHIISSAICIS MiDlCO-CBIlDISlCiLB.


REVUE

DE THÉRAPEUTIQUE

MMCO-CHIRURGICALE.

ACCOMPAGNÉE DE NOMBREUSES GRAVURES SURSOIS INTERCALÉES DANS LE TEXTE,


PUBLIÉE PAa


LE D' A. MARTIN-LÂUZER,

CHEYAUER DE LA LÉGION d'HOUNEUR,
AKGIEA chef de clinique de IA_F^£IJLTÉ DE HÉDECUfX A L'HÔTEL-DIEU DE PARIS

MÉDEC1« jftlÇvEilfx DE LTJXEUllT^lgÇpMAOJCE), ETC., ETC.


^ DEC 6 1889 ^

Ï874


PARIS


>


RUE DE GRENELLE-SAINT GERMAIN, N" 39.


1874


I

1


S


kLx.


7r<(


CATALOeUEO.

£‱ fi. B.


mmi DES CONNĂ lSSANGSS MfiDIGO CfllRORGlGALIS (11* iRNlIKi


y s


I

\


I. ouNiQUE. -^ MĂ©moires; -r observatiohs:


GHBOmoUB DE LÀ OOINZÀINB.


I. Eie prix d'Ovrclie*. — lies mĂ©de-
clns daus lea assemblées polliiqnes.
Bdle des nédeelas dans la scieiiee.

L'événement académique dn jour est le fiasco,
Ă  peu prĂšs complei, du prix de S0,000 fr.
fondé par le marquis d'Ourches.Les seules gens
qu'il rend heureux en ce moment, sont les hé-
ritiers auxquels ces 20,000 fr. font retour,
par suite de la clause du legs qui limitait Ă 
cinq ans le temps accordé pour le gagner.
L'app&t a paru bien tentant puisque 4 02 per^
sonnes ont concouru, et comme la condition
la plus rigoureuse était que le moyen décou-
vert fût à la portée du villageois le plus igno-
rant, clercs d'avoué, mécaniciens, épiciers,
et autres ejusdem farinas^ s'y sont rués,
s'imaginant que puisqu'il devait pouvoir ĂȘtre
mis en pratique par des gens dépourvus d'in-
struction, ils Ă©taient dans les meilleures condi-
tion pour faire la découverte, d'aprÚs le prin-
dpe similis simili gaudet.

Les trois signes principaux de la mort,
savoir la rigidité, dite cadavérique, le refroi-
dissement complet et finalement la putréfaction,
phénomÚnes, essentiellement accessibles aux
sens du public et connus depuis le commence-
men t du monde,n'ayant pas été considérés comme
suffisants puisqu'ils n'ont pas empoché des
inhumations précipitées^ il fallait chercher un


I signe nouveau, pathognomonique, c'est-Ă -dire
d'une précision mathématique, unt^nouveaa
signe inobservé pendant six mille ans. Et il
ne suffisait pas que ce signe exist&t, s'il ne
pouvait ĂȘtre reconnu que par une observation
savibte; il' fallait qu'il pĂ»t ĂȘtre mis k la portĂ©e
de.pltis ignorants. Posée dans ces^termes par
le marquis d'Ourches la question Ă©tait.tout Ă  fait
insoluble; aussi son legs est-il devenu caduc*

Le prix de 20,000 francs fait donc retour
Ă  la succession du marquis . Mais il restait heu-
reusement 5,000 fr., probablement l'intĂ©rĂȘt du
capital qui font l'objet d'un second concours sur
les moyens qui ne peuvent ĂȘtre^empioyĂ©s que
par les hommes de l'art pour rendre certain le
diagnostic de la mort.

A ce point de vue le legs du marquis d'Our-
ches, s'il a fait suer inutilement sang;et eau Ă 
tant de pauvres gens, n'aura pas été (out à
fait inutile à la science, puisqu'il a donné lieu
Ă  des ^travaux importants et i une discussion
pleine d'intĂ©rĂȘt dont nous donnons le rĂ©sumĂ©
au compte rendu. Toutefois la question, mĂȘme
au point de vue purement limité aux hommes
de l'art, n'a pas paru résolue, r4cadémit
n'ayant accordé que des encouragements et
des mentions honorables.


* *


Les avocats par la nature de leurs Ă©tudes et
par leur profession semblent mieux préparée
que les médecins à la vie politique *, cependant
ceux-ci y prennent une part tjĂšs-active et exer-


4


CURQRJE. — JW9M0IHES. — OBSERVATIONS.


«Mt«B6iDfliience beaucoup pins marquée que
les premiers sur Popinion des populations. Ils
sont en rapport plus journalier) plus intime avec
celles-ci. Ils parient et agissent, tandis que les
autres Ă©crivent. Aussi arrivent-ils facilement et
en grand nombre à la députatioo,

L'Assemblée nationale actuelle compte
Î9 mĂ©decins reprĂ©sentant viugt dĂ©pariemeiats
et une de nos colonies. Trois sont inscrits Ă 
la réunion des Réservoirs : MM. Bouisson
(Hérault), Labitte(Oise) et Bourgeois (Vendée).
— Seize sont inscrits Ă  la gauche rĂ©publi-
caine : MM . Allemand (Basses-Alpes), Ance-
Ion (Meurlhe), Bert (Yonne), Chevandier
(DrÎme), Daumas (Var), Litlré (Seine), Le-
bretoQ (FinisiĂšre)., Ifaore (Al^as-Mantimsti), de
Maby (lie de la RĂ©union)^ Morvan (FinistĂšre),
Rampont (Yonne), Roussel (LozĂšre), de Soye
.'Aisne), Teslelin ^Nord), Tabetlet (flaute-
* Savoie), Thomas (Marne). — 'Parmi ces seize,
six sont inscrits en m^me temps Ă  VfJnion
républicaine: MM. Atlemand/éert, Chevan-
‱dier, Daumas, de'Maby et'Tñberht. — Trois
en6n sont inscrits seulement Ă  fC/HĂź^n - r/ptt-
blicaine : WH , Guyol (RhĂŽne), 'Naquet (Vau-
cluse) elTurigny (NiĂšvre).

'Il ressort de cette liste que les mĂ©deeÎBS
appartiennent pour la plupart -aur opimons les
plus avancées . Lam^me- observali^ pevt 8*ap-
pliquer aussi aui médecins qui #ont partie du
Conseil général de U 'S^rnt et du Oonseil mum-
dpal de la ville de Paris.

Cette ten'ance lfbér<ïle^ "fesprit médical
explique la popularité 'des- médecins "dans les
villes, mais aussi en mtoe temps leur impopu-
larité dans les assemblées * politiques ot la ma-
jorilé est conservatrice. L^s médecins de
rAssemWĂ©e, voire mĂŽme ceux qui, comme
M. Bouisson, nppaTlienncnt ^ Topinien la
plus modérée, n'ont pu faire lïbeutir aucnne
proposition, tant soit peu favorable aux intĂ©rĂȘts
ou à rbonneur du corps médical. C'est ainsi
que les médecins ont été repousses des com-
missions adraioislratives des hĂŽpitaux.

Lo manque d'accord «'«Ire les adminislra-
t'.ons et les médecins a souvent des consé-
quences fĂącheuses peur l'intĂ©rĂȘt public. Si le
nouvel HÎtel- Dieu de Paris a été construi ' is
les dĂ©plorables conditions oĂč il est et qnt .ui
donnent les apparences (en attendant la réalité)
d'un septtl'hretum^ ce n'est pas que les avis
des médecins aient marqué, ce n'est pas sans


que les protestations les plus Ă©nergiques
aient été faites par les médecins des hÎpitaux
de Paris.

Ainsi, la politique ne rapporte généralement
aucun profit aux médecins. Il en est tout
autrement de leurs compĂšres les avocats, qui
savent admirablement manger les marrons que
les premiers leur tirent du feu . A eux les mi-
nistĂšres, Ă  eux les grandes places dans les
administrations. Tout au plus jette-t-on aux
médecins comme des os à ronger quelques
places purement honorifiques, des mairies,
par exemple.

Uu fait qui semblerait prouver le peu d'ap-
titude des médecins pour la politique, c'est que,
tandis que de grands administrateurs sortent
indistinctement de tons les rangs de la société,
on en cite peu qui sortent des leurs. On
pourrait mĂȘme ajouter que les mĂ©decins sa-
vent raiement diriger leurs propres affaires au
mieux de leurs intĂ©rĂȘts. Soit gĂ©nĂ©rositĂ©, insou-
ciance, négligence ou paresse, ils ne savent
généralememt pas se faire rétribuer conveoa-
blemoBlleurs services, et sans les chances Ă©ven-
IuaU^s des patrimoines, des héritages et des
mariage3, bien peu arriveraient Ă  la fortune.
llfaut,d'«llleuïs, avoir fait partie de la com-
mission générale de VAseeci^tion de la Seine
pour savoir combien de médecins meurent
dans la pauvreté, laissant Si leur fanitte un nom
honoré pour tout héritage.


*


Mais en dehors de la politique, que de ma-
gnifiques rÎles nous voyons échoir aux mé-
decins; que de grande hommes dans leurs
rangs. Nous en avons la preuve parlante dans
les noms de trente-sept rues de Paris qui
sont des noms de médecins. La société, qui
les récompense peu de leur vivant, tient
du moins Ă  les honorer aprĂšs leur mort, ce
qui prouve combien sont aveugles les méde-
cins qui nient Timmortalilé de fùme pour n a-
voir pas, disenUils, trouvé celle-ci dans leurs
autopsies. Car Ă  quoi leur servirait, s'ils Ă©taient
morts tout entiers, que leur mémoire fût sans
cesse rappelée à la reconnaissance de la pos-
térité.

Voici la liste par ordre alphabétique dts
trente-sept voies publiques de Paris qui portent
des noms lße médecins :


GHAMPOUILLON: -^' lUIiADIES INCOKPATIBLBS ATKG LE- ^ESAieti. MILITAIRE.


bois, Bicbat, de Bhri>Qtilie, BronssBis, Cabanii^
GhomeJ, Gorvivart; Ctfvien Dd8g«iieKÚ9i; IHi-'
mM, Dfipuytren > Esqahroi , Fùgoo» Ferra»,
Foarorvy, GaWflfoi/' Quy^dĂš'^ff^BrsMid, Gfay-'
Patiii, H;^lë/fi«rt^]^^ Jùonerv Urrey^MiiKëndte,
Manit,iPapiD,.PiA^, Qaetvay.Rttbelait; Riolie-
rantf, ViiHf ubIId, .Veipcxu^ VĂšmie/ Yiei9<^A%Sv.

H. c;


UMMlK^sn


La loi du 27 juillet \Ăšl%^, wxtiVot^nuMoa
de l^arnée fraeçaise, a créé- des* catégories
d'aptitoda à la caraiÚre inilit«ire«^qiH n'-ezi^
taieikt poiotdaas oiMfe.iiaeien'vSjreiĂšiDe de^re-^
crutement. Ëq effelv cette ]oi[ porteiq^eriee
Tices de coDforfflalioB, iofinaitée ou maladie»
iocompatibiee avec leserviee oĂčHtairat paov
TeQt eDtralBer; pau^ lest sujete noB< eneore?
iJic dan$ le
serait» OMaUimte,

Peuvent ĂȘire ajournĂ©s deux annĂ©es de suite
Ă  un- nouvel examen, les conscrit? qui oe
présentent pas, au
August Ames nous montre comment faire
Se perdre dans une Maze
Du cul dans la piscine

Report Page