Teen brune defoncee en levrette

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En 1976, Chantal Ladesou participait sans le savoir au tournage d’un film pornographique. Un extrait de ce chef-d’œuvre olé-olé a été diffusé hier à la télévision.
Au milieu des années 70, alors jeune comédienne en devenir, Chantal Ladesou acceptait un peu tout et n’importe quoi pour faire chauffer la marmite. Il y a deux ans de cela, alors que Laurent Argelier la réveillait pour la promo de sa pièce Nelson sur MFM radio, la comédienne s’était souvenue de ce film porno auquel elle avait participé malgré elle en 1976. Un gros moment de solitude auquel elle repense en souriant aujourd’hui. « A un moment donné, c’était une grande fête, ils ont dit : “Tout le monde à poil main­te­nant !” » Totalement paniquée face à cet ordre, Chantal Ladsou avait tenté d’esquiver l’effeuillage et ce qui devait se passer après. Impossible, elle avait signé un contrat… « Je pensais que c’était un gag, ajoutait-elle. Au final, j’ai été virée du travail, c’était l’hor­reur ! »
Ce fameux film, c’était Les maîtresses de vacances . Quelques images ont été diffusées hier après-midi dans le tout premier numéro des E nfants de la télé présenté par Laurent Ruquier sur France 2. Très à l’aise, Chantal Ladesou a redécouvert ces images en esquissant un sourire. Il faut dire que la musique, les dialogues et tout le reste sont au top. Découvrez cette séquence très drôle dans la vidéo ci-dessus.

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Par Ruben VANYPER | Écrit pour TF1 | Le 28/10/17 à 00:00 , mis à jour le 28 octobre 2017 à 00:34 | Voir le site de Danse avec les stars
Ce soir dans Danse avec les stars, Elodie Gossuin et Christian Millette ont livré une prestation qui restera gravée dans les anales... A la fin de sa chorégraphie, l'ancienne Miss France est apparue entièrement nue !
Extrait - Samedi 28/10/17 - 22:32
Extrait - Samedi 28/10/17 - 22:37
Extrait - Samedi 28/09/19 - 23:42
Extrait - Samedi 02/12/17 - 23:12
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Extrait - Samedi 25/11/17 - 22:01
Extrait - Samedi 25/11/17 - 21:56
Extrait - Samedi 25/11/17 - 21:53
Extrait - Samedi 18/11/17 - 22:36
Extrait - Samedi 18/11/17 - 22:34
Extrait - Samedi 18/11/17 - 21:28
Extrait - Samedi 11/11/17 - 22:22
Extrait - Samedi 11/11/17 - 21:25
Extrait - Samedi 11/11/17 - 21:15
Extrait - Jeudi 02/11/17 - 23:00
Extrait - Samedi 28/10/17 - 22:25
NEWS - Mercredi 08/04/20 - 14:39
NEWS - Vendredi 22/11/19 - 00:00
NEWS - Mercredi 06/11/19 - 00:00
NEWS - Mercredi 06/11/19 - 00:00
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Pour cette troisième semaine de compétition, Elodie Gossuin et Christian Millette ont mis les petits plats dans les grands . Sur le dancefloor, le couple a effectué un tango sur le titre Look What You Make Me Do de la chanteuse Taylor Swift. A l’occasion de la « Crazy Night » , Elodie devait relever un défi de taille : celui de finir la prestation entièrement NUE ... Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle a relevé le défi haut la main. A la fin de la prestation, la jeune femme s'est affichée nue, cachée par d'immenses plumes.
A la fin de la prestation, les quatre membre du jury ont tenu à féliciter l'ancienne Miss France pour cette prise de risque. "J'ai essayé de sortir tout ce que j'avais au fond de moi" , a déclaré la jolie blonde avant d'écouter les remarques des juges. Si Chris Marques a jugé la technique catastrophique ( il a attribué un 4 pour la technique ), Jean-Marc Généreux a tenu à temporiser les propos du juge intraitable. Pour lui, crazy doit forcément rimer avec sexy. "C'était un beau défi. La choré, j'ai adoré" , a-t-il avancé. Pour Fauve Hautot , la technique est à revoir. "Il faut que tu t'amuses. E ssaye d'aborder la danse de manière un peu plus facile", lui conseille-t-elle.
Rendez-vous jeudi 2 novembre pour Danse avec les stars, sur TF1 !













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Modifié le 09/05/2019
à 12h40


Cyril Féraud n’a pas froid aux yeux ! Alors qu’il effectuait une démonstration de premiers secours, l’animateur vedette de France 3 n’a pas hésité à regarder sous la jupe d’Adriana Karemb
Ce mardi 7 mai, les téléspectateurs de France 2 ont eu le droit à un cours de premiers secours en direct ! En effet, Michel Cymes et Adriana Karembeu étaient aux commandes d’un nouveau numéro du Test qui sauve . Pour l’occasion, un sacré panel de célébrités était réuni, puisque Faustine Bollaert , Sophie Davant , Tiga, Bruno Guillon, Damien Thévenot ou encore Cyril Féraud étaient de la partie. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce dernier n’est pas venu pour rien ! Alors qu’il servait de cobaye pour un pompier, l’animateur de 34 ans a eu le droit à une vue imprenable sous la mini-jupe d’Adriana Karembeu …
Afin d’enseigner aux téléspectateurs comment faire une compression en cas de saignement, Cyril Féraud n’a pas hésité à se porter volontaire. Accompagné par un secouriste, il a accepté de retirer son pullface aux caméras, non sans glisser une pointe d’humour au passage. « Je suis gaulé comme un Dieu » a-t-il en effet ironisé dans l’hilarité générale.
Mais c’est surtout lorsqu’il s’est allongé que l’animateur de Slam a suscité les rires. Alors qu’il était en pleine démonstration, il ne s’est pas gêné pour lever les yeux vers Adriana Karembeu, dont la mini-jupe laissait clairement entrevoir son entrejambe… « Ne restez pas là » , a-t-il alors conseillé, gêné, à la compagne d’André Ohanian . Une curiosité exacerbée qui lui a valu de se faire traiter de « vicieux » par la reine de beauté…

Confessions, séquences choc. . . le meilleur de la Télé.


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Buzz · Contenu promotionnel 13 nov. 2017







1.



On insérait de force des pointes en métal dans la bouche des femmes qui critiquaient constamment ou comméraient.




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Les peines pour les hommes étaient souvent bien plus légères.
La bride-bavarde était une muselière en fer pour le visage de la femme, utilisée pour punir les «bavardes» – les femmes qui critiquaient sans cesse, comméraient, répondaient ou qui parlaient simplement trop. La bride était verrouillée sur votre tête, et un embout en métal couvert de piques était placé de force dans votre bouche. À chaque fois que vous bougiez la langue, les piques la lacéraient.
La victime de cette torture était parfois enchaînée à un crochet chez elle, ou bien humiliée publiquement.
Variation des piloris, souvent en bois ou en métal, il était utilisé pour punir les femmes qui se disputaient et les commères. Une femme pouvait avoir à le porter seule ou attachée avec la femme avec laquelle elle s'était battue.
Cette punition humiliante pouvait être infligée aux hommes comme aux femmes, mais les femmes accusées d'être des commères ou des filles de joie étaient les premières à devoir s'installer sur un «cucking stool». Attachées sur cette chaise en bois sans siège — souvent une chaise percée —, elles étaient forcées à rester assises, exposées à l'humiliation publique.
Les «cucking stool» ont été modifiés quelques siècles plus tard pour être utilisés comme des sièges à plongeon. Le siège était attaché à de longues poutres en bois, qui reposaient sur un axe. La victime, assise, était ensuite suspendue au-dessus d'une rivière ou d'un étang puis immergée autant de fois que la punition le disait, « afin de refroidir sa chaleur excessive », comme le disait l'écrivain français François Maximilien Misson. Dans certains cas, les femmes étaient immergées un si grand nombre de fois qu'elles en mourraient.
Le «thewe» était un genre de pilori conçu spécifiquement pour les femmes. La femme était enchaînée à un poteau par le cou, mais contrairement aux hommes, ses mains n'étaient pas attachées.
En 1777, Ann Morrow a été accusée de s'être faite passer pour un homme et d'avoir épousé une autre femme. Elle fut mise au pilori, et la foule en colère lui a crevé les yeux en lui jetant des pierres.
Dit aussi «pilori tonneau», cet appareil était utilisé pour punir les hommes coupables de vol, d'ivresse et d'émeutes. Mais les femmes pouvaient également être mises dans un manteau d'ivrogne.
Un homme a raconté avoir vu un tonneau à Delft, aux Pays-bas : «Un lourd récipient en bois, semblable à une baratte, que la femme audacieuse qui a deux maris en même temps porte sur ses épaules, seule sa tête dépassant au sommet, et qui est ainsi promenée en ville, en punition de son intempérance.»
La mutilation ou l'ablation du nez d'une femme était une punition pour les femmes aux mœurs légères, qui a perduré durant le Moyen Âge. En défigurant la femme, on éliminait le pouvoir de sa beauté. La loi britannique de Cnut (1018) imposait qu'une femme accusée d'adultère ait le nez et les oreilles coupés en punition. En comparaison, un homme adultère devait payer une simple amende.
Les marches de la honte étaient une punition traditionnelle pour les prostituées ou les «harpies» – des femmes dominatrices. Ces dernières devaient marcher pieds nus dans les rues, parfois vêtues uniquement de leur jupon. Les chaussées étaient sales, hérissées de pierres irrégulières. La foule, railleuse, se mettait en rang pour regarder les victimes fixement.
C'était une punition populaire pour les prostituées au XVIe siècle. Lady Low , qui dirigeait une maison close à Aberdeen, en Écosse, fut marquée au fer rouge sur les deux joues par un bourreau, puis dû porter une couronne en papier avant d'être bannie de la ville pour sept ans et un jour.
Jusqu'au XVIIe siècle, au Royaume-Uni, l'une des punitions pour les femmes accusées de vol était la noyade . C'était également la cause de la mort dans « l'ordalie par l'eau froide », dans laquelle les chasseurs de sorcières testaient le fait qu'une femme était une sorcière ou non en regardant si elle flottait ou coulait.
La noyade en tant que punition civile simple était d'ailleurs considérée comme une punition clémente, comparée à certaines des méthodes d'exécution plus brutales, comme...
Les femmes accusées de sorcellerie et de communier avec le diable étaient brûlées. Mais c'était également une punition courante en cas de trahison ou d'hérésie. En Écosse, une femme pouvait avoir les membres couverts de goudron, ou devoir porter une robe et un bonnet enduits de cette susbtance. Elle était ensuite attachée par le cou sur un tonneau, le feu allumé, et elle était à la fois brûlée et pendue dans un brasier.
Ce post a été traduit de l'anglais .
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