Teen a un fétiche pour la sodomie

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Buzz · Contenu promotionnel 13 nov. 2017







1.



On insérait de force des pointes en métal dans la bouche des femmes qui critiquaient constamment ou comméraient.




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Les peines pour les hommes étaient souvent bien plus légères.
La bride-bavarde était une muselière en fer pour le visage de la femme, utilisée pour punir les «bavardes» – les femmes qui critiquaient sans cesse, comméraient, répondaient ou qui parlaient simplement trop. La bride était verrouillée sur votre tête, et un embout en métal couvert de piques était placé de force dans votre bouche. À chaque fois que vous bougiez la langue, les piques la lacéraient.
La victime de cette torture était parfois enchaînée à un crochet chez elle, ou bien humiliée publiquement.
Variation des piloris, souvent en bois ou en métal, il était utilisé pour punir les femmes qui se disputaient et les commères. Une femme pouvait avoir à le porter seule ou attachée avec la femme avec laquelle elle s'était battue.
Cette punition humiliante pouvait être infligée aux hommes comme aux femmes, mais les femmes accusées d'être des commères ou des filles de joie étaient les premières à devoir s'installer sur un «cucking stool». Attachées sur cette chaise en bois sans siège — souvent une chaise percée —, elles étaient forcées à rester assises, exposées à l'humiliation publique.
Les «cucking stool» ont été modifiés quelques siècles plus tard pour être utilisés comme des sièges à plongeon. Le siège était attaché à de longues poutres en bois, qui reposaient sur un axe. La victime, assise, était ensuite suspendue au-dessus d'une rivière ou d'un étang puis immergée autant de fois que la punition le disait, « afin de refroidir sa chaleur excessive », comme le disait l'écrivain français François Maximilien Misson. Dans certains cas, les femmes étaient immergées un si grand nombre de fois qu'elles en mourraient.
Le «thewe» était un genre de pilori conçu spécifiquement pour les femmes. La femme était enchaînée à un poteau par le cou, mais contrairement aux hommes, ses mains n'étaient pas attachées.
En 1777, Ann Morrow a été accusée de s'être faite passer pour un homme et d'avoir épousé une autre femme. Elle fut mise au pilori, et la foule en colère lui a crevé les yeux en lui jetant des pierres.
Dit aussi «pilori tonneau», cet appareil était utilisé pour punir les hommes coupables de vol, d'ivresse et d'émeutes. Mais les femmes pouvaient également être mises dans un manteau d'ivrogne.
Un homme a raconté avoir vu un tonneau à Delft, aux Pays-bas : «Un lourd récipient en bois, semblable à une baratte, que la femme audacieuse qui a deux maris en même temps porte sur ses épaules, seule sa tête dépassant au sommet, et qui est ainsi promenée en ville, en punition de son intempérance.»
La mutilation ou l'ablation du nez d'une femme était une punition pour les femmes aux mœurs légères, qui a perduré durant le Moyen Âge. En défigurant la femme, on éliminait le pouvoir de sa beauté. La loi britannique de Cnut (1018) imposait qu'une femme accusée d'adultère ait le nez et les oreilles coupés en punition. En comparaison, un homme adultère devait payer une simple amende.
Les marches de la honte étaient une punition traditionnelle pour les prostituées ou les «harpies» – des femmes dominatrices. Ces dernières devaient marcher pieds nus dans les rues, parfois vêtues uniquement de leur jupon. Les chaussées étaient sales, hérissées de pierres irrégulières. La foule, railleuse, se mettait en rang pour regarder les victimes fixement.
C'était une punition populaire pour les prostituées au XVIe siècle. Lady Low , qui dirigeait une maison close à Aberdeen, en Écosse, fut marquée au fer rouge sur les deux joues par un bourreau, puis dû porter une couronne en papier avant d'être bannie de la ville pour sept ans et un jour.
Jusqu'au XVIIe siècle, au Royaume-Uni, l'une des punitions pour les femmes accusées de vol était la noyade . C'était également la cause de la mort dans « l'ordalie par l'eau froide », dans laquelle les chasseurs de sorcières testaient le fait qu'une femme était une sorcière ou non en regardant si elle flottait ou coulait.
La noyade en tant que punition civile simple était d'ailleurs considérée comme une punition clémente, comparée à certaines des méthodes d'exécution plus brutales, comme...
Les femmes accusées de sorcellerie et de communier avec le diable étaient brûlées. Mais c'était également une punition courante en cas de trahison ou d'hérésie. En Écosse, une femme pouvait avoir les membres couverts de goudron, ou devoir porter une robe et un bonnet enduits de cette susbtance. Elle était ensuite attachée par le cou sur un tonneau, le feu allumé, et elle était à la fois brûlée et pendue dans un brasier.
Ce post a été traduit de l'anglais .
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samedi, 20 août, 2022
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À La Une Actualité Le Maroc, un marché fétiche pour Lafarge

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Le PDG du groupe mise sur le potentiel du Royaume.
Le PDG de Lafarge, Bruno Lafont, a fait le déplacement au Maroc en cours de semaine. Une visite durant laquelle il a fait du terrain évidemment. Mais il en a profité aussi pour envoyer un message clair au marché, aux partenaires ainsi qu’aux analystes : le Maroc fait partie des implantations stratégiques du groupe qui a d’ailleurs l’intention d’y maintenir fermement sa position de leader. C’est en substance ce que disait Bruno Lafont lors d’une rencontre avec les médias, lundi matin, à Casablanca. Un chiffre d’affaires de 5 milliards de DH, trois cimenteries pour une capacité de 6,7 millions de tonnes par an et bientôt une quatrième à Taroudant, deux usines de plâtre et de chaux, 27 centres de fabrication de béton, un effectif de 1 040 salariés…, Lafarge est en effet bien installée au Maroc et compte y rester le premier producteur de ciment. Et ce ne sont pas les derniers chiffres du secteur qui découragent son patron. Ce dernier, en effet, ne semblait pas vraiment inquiet face à la baisse de presque 13% des volumes de ventes récemment dévoilée par l’association des cimentiers. Pour Bruno Lafont, de telles baisses sont presque normales et peuvent s’expliquer par des facteurs de climatologie, d’évolution du marché en 2012…
La surcapacité, la guerre des prix, l’inflation des coûts de l’énergie : tout cela ne semble pas changer les projets du groupe au Maroc. La preuve, pas moins de 8 milliards de DH seront investis dans les années à venir dont 2,8 milliards dans la nouvelle usine de Taroudant. Et ce n’est pas tout. Le groupe semble faire du Maroc une vitrine de ses bonnes pratiques dans divers domaines comme l’environnement avec, à titre d’exemple, la fierté du groupe qu’est l’usine de Tétouan, entièrement approvisionnée en électricité verte (la première au monde) ou encore les 250 hectares d’anciennes carrières reboisées avec 200 000 arbres…


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Alépé : Un fétiche dans une salle de classe à Ingrakon Un fétiche composé de divers objets a été posé dans une salle de classe. Ce fait insolite a été constaté récemment à l’école primaire publique d’Ingrakon 3, localité située à 8 km d’Alépé. Ce jour là, les enseignants et leurs élèves reprenaient le chemin de l’école après les congés de Pâques. Un élève de la classe de Cm1 de cet établissement se rend comme à son habitude, au domicile de la tenante de cette classe pour y récupérer la clé. Il ouvre la porte  et retourne chez lui à la maison puisqu’il n’était pas encore l’heure. Vers 7h, un autre élève arrive et constate à son grand étonnement, un fétiche posé sur la chaise de la maitresse. Paniqué, il informe le directeur de l’école qui alerte à son tour le président du comité de gestion (Coges) et la chefferie. Pour débarrasser cet objet encombrant de la classe, un exorciseur est vite trouvé. Celui-ci laissera entendre que ce fétiche, loin d’être un banal objet, est très dangereux. Il fait alors des incantations dont lui seul a le secret, l’enlève et emporte même la chaise. Entre temps, les enseignants organisent ‘’ une réunion de crise’’ et menacent de débrayer si pareille situation se présente encore dans ce groupe scolaire de 3 écoles primaires et d’une maternelle. L’usage du fétiche est fréquent dans le département. Le 29 juillet 2016, un fétiche avait été déposé par des inconnus dans une tombe à Memni. Il a fallu l’enlever avant de procéder à l’enterrement. Outre les fétiches, la défécation dans les salles de classe est aussi légion.


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