Tatouée par sa dépravation

Tatouée par sa dépravation




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Tatouée par sa dépravation

Accueil
CULTURE La photo “nue” et le tatouage de Shan’l choquent les internautes


par Focus Groupe media
29 octobre 2021

Les caisses de dépôts appelées à investir dans l’économie verte pour assurer une croissance durable


Les victimes d’AVC désormais mieux traités au CHUL

API key expired. Please renew the API key.
@2018 - Focus Groupe Media. Tous droits réservés
Dans le cadre d’une collaboration certainement proche avec l’artiste ivoirien Chris Shado, l’artiste gabonaise Shan’l a publié une photo d’elle avec l’artiste suscité. Une photo provocante dans laquelle elle se met dans une posture sexuellement attirante qui a fait saliver beaucoup de ses fans, surtout les hommes.
Mais là n’est pas le problème. En effet dans cette photo, deux détails ont attiré l’attention de tous les internautes. D’abord, la diva n’avait, étonnement, pas de dessous. Comme nous pouvions très clairement le voir sur la photo. Mais aussi que sur la hanche certainement droite, par rapport à la position de la photo, de notre diva nationale, il apparaît ce qu’il convient d’appeler un tatouage. Deux faits qui n’ont pas manqué de soulever un large, long et interminable débat sur la pertinence de cette photo et le sens de ce tatouage. Une photo qui a crée des positions tranchées autour d’elle.
En ce qui concerne le débat sur la fameux dessous. Rappelons que ce n’est pas la première fois que la kinda fait face à ce type de débat. La vidéo de son featuring avec la méga star congolaise Fally Ipupa, certains internautes avaient vertement critiqué le “gros slip” de Shan’l, alors que, pensent-ils, qu’un simple “string” se serait mieux dissimulé dans la robe que portait la star internationale gabonaise. Dans ce débat, d’autres mélomanes avaient estimé que ce n’était qu’un détail qui n’a affecté ni le talent de notre Kinda Nationale, ni même la qualité de son morceau avec Fally Ipupa.
Le tatouage de Shan’l a fait le plus gros du débat. Beaucoup ne perçoivent pas très bien l’image, ni le sens de celui-ci. Ils se sont contentés de laisser parler leur imagination en suggérant que c’est soit “une panthère”, “un lion”. Les plus sinistres disent que c’est le “diable” qui a été dessiné sur la hanche de notre star. Mais alors que pour certains, ce tatouage est complémentairement hideux, pour d’autres, les œuvres d’art ne s’interprètent mieux qu’à la sensibilité de tout un chacun. Ces derniers ajoutent que se faire tatouer est une liberté de chacun. Et que l’objet ou le design d’un tatouage fait partie du choix individuel de chaque citoyen. Et qu’enfin la beauté est relative.
La photo de la Kinda, en dehors des détails, a provoqué une indignation certaine auprès des fans, des Gabonais et de certains internautes plus généralement. Certains estiment que depuis le début de sa carrière, malgré les succès qu’elle engrange, Shan’l a su rester un modèle pour beaucoup de de jeunes filles. Alliant parfaitement carrière artistique et respect du corps de la femme. Elle devrait continuer dans ce sens.
Se dénuder est un rôle artistique décrié par de nombreux parents au Gabon, car ils l’associent très souvent à la dépravation des mœurs. Un rôle qui est souvent associé à l’artiste Créol, qui le fait très bien, malgré les coups qu’elle prend.
@2018 - Focus Groupe Media. Tous droits réservés

Chargez pour lire plus de commentaires
By Paullevigerod (self media writer) | 1 year ago
Qu'est-ce qu'on aurait pas vu sur cette terre ? Après l'homme le plus tatoué du monde, et la femme la plus tatouée c'est au tour d'un bébé de six mois tatoué qui fait son apparition sur les réseaux sociaux.
Cette vidéo qui a choqué plus d'un internaute tourne en boucle sur les réseaux sociaux. C'est l'acte d'un père inconscient ou pas de faire subir à un nourrisson les douleurs du tatouage.
Le problème c'est les risques auxquels est exposé ce bébé avec une peau aussi fragile. Le cancer est l'une des maladies causées par les tatouages, alors imaginez un instant le cun nourrisson atteint de cette maladie à cause de l'irresponsabilité de son père.
Les enfants ne méritent pas d'être manipulés par leurs parents qui décident à leurs places ou leur font subir leurs fantasmes.
Ce bébé est innocent et l'acte de son père peut être considéré comme une agression contre son fils ou une violation des droits de l'enfant.
Malheureusement cette vidéo ne précise pas le lieu où elle a été tournée encore moins l'identité du père. Si cela avait été le cas certainement que la police aurait mis la main sur ce dernier pour maltraitance d'enfant.
Content created and supplied by: Paullevigerod (via Opera
News )

Opera News is a free to use platform and the views and opinions expressed herein are solely those of the author and do not represent, reflect or express the views of Opera News. Any/all written content and images displayed are provided by the blogger/author, appear herein as submitted by the blogger/author and are unedited by Opera News. Opera News does not consent to nor does it condone the posting of any content that violates the rights (including the copyrights) of any third party, nor content that may malign, inter alia, any religion, ethnic group, organization, gender, company, or individual. Opera News furthermore does not condone the use of our platform for the purposes encouraging/endorsing hate speech, violation of human rights and/or utterances of a defamatory nature. If the content contained herein violates any of your rights, including those of copyright, and/or violates any the above mentioned factors, you are requested to immediately notify us using via the following email address operanews-external(at)opera.com and/or report the article using the available reporting functionality built into our Platform
See More

© 2021 Opera News. All Rights Reserved.

Images Photos Illustrations Vectoriels Vidéos
Parcourez 18 502 vidéos disponibles de femme tatouée pour vos projets, ou utilisez les mots-clés homme tatoué ou lesbienne pour trouver d’autres séquences et rushes de vidéos.
© 2022 iStockphoto LP. Le logo iStock est une marque déposée de iStockphoto LP. Faites votre choix parmi des millions de photos, vidéos et illustrations de haute qualité.

Ces tatouages dont Dieu ne veut pas
Deux marins entrain de se tatouer mutuellement.
recoit un condensé de nos découvertes par mail
recoit un condensé de nos découvertes par mail
Autrefois réservé aux bagnards et aux marins, le tatouage a fait peau neuve et certains n’hésitent plus à s’en servir pour affirmer leur foi. Croix chrétienne, croissant islamique et étoile de David sont maintenant monnaie courante dans les salons de tatouage. Mais qu’en disent les textes sacrés des trois grandes religions monothéistes ?
Associer tatouage et religion semble être un très curieux mariage. Autant il est possible de se figurer le tatoué un brin religieux, autant le religieux nous parait plus difficilement tatoué_ quoique, allez savoir ce qui se cache sous la soutane ou le Qamis. Les représentants religieux ne cachent pas leur désamour pour le tatouage, pratique qu’ils associent, toujours avec la même célérité, à la délinquance ou à la consommation de stupéfiants. Que voulez-vous, c’est la destinée de l’aiguille d’être constamment condamnée pour l’héroïne, mais jamais saluée pour les vaccins.
Pourtant le tatouage n’est pas une problématique moderne. Il est aussi vieux _ si ce n’est plus_ que la religion elle-même. En effet, il a été retrouvé dans les Alpes italo-autrichiennes, un corps momifié datant du néolithique (c’est-à-dire, 3500 ans av. J.C.) tatoué de petits traits parallèles sur les jambes et les lombaires. D’autres corps momifiés, et tatoués, datant tous d’avant notre ère, ont été retrouvés en Grèce comme au Japon et témoignent de l’étendue et de la popularité de cette pratique.
Du tahitien t atau , qui signifie « marquer », le tatouage était utilisé pour des raisons à la fois sociales, mais aussi esthétiques. Il permettait d’identifier un membre d’une tribu mais aussi sa place hiérarchique dans celle-ci. Les exemples les plus célèbres de cette coutume sont le peuple maori ou les aborigènes d’Australie. D’autres tribus d’Asie du Sud-est, accordent au tatouage des propriétés presque magiques, susceptibles de protéger de la maladie ou du mauvais œil. Le procédé était très rustique : un os taillé en pointe puis trempé dans de l’encre. Mais le tatouage est resté des siècles durant une pratique exclusivement orientale. La faute au pape Hadrien qui le bannit en Occident, puis faute à l’invasion normande qui culturellement n’avait que faire des tatouages. La chose aurait pu tout à fait disparaître, si elle n’avait pas subsisté parmi les marins qui, pleins d’astuces, se tatouaient alors une croix sacrée sur le dos pour échapper au supplice du fouet.
Force d’admettre toutefois, que l’homme ne tatoua pas toujours son prochain pour de bonnes raisons. Était alors contraint au tatouage, les déserteurs et les prisonniers, qui, pour être reconnus au premier coup d’œil, devaient garder sur leur peau la marque de leurs méfaits. Le tatouage a remplacé le fer rouge sur la peau des esclaves et des prostitués, alors vendus en grand nombre dans tout le bassin méditerranéen.
Puis il fut réservé à une élite de motard, de punk, de membres de gang et autres marginaux en tout genre, pour enfin se démocratiser entre les années 90 et 2000. Maintenant les plus jeunes se tatouent, sans être passés par la case prison, et qui se rend dans le quartier des affaires à Londres aux sorties des bureaux, pourra observer nombre de respectables banquiers, ôter leur chemise pour révéler de larges tatouages sur la nuque et les bras. Ce n’est plus vulgaire, ce n’est plus subversif, pour tout dire, le tatouage est devenu commun. Pour tout le monde ? Non, bien sûr, demeurent encore quelques irréductibles groupes religieux, qui continuent à y voir une pratique diabolique, ou plus prosaïquement, une révolte contre l’ordre établi. Sur quoi s’appuient-ils pour crier leur dégout ? Rien de moins que sur les textes sacrés.
•LE CHRISTIANISME ancien a souvent endossé le rôle de censeur, voir parfois celui, plus vindicatif, d’inquisiteur. Preuve comme la chrétienté fut bien souvent une épine dans le pied de la science et de la médecine. Pour ce qui est du tatouage, la chose n’est pas même matière à débats : elle est même tout à fait proscrite. Il faut se reporter au Lévitique, le troisième des cinq livres qui constitue la Torah, pour y lire :
 Vous ne ferez point d’incisions dans votre chair pour un mort, et vous n’imprimerez point de figures sur vous. Je suis l’éternel.  Lévitique 19.28.
Cette interdiction arbitraire peut se justifier de plusieurs façons. Tout d’abord le tatouage vient se confronter à un concept quelque peu oublié du christianisme, celui de la marque de Dieu : « … vous avez obtenu de Dieu l’Esprit saint, lequel vous a marqué de son sceau pour lui appartenir » Éphésien 1.13. Pour vulgariser, l’homme ne se posséderait pas lui-même, mais appartiendrait à Dieu, et tel un appartement en location, votre corps doit être gardé propre jusqu’à l’ état des lieux _ la mort est une sorte de grand état des lieux . Mais l’interdiction du tatouage peut être encore comprise autrement. En effet, les aficionados du tatouage expriment souvent l’envie de faire de leur corps une œuvre, mais, selon le dogme chrétien, le corps est déjà une œuvre en soi. Dans l’évangile, Dieu fit l’homme à partir de boue et de glaise, et l’œuvre formée est achevée. Terminée. Apposer un tatouage, reviendrait à faire une œuvre, sur une œuvre, à peindre par-dessus un tableau de maitre. Le pasteur David Porter explique cette drôle d’idée par cette phrase :
Mettez-vous un autocollant sur un porche ?
Mais ce qui peut paraître paradoxal, voir hypocrite, est que le catholicisme est la religion la plus iconographique qui soit. Ces représentations multiples ont été financées et encouragées par l’église elle-même, qui incitait à peindre les descentes de croix, à dessiner la vierge Marie, autant pour l’amour de l’art que par prosélytisme. L’église finance aussi les produits dérivés, tels que les briquets Saint-Jean, ou les slips Marie-Madeleine, et devant une telle production, il est curieux de la voir s’entêter contre les tatouages. D’ailleurs pour qui veut se tatouer, la religion catholique peut se vanter d’avoir le plus large choix de sujets.
• Dur de reprocher à L’ISLAM de ne pas s’épanouir dans le tatouage, tant il a suivi au fil des siècles une tradition aniconis t e _ c’est-à-dire une absence de représentation matérielle. C’est un fait établi que l’art musulman ne trouva aucun mécène pour peindre et dessiner des épisodes de la vie du prophète. Ce dernier, tout comme Dieu, est formellement interdit d’être représenté, et l’islam surveille les iconoclastes. D’ailleurs cette absence de richesse limite le choix de tatouages. Les musulmans pratiquants n’ont d’autre choix que le croissant islamique, la main de Fatima représentant les cinq piliers de l’islam, ou tout simplement, une sourate entière ; choix plutôt limité en comparaison de l’art chrétien.
Pourtant, il n’y a, dans le Coran, aucun Hadite_ c’est-à-dire la parole directe et oral du prophète M ahomet _ interdisant directement le tatouage. Ce dernier est toutefois considéré comme Haram par les courants sunnite et chiite. Mais alors d’où vient cette interdiction ? Elle n’est pas à trouver dans le Coran, mais dans certains échanges rapportés. Selon Umar , compagnon de Mahomet que les sunnites considèrent comme le deuxième des califes « bien guidés» , le prophète aurait dit à un groupe :
 “ Ne tatouez personne et ne vous faites pas tatouer .”
De manière similaire au catholicisme, l’islam considère le corps humain comme un prêt fait par Dieu, dont l’homme à la charge de conserver. Islam Cheikh Ahmad Kuttu , spécialiste de l’islam à l’université de Toronto précise que :
 “… notre corps ainsi que toutes les facultés dont nous sommes dotés, sont un dépôt qu’Allah nous a confié, nous devons en prendre soin et nous en servir dans le bien, de la meilleure manière possible.”
Là encore est proscrite toute manière d’altérer l’œuvre de Dieu – dont le tatouage -, mais cette idée est encore plus poussée dans l’islam, car elle va jusqu’à interdire aussi tout ce qui peut d’une manière générale être néfaste au corps, comme le tabac ou l’alcool. Le tatouage est lui aussi considéré comme une « dépravation » et un risque pour la santé. Dans des sites comme IslamWEB , l’accent est mis sur le danger sanitaire du tatouage, sur les risques d’aiguilles mal stérilisées et les épidémies d’hépatites. D’autres, comme sur le site Convertistoislame voit en le tatouage une pratique mécréante, symptomatique de civilisation en déclin, ou plus simplement, la marque même du diable.
• LE JUDAÏSME est, tout comme l’islam, issu d’une tradition aniconis te . La religion juive proscrit toute forme de représentations, car elles conduiraient inéluctablement à l’idolâtrie. Les temples, tout comme les mosquées, n’ont pas le décorum et les vitraux que l’on retrouve dans des églises chrétiennes.
Comme est dit dans l’incipit de l’œuvre Illustration de la bible chez les juifs :
 “ L’extrême rareté ou pour mieux dire, l’absence quasi totale de représentations figurées des personnages, et des scènes bibliques, a fait douter pendant des siècles de l’existence d’un art juif dans la peinture et la sculpture appliqué à la religion.”
Cette censure a perduré religieusement, bien que culturellement, de talentueux peintres et artistes furent issus d’une éducation judaïque. La représentation religieuse n’est pas interdite et punie avec la même velléité que l’islam, mais n’est point encouragée. Or, parmi tous les différents médiums d’expression iconographique, le tatouage est justement le plus toléré dans la religion juive. La raison à cela n’est pas sans tristesse, car elle nous ramène à la Seconde Guerre mondiale et ses infâmes camps d’extermination. Nombreuses furent les victimes de la Shoa à avoir été tatouées de force d’un numéro de matricule. À la libération, les survivants étaient alors forcés de vivre avec cette marque proscrite par leur religion. En réponse à cela, les prescriptions rabbiniques se firent plus souples. Des sites comme, la T ribune J uive , assurent ses jeunes pratiquants de ne point condamner le tatouage, et font même état de l’existence de plusieurs rabbins à travers le monde, tatoués. L’histoire a forcé la religion juive à s’adoucir et même à s’approprier le tatouage. Plus récemment, une nouvelle mode a envahi la nation israélienne : celle de se faire tatouer sur le bras le tragique numéro de ses ancêtres. La chose a engendré une tempête médiatique, ou certains y voyaient une forme sincère de respect, quand d’autres condamnaient le mauvais gout de la chose. Quoi qu’il en soit, la jeunesse juive du monde entier peut sereinement se laisser tatouer une étoile de David ou une menorah sans crainte d’offenser leur religion.





J'accepte les conditions d'utilisation

Être exact, il faut citer aussi, dans la Bible, cette phrase où Dieu dit à la personne bien-aimée : «Mets-moi comme une marque sur ton coeur, comme une marque sur ton bras » (Cantique 8,6). Et dire que les Chrétiens se tatouaient et se tatouent toujours à Jérusalem.
N’est-ce pas mets moi comme une marque sur MON coeur ?
Dommage que cet article ait été écrit par quelqu’un qui n’a pas approfondi ce sujet chez les chrétiens. On peut premièrement rajouter que dans Apocalypse 19:16, “Sur son vêtement et sur sa cuisse, il a ce nom écrit: roi des rois et seigneurs des seigneurs.” en parlant de Jésus…
Ensuite pour les tatouages et incisions interdits dans Lévitique 19:28, “Vous ne ferez pas d’incisions dans votre chair pour un mort et vous ne vous ferez pas de tatouage”, premièrement nous avons l’information que l’incision dans la chair est pour un mort, donc un culte pour d’autres “divinités”… tout comme les tatouages païens de cette époque, qui étaient faits pour vénérer des faux dieux. Pour l’anecdote les femmes se tatouaient le ventre pour que leurs “dieux” païens assurent la santé à leurs enfants pendant la grossesse. Ce qui est interdit c’est des tatouages qui sont faits pour vénérer d’autres dieux ou qui peut éloigner de sa propre relation avec Dieu.
De plus, nous avons une preuve irréfutable de l’hypocrisie de ceux qui citent ce verset sorti de son contexte car Lévitique 19:27 “Vous ne couperez pas en rond les bords de votre chevelure. Tu ne raseras pas les bords de ta barbe”. Eh bien ! Le verset juste avant celui des tatouages ! Pourquoi les tatouages vous dérangent mais pas les bords des barbes rasés et les coupes de cheveux ?? La seule raison est que Dieu interdit la vénération des fausses divinités et cela passait à cette époque par les cheveux, la barbe, les incisions et les tatouages.
Il ne faut pas moderniser la Parole de Dieu, évidemment. Néanmoins il ne faut pas oublier qu’il faut comprendre les textes et les contextualiser selon l’époque. N’oubliez pas que le Père comme le Fils se servent beaucoup de paraboles pour transmettre la Parole. Et dans ce cas là, les tatouages mentionnés sont utiles pour des cultes païens et cela est interdit.
Á bon entendeur, en espérant avoir pu éclairer certains
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *





J'accepte les conditions d'utilisation


Elle adore se faire fourrer
Une milf blonde et grosse qui prend deux bites
Une maman qui aime se prendre la bite de son fils

Report Page