Tante latina et son neveau
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Publié le
01/09/2018 Ă 07:30
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Estelle a eu une histoire torride avec l'un de ses collĂšgues.
Il y a cinq ans, j'ai Ă©tĂ© recrutĂ©e comme chargĂ©e de clientĂšle dans une agence d'Ă©vĂ©nementiel qui organise des sĂ©minaires, soirĂ©es et confĂ©rences de presse pour les entreprises. J'ai tout de suite trouvĂ© Antoine, le directeur technique, trĂšs sexy avec ses grands yeux noirs, ses cheveux bruns et son sourire discret. Visiblement je n'Ă©tais pas la seule sous le charme. Les autres filles, avec qui j'ai sympathisĂ©, en faisaient leur sujet de conversation prĂ©fĂ©rĂ©. Antoine intriguait. Il ne portait pas d'alliance et ne s'Ă©panchait jamais sur sa vie perso.Â
Nous n'avions aucun rapport hiĂ©rarchique direct et n'Ă©tions que rarement sur les mĂȘmes projets alors quand je le retrouvais sur un dossier, je me rĂ©jouissais. Nous Ă©changions des mails, discutions en rĂ©union. Antoine Ă©tait cordial mais toujours trĂšs sĂ©rieux. Cette posture m'attirait. Je l'observais, lui dĂ©cochais un sourire dĂšs que je le pouvais. Je revivais mes annĂ©es lycĂ©e, les couloirs que l'on arpente en espĂ©rant tomber sur l'autre.Â
Un jeudi, nous sommes sortis dans un bar aprĂšs le boulot pour fĂȘter la signature d'un gros client. DĂ©jĂ trois mois que j'Ă©tais dans la boĂźte. Antoine et moi Ă©tions assis sur la mĂȘme banquette et parlions boulot. Nos jambes se frĂŽlaient sous la table. Je ne savais pas si c'Ă©tait volontaire ou non mais la sensation agrĂ©able de sa cuisse contre la mienne me dĂ©stabilisait.Â
Plus tard, nous avons envahi la piste de danse. Antoine me paraissait diffĂ©rent, plus ouvert, plus dĂ©tendu, soulagĂ© du boulot accompli. J'ai eu un dĂ©clic. C'Ă©tait l'occasion ou jamais de sauter le pas. J'ai me suis avancĂ©e vers lui, gĂȘnĂ©e mais excitĂ©e, dĂ©terminĂ©e Ă tenter quelque chose. Je lui ai dit qu'il Ă©tait trĂšs beau, en dansant et en plein brouhaha. Avec ce compliment, je prenais moins de risque qu'avec un baiser, mĂȘme si j'avais terriblement envie de l'embrasser. Antoine m'a souri puis m'a proposĂ© de me dĂ©poser chez moi. ArrivĂ©s Ă sa voiture, impossible de retrouver ses clĂ©s. Nous les avons cherchĂ©es pendant deux heures, dans la rue d'abord puis Ă l'agence, avant de nous rĂ©soudre Ă prendre le mĂ©tro.Â
En bas de chez moi, j'ai pris mon courage Ă deux mains pour l'inviter Ă monter. Il m'a emboĂźtĂ© le pas. C'est lui qui m'a embrassĂ©e avant que je n'ouvre ma porte d'entrĂ©e. Un baiser spontanĂ©, alors que je cherchais mes clĂ©s. Nos bouches ne se sont pas dĂ©collĂ©es, du palier au canapĂ©. Ce que dĂ©gageait Antoine au quotidien, d'intouchable et de profond, se ressentait dans sa sexualitĂ© . Il Ă©tait taiseux, un peu fermĂ©, entreprenant mais avec une once d'hĂ©sitation. Il ne me regardait pas dans les yeux, comme pour dissimuler son plaisir. Une certaine pudeur Ă©manait de lui, qui m'excitait plus encore.Â
Le lendemain, Antoine est arrivĂ© une heure aprĂšs moi au boulot. Il m'a fait la bise, comme aux autres, tout en me jetant un regard complice. Il m'a envoyĂ© un mail quelques jours plus tard pour me dire qu'il avait encore perdu ses clĂ©s de voiture. Je lui ai rĂ©pondu que je venais de tomber sur son trousseau. Cette anecdote est devenue notre code. Nous avions brisĂ© la rĂšgle du "no zob in job" et on s'en fichait pas mal. Seulement, nous ne voulions pas que les autres le sachent. Peur que ça nous desserve au travail, peur des ragots aussi.Â
Avoir une relation en cachette Ă©tait agrĂ©able. Nous nous lancions des regards explicites, des "vivement ce soir" par SMS en rĂ©union. Cela faisait monter instantanĂ©ment la tempĂ©rature. Nous afficher au grand jour nous aurait fait perdre du piment. Cela nous aurait obligĂ© Ă nous demander si nous Ă©tions un couple ou non. Ne pas se montrer ensemble Ă©tait donc un bon moyen de laisser les choses se faire sans pression.Â
Au bureau, les horaires Ă©taient plutĂŽt souples. Nous pouvions nous Ă©chapper de longues minutes sans attirer l'attention. Nos retrouvailles avaient lieu dans les toilettes les plus isolĂ©es de la boĂźte. Nous nous enfermions dans une cabine et ni une ni deux, Antoine plaquait mon corps contre le mur, une main sur ma bouche. Le sexe Ă©tait toujours Ă la vite, prĂ©cipitĂ©, bestial. Nous avions un besoin urgent de fusionner. L'excitation grandissait avec la crainte de nous faire surprendre. Le dĂ©sir Ă©tait si intense que nous oublions l'inconfort. Antoine avait abandonnĂ© sa pudeur des dĂ©buts. Il menait la danse, me faisait l'amour sauvagement et montre en main.Â
J'ai essuyĂ© plusieurs fois des remarques en arrivant en retard en rĂ©union. Ce n'Ă©tait ni mĂ©chant ni suspicieux, mais mon boss m'a prĂ©cisĂ© qu'ĂȘtre Ă l'heure n'Ă©tait pas option. Ăa me passait au-dessus. AprĂšs avoir fait l'amour avec Antoine, j'Ă©tais dans une bulle, coupĂ©e du monde.Â
Il nous arrivait aussi de nous retrouver le soir tard, quand l'agence Ă©tait dĂ©serte. Nous envoyions balader les dossiers et faisions l'amour Ă mĂȘme le bureau. Le lendemain, je regardais toujours mon ordinateur d'un autre oeil en repensant Ă nos Ă©bats de la veille. Quand le lieu que l'on associe Ă la rĂ©flexion et au sĂ©rieux se transforme en terrain d'expĂ©rimentations sexuelles, on a le sentiment d'ĂȘtre rebelle. Le plaisir est renforcĂ©, multipliĂ© par la transgression, c'est dĂ©concertant.Â
En plus d'un Ă©panouissement sexuel dingue, vivre cette relation au boulot m'a apportĂ© un regain d'Ă©nergie considĂ©rable. J'avais hĂąte de venir le matin et de travailler en binĂŽme avec Antoine. Professionnellement, je me sentais capable d'abattre des montagnes.Â
Plus le temps passait, plus notre histoire devenait sĂ©rieuse. Il ne s'agissait plus uniquement de sexe, loin de lĂ . Au bout d'un an, Antoine a quittĂ© l'entreprise. C'Ă©tait mieux pour nous. Cela fait cinq ans aujourd'hui que nous sommes ensemble. Bien sĂ»r, nous avons une vie sexuelle intime plus "classique" mais nous avons gardĂ© le goĂ»t de faire l'amour dans des lieux interdits . Au quotidien, Antoine s'amuse parfois Ă me faire la bise, pour le clin d'oeil. InstantanĂ©ment, ça me prend dans le ventre, j'ai envie de lui et nous courrons dans notre lit.Â
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En 1976, Chantal Ladesou participait sans le savoir au tournage dâun film pornographique. Un extrait de ce chef-dâĆuvre olĂ©-olĂ© a Ă©tĂ© diffusĂ© hier Ă la tĂ©lĂ©vision.
Au milieu des annĂ©es 70, alors jeune comĂ©dienne en devenir, Chantal Ladesou acceptait un peu tout et nâimporte quoi pour faire chauffer la marmite. Il y a deux ans de cela, alors que Laurent Argelier la rĂ©veillait pour la promo de sa piĂšce Nelson sur MFM radio, la comĂ©dienne sâĂ©tait souvenue de ce film porno auquel elle avait participĂ© malgrĂ© elle en 1976. Un gros moment de solitude auquel elle repense en souriant aujourdâhui. « A un moment donnĂ©, câĂ©tait une grande fĂȘte, ils ont dit : âTout le monde Ă poil mainÂteÂnant !â » Totalement paniquĂ©e face Ă cet ordre, Chantal Ladsou avait tentĂ© dâesquiver lâeffeuillage et ce qui devait se passer aprĂšs. Impossible, elle avait signĂ© un contrat⊠« Je pensais que câĂ©tait un gag, ajoutait-elle. Au final, jâai Ă©tĂ© virĂ©e du travail, câĂ©tait lâhorÂreur ! »
Ce fameux film, câĂ©tait Les maĂźtresses de vacances . Quelques images ont Ă©tĂ© diffusĂ©es hier aprĂšs-midi dans le tout premier numĂ©ro des E nfants de la tĂ©lĂ© prĂ©sentĂ© par Laurent Ruquier sur France 2. TrĂšs Ă lâaise, Chantal Ladesou a redĂ©couvert ces images en esquissant un sourire. Il faut dire que la musique, les dialogues et tout le reste sont au top. DĂ©couvrez cette sĂ©quence trĂšs drĂŽle dans la vidĂ©o ci-dessus.
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