Séduisant une européenne

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Séduisant une européenne
Un incendie est en cours depuis début juillet, dans les silos à grains du port de Beyrouth. Causé par la fermentation des stocks de grains sur le site et par de fortes températures, l’incendie est difficile à maîtriser. La moindre intervention risque de causer plus de dégâts que les flammes, les silos étant sur le point de s’effondrer. Une situation qui ravive le traumatisme de l’explosion meurtrière du 4 août 2020.
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Selon une enquête du cabinet d’étude EY, plus de 200.000 nouveaux emplois ont été créés en Europe grâce à des projets d’investissements étrangers. Qui sont les gagnants et les perdants de ce cru 2015 ?
2015, l’Europe est sous tension. Sortie de crise économique difficile, attentats, défiance envers les institutions européennes… Dans ce climat pourtant troublé, le vieux continent à tout de même connu une année record en matière d’implantation internationale et de création d’emplois liés à ses projets, selon le cabinet d’étude EY.
Avec 14% d’implantations supplémentaires en un an, l’Europe a accueilli 5.083 implantations internationales en 2015, créant ainsi plus de 217.000 nouveaux emplois en 2015. Soit 60.000 de plus qu’en 2011 !
Un score record pour l’Europe qui s’explique par des fusions-acquisitions en hausse de 68% et par des conditions économiques et financières qui s’améliorent au sein de l’UE. Avec une croissance de 1,5% dans la zone euro et une reprise de la consommation, le continent attire davantage les investisseurs étrangers.
En haut des podiums, se trouve - champion toutes catégories - le Royaume-Uni, qui franchit à lui seul le seuil symbolique de mille projets en 2015 (+20% en un an !). 
Du côté de l’emploi, la progression est encore plus époustouflante. Avec 35% d’augmentation sur un an et 42.336 nouveaux emplois, les Britanniques séduisent les investisseurs grâce à un taux de croissance économique relativement élevé (2,2%) par rapport aux pays de la zone euro.
Pour la France, la progression des emplois (8%) reste à relativiser par rapport à la dynamique européenne (+17%). D’après EY, l’un des motifs est la perception de notre compétitivité :”72% des décideurs internationaux jugent la fiscalité française peu ou pas du tout attractive et son niveau de charges sociales est regretté par 73% d’entre eux”.
Les investissements font la part belle aux services Sans surprise, les activités tertiaires et commerciales représentent 41% des projets d’investissement en Europe. Le secteur du numérique ajouté à celui des services aux entreprises pèsent près d’un quart du total des projets attirés en 2015 sur le sol européen.
La progression de ces deux secteurs ne devraient pas s’amoindrir dans les années à venir. Au contraire. Les géants Microsoft et IBM ont même choisi d’implanter de nouveaux centres de décision et de recherche en Europe, respectivement à Copenhague et à Munich.
L’attractivité industrielle de l’Europe n’est cependant pas remise en cause, puisque les investissements dans les sites de production restent stables avec 29% des projets.
D’autant plus que selon EY, “la tendance n’est plus (seulement) à l’implantation de grands sites visant de fortes économies d’échelle, dans des pays lointains à faibles coûts de production, mais à l’implantation de sites de taille plus modeste, plus réactifs et plus proches de leurs clients finaux.”
A l’Ouest, le tertiaire prime. Cette partie de l’Europe capte 90% des projets d'implantation dans le secteur numérique, par exemple alors que l’Est et le centre de l’Europe reste largement tirée par des secteurs historiques comme l’automobile.
L’Est de l’Europe intéresse d’ailleurs de plus en plus les investisseurs étrangers. C’est dans cette partie du continent que se situent les pays dont l’augmentation des implantations est la plus forte. En première place, la Hongrie qui double son nombre de projets par rapport à 2014.
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La «double peine» séduit aussi les pays européens





La «double peine» séduit aussi les pays européens








Publié jeudi 18 novembre 2010 à 17:24








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La libre circulation des personnes entre les Etats de l’UE n’interdit pas mais limite l’expulsion de criminels étrangers. Plusieurs pays ont durci leur législation
Le vote du 28 novembre sur l’initiative pour le renvoi des délinquants étrangers a ravivé le débat sur la «double peine». Le terme a fait florès en France pour désigner la double menace qui plane sur un étranger commettant un délit – qui risque, en plus d’une amende ou d’une peine de prison, de se voir retirer son droit de séjour.
Pour la même faute, les nationaux, eux, ne peuvent être expulsés, car aucun Etat n’a le droit d’empêcher l’un de ses ressortissants de vivre sur le territoire national. Cette différence de traitement serait discriminatoire, dénoncent nombre de ceux qui combattent à la fois l’initiative et le contre-projet. Ainsi, un délinquant étranger devrait être réprimé à l’égal d’un Suisse et n’a pas à subir en plus une sanction qui ne peut s’appliquer par définition à un ressortissant, avance l’argumentaire des Verts appelant à voter deux fois non.
La «double peine», en réalité, n’est pas une nouveauté. Elle existe en Suisse au moins depuis l’entrée en vigueur du Code pénal en 1942. Elle est largement répandue en Europe et n’a jamais été jugée contraire aux grands principes du droit. Le protocole no 7 de la Convention européenne des droits de l’homme interdit certes de condamner deux fois un accusé pour les mêmes faits, mais pas de lui infliger deux sanctions de nature différente, comme par exemple l’amende et le retrait de permis pour une infraction routière.
Si les règles européennes n’interdisent donc pas d’expulser des délinquants étrangers, elles restreignent cependant la latitude des Etats pour le faire. La libre circulation des personnes en vigueur au sein de l’UE ne permet aux Etats membres – et à la Suisse qui a repris l’acquis communautaire déterminant – de renvoyer les auteurs d’infractions vers un autre Etat européen qu’à des conditions restrictives. Le délinquant doit représenter une menace grave et actuelle pour l’ordre public, ce qui suppose que le risque de récidive soit soigneusement évalué. La Convention européenne des droits de l’homme, elle, réserve le regroupement familial et la protection de la vie privée, et impose dès lors aussi que la situation personnelle du délinquant et ses liens avec l’Etat de résidence soient soupesés avant toute décision.
Ces règles ont suscité une très abondante jurisprudence qui souligne, en creux, les multiples dispositifs mis en place par les pays européens en vue d’éloigner de leur territoire des étrangers jugés indésirables. C’est ainsi que la France vient d’être condamnée par les juges de Strasbourg, le 23 septembre, pour avoir expulsé un ressortissant marocain qui s’était vu infliger 5 ans d’emprisonnement pour infraction à la loi sur les stupéfiants et violences contre des personnes. Pour les juges européens, l’expulsion définitive de l’intéressé, âgé de 20 ans au moment des faits, qui avait grandi en France où continuaient à vivre ses parents, constitue une mesure disproportionnée. L’arrêté d’expulsion remontait à 2002. Par la suite, Nicolas Sarkozy s’est flatté, quand il était ministre de l’Intérieur, d’avoir supprimé la double peine. En réalité, ­celle-ci a été maintenue dans son principe, mais limitée dans certains cas.
De son côté, la Cour de justice de l’Union européenne a sanctionné successivement, en 2006 et 2007, les législations adoptées par les Pays-Bas et l’Allemagne, qui visaient toutes deux à durcir l’expulsion des ­délinquants étrangers. La loi néerlandaise imposait un renvoi automatique de certaines catégories de condamnés, la réglementation allemande permettait l’expulsion de ressortissants européens ayant commis des délits mais ne représentant pas une menace grave pour l’ordre public, pourvu qu’ils n’aient été au bénéfice d’une autorisation de séjour que de courte durée. Dans une autre affaire, les juges européens ont estimé que l’Espagne avait violé la libre circulation des personnes en décrétant une interdiction d’entrée sur le territoire à l’encontre d’un étranger fiché dans la banque de données prévue par les accords de Schengen, sans rechercher si cette personne représentait effectivement une menace pour la sécurité publique.
Ces décisions montrent qu’il ne faut pas compter que l’UE accepte de la part de la Suisse des entorses à la libre circulation qu’elle ne tolère pas chez ses propres Etats membres, note les auteurs de l’étude juridique mandatée par le Parti libéral-radical pour démontrer l’incompatibilité de l’initiative avec le droit international*. La jurisprudence des instances européennes fait aussi clairement apparaître, précise cet avis de droit, qu’une expulsion, pour être compatible avec la libre circulation des personnes, doit être examinée au cas par cas. Elle ne peut être décrétée de manière automatique – ce que le contre-projet cherche précisément à éviter.
* «Ausschaffungsinitiative und Frei­zügig­­keitsabkommen» , Tobias Jaag et Valerio Priuli.
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UNION EUROPÉENNE - Dix ans après le "non" retentissant au Traité constitutionnel européen (TCE), l'euroscepticisme se porte comme un charme. Si le fameux "Plan B" que promettait alors un Laurent Fabius aujourd'hui rentré dans le rang n'a toujours pas fait surface, les Français sont loin de regretter leur refus net et précis adressé à leurs responsables politiques en ce 29 mai 2005.
En témoigne ce sondage Ifop réalisé pour Le Figaro qui, une décennie après, a redemandé aux Français s'ils voteraient pour ou contre ce texte fondateur. Leur réponse est éloquente. 47% des personnes interrogées répondent "non", seulement 29% "oui" et près d'un quart (24%) ne se prononcent pas du tout. Preuve que le principe même d'une Constitution européenne déroute encore l'opinion française.
Si l'on interroge seulement les Français dont l'opinion est arrêtée sur la question, le rejet est encore plus manifeste. Le pourcentage de "non" atteint 62%, le camp du "oui" plafonne à 38%. A titre de comparaison, 55% des votants avaient rejeté le texte en 2005 en France et 45% l'avaient approuvé, malgré un soutien marqué de la classe politique (UMP et Parti socialiste en tête) et des élites intellectuelles de l'époque.
Une dégradation de l'intégration européenne
Si l'on peut difficilement comparer un sondage à un référendum, il est un fait que l'intégration européenne n'a eu de cesse de se dégrader depuis ces dix dernières années. Si les raisons de ce désamour sont évidemment multiples (à commencer par la crise financière dans laquelle l'UE a joué un rôle perçu essentiellement comme négatif), le traité de Lisbonne, porté par Nicolas Sarkozy avec le soutien de l'opposition pour mettre un terme à la crise ouverte par le "non" français est encore pointé du doigt par les deux camps.
"Nous avons eu en 2005 un résultat perdant-perdant: les partisans du Non demandant plus d'Europe des citoyens n'ont pas été écoutés, les partisans du Oui demandant des institutions plus fédérales ont vu l'intergouvernementalisme triompher", résume Fabien Cazenave, porte-parole de l'Union des fédéralistes européens.
Perçu par beaucoup comme un contournement de la volonté populaire qui s'était exprimée en 2005, le traité de Lisbonne plus que la constitution en elle-même, nourrit le ressentiment des "nonistes", qu'ils viennent de la gauche, de la droite et de l'extrême droite. "Il y a dix ans, le peuple français a donné son avis. Deux dirigeants, Nicolas Sarkozy et François Hollande, se sont accordés pour que le non des Français se transforme en un oui. [...] Donc depuis dix ans, l'Europe est illégitime en France", tranche Jean-Luc Mélenchon , qui avait été l'un des principaux défenseurs du "non" au PS en 2005.
A l'autre bout de l'échiquier politique, la critique est sensiblement la même. "Cette trahison du peuple français et de nos principes démocratiques les plus élémentaires était la plus grave depuis la Seconde guerre mondiale", tonne la présidente du FN, Marine Le Pen, dont le parti s'était lui aussi farouchement opposé au TCE.
L'idée européenne résiste vaille que vaille
Si l'échec de la Constitution et le traité de Lisbonne qui s'ensuivit marquent incontestablement une fracture dans l'histoire de la construction européenne, ceux-ci n'en ont pas totalement annihilé l'idéal européen dont une majorité de Français continue de se réclamer.
Certes, le TCE ne passerait probablement pas plus aujourd'hui qu'hier. Pour autant, 62% des personnes interrogées (contre 36%) continuent de penser que l'appartenance à l'Union européenne est une "bonne chose". 71% ne souhaitent pas abandonner l'euro pour revenir au franc. Et si 60% d'entre eux se disent prêts à revenir sur les accords de libre-circulation de l'espace Schengen, certains marqueurs du fédéralisme européen rencontrent encore un véritable écho dans la société française.
71% des Français sont favorables à la création d'une armée européenne, gage d'une sécurité collective. Et 60% d'entre eux seraient prêts à élire un président de l'Union européenne au suffrage universel. Et si on leur posait la question par référendum?
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