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Envoyer de l'amour : Le Mot d'Amour



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Comment avoir le meilleur profil de site de rencontre ?
Qu’avez-vous en plus sur votre fiche profil pour sortir du lot ? Ne pas passer inaperçu parmi les milliers d’autres profils ? Aujourd’hui on va vous aider à faire la différence en ayant une description qui vous ressemble et qui donne envie de vous écrire et vous connaître.
De nos jours, séduire une femme se fait de plus en plus souvent via un site de rencontres . La drague virtuelle, si on peut l’appeler ainsi, faire des rencontres via internet , c’est dans l’air du temps. Mais après avoir validé votre inscription en créant votre profil, avec texte de description et photos et parcouru les profils féminins, un problème se pose. En effet, peu importe le site sur lequel vous êtes inscrit, le problème que vous avez souvent, c’est ce satané premier message pour nouer un contact. Vous avez du mal à savoir comment démarrer une conversation avec une femme en ligne, quelle phrase d’accroche utiliser. Que mettre dans votre premier message à une femme ? Comment le tourner pour attirer son attention ? Vous trouverez dans cet article 10 modèles de premiers messages à envoyer à une femme sur un site de rencontres. N’hésitez pas à vous inspirer de ces messages, mais s’il-vous-plait, personnalisez-les et n’oubliez pas qu’il faut toujours les adapter au profil, et donc à la femme, avec qui vous avez envie de discuter. Voici 10 modèles de premiers messages à envoyer à une femme sur un site de rencontres
Avant d’envoyer votre premier message, ayez en tête les quelques règles élémentaires suivantes. Elles augmenteront vos chances d’obtenir une réponse et de créer un lien avec une femme.
L’humour fonctionne bien, tant qu’il n’est pas lourd, vulgaire ou déplacé. Privilégiez une phrase d’accroche drôle et personnalisée , vous mettrez plus de chances de votre côté.
Si vous surprenez une femme ou que vous la faites rire, elle aura tendance à se prendre au jeu et vous répondra spontanément. Cela permet de créer un petit jeu qui la sortira de son quotidien. En effet, sur les sites de rencontres, les discussions finissent pas se ressembler.
Observez ses photos, lisez sa description et sortez-lui une blague suffisamment drôle pour amorcer la conversation !
« Bonsoir. A la lecture de ton profil, je m’aperçois que tu joues d’un instrument de musique. J’espère que tu ne vas pas me jouer du pipeau ! Rassure-moi ! »
L’avantage de poser une question est que votre interlocutrice se sent « redevable » de répondre à votre question, si celle-ci est posée de manière intelligente et respectueuse.
« Coucou, une question me trotte dans la tête, quel surnom me donnerais-tu en fonction de mes photos ?
« Hello, si tu pouvais te réveiller demain en ayant gagné un super-pouvoir, lequel serait-il ? (moi, accro, aux super-héros ? Pas du tout  !)
 Encore et toujours dans l’humour, vous pouvez démarrer la conversation via une présentation. Inutile de chercher à faire trop long, il faut surtout essayer de faire mouche.
 « J’ai toujours voulu être écrivain, d’ailleurs, j’ai écrit un roman très drôle qui a beaucoup plu. Enfin à ma grand-mère surtout. C’est ma plus fidèle lectrice (bon d’accord, la seule en fait ;)). Tu ne voudrais pas être la deuxième par hasard ?! »
« Bonsoir. Je dois t’avouer que regarder les émissions de cuisine à la TV est ma grande passion, mais passer à la pratique, c’est plus compliqué… Je n’arrive toujours pas à maitriser la cuisson du tartare. Tu aurais une astuce ? »
Vous pouvez tenter le tout pour le tout en jouant directement la carte du mystère dès le premier message. Avec ce fond d’humour encore et toujours.
 « Je sais bien qu’on te l’a trop dit, mais j’te l’dis quand même… »
Pourquoi ça peut marcher ? Parce que la curiosité de la femme va être éveillée. Elle va vouloir entendre la fin de votre « bêtise ». Elle va vous répondre : « Me dire quoi ? »
« De ne pas parler à des inconnus. C’est la base, tes parents ne t’ont pas inculqués ça ? Il faut vraiment que je les rencontre vite pour refaire ton éducation. On procède comment ? »
« C’était un test. Je refuse de sortir avec des filles de moins de 198 de Q.I. Minimum. Prête pour le test suivant ? »
Si vous manquez un peu d’inspiration en matière d’humour, inspirez-vous de ses photos de profil. Mais attention, sans sortir une banalité sur son physique ou un compliment plat. Essayez plutôt d’y trouver un élément atypique, original, qui fait a priori partie de sa personnalité. Et réagissez sur celui-ci.
« Bonjour ! Ton tatouage, tu as été le faire au Japon ? Ou c’est juste parce que tu es passionnée de mangas ? »
Lisez vraiment la description de profil de la femme qui vous intéresse. Vous obtiendrez ainsi des informations sur lesquelles rebondir pour l’envoi de votre premier message. Essayez toujours d’utiliser l’information choisie de manière subtile, drôle ou décalée.
« Bonsoir. J’ai vu que tu es accro au chocolat. Tu seras d’accord sur le fait que rien ne vaut le chocolat au lait avec des noisettes, non ? Ou tu es plutôt d’une autre « école » ?! »
Cette technique a également l’avantage de lui faire savoir que vous avez pris le temps de lire sa description, même si c’est de façon détournée !
Cela consiste à envoyer un message court, posant une question sous la forme d’une alternative, dont le but est à la fois de la faire rire et de susciter un retour spontané. Et faites-le en rapport avec ce que vous avez appris de ses goûts à la lecture de son profil. Par exemple :
« Tu es plutôt soirée pyjama-netflix ou apéro-dancefloor ? »
« Tu préfères avoir un pingouin qui te suit toute ta vie, partout où tu vas ou devoir peut-être passer le restant de tes jours à mes côtés ? »
Cet article a suscité des réactions puisque 5 lecteurs ont laissé un commentaire. Vous aussi, participez à la conversation, partagez votre point de vue, votre accord, votre désaccord dans les commentaires . Ce site est fait pour ça ;)
J’ai essayé et en tout cas ça marche parfaitement pour une fille qui cherche une fille !! Merci de ces conseils dragues qui marchent aussi pour les bi
Merci beaucoup pour ces conseils certains ont vraiment été concluant! Je vais réitérer le projet dans quelques jours! Essayez un de ces messages, résultats garanties! N’ayez pas peur du ridicule, ayant 44 ans et encore puceau ceci m’a permis de découvrir une autre facette de l’amour.
Merci Jean pour votre retour positif ♥
Tu préfères avoir un pingouin qui te suit toute ta vie, partout où tu vas ou devoir peut-être passer le restant de tes jours à mes côtés ? »
Ok, je vais rester toute ma vie au côté d’un pingouin
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Full text of " Le Monde Diplomatique, 1979, France, French "


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TRENTE-SIXIÈME ANNÉE — N° 10 606

Lss grèves

dans les services publics


P.T.T. : iras fortes perturba-
tions do courrier dans la
région parisienne.
du < gendarme >
chinois


Le voyage de M. Carter au Proche-Orient


Le président des États-Unis va tenter
au Caire et à Jérusalem de débloquer la négociation


La tension politique


• M. Barre estime que 1979 sera marqué
par la stabilisation du chômage


L’atmosphère qui prévaut
aujourd'hui dans les capitales
vietnamienne et chinoise offre un
contraste saisissant. Alors que
Pékin annonce le début du retrait
de ses forces, qui ont Infligé une
• leçon » à l’adversaire, Hanoi
lance un appel à 1a «guerre de
résistance », mobilise les rares
civils qui avaient échappé à la
conscription et appelle à nouveau
ses habitants à creuser des abris.
On se croirait presque revenu à
l’époque des bombardements amé-

nsqu’à présent Hanoi ne semble
pas croire au «prétendu retrait»
chinois- Qui plus est. les dirigeants
vietnamiens ont voulu prendre de
vitesse la déclaration chinoise en
annonçant quelques heures à
l’avance leurs nouvelles mesures,
qui auraient sans doute été diffi-
cilement comprises si elles avaient
été connues plus tard.

Il s’agit sans doute d’une des
péripéties de la guerre psycholo-
gique que se livrent les deux prin-
cipales paissances communistes
asiatiques. A moins que certains
stratèges vietnamiens, poux effa-
cer l’affront causé par l'entrée
de troupes étrangères sur leur
territoire et pour forcer Moscou
à s'engager plus avant, n’alent
l’intention d’attaquer les troupes
chinoises au moment le plus déli-
cat de leur campagne le repli en
bon ordre.

Une telle attitude n'est pas sans
précédents : Hanoï a dû i plu-
sieurs reprises, pendant la guerre j
d'Indochine, forcer la main du
Hrralin, plus soucieux de préser-
ver la coexistence paeifique avec
Washington que de soutenir la
lutte de son allié. Maïs efie risque-
rait de mettre à nouveau Je le n'
aux poudres dans la région. Pékin
a en effet clairement «Ut que ses
forces riposteraient en cas de
«provocations». La situation de-
meurera donc déBcate tant que le
dernier soldat chinois n'aura pas
quitté le territoire vietnamien,
d'autant que des divergences sur
le tracé de la frontière existent
entre les deux pays,

Pékin estime que la « punition »
infligée à son turbulent voisin
a porté. D’abord, bien que les
divisons régulières de Hanoi
n'aient pas été «cassées», car
elles ont .évité le combat, la
Chine considère que. selon les
termes de M. Deng SSaoptag, «le
mythe de ' l’invincibilité de l'ar-
mée vietnamienne a vécu ».
Celle-ci n’a en effet pas été
capable de protéger ses frontières
et a dû dégarnir ses fronts cam-
bodgien et laotien. Le Vietnam
serait donc moins en mesure de
jouer ce rôle redouté «le «Cuba
asiatique ».

D'antre part, la Chine a rap-
pelé au Vietnam qu'il ne pouvait
compter snr un soutien effectif de
lUnion soviétique. Cette dernière
n’est guère désireuse d’intervenir,-
afin de ne pas mettre en danger
les négociations S ALT. et s’est
contentée de bonnes paroles et
d'envois de matériel de guerre.
Hanoï devra en tenir compta
quand s’ouvriront les négociai

Enfin, la Chine a montré que
le dossier cambodgien était loin
d'être clos. L’idée d'une nouvelle
conférence surTIndochine on sur
le Cambodge lancée par le prince
Sthanouk fait son chemin. Pékin,
tout ea soutenant la résistance
kh mère rouge, tente d’en inflé-
chir la politique et d’en rempla-
cer les chefs pour faire place à
un véritable front uni anti-
vietnamien ; des contacts ont été
pris avec certains mouvements
nationalistes, voire anticommu-
nistes. Quant an Laos, il risque
de payer un jour le prix de son
alignement sur le Vietnam.

Par son «opération de police»,
la Chine fait désormais figure
de «gendarme» de la région —
titre qu’elle contestait an Viet-
nam. Le coût de cette politique
de grande puissance, qui renoue
avec les grandes traditions de
l’empire du Milieu, est sans doute
lourd : retard de la moderni-
sation du pays, inquiétude sus-
citée en Asie comme en Occident,
abandon du mythe de la Chine
« pays pacifique». Mais, pour les
drigeants chinois, las des coups
d 'épingle vietnamiens, le jen en
valait bien la chandelle.

(Lire nos informations page U


M. Brzezinski, conseiller du chef de l’exécutif
américain pour les affaires de sécurité nationale,
et Alfred Atherton, ambassadeur Itinérant pour le
Proche-Orient, étaient attendus ce mardi B mars au
Caire pour préparer les entretiens du président
Carter qui arrivera au Caire jBudi, avant de se ren-
dre samedi en Israël.

Rien n'a filtré à Washington sur le contenu
des nouvelles propositions américaines qui ont
permis de « dégeler - la situation, et la Maison
Blanche a publié, lundi soir, une sévère mise en


garde soulignant que « toutes les informations
publiées qui décrivent la substance des sugges-
tions américaines » présentées à M. Begin • sont
Jncorractes et menacent te processus de paix au
Proche-Orient ».

A Moscou, l'agence Tass a affirmé que le
voyage de M. Carter constituait « une ultime ten-
tative fébrile des Etats-Unis pour organiser une
nouvelle conférence à Camp David entre Begin
et Sadate, et parvenir à la signature d'un accord
séparé ».


«Un effort


Washington. — « Le succès
n’est pas garanti, mais nous pen-
sons que. sans un e/fort de pre-
mière grandeur tet que celui-ci.
les probabilités d'un échec sont
presque irrésistibles. » Ce com-
mentaire d'un « officiel du gou-
vernement » qui, selon l’usage, a
refusé d’être nommé, montre
qu'on se garde bien de pavoiser
ici à la veille du départ de
M. Carter pour Le Caire et Jéru-
salem. Comme l’a dit M. Begin,
l’accord de l’Egypte n’est pas
acquis aux propositions améri-
caines que ' le cabinet israélien a
approuvées lundi Le président
Carter, qui a eu plusieurs entre-
tiens téléphoniques avec
M. Sadate lundi, n'en est pas
convaincu non plus, et c'est pour-
quoi U a envoyé dans la soirée
au Caire, en éclaireur, son
conseiller de politique étrangère,
M. Brzezinski. et le s médiateur »
américain pour le Proche-Orient,
M. Atherton. Ce n'est donc pas
encore le succès, mais le scénario
des affrontements américano-
israéliens du passé & fonctionné
une fois .de plus : après, avoir
frôlé la rupture ouverte, les deux
parties ont fai*" le petit Tgesfce qui ■
a permis de repartir de l'avant.

. Les Israéliens avalent préparé
le terrain dans l’après-midi de
dimanche en faisant savoir que
les suggestions de M. Carter leur
paraissaient « nouvelles et impor-
tantes». Mais tout a été fait de
part et d'autre pour donner à ce
rebondissement un caractère spec-
taculaire. Lundi matin, moins de


de première

De notre correspondant'

vingt-quatre heures après qu’un
communiqué commun eut pré-
senté la rencontre précédente des
deux hommes comme « finale ».
M. Begin demandait à revoir le
président américain, qui venait
l'accueillir sous un parapluie
devant la Maison Blanche. Le
premier ministre israélien annon-
çait à son hôte la « réponse
positive » que le cabine; de Jéru-
salem venait de donner à ses
propositions. M. Powell, porte-
parole de la Maison Blanche, en
rendait compte peu après, tout en
ajoutant : a Des problèmes dilfi-
ciles demeurent. Le prochain pas
à accomplir dans le processus de
paix est encore en discussion. *

Des formules ambiguës

De fait. M. Carter, qui s'était
entouré de tous ses conseillers,
mettait alors la dernière main à
son projet de voyage, auquel
MM. Sadate et Begin avaient
déjà donné leur accord. L’exposé
des motifs de l’annonce officielle
détiare notamment : a Le pré-
sident estime que nous ne devott*
.pas laisser les perspectives de
paix, qui paraissaient si brillan-
tes en septembre dernier, conti-
nuer de pdlir et peut-être de
disparaître. S'il en était ainsi, le
jugement de Vhistoire et de nos
enfants nous condamnerait à bon
droit ».

M. Begin, quant à lui, qui ve-
nait d’arriver au Congrès, par-


grandeur»

lait de « rayon d'espoir » et
poursuivait : « Nous avons cons-
truit durant ces trois jours avec
le président un pont rers la
paix. Espérons que l’Egypte se
joindra à cet effort. Dans ce cas.
nous pourrons organiser à bref
délai la cérémonie de signature s
Le premier ministre israélien
décidait d’écourter son séjour aux
Etats-Unis (U partira ce mer-
credi de New-York pour Jérusa-
lem. et non Jeudi comme prévu)
pour organiser l’accueil de son
hôte. L'espoir croissait encore
avec la diffusion d'une déclara-
tion faite à l'agence AJ*, par
M. Khalil, premier ministre égyp-
tien : « Si un président améri-
cain joue tous ses atouts, il est
naturel que cela doive conduire
à un résultat positif ».

Les décisions prises par M. Car-
ter dans cette affaire appellent
des observations de deux ordres :

• Sur le fond : les propositions
que le président américain a pré-
sentées à M. Begin dimanche n’ont
pas été révélées dans le détail,
mais il se confirme qu'elles por-
tent sur deox des trois principaux
différends opposant Les deux
parties. :

11 A propos de la priorité à
donner aux divers engagements
Internationaux de l’Egypte, une
formule très ambiguë aurait été
Imaginée pour donner satisfac-
tion aux uns et aux autres.

MICHEL TATU.

(Lire la suite liage 2.)


• Le P.C. et le P.S. ne s'entendent pas
sur une motion de censure commune

• M. Guéna quitte l'état-major du R. P. R.

M. Raymond Barre s’est adressé à l’opinion publique lundi 5 mars
par l’intermédiaire de la télévision. Sans renoncer A une action de redresse-
ment économique qui repose sur l'effort et sur des sacrifices, le premier
ministre a tenté de redonner confiance aux Français : « l'avenir n'est pas
bouché », a-t-il déclaré, estimant que 1979 serait marquée par une stabi-
lisation, voire un reflux du chômage et une décélération des prix.

M. Barre a déploré la • campagne violente » que le R.P.R. mène contre
le président de la République et le gouvernement, mais il s'est déclaré
prêt à accepter la création des commissions d’enquête sur l’emploi et sur
(Information du public, réclamée par M. Chirac.

Cependant, le R.P.R. accélère la procédure de convocation du Parle-
ment en session extraordinaire — recevant le renfort du parti socialiste
mais non celui du P.C. — et les deux groupes de l’opposition s'apprêtent
à déposer des motions de censure distinctes.

Au R.P.R. — dont le comité central devait se réunir le 6 mare pour
préparer les assise» du 31 mars, — U. Yves Guéna s’est démis de ses
fonctions de conseiller politique du mouvement, non par désaccord avec
la ligne politique de M. Chirac mais parce qu’il désapprouve l’absence
de concertation.

Le bureau du groupe de PU.D.F. devait se réunir mardi après-midi,
moins pour prendre position sur la convocation d’une session extraordi-
naire, puisque la décision appartient en dernière analyse au président de
la République, que pour prévenir toute fausse note au sein du groupe à
ce sujet.


La perte de confiance envers le
pouvoir, qui a été enregistrée dans
l'opinion publique au cours des deux
damiers mois. a. quoi qu'il en dise
paru plus pressante à M. Barre
que l'inquiétude des parlementaires.
Aussi, entre la proposition de
M. Chirac de convoquer une session
extraordinaire et celle d' Antenne 2
de passer lundi A l’émission « Cartes
sur table-, le p
Une brune forte est huilée
Sacrée gourmande sodomisée
Beau sourire belle branlette