Suspendue et bien branlée

Suspendue et bien branlée




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Suspendue et bien branlée

Tu cherches un truc ?
Search



Contacter Marine GASC
Aujourd’hui on va parler de la Seconde Guerre mondiale et de la face cachée de celle-ci, mais aussi des camps de concentration. En effet, j’ai découvert dans ce documentaire , que le Troisième Reich a rapidement mis en place un système de bordels. On emprisonne des filles, puis on les prostitue. D’abord pour les militaires, ensuite pour les prisonniers de camp de concentration. Enfin, certains prisonniers… Voici l’Histoire.
La prostitution fait partie du milieu militaire depuis toujours. Les hommes partent à la guerre durant des mois, parfois des années, sans voir leurs épouses et pour éviter les insubordinations, les rebellions et autres révoltes, on tolère la présence de filles sur les camps, voire, on l’autorise et on met en place des bordels. C’est le cas dès 1939 pour la Wehrmacht et les SS, on appelle ça Soldatenbordell .
En Europe de l’est, on fabrique des bordels, on squatte un hôtel, un vieil immeuble, qu’importe tant qu’il y a des chambres et des meufs ! En Pologne, les filles dans les bordels ne sont pas des prostituées, ce sont des prisonnières. Elles sont rebelles, jeunes et opposées au régime… En 1941, le gouvernement polonais est en exil mais il veut démontrer la violence de la Wehrmacht, il décrit dans un document les rafles de jeunes filles polonaises ayant pour seul but la prostitution. Certaines ont tout juste 15 ans et sont envoyées dans tous les bordels nazis présents en Europe. Lorsqu’elles se révoltent, on les traîne par les cheveux, on leur casse un bras, et dans le pire des cas… Vous savez ce qu’il se passe. En URSS, c’est pareil. On choisit les filles parce qu’elles sont belles, parce qu’elles sont bien faites ou parce qu’elles sont vicieuses (entendre par là : soit prostituées soit lesbiennes).
En 1942, il existe plus de 500 bordels dans le territoire européen occupé par les nazis.
En Europe de l’ouest et principalement en France, les bordels sont réquisitionnés directement avec les filles dedans. A s’installer, autant garder les meubles hein. De toutes façons, pour ce genre de filles associales et perverses, c’est soit le bordel, soit le camp ! Il est évident que toutes les filles juives sont chassées des bordels. Au nom de la protection du sang et de la race.
Ici, les soldats reçoivent des cartes de visite, en fait, il s’agit d’une sorte de guide touristique. Pour le bordel 1, tu prends la première (rue) à gauche, puis tu longes le boulevard. Pour le deuxième, tu marches 3 km et tu prends bien garde de pas coucher avec une autre meuf sur le trajet. Eh oui, les soldats nazis n’ont pas le droit de pécho d’autres meufs que celles dans les bordels (du coup, elles peuvent recevoir plus de 20 soldats par jour…). Pourquoi ? Une question d’hygiène. Les filles dans les bordels sont contrôlées, soignées ou emprisonnées lors qu’elles sont malades, alors peu de risque de choper la syphilis. En revanche, dans les rues, tout le monde peut être malade, et on peut pas prendre le risque de disséminer une armée avec la chtouille. Ça fait grave désordre. D’ailleurs, toutes les femmes susceptibles d’avoir contaminé des soldats allemands doivent comparaître devant le conseil de guerre. Les prostituées doivent présenter une carte précisant leur statut de prostituée (au cas ou), et un préservatif . Préservatif que personne n’utilise car c’est aussi agréable que de baiser dans du carton. En 1941, une visite par semaine dans les bordels nazis est obligatoire pour les jeunes soldats. Parce qu’avoir la chtouille, c’est la honte, mais toucher les couilles de son copain nazi parce qu’on a trop la dalle, c’est vraiment pas tolérable !
Entre les bordels nazis et les bordels dans les camps de concentration (que nous allons découvrir), plus de 35 000 femmes européennes ont été forcées à se prostituer. Quand même hein…
Photos d’un bordel à Brest, en 1942. On dirait que ça rigole bien, mais ça rigole pas toujours.
Si les bordels militaires sont connus, pas super super mis en avant, mais en tout cas de notoriété publique, ce n’est pas du tout le cas des bordels dans les camps de concentration. Les camps n’étaient pas que des camps d’extermination, il y avait aussi des camps de travail, des centres de recherches médicales et enfin, il existe aussi des blocs de prostitutions. Qui en a eu l’idée ? Qui sont les filles, et enfin, qui fréquentent les bordels dans les camps de concentration ?
Les bordels dans les camps, c’est pas la grosse marade avec levrette et roulages de pelle qui terminent en histoire d’amour. Non, ce n’est pas ça. Le premier bordel a été mis en place en 1942, dans le camp de Mauthausen-Gusen, puis Auschwitz, puis Buchenwald, Neuengamme, Dachau, Dora-Mittelbau et puis tous les autres… Il s’agit de sorte de maisons au sein des camps. Des maisons entourées de fils barbelés, on compte une vingtaine de petites chambres dans chaque maison. Tout est surveillé par une surveillante, une Aufseherin, comme ils disent… Les hommes sont invités à rester seulement 15 ou 20 minutes dans la chambre avec les prostituées, ils payent 2 reichsmarks et n’ont droit qu’au missionnaire. Les gardes vérifient et peuvent intervenir en cas de non respect des règles.
Les clients des bordels nazis dans les camps de concentration sont des prisonniers, mais certainement pas les juifs. Plutôt les Kapo, ces allemands qui ont fait des conneries ou s’opposaient au régime, et se retrouvent internés, avec des privilèges que les juifs et les russes n’ont pas. Soit moins de 5% des prisonniers. Ils doivent s’inscrire sur un calendrier et attendre que la demande soit validée, ou non. Selon qu’ils ont bien gardé leurs prisonniers, ou non. L’accès au bordel est une sorte de récompense, mais aussi un moyen de tenir les rangs. Les kapos ont accès aux filles, ce sont des privilégies, alors les prisonniers ne peuvent pas les saquer, et ainsi, ça évite des manigances entre les mecs de la hiérarchie et les prisonniers. Moins de tentatives de rebellions, moins de répression, plus de travail. Bin oui, tout est bien pensé.
Autre chose, il existe des clients forcés. Oui oui. Ceux dits au triangle rose. En effet, les prisonniers homosexuels sont obligés de rendre visite à une fille et à coïter une fois par semaine. C’est pour Himmler un moyen efficace de les guérir. Ben voyons.
Évidemment, les filles ne sont pas juives non plus. On ne mélange pas les torchons et les serviettes, même au bordel…. Il s’agit de filles entre 15 et 30 ans, dites anti-sociales, comme pour les bordels militaires. Des prostituées, des lesbiennes, des meufs un peu rebelles déjà emprisonnées dans les camps. Certaines se portent volontaires pour se prostituer, en effet, les nazis leur font miroiter une libération au bout de 6 mois de loyaux services. Mais que nenni. Les prostituées sont aussi les mieux portantes, car elles ont droit à un peu plus de nourriture et d’hygiène, et enfin, elles sont habillées en civil. Alors, ça fait rêver un peu.
Mais rapidement, après leurs journées de travail « classique » dans le camp, les filles se retrouvent épuisées dans les bordels. Un homme, puis deux, puis trois puis… A la fin de la soirée, les prostituées sont humiliées, fatiguées, et mises de coté par certains autres prisonniers. C’est vrai, elles se retrouvent complices en quelques sortes…. Et puis les filles qui ne sont pas choisies peuvent se montrer très violentes envers celles qui ont le privilège du quignon de pain en plus : passage à tabac, mutilation… Sans parler des essais de contraception, de stérilisations et des avortements forcés qui les mènent le plus souvent à la mort. Les maladies sexuelles sont aussi très présentes dans les bordels. Les prostituées sont généralement rapidement remplacées, car épuisées ou malades. Plus de 200 filles ont ainsi été des prostituées de bordels nazis dans les camps de concentration. Certaines ont sans doute connu la libération, mais aucune d’entre elles ne s’est manifestée. De honte sans doute. Honte d’avoir espéré une vie meilleure, honte d’avoir été trahies, et salies.
A la libération, aucune des femmes victimes de prostitution dans les bordels nazis n’a pu être aidée, reconnue.
Pour se rendre compte des atrocités -pour beaucoup inconnues- commises lors de la Seconde Guerre mondiale, je vous invite à lire l’article sur la famille Ovitz. Une famille composée de nains, juifs , ou encore celui sur Aktion T4 , visant à l’élimination des handicapés et autres…
Cet article t’a plu ? pour soutenir le site Raconte-moi l’Histoire et recevoir les articles directement par mail, c’est ici .

Sur Raconte-moi l'Histoire, j'ai pris l'habitude de dresser des portraits de femmes et d'hommes qui se sont démarqués par leur force, leur courage, leur vie, ou encore parce qu'ils ont…
Ah les nazis, les camps et la Seconde Guerre mondiale... Il y en a des choses à dire. On parle souvent (et c'est bien légitime) des victimes du nazisme, mais…
La psychiatrie avant le XXème siècle, c'était un peu compliqué. Dans la première moitié du XXème siècle, la psychiatrie va connaître un tournant. Faut dire qu'on fait la différence entre…
Effroyable … mais pas pire que le reste ! Dans les camps, l’organisation était parfaite (mais le service … !. Une de mes répliques dans ma pièce « Naître ou Naître Pas ! » dans le passage où je parlais de mes « colonies de vacances » … Pas Trigano !) Tout les domaines étaient ainsi planifiés … Même le vice d’obliger des « triangles roses » à copuler avec une femme une fois par semaine ! Obliger des kapos Juifs à surveiller leurs coreligionnaires … Ils acceptaient car étaient mieux nourris et en sursis par rapport aux autres (détestés par les prisonniers). C’était diabolique de la part des bourreaux de faire ça. Bravo pour la précision de cette enquête sur un sujet peu connu et occulté …
C’est passionnant comme d’habitude, et j’aime vous lire. Merci de tout cela.
Néanmoins après un travail de recherche sur les kapos, et après avoir pensé un peu comme tout le monde que c’étaient les salauds de l’histoire, je trouve que ce que vous en dites est assez loin de la réalité. Quelques pages de « manuscrits sous la cendre », en donnent une vision un peu moins manichéenne. Souvent forcés, projetés dans l’horreur sans savoir où ils « tombaient » (en gros exécuter l’assassinat de leur peuple), ils étaient souvent sélectionnés sur leur force physique. Ils n’étaient pas du tout en majorité – et très loin de là – des malfrats qui choisissaient leur part de ration en plus. Oui, matériellement ils vivaient mieux et se comportaient selon eux sans plus trop d’humanité, car ce qui leur était demandé était proprement inhumain. Déshabiller, gazer, trainer, enfourner… les leurs. Et ils savaient qu’ils seraient exécutés, un peu plus tard que les autres mais exécutés quand même.
Vraiment, je vous conseille ce livre, extrêment dur (ce sont les récits retrouvés des kapos lors de la libération, enterrés, cachés etc) mais tellement éclairants pour qui aime l’histoire.
Et pour le reste, merci encore de toutes ces « histoires »
Docteur en histoire, spécialiste de la seconde guerre mondiale, ce que vous démocratisez est déjà connu des spécialistes depuis longtemps. Malheureusement, je pense que certains choix de vocabulaire et d’expressions restent inappropriés (meuf, ben voyons…) pour traiter un sujet aussi grave. Cordialement.
Bonjour Sylvain, c’est justement le principe, ce choix de vocabulaire peu importe le sujet, le contexte et la gravité du sujet.
Tout à fait d’accord un mode d’expression qui m’a rendu mal à l’aise
Etant simple élève de terminale L, j’ai trouvé cet article passionnant et c’est bien dommage que les professeurs ne nous enseignent pas cela alors que la 2nd guerre mondiale fait partie du programme de 1ère L. Voila encore un sujet traumatisant mais pourtant très méconnu. Malgré le vocabulaire un peu « humoristique », c’est un très bon article
Article intéressant car je suis en train d’écrire un roman sur les maisons closes de luxe parisiennes avant et après l’occupation.
Il est à noter que dans les maisons de luxes, les filles étaient très bien traitées. Elles ne manquaient de rien, caviar, champagne, luxe alors que Paris crevait de faim.
Egalement, il existait des bordels installés dans les camp polonais avec essentiellement des prostituées juives.
Les insoumises étaient enfermées ou transférées dans des maisons d’abattages. Et les Allemands étaient également soumis à un contrôle sanitaire des poussés. Il est difficile de résumer la prostitution pendant l’occupation mais votre article résume bien la situation. Après, il y avait toujours des exceptions.
Visiblement les allemands c’était sexe, drogue et bombardement.
(Drogue parce qu’ils prenaient de la pervitine http://www.racontemoilhistoire.com/2016/12/04/pervitine/ )
La guerre ne donne rien de bon ce qui vécu les événements sauve raconter un peu dhistoire
Y avait-il un proxénétisme yid, avant guerre et pendant? A quelle échelle ?
Si tu es très déçu-e d'avoir manqué la campagne Ulule et que tu veux un livre, envoie un mail à rmlhistoire@gmail.com ou clique sur l'image pour découvrir la boutique !

Recherche BuzzFeed Recherche BuzzFeed
Edition US UK Australia Brasil Canada Deutschland India Japan Latam
California residents can opt out of "sales" of personal data.
Buzz · Contenu promotionnel 13 nov. 2017







1.



On insérait de force des pointes en métal dans la bouche des femmes qui critiquaient constamment ou comméraient.




Votre adresse courriel (requis) Inscrivez-vous
This site is protected by reCAPTCHA and the Google Privacy Policy and Terms of Service apply.
Les peines pour les hommes étaient souvent bien plus légères.
La bride-bavarde était une muselière en fer pour le visage de la femme, utilisée pour punir les «bavardes» – les femmes qui critiquaient sans cesse, comméraient, répondaient ou qui parlaient simplement trop. La bride était verrouillée sur votre tête, et un embout en métal couvert de piques était placé de force dans votre bouche. À chaque fois que vous bougiez la langue, les piques la lacéraient.
La victime de cette torture était parfois enchaînée à un crochet chez elle, ou bien humiliée publiquement.
Variation des piloris, souvent en bois ou en métal, il était utilisé pour punir les femmes qui se disputaient et les commères. Une femme pouvait avoir à le porter seule ou attachée avec la femme avec laquelle elle s'était battue.
Cette punition humiliante pouvait être infligée aux hommes comme aux femmes, mais les femmes accusées d'être des commères ou des filles de joie étaient les premières à devoir s'installer sur un «cucking stool». Attachées sur cette chaise en bois sans siège — souvent une chaise percée —, elles étaient forcées à rester assises, exposées à l'humiliation publique.
Les «cucking stool» ont été modifiés quelques siècles plus tard pour être utilisés comme des sièges à plongeon. Le siège était attaché à de longues poutres en bois, qui reposaient sur un axe. La victime, assise, était ensuite suspendue au-dessus d'une rivière ou d'un étang puis immergée autant de fois que la punition le disait, « afin de refroidir sa chaleur excessive », comme le disait l'écrivain français François Maximilien Misson. Dans certains cas, les femmes étaient immergées un si grand nombre de fois qu'elles en mourraient.
Le «thewe» était un genre de pilori conçu spécifiquement pour les femmes. La femme était enchaînée à un poteau par le cou, mais contrairement aux hommes, ses mains n'étaient pas attachées.
En 1777, Ann Morrow a été accusée de s'être faite passer pour un homme et d'avoir épousé une autre femme. Elle fut mise au pilori, et la foule en colère lui a crevé les yeux en lui jetant des pierres.
Dit aussi «pilori tonneau», cet appareil était utilisé pour punir les hommes coupables de vol, d'ivresse et d'émeutes. Mais les femmes pouvaient également être mises dans un manteau d'ivrogne.
Un homme a raconté avoir vu un tonneau à Delft, aux Pays-bas : «Un lourd récipient en bois, semblable à une baratte, que la femme audacieuse qui a deux maris en même temps porte sur ses épaules, seule sa tête dépassant au sommet, et qui est ainsi promenée en ville, en punition de son intempérance.»
La mutilation ou l'ablation du nez d'une femme était une punition pour les femmes aux mœurs légères, qui a perduré durant le Moyen Âge. En défigurant la femme, on éliminait le pouvoir de sa beauté. La loi britannique de Cnut (1018) imposait qu'une femme accusée d'adultère ait le nez et les oreilles coupés en punition. En comparaison, un homme adultère devait payer une simple amende.
Les marches de la honte étaient une punition traditionnelle pour les prostituées ou les «harpies» – des femmes dominatrices. Ces dernières devaient marcher pieds nus dans les rues, parfois vêtues uniquement de leur jupon. Les chaussées étaient sales, hérissées de pierres irrégulières. La foule, railleuse, se mettait en rang pour regarder les victimes fixement.
C'était une punition populaire pour les prostituées au XVIe siècle. Lady Low , qui dirigeait une maison close à Aberdeen, en Écosse, fut marquée au fer rouge sur les deux joues par un bourreau, puis dû porter une couronne en papier avant d'être bannie de la ville pour sept ans et un jour.
Jusqu'au XVIIe siècle, au Royaume-Uni, l'une des punitions pour les femmes accusées de vol était la noyade . C'était également la cause de la mort dans « l'ordalie par l'eau froide », dans laquelle les chasseurs de sorcières testaient le fait qu'une femme était une sorcière ou non en regardant si elle flottait ou coulait.
La noyade en tant que punition civile simple était d'ailleurs considérée comme une punition clémente, comparée à certaines des méthodes d'exécution plus brutales, comme...
Les femmes accusées de sorcellerie et de communier avec le diable étaient brûlées. Mais c'était également une punition courante en cas de trahison ou d'hérésie. En Écosse, une femme pouvait avoir les membres couverts de goudron, ou devoir porter une robe et un bonnet enduits de cette susbtance. Elle était ensuite attachée par le cou sur un tonneau, le feu allumé, et elle était à la fois brûlée et pendue dans un brasier.
Ce post a été traduit de l'anglais .
Keep up with the latest daily buzz with the BuzzFeed Daily newsletter!

Vos données personnelles sur Orange
Tout accepter Personnaliser vos choix
Orange, Sosh et leurs partenaires avec votre consentement peuvent utiliser des cookies ou équivalent pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal afin notamment de collecter ou traiter des données personnelles telles que : données de navigation (comme les pages et applications consultées), identifiants (comme l’adresse IP, identifiants de contrats, identifiants mobiles publicitaires ou l’IMEI)... Les traitements de certains partenaires reposent sur leurs intérêts légitimes, vous pouvez vous y opposer en cliquant sur le lien « Personnaliser vos choix ».
Ces données sont traitées par Orange et/ou ses partenaires aux fins suivantes : - Contenus et publicités personnalisés sur supports digitaux (services, offres et publicités adaptées à vos centres d’intérêt sur internet, application mobile ou interface TV) ou par communication directe (e-mail, SMS, téléphone, point de vente…), mesure de performance du contenu et des publicités, données d’audience et développement de produit. - Mesure d’audience des publicités et des contenus, y compris pour les emails et SMS qui vous sont adressés.
Si vous êtes connecté avec un compte Orange ou Sosh et sous réserve des choix exprimés par ailleurs, les informations traitées pourront être associées avec celles collectées sur vos autres appareils et enrichies des données client de vos contrats et de ceux de votre foyer. Vos données pourront également enrichir ou être enrichies avec des données col
Maman se réveille avec la queue de son beau-fils devant elle
Elle se touche avec Chucky
L'étudiante Brooke Lee se fait démonter

Report Page