Sur un chantier deux hommes s'enculent

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Sur un chantier deux hommes s'enculent











Yves Louit a été victime d’un grave accident mardi dernier. DDML.Dard archives











Carnet noir , Hautes-Pyrénées , Entreprise




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Il avait miraculeusement survécu à une chute de plus de 15 mètres il y a quelques années. Cette fois, il n’a malheureusement pas eu la même chance. L’entrepreneur Yves Louit, dont l’entreprise spécialisée dans le désamiantage, le bâtiment, les travaux publics ainsi que paysagers, était établie à Layrisse, a été victime d’un grave accident sur l’un de ses chantiers palois.
Mardi 23 août, il est tombé d’un toit haut de 6 mètres à Pau.
Pris en charge par les secouristes, il a été conduit en urgence à l’hôpital de Pau dans un état grave. Son pronostic vital était dès lors engagé, et l’homme a succombé à ses graves blessures le lendemain après avoir été plongé dans un coma artificiel.
Yves Louit avait 62 ans. Il laisse derrière lui une famille et des proches effondrés par la douleur après sa disparition brutale. Père d’une fille de 26 ans, il allait connaître à nouveau la joie d’être papa dans quelques mois.
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Il ne semble pas y avoir de mesures de sécurité dans cette entreprise.!! Même le patron n'y adhère pas à ces nécessaires contraintes réglementaires , malgré sa première chute..!! Mais rien d'étonnant, le bâtiment est le premier secteur dans les statistiques des morts au travail.!!
un aviateur de B17 chutait de 6000 mètres sans parachute, le 3 janvier 1943 au dessus de Saint Nazaire, tout en conservant la vie, au final. la vie est faite de pied de nez au destin. d'autres exemples de cette nature existent.
la vie est parfois cruelle, d'autres fois moins, avec même des cadeaux, parfois.
ce qui vient de survenir est d'une tristesse extrême. il ne sert à rien de chercher à dire, c'est la faute de ceci, c'est la faute de cela.
un petit enfant va venir au monde sans connaître son papa, avec une maman seule pour l'élever. c'est cela l'infiniment triste, avec les inévitables difficultés à venir. c'est cela l'important. tout le reste n'est que conjecture.
bien sincères condoléances pour eux.
Magnifique sophisme que votre diatribe.
Quel rapport entre des règles de sécurité systématiquement non respectées dans les chantiers, et un aviateur qui saute d'un B17 en déperdition car il n'a pas d'autre choix ?
aucun, sauf à considérer que la vie est constituée d'une somme d'aléas sans limite et que le don de la vie reviens à prendre de risque de la perdre.
ce n'est ni le lieu, ni le moment, ni même le débat.
si vous avez un combat (légitime ou pas) à mener sur le sujet qui semble vous animer, rendez-vous à l'INRS et auprès de votre député, pour participer à faire renforcer l'application des lois sur le sujet, (votre position semble claire et explicite, tout le monde a bien saisi le sens de vos interventions).

il existe un temps pour tout. il existe un temps pour se recueillir, il existe un temps pour comprendre et il existe un temps pour agir.

la famille de cette personne disparue est dans une peine sans fond. il serait souhaitable que tout le monde respecte cette phase de douleur des proches, en s'oubliant un peu soi même.
merci de votre compréhension et renouvellement de condoléances aux très proches, ainsi qu'à la famille.
Sauf que ce décès fait l'objet d'un article dans la dépêche dans lequel, au milieu des condoléances et autres louanges, on découvre que ce chef d'entreprise avait des conduites visiblement à risque dans un milieu dans lequel les accidents du travail sont nombreux et coûtent chers à la société. Dés lors, merci d'admettre aussi qu'on puisse s'indigner d'un comportement qui mène un homme qui échappe à une chute de 15m à décéder d'une autre chute, cette fois de 6m, sachant que ce comportement est celui du "'chef" et que donc, forcément, il doit induire la même chose chez tous ses employés.
Triste pour sa famille et son futur bébé surtout !
Ça n'arrive qu'aux personnes qui travaillent, malheureusement













Une enquête a été ouverte à la suite de cette agression sexuelle et lesbophobe.
Pixabay










Faits divers , France - Monde




Publié le 26/08/2022 à 15:36
, mis à jour

à 15:47




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l'essentiel
Un couple de femmes a été victime d'une violente agression lesbophobe dans la nuit du jeudi 25 août, à Fontenay-sous-Bois, dans le Val-de-Marne, alors qu'elles se baladaient dans un parc.

Deux femmes en couple ont été insultées, touchées de force et frappées, dans la nuit de mercredi 24 à jeudi 25 août, dans un parc de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). "Un acte lesbophobe absolument inacceptable qui doit être sanctionné", selon la ministre chargée de l'Egalité entre les hommes et les femmes Isabelle Rome.
Celle-ci a exprimé dans un tweet "tout (son) soutien aux deux femmes victimes".
Un acte lesbophobe absolument inacceptable qui doit être sanctionné. Tout mon soutien aux 2 femmes victimes. Les LGBTphobies sont malheureusement une réalité du quotidien. Le @gouvernementFR est mobilisé pour enrayer ce fléau et #NeRienLaisserPasser . https://t.co/3z1I3zBr2A
Les deux femmes, de 28 et 29 ans, se trouvaient dans un parc de Fontenay-sous-Bois jeudi, vers 1h30, quand deux hommes ont commencé à les insulter copieusement "car elles se tenaient la main", a relaté une source policière.
Les deux femmes ont été touchées au niveau des fesses et de la poitrine, d'après cette source policière, et, alors qu'elles se trouvaient dans leur véhicule après avoir fui, ont essuyé des jets de projectiles. "Vous êtes des meufs, bande de lesbiennes, je baise vos mères", leur ont lancé les deux hommes, a rapporté une source proche du dossier. L'une d'entre elles a ensuite pris un coup de poing au niveau du nez, selon cette source.
Une enquête en flagrance a été ouverte pour violences en réunion en raison de l'orientation sexuelle et agression sexuelle et confiée au commissariat de Fontenay-sous-Bois, a indiqué le parquet de Créteil. Les victimes ont annoncé vouloir déposer plainte, a précisé le ministère public.
L'association SOS Homophobie a condamné vendredi sur Twitter "les auteurs" de cette agression, en assurant qu'en 2021, 60 % des témoignages de lesbophobie dans l'espace public sont venus "de femmes en couple agressées après s'être montrées des signes d'affection"
SOS homophobie condamne les auteurs de l'agression d'un couple de femmes à Fontenay-sous-Bois et exprime son soutien le plus total aux victimes. Nous nous tenons à leur disposition. (1/2) #lesbophobie https://t.co/lFr2DbWm7b
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Quand on lit une certaine phrase pas besoin de réfléchir longtemps pour savoir qui est qui
"lesbophobe C'est nouveau ça vient d sortir !! Un peu comme féminicide !
Il faudrait peut être signaler à Madame la ministre du planing familial que homo dans homophobe ne veut pas dire homme mais semblable comme dans homogène ou homothétie !
Honteux . j'espere que ces individus seront retrouvés ....

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