Sur le bout de la langue

Sur le bout de la langue




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Sur le bout de la langue

EAN : 9782491404192
356 pages Des lacs

(14/10/2021)



Critiques, Analyses et Avis (31)
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Jamais un livre ne m'a autant déstabilisée que Sur le bout de la langue ! Ce livre est un pur ovni. J'ai retrouvé avec plaisir la plume foisonnante, imagée, philosophique d' Olivier Sorin . Rien que pour son imagination féroce à revisiter la langue française, à la faire chanter, danser, à fouiller les ruines d'un vocabulaire insolite, ce roman vaut le détour. Un roman qui donne matière à réfléchir ou qui fera nous sentir tout petit devant la grande richesse de notre si belle langue. Un roman qui nous donne envie d'un « sourire de 23 degrés Celsius en novembre » dixit l'auteur. Des images, des phrases qui accrochent, ricochent et pavoisent devant vous, vous en aurez à la pelle en ouvrant cet ovni livresque. Pourquoi ovni ? Je suis bien gênée d'avouer, sur le bout de la langue , que ce bout de la langue, je n'y ai rien compris. Je ne peux pas dire que j'ai aimé ou pas, je me suis juste sentie renfermée dans un univers au mode d'emploi indéchiffrable. Olivier Sorin possède une signature bien à lui, qui relève du surréalisme, de l'obscurantisme. Sa bulle doit être tout à fait passionnante et virevoltante pour ceux qui maîtrisent le babouin Sorin. Sur le bout de la langue a été pour moi trop sibyllin, peu clair, trop recherché dans un exercice de style bouillonnant avec une forme tellement alambiquée et pleine à chaque page que cela fait trop d'ombre au fond qui pour moi est trop balbutiant. J'aurai aimé un peu plus de simplicité, un peu plus d'évidence. Le nombril de solveig avait été un coup de coeur. Les personnages me parlaient davantage, l'histoire était plus palpable aussi.
C'est un rendez-vous à demi manqué car j'aime toujours autant cette écriture au bord du coeur propre à Olivier Sorin .





Je vais tenter de vous exprimer ce que j'ai ressenti en lisant ce livre hors norme.
Lubin vit avec céleste et leur petite fille de 3 ans.
ils résident dans la cité de son enfance, celle des Marronniers où siège au centre de la petite place un orme.
Il y a ses copains de toujours ceux avec lesquels il a grandit.
Il aime passer son temps au café la « Scie Rose » où, il dessine tout en se regalant des conversations de comptoir.
Existe aussi Blanche qui a une très belle situation dans une entreprise en Californie. Du jour au lendemain, Blanche décide de tout plaquer et de revenir en France. Arrivée à Roissy-Charles-de- Gaulle où l'attend Pierre qui lui voue un amour inconditionnel, elle patiente dans le grand hall afin de récupérer ses bagages. À ce moment, ses yeux sont attiré par un homme qui porte une valise bleue sans roulettes.
C'est ici que tout débute. Je vous laisse découvrir l'histoire à votre tour.
La magnificence des mots m'emmène sur un style livresque unique en son genre.
Tel un chef, l'auteur nous concocte un roman fait d'une pincée d'humour, de poésie et d'un doigt de fiction.
Tout est tellement bien construit.
À aucuns moments, je n'ai lâché prise.
Les chapitres sont cours et ponctué à leur début par des citations particulieres.
Les pages se tournent sans ressentir aucuns ennuis.
C'est un orfèvre, il a le pouvoir de jongler avec les émotions.

J'ai adoré lire ce livre sur un fond musical du groupe Talk Talk en dégustant quelques palmitos.

Lors de la lecture en diagonale de la quatrième de couverture, mon oeil a été attiré par la référence à Mark Hollis. Ceux qui n'aiment pas la musique brit pop peuvent se rassurer, le livre ne parle pas vraiment de Talk Talk. Pendant une grande partie du livre, les personnages se croisent, se cherchent, se mentent. Ce n'était probablement pas la lecture appropriée du moment car j'ai fini par m'ennuyer ferme, sauter des paragraphes. Cette histoire entre Lubin et Blanche m'a peu emballée, à tel point que je ne me souviens de rien une semaine après l'avoir refermé.


Dans son dernier roman, l'auteur Olivier Sorin nous rappelle nos années d'insouciance, notre enfance douce et heureuse, nos petits bobos quotidiens. Nos amitiés sincères et nos premiers amours.
Il nous conte l'histoire complexe et touchante de Lubin et Blanche, deux êtres qui ne se connaissent pas mais que le destin va rapprocher pour une étrange raison.
A l'annonce de la mort de Mark Hollis, chanteur du groupe Talk Talk, ces deux inconnus seront chamboulés, et accablés par cette triste nouvelle.
Leur vie paisible et routinière va changer, Blanche décide de quitter son travail en croisant dans un aéroport, un homme de dos avec une valise bleue. Pour elle c'est comme un réveil, elle se rend compte qu'elle ne vit pas, elle survit. Elle rêve soudain d'aventure, ne veut plus subir sa vie mais en profiter, elle veut faire ce qu'elle a toujours souhaité.
Lubin de son côté, ne souhaite qu'une chose, partir à la recherche de Blanche, sa blanche, et lui rappeler qui elle est vraiment.
Alors qu'est-ce qui lie réellement ces deux jeunes gens ? Et quel est le rapport avec un chanteur pop et une valise bleue ?
C'est ce que l'on découvre au fil des pages… Olivier Sorin va nous mener en bateau, il va nous pousser à réfléchir, nous bouleverser mais surtout il va nous toucher en plein coeur.
Avec sa plume sensible et unique en son genre, il signe un second roman touchant et poétique, et nous offre un final surprenant ❤
À lire absolument.



Sur le Bout de la langue , les souvenirs boomerang s'accrochent et sanglent la trachée exsangue, d' un passé qui continue à saigner du nez « Sur le bout de la langue », c'est cette expression idiomatique évoquant cette impression de vide linguistique, voire fantomatique qui nous maintient dans les abîmes du verbatim …oriente notre locution latine, en sourdine, vers une direction, jamais anodine.
Réfugiés dans leur palais buccal, après avoir été ravalés, s'être tant faits désirés, les mots n'aspirent qu'à être expulsés par gorgées, pour servir de torche d'exploration d'une vérité qui ne peut pas passer. Dans les grands ensembles assimilés aux cités dortoirs ostracisées, là où ceux qui cultivent l'état de légitime différence camouflée par une capuche fièrement arborée, rêvent plus d'ascension à la Cassius Clay que de parachute doré, tout n'est que relégation et complexe d'infériorité intériorisés.
Qu'est ce qui pousse le natif d'une cité recroquevillée sur ses clichés à rester emmuré dans le parpaing urbain de son quotidien malgré la félicité du gain?
Issu de ces territoires perdus de la réplique qui sacralisent la novlangue du prêt-à-parler, comme le sésame incontournable du mode de communication mal embouché des périphéries désoeuvrées, Lubin n'en aspire pas moins à s'éloigner des "Wesh Wesh"de son quartier, pour enfin vivre de grand amour et d'eau fraiche . Qu'est ce qui motive un transfuge social, pur produit de la méritocratie républicaine, à détacher ses harnais de sécurité amnésique ?
Des conflits intérieurs d'une cadre sup, frappée par un de ses moments de clairvoyance accrus qui font quitter un statut procurant l'aisance d'une sécurité de parvenue ? Lequel aura convaincu le mal être de Blanche de faire sa mue quant au bénéfice d'inventaire de ses illusions perdues ? e dénominateur commun de ces deux trajectoires sociales à front renversé, réside sans doute dans ce partage d'expérience de la sidération, cette aptitude à se confronter au chaos intérieur qui vous prend à défaut pour mieux vous sortir du ghetto et vous tirer vers le haut.
Mais cette nébuleuse, cet entre-deux de l'impossible identité coincée entre le milieu de départ et le milieu d'arrivée les conduit irrémédiablement à la croisée de ce tremplin où chacun est parvenu à se prouver qu'il pouvait dépasser les déterminismes sociaux érigés en Loi d'AIRAIN, sans pour autant interrompre le va-et-vient de la boussole des repères traumatiques d'où l'on vient. Dans ce roman, aussi intense qu'un rite de passage où tout doit renaître, les flux de conscience du narrateur s'entremêlent activement au récit d'un drame annoncé trop amnésique pour être halluciné, et dont la trame charpentée autour d'une enfance mémorielle à jamais figée, fournit l'occasion de dépeindre les frondaisons inextricables des désirs d'en finir avec les postures du repentir et les envies de vomir, à la croisée des caps à franchir . La plume énigmaire d' Olivier Sorin , s'attache à montrer que nos certitudes linéaires reposent sur du sable éphémère.
Et quoique douloureux, un retour aux sources de la déflagration est la condition d'une régénération pour de bon. Les personnages secondaires hauts en couleur sont ingénieusement mis en scène afin de servir un verbe introspectif tout autant filmique qu'harmonique .
Chaque page est l'occasion de goûter au nectar de cette captivante écriture sonore qui explore, sans relâche, les potentialités d'une réconciliation avec soi-même dès qu'il s'agit d'honorer ce « Il n'est jamais trop tard » du bout des lèvres.

Nous n’écrivons pas sans raison. L’écriture possède cette capacité à planter sa tente au carrefour des espaces et des temps. Lorsque l’on couche nos pensées sur un papier, on se nourrit de l’immédiateté de nos émotions dans un chaudron où le passé fait l’amour avec notre avenir.



Si seulement, pensait Lubin, ils avaient pu se rencontrer plus tôt, si seulement leurs trajectoires s'étaient croisées deux décennies auparavant, si seulement Mark Hollis avait pu disparaître précocement, les choses se seraient écrites différemment. Sur l'esplanade d'une gare, dans le hall d'un aéroport, si seulement leurs trajets avaient pu se frôler plus tôt, se retrouver bien plus tôt, corrigeait muettement dans son esprit Lubin, cette rencontre aurait revêtu les apparats d'un ébranlement plein de promesses et non cette commotion sans espoir de lendemain.



Écrire, c’est le pied de la seconde qui assume totalement de caresser sous la table la jambe de l’éternité.



Les blessures d’enfance ont cette capacité à se tapir dans une sombre cage au plus profond de vous. Les morsures de l’ombre ne disparaissent pas, elles se font discrètes et mutent pour les plus chanceux, et elles attendent le moment opportun pour vous happer, vous mordre au cou et ne plus jamais vous lâcher.



Si la solitude est aujourd'hui la meilleure des compagnes, c'est peut-être parce que je suis trop sensible et que l'isolement est encore plus difficile à porter au milieu des gens.



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"Comment on franchit le cap du passage à l’écriture ? Comment oser se faire lire et proposer son manuscrit à un éditeur ? Comment affronter le regard de ses lecteurs et comment ceux-ci nous apprennent au fond qui nous sommes ?"
Interview d'Olivier Sorin par Pierre Granchamp pour BIG LOVE.


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littérature française 



EAN : 9782709665223
220 pages J.-C. Lattès

(09/10/2019)



Critiques, Analyses et Avis (14)
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Sur le bout de la langue - le plaisir du mot juste de Bertrand Périer avec la collaboration d'Adeline Fleury - Éditions JC Lattès - Lu en avril 2020. Bertrand Périer est avocat et enseignant français, spécialiste de l'art oratoire.
Il a écrit "La parole est un combat édité également chez JC Lattès. Adeline Fleury est romancière, journaliste et essayiste. Bertrand Périer est un amoureux des mots comme il le dit lui-même dans son avant-propos. "Les mots sont mes plus chers compagnons"
Il nous dit aussi "je dois aux mots une fière chandelle... D'abord les mots silencieux, ceux qu'on lit pour soi, dans lesquels on se réfugie, qui peuplent la solitude, dessinent des mondes imaginaires, des voyages immobiles et des vies alternatives". Il nous parle de l'importance de la parole et du choix des mots.
Son livre est divisé en plusieurs thèmes : la politique, le langage culinaire, la religion, le sport, l'amour... et bien sûr aussi la Loi puisque qu'il est avocat.
J'ai fait ainsi un parcours parmi les mots, les anecdotes, les souvenirs de l'auteur et ses réflexions dans ces différents thèmes. Cette lecture est agréable, c'est loin d'être un pensum comme pourrait le suggérer le titre, il est accessible à tout un chacun et est instructif.
C'est un amoureux auto-proclamé des mots qui commet cet essai. Mais curieusement j'ai eu plus l'impression de parcourir un recueil de miscellanées qu'un ouvrage sur le langage. Centrés sur différents thèmes, la loi (un domaine familier pour l'auteur), la musique, la religion, la politique, le sport, un peu comme les rubriques d'un journal, et d'ailleurs le contenu des ces chapitres est moins en relation avec les mots qu'avec des souvenirs ou des questions de société. Par exemple dans le chapitre sur les mots d'amour, on peut trouver un paragraphe sur le mariage, le divorce, l'amitié, la drague des soirées d'adolescence, les surnoms ou la parole. C'est intéressant, même si certaines anecdotes sont archi-connues. Mais en tout cas rien à voir avec ce qu'ont pu nous offrir Henriette Walter ou Bernard Pivot , qui témoignant de l'amour de la langue. Des quiz et des jeux sur les mots sont proposés en fin de chapitre illustrant le propos.
C'est assez court, cela se lit facilement même il en reste en fin de compte assez peu de choses. # SurLeBoutDeLaLangue #NetGalleyFrance


Lien : https://kittylamouette.blogs..


"Sur le bout de la langue" est une ode au mot juste, qui nous encourage, pour toujours le trouver, à en découvrir sans cesse de nouveaux. Pas dans le but de crâner, mais parce qu'on ne répètera jamais assez que :
« la parole ne sert pas seulement à exprimer des idées, elle permet également de les faire naître. Elle met le fond en forme autant qu'elle le suscite. Plus la parole est riche, plus les idées le seront à leur tour. »
Sans mot nous ne pourrions ni penser ni communiquer. A l'inverse, plus les mots sont précis, plus la pensée est pointue et la communication efficiente. Par paresse, on se laisse aller à la facilité (Le mot précis se dérobe ? Un remplaçant fourre-tout fera l'affaire !) donnant ainsi raison à ces statistiques désolantes, rappelées par Bertrand Périer : Sur les 60000 mots de la langue française, nous en connaissons environ 5000 chacun et en utilisons seulement 1000 à 2000 par jour !
Erreur. La quête du mot le plus juste devrait être permanente. Car« notre vocabulaire révèle notre rapport au monde tout autant qu'il le façonne. »
Dans cet ouvrage, Bertrand Périer sélectionne 6 thèmes et aborde, pour chacun d'eux, autant la richesse de leur jargon que l'importance de l'art oratoire dans ces matières. Par le biais d'anecdotes ou de définitions personnalisées, il met en exergue l'importance des mots que l'on choisit pour exprimer une idée.
Il rappelle également qu'une foule de vocable est à notre disposition et que, dans n'importe quelle matière, nous en avons besoin pour être justes, nous comprendre vraiment, mieux convaincre. Pour chaque sujet donné, on découvre un vocabulaire démesurément riche qui ouvre de belles perspectives. Ces 6 sujets pouvant toucher un peu tout le monde, chacun peut se targuer de connaître une partie des termes utilisés sans pour autant que ce soit artificiel ou snob. Il est au contraire indispensable de savoir nommer les choses, pour être capable de (mieux) les appréhender.
Ainsi Bertrand Périer nous raconte, pêle-mêle : les plaidoiries de l'avocat (c'est son métier) et l'importance de la maîtrise des termes juridiques, les mots politiques et l'art de faire campagne, l'influence les prêches et les mots liturgiques, le jargon du sport et les tirades des commentateurs sportifs, l'art du sommelier décrivant le terroir des vins et celui des serveurs décryptant les menus des restaurants ; il lie mots et musique ; il met enfin son talent au service des mots d'amour avec, j'ai trouvé, une certaine maestria.
Bien sûr, le lecteur se sentira plus ou moins intéressé et touché par les propos selon ses affinités avec le thème traité (j'avoue avoir lu en diagonale la partie musicale, que je préfère écouter). Mais les épisodes sont assez courts pour ne pas lasser.
Pour couronner le tout, à la fin de chaque thème, vous trouverez des idées pour jouer en famille ou entre amis avec les mots appartenant au thème :
. Après les anecdotes juridiques, il nous invite à organiser en groupe le faux procès du menu de la soirée, ou de la maladresse d'untel, etc…
. Après avoir parlé de religion, il suggère une petite introspection en notant nos propres 10 commandements, ceux que l'on voudrait appliquer au quotidien.
. Pour le jeu politique, il nous demande d'écrire notre propre discours sur un thème qui nous tient à coeur, et propose de le soumettre à un générateur de nuage sur internet, afin de constater quels mots ressortent le plus de notre discours ! Etc…
Et si vous êtes amoureux des mots et avez soif d'en acquérir toujours de nouveaux, l'auteur vous invite encore à un acte qui peut sembler désuet mais non dénué d'intérêt : « rendre visite au plus beau mot de la langue française : le mot « dictionnaire », car il contient tous les autres ! »
Un ouvrage qui se lit comme une conversation avec l'auteur - et par ces temps d'enfermement, une petite discussion sur tout et rien, sur les choses de la vie, c'est divertissant ! Merci babounette pour cette lecture !





« Sur le bout de la langue » ! Ce titre me laissait imaginer tout autre chose… pourquoi ou en quelle circonstance par exemple tel ou tel mot nous échappe, nos relations avec les mots, et pourquoi pas avec les maux qu'ils désignent…
Et bien non, rien de tout ça. Par contre, j'ai découvert un auteur passionné des mots et curieux, sinon gourmand, de tout et profondément humain. En effet, il n'est guère question du plaisir de trouver le mot juste comme l'annonce le titre, mais plutôt d'un tour d'horizon du vocabulaire dans une dizaine de domaines, la justice (le sien), la musique, le sport, la cuisine, la politique, la religion, …. et de disserter autour de ces sujets et des mots ou expressions. Mais j'aimerais dire que j'ai ressenti quelque chose de très particulier avec cette lecture, non seulement je ne l'ai pas quittée de tout un après-midi sauf pour alimenter, presque à regret, mon feu de cheminée, mais j'avais l'impression que l'auteur était comme un ami qui me faisait la conversation et se confiait sur ses expériences autour des mots, ses ressentis qu'il voulait partager, avec gentillesse et générosité. Un vrai plaisir. Alors, bien sûr, certains pourront estimer, peut-être avec raison, d'ailleurs (j'en étais de prime abord), que ce livre ne tient pas ses promesses d'épate linguistico machin, réservées aux connaisseurs ou avertis, et bien pour ma part je m'en suis finalement réjouie, il y en a beaucou
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