Suceuse patentée se donne en spectacle
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Suceuse patentée se donne en spectacle
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Fridayables
Publié: 10 janvier 2011 dans Non classé
3 films moins 1
Publié: 20 décembre 2010 dans Non classé
Economies d’hiboux de chandelles…
Publié: 15 décembre 2010 dans Non classé
Savage waters
Publié: 28 novembre 2010 dans Non classé
Muffin Film Sandwich
Publié: 20 novembre 2010 dans Non classé
Allez hop, un coup d’collier…
Publié: 14 novembre 2010 dans Non classé
Annexe n°2 : Les mini-fiches des FFT
Publié: 25 octobre 2010 dans Non classé
Dans les nanars à voir pour Olivedzep, il y a un film dont il faut que je retrouve le titre.
Le pitch en gros : ca se passe dans le désert surement près du grand canyon, et un énorme ver géant attaque les gens. C’est un souvenir de jeunesse, ca m’est revenu je sais pas comment…
Alt+F4 aborted
Publié: 23 octobre 2010 dans Non classé
Les greffes de l’ennui
Publié: 9 octobre 2010 dans Non classé
Ar nevez lañs ar blog !
Publié: 5 octobre 2010 dans Le Webmaster Parle
Oktober Fest
Publié: 3 octobre 2010 dans Non classé
Kamoulox Filmique
Publié: 28 août 2010 dans Non classé
A Feast For Kro
Publié: 14 août 2010 dans Non classé
Ad Augustus nanarem gloria (si !)
Publié: 7 août 2010 dans Non classé
No friday no cry
Publié: 17 juillet 2010 dans Non classé
Chers lecteurs, je prend le clavier pour vous avertir qu’en raison d’une vague de départs en vacances et l’impossibilité pour vos héros hebdomadaires de se réunir afin de boire quelques binouzes et regarder quelques films, il n’y aura pas de chronique aujourd’hui pour relater les faits d’hier. Qui n’ont donc pas eu lieu. Dont acte. CQFD.
Maintenant excusez-moi, j’ai des choses ensoleillées à faire. Ah !
Je sais, c’est Treymes quin de ma part. (jeu de mot – en rapport avec mon lieu de villégiature.)
This is the place to be
Publié: 10 juillet 2010 dans Non classé
Canicule ta mère
Publié: 3 juillet 2010 dans Non classé
Beasts y boys
Publié: 26 juin 2010 dans Non classé
In the mood for laugh
Publié: 19 juin 2010 dans Non classé
Civilization
Publié: 12 juin 2010 dans Non classé
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VENDREDI, c'est Films Pourris !
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- Prix Pullitzer de l'Académie des Blogs 1987
- Ancien correspondant de guerre en Yonne Maritime (1988-1991)
- Pourfendeur de l'oisiveté
- Bièrologue-sommelier
- Créateur du Minitel et des yaourts Chambourcy oh oui
- Fan absolu de Jimi Hendrix, Django Reinhardt et Justin Bieber
- Ancien membre des Brigades Rouges (1995-2008)
- Pompier volontaire entre novembre et janvier du côté de Maubeuge
Bien, l’année 2010 est enfin finie, et avec elle le souvenir d’environ 80 films chroniqués, une quarantaine de soirées où se sont enchaînés d’atroces supplices ou de bonnes surprises ; un tas de vendredi passés en compagnie de zombies, garous, nazis, mutants, animaux de cauchemar mal synthétisés… Parmi toute cette faune, trois acteurs redondants se sont détachés pour notre plus grande distraction : Trejo, Harrelson et Seagal. Pourvu que ça dure. Ce fut aussi l’année du sommeil interdit, du repos des yeux prohibé et du décrochage exclus pour votre serviteur à qui l’on n’a rien passé. Pourvu que ça dure…
2011, An II du blog, démarre sous des auspices nanardesques inégalés, avec deux films : l’un d’animation, assez long et chiant ; l’autre écrit par Stallone, moi qui croyais que le cinéma d’auteur n’avait pas sa place aux vendredis… Pour ces primes retrouvailles januaires, X. et F. recevaient bien entendu, entourés de V., Y., D., B., G., N., As., FX. et O… Une ‘tite séance d’ouvrage de cadeaux tardifs (merci !!!) et nous passâmes au hors-d’œuvre :
Et que ce fut dur de voir évoluer l’unité d’ultramarines du Macragge -nom du vaisseau impérial- en mission sur une planète corrompue par le Chaos pour aller y chercher un Codex ancien et sacré. L’histoire est celle de Proteus, fraîchement intronisé Ultramarine, et qui vient de faire serment à l’Empereur, à qui on explique que « les campagnes, c’est pas rigolo » alors que lui, comme ses compagnons, rêvent d’aller en découdre.
Ils atterrissent dans un désert. Le capitaine envoie deux marines en éclairage, puis ils se mettent en marche, direction le château où se trouve le Codex, gardé par un chapitre de 1000 soldats. Les ultramarines, c’est déjà pas des rigolos, ils ont tellement de ferraille sur le râble qu’ils se déplacent avec une souplesse toute relative. En plus, on les fait marcher dans un désert brumeux, cerné par d’éventuelles créatures corrompues, il y a de quoi remuer du cortex. Proteus croit d’ailleurs apercevoir des mouvements dans les limbes environnantes. Les autres se moquent de lui, quel charlot ce Proteus, il ferait dans son froc si ses sphincters n’étaient pas automatisés. Mais tout de même, la vaillante troupe d’ultramarines insensiblement mal à l’aise ( « l’Empereur protège, mais si je chargeais mon blaster avec des grosses douilles à bestiaux, ça peut pas faire de mal » )
Vaille que vaille, ces ultramarines (qu’est ce qu’un ultramarine, au fait ? En gros, un paladin du futur, intégriste de surcroît, le genre de soldat de la lumière qui combat les ténèbres, défend la veuve et l’orphelin par obligation morale, et grave « Kill the Heretic » sur ses balles parce que ça fait classe) arrivent enfin au château, non sans avoir essuyé une escarmouche, perdu les eclaireurs, constaté un charnier sur la route (le chapitre censé défendre le lieu) et descendu une paire de démons. Ils croisent alors les derniers survivants : un chapelain et le gardien du Codex.
Opération extirpation : on emmène le bouquin et les deux survivants jusqu’au point de ralliement, dans le désert. Mais le Chaos se fait grouillant et c’est poursuivis par leurs anciens frères (les marines tués et remis sur pieds par la corruption) que Proteus (qui a pris le commandement, le capitaine s’étant fait avoiné) et le reste de la patrouille tente de fuir. Mais heureusement, leur étendard accroche les rayons de la lumière, c’est un signe, il faut se battre : ils canardent de tous les côtés, le chapelain déploit sa force, et même le capitaine réapparaît et fait un carnage au corps à corps dans les rangs de l’ennemi. Ils regagnent alors le Macragge.
Là, le capitaine ouvre le Codex et s’aperçoit que les pages en sont vierges. Tous les doutes sont sur le chapelain et le gardien. Ont-ils été corrompus pendant leur sursis au château ? Et bien en fait, c’est le capitaine qui est perverti par un puissant démon. Il tue presque tout le monde, et c’est dans la basilique du vaisseau que Proteus l’affronte, et même le vainct, grâce à un artefact puissant, un Marteau antique conservé comme une relique et destiné seulement à ceux qui sont dignes de le porter. proteus a prouvé sa dignité, il devient donc, et c’est le prologue de l’histoire, le nouveau capitaine-instructeur du vaisseau.
Mouaip mouaip. Un élan épique mal contrôlé (une histoire pas bien emballante à la base, et rendue encore plus pénible par la mollesse de l’intrigue, la médiocrité des images de synthèse (comparable à une cinématique de jeu vidéo de 2004 : alors regarder ça pendant 1h10, bonjour les yeux…) et surtout, le fait que les paladins vertueux, perso, ça m’emmerde beaucoup. Mais bon, c’était à voir.
Miséricorde, comment passer sans transition de cet univers à celui qui a germé dans l’esprit de Stallone ?
The Expendables est probablement ce qui se fait de mieux en terme de casting de film d’action. Stallone, Schwarzenegger, Statham, Li, Rourke, Willis, Lundgren, plus une paire de catcheurs et Eric Roberts en méchant furieux. Une fois la liste des invités dressée, qu’a-t-on à se mettre sous la dent ?
Soyons objectifs et berçons-nous de la douce illusion que Sylvester est un scénariste de génie.
Alors on dirait que je suis un mercenaire qui traîne dans un hangar avec mes autres potes mercenaires, et on dirait qu’on a plein de tatouages et qu’on aime les gros flingues et les couteaux. Pour montrer qu’on est sans peur et sans caboche, on attaque des pirates somaliens et on les pend parce qu’on rigole pas. Bon, les pendre, c’est un peu too much, on veut bien les défoncer à l’ogive explosive mais la corde c’est pas gentil : on est des bad boys mais au grand coeur. Bon, on dirait que Dolph veut en pendre un quand même. Alors moi j’envoie Jet Li l’empêcher et ils se battent, mais on neutralise Dolph et on repart en ayant délivré les otages des pirates, même que c’est du bol qu’aucun ne soit mort parce qu’on a un peu tiré au hasard sur le bateau. Faudrait qu’en revenant, Statham il aille voir sa copine, mais on va dire qu’elle le trompe, ce sera original. Et puis comme on est des mercenaires, la CIA va nous appeler pour une mission dangereuse. Ce sera Bruce Willis le gars de la CIA et Arnold viendra faire une apparition, ce sera cool, on pourra se lancer des vannes. Bon, alors…Bruce va nous envoyer… oh, on dirait que ce serait sur une île, et là-bas, faudra… buter un dictateur ! Un mexicain, tien, putain de mexicains ! Alors attends, on va aussi dire que le dictateur sera ami avec un ex-agent de la CIA qui est devenu méchant et fait du trafic de drogue sur l’île ! Oh putain, ça va être bonnard ! Et le dictateur aura une fille rebelle, gnéhéhé, et pour y aller inaperçu, moi et Statham on se déguisera en ornothi honri or-ni-tho-logue OH PUTAIN UN MOT SAVANT faire des photos de reconnaissance. Bon l’ile faudrait qu’on lui donne un nom mystérieux et pas cool, qui sonne mexicain. Ouaip un truc genre Vilena, mais mieux…. euuuuuuuuuuh… euhhhhhhh… bon, je garde Vilena. Là, on dirait que ça tourne mal parce qu’on rencontre la fille, pour dire qu’elle est pas comme son père, il faudra qu’elle fasse des dessins comme si c’était une artiste. Bref on la rencontre, mais il arrivera plein de merdes avec les soldats. Alors on va se barrer en avion, mais faut plein d’explosions, alors on fait demi-tour avec le navion et poum ! Jason il tirera sur l’armée de l’île avec une mitraillette et puis après on lâche de l’essence et on fait tout sploser !!!!!!!!! Après on revient en Amérique. On fait une scène pour les pleurnicheuses avec Mickey Rourke. Il dira que son petit chien est mort qu’il a plein de remords parce qu’il a vu une femme se suicider en Bosniaquie. Ce sera plein d’émotion et ça fera plaisir aux femmes et aux pédés qui voudront voir le film. Bon là je me mettrai à cogiter et je voudrai aller retourner sur Vilena sauver la fille. Par contre faire la mission, ah non, même pour 5 millions de dollars, ça pue trop le traquenard de la CIA. Donc je vais aller tuer tout le monde là-bas, mais gratuitement. Bon, faut corser la mission, donc on dirait que Dolph va travailler pour le dictateur parce qu’il est pas content qu’on le laisse pas pendre un pirate, et même la fille du dictateur elle sera en prison, mais de toute façon je reviens que pour elle.
Là je prends Jet Li avec moi pour une course-poursuite en voiture. Il se battra contre Dolph, ça fera comme du David contre Goliath, sauf que cette fois c’est David qui gagnera ! Bref je tue Dolph, mais avant de mourir il nous révèlera pour qui il travaille, ce sera intense ! Là on retourne tous sur Vilena, moi et tous les autres potes expendables, on est d’accord pour aller nettoyer la vermine de Vilena. Bon, faudra prévoir un gros budget effets spéciaux et des grosses splosions qui font boum ! J’en veux partout, avc des os qui craquent et du sang qui gicle, et des gros guns qui crachent du bruit. On dirait que le dictateur est de moins en moins copain avec le méchant ex-CIA, et que quand son palais est attaqué par nous, il retourne sa veste, mais l’ex-CIA le tue par derrière, comme un traître. Bon, là on court à travers le feu et les soldats on en fait tous de la charpie, et à la fin Jason et moi on tue le méchant et j’épouse on repart de l’île sans rien faire à la fille, juste pour l’honneur parce qu’on a un grand coeur. On dira qu’à la fin on se retrouve tous entre potes au bar de Mickey Rourke, OH J’AI UNE PUTAIN D’IDEE on dira même qu’il y aura Dolph parce qu’en fait il est pas vraiment mort, c’est même à nouveau notre ami même s’il a voulu nous tuer, pas grave. On termine avec du slam, les jeunes ils aiment bien, et comme ça, si toute la bande est de bonne humeur, ça fait un super tremplin pour une suite !!! OUAIP ! Bon j’vais demander à Chuck, Jean-Claude et Steven s’ils sont dispos pour Expendables 2.
A ce jour, et d’après ce que j’ai vu du film, Stallone est resté fidèle à l’idée originale. Bon, ça m’arrache les yeux de devoir le dire, mais ce film, aussi médiocre fut-il, devait être fait. Petite déception : il y avait trop de dialogues. On veut déjà bien se taper une heure et demi de n’importe-quoi, c’était pas la peine de nous en faire entendre par dessus le marché. Mention spéciale aux lèvres de Stallone, aussi gonflées en botox que son futal en testostérones.
C’était navrant navrant navrant. Mais drôle.
Une bonne semaine à tous, on se retrouve prochainement.
En musique, un bon vieux Wreckless :
Et bonsoir ! Un jour bien froid que ce dernier dimanche pré-festif. Vous avez monté le chauffage ? Sorti les petites laines ? Fait bouillir du café ou du thé ou du chocolat (on oublie trop souvent les vertus du cacao, avec du pain d’épice) ? Doubler l’épaisseur des couvertures ? Monté des plaques isolantes sous les boiseries craquelantes du vieux toit de votre manoir alpin ? Si c’est le cas, vous n’avez plus qu’à mettre les pieds sous le bureau -ou la table- ou trône votre ordinateur, à mettre une petite musique d’ambiance, et à lire ma chronique avec autant de plaisir que j’en ai eu à l’écrire. Car cette semaine, on a eu de tout. Trois films avec trois desseins différents : un dessin animé fun tout d’abord, une incroyable merde ensuite, et une excellente comédie pour finir.
Le salon de F. et X. était assez bondé ce vendredi, avec Y., V., G., N., FX., Al., As., C., B. et O. On ne saurait louer plus bel échantillon de gens de si grande foi, et la seule gratification qui en résulta fut le visionnage d’un film apporté par Y. Et on sait tous ce que veut dire « film apporté par Y. »
WARNING | Règlement des soirées « films de merde du vendredi » | article 525, paragraphe 8 | Tous les films, dessins animés, documentaires ou « trucs géniaux » apportés par Y. devront être soumis à un examen rigoureux de la part des autres participants. Mettant souvent en valeur des animaux féroces voire mutants, ces films ont aussi et surtout la particularité d’être péniblement longs et mal réalisés, et ont généralement servi de moyens de torture dans les goulags soviétiques. La prudence la plus extrême doit vous saisir lorsque vous voyez Y. rigoler sournoisement en essayant de cacher un dvd dans son dos pour vous en faire la surprise.
Ayant pris à la légère ces indications pourtant rabâchées hebdomadairement, nous eûmes donc droit, comme je vous le disais, à ce supplice.
Mais avant, pour retenir F. sur son canapé et pour mettre tout le monde dans de bonnes dispositions, un dessin-animé, Moi, Moche Et Méchant . Deux dessins animés en deux semaines après Ga’Hool . Mais dans un tout autre registre.
Gru est un ignoble voleur à l’accent slave indéniable et à l’ambition démesurée. Auteur de rapts ingénieux (l’ecran géant de Time Square entre autres) mais pas assez époustouflants à son goût, et poussé par la concurrence de super-méchants plus mégalomanes que lui (dont un certain Vecteur, qui deviendra son ennemi juré), il prépare ce qui sera l’apothéose de sa carrière : le vol de la Lune !
Pour mettre au point ce projet, Gru est aidé par son assistant, le Dr. Nefario, et par toute une équipe de petits personnages jaunes bizarres qui ne sont pas des Simpsons mais des Minions. Ceux-ci, inspirés par les Lapins Crétins, font…. le même genre de conneries que les lapins crétins… Gru a aussi besoin du financement de la banque (une banque spéciale pour les vilains comme lui) afin de construire une fusée, laquelle selon son plan, l’emmènera dans l’espace où, à l’aide d’un rayon rétrecisseur, il compte rapetisser la Lune pour s’en emparer. Simple comme bonjour, sauf que le banquier lui refuse ce crédit, sous prétexte que Gru doit laisser sa place aux jeunes. Pour mieux comprendre les motivations de ce banquier, sachez que son fils est Vecteur, et que Vecteur vient juste de voler une pyramide égyptienne, c’est dire le pedigree !
Mais Gru ne veut pas en rester là (sinon il y aurait eu un générique de fin et ça n’aurait eu aucun sens !) Comme Vecteur est en possession du fameux rayon rétrecisseur et qu’il le garde planqué chez lui (une villa qui a des allures de citadelle imprenable), Gru doit utiliser la ruse. Il adopte trois filles dans l’orphelinat voisin et se sert de leur talent de vendeuses de biscuits pour infiltrer la barraque. Gru passe donc en douce des biscuits-robots chez Vecteur, qui déjouent le système de sécurité et permettent à Gru d’entrer et de dérober le rayon.
Entretemps, les filles ont pris beaucoup de place dans la vie de notre héros, et comme dans toute histoire de cet acabit, on s’attend à ce qu’elles lui fassent fondre son cœur de glace. Tout y passe : l’histoire avant de dormir, jouer avec, les cours de danse… Gru s’attache évidemment aux petites et perd un peu de vue son plan initial : voler la Lune, donc. Heureusement que son pote Nefario est là pour lui rappeler les priorités.
Comme Gru ne peut pas s’appuyer sur la banque, il confectionne lui-même sa fusée, s’envole, part réduire la Lune, et la ramène sur Terre. Sauf que pendant ce temps les gamines donnaient leur récital de danse et que Vecteur les a kidnappées ! S’ensuit une course-poursuite rythmée par le gag attendu : la durée du rétrécissement est courte, la Lune risque de reprendre sa taille normale incessamment sous peu. J’ai des scrupules à vous laisser sur votre faim, mais vous vous doutez bien que tout se terminera de la meilleure des façons, donc inutile de dévoiler le dénouement trop précisément.
Qui a eu son permis cette semaine ? ^^
Un animé très sympa, des situations tordantes, une bonne exploitation des « minions » (trop cons !), ça valait vraiment le coup d’œil. Certains gags ne sont pas forcément discernables par les enfants, ce qui en fait un film vraiment tous publics. Pas du temps perdu, ni
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Jolie masseuse et son client