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Il me semble bizarre de penser à boire son propre sperme ! Cela dit, si vous avez une IST comme un herpès, vous pouvez vous transmettre éventuellement un herpès bucal, vu qu'il s'agit d'une maladie localisée... Donc c'est plutôt à déconseiller !
Ses convictions : Chacun doit être encouragé à prendre en charge sa santé physique et mentale car la médecine et les médecins ne peuvent pas tout, loin de là. Et si tout le monde le faisait, les systèmes d’assurance maladie feraient du bénéfice !
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L’alimentation qui soigne de Claire Andréewitch
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Publié le 02/09/2017 à 16h18




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Vous lisez actuellement : Quelle est la durée "normale" d'un rapport sexuel ?



Par justinien10 le 05/09/2017 à 11:16




Par Dizul le 04/09/2017 à 16:28




Par jacswr le 04/09/2017 à 10:05


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Pas besoin d'être scientifique pour se poser la question. Appuyé contre la tête de votre lit après un coït bien trop court à votre goût, vous vous êtes peut-être déjà demandé : quelle est la durée « normale » d'un rapport sexuel ? Eh bien sachez que les scientifiques se posent la même question. Ils se contentent de la formuler différemment, d'une façon obscure et presque comique : quelle est la durée moyenne de latence de l'éjaculation intravaginale ?
Bien sûr, le sexe ne se résume pas à l'introduction d'un pénis dans un vagin et à une éjaculation. Mais il peut être difficile de déterminer ce qui en fait partie, ou pas – faut-il compter, ou pas, les préliminaires et, si oui, lesquels ? Dans un souci de simplicité et de précision, nous nous concentrerons donc sur la période allant de la pénétration à l'éjaculation.
Mesurer sa durée moyenne n'est pas une mince affaire. Pourquoi ne pas demander directement aux gens combien de temps ils mettent, me direz-vous ? Eh bien, cette méthode poserait deux problèmes majeurs. Tout d'abord, les estimations données risqueraient d'être surévaluées. Il est socialement tentant, en effet, de prétendre que vos ébats se sont poursuivis jusque tard dans la nuit.
Ensuite, on n'est pas forcément capable de dire combien de temps cela a duré. Le sexe n'est, en principe, pas une activité pendant laquelle nos yeux sont rivés sur le réveil posé sur la table de chevet. Or, fournir une estimation sans aucune assistance peut se révéler difficile si l'acte a été particulièrement exaltant.
La meilleure étude , parmi celles qui ont cherché à estimer la durée moyenne de la période menant à l'éjaculation dans la population générale, a été menée auprès de 500 couples originaires de divers endroits de la planète. Ceux-ci devaient mesurer, à l'aide d'un chronomètre, la durée de leurs relations sexuelles pendant une période de quatre semaines.
Oui, vous avez bien lu : aussi bizarre que cela puisse paraître, les participants devaient appuyer sur le bouton start au moment de la pénétration du pénis, puis sur le bouton stop lors de l'éjaculation. Vous objecterez sans doute qu'une telle action est susceptible d'influencer l'humeur des participants, et qu'elle ne rentre pas vraiment dans l'ordre naturel des choses. Mais il est rare que la science atteigne la perfection, et cette méthode est la meilleure que nous ayons trouvée.
Mais alors, pour quels résultats ? Le principal enseignement est que ceux-ci varient considérablement d'un couple à l'autre. La moyenne de chaque couple (calculée à partir de tous leurs rapports sexuels pendant la période de quatre semaines) va de 33 secondes pour la durée la plus courte, à 44 minutes (soit 80 fois plus !) pour la plus longue.
Il est donc clair qu'il n'y a pas une durée « normale » pour le rapport sexuel. La durée moyenne (médiane en fait, techniquement), mesurée à partir de celles de tous les couples, s'élève à 5,4 minutes. Ce qui signifie que, si l'on classe tous les couples participants, du rapport sexuel le plus court jusqu'au plus long, celui du milieu arrive à une moyenne de 5,4 minutes sur cette période de quatre semaines.
L'étude a également dégagé quelques enseignements secondaires. Par exemple, l'usage de préservatifs ne semble pas avoir d'effet sur la durée du rapport, pas plus que la circoncision éventuelle chez l'homme. Ces résultats ont le mérite de remettre en cause quelques croyances traditionnelles quant à la relation entre la sensibilité du pénis et son efficacité au lit.
L'origine géographique n'a pas beaucoup d'influence non plus – mis à part pour les couples turcs, dont les rapports semblent être sensiblement plus courts (3,7 minutes) que ceux des autres pays concernés ( Pays-Bas , Espagne , Royaume-Uni et États-Unis ). L'âge des participants, en revanche, n'est pas neutre : plus un couple est âgé, plus les relations sexuelles sont courtes, contrairement à l'idée reçue (certainement colportée par des hommes d'un certain âge).
En tant que chercheur intéressé par le thème de l'évolution, tous ces débats sur la durée du rapport sexuel m'amènent à une question : pourquoi est-ce que cela prend du temps tout court ? La seule chose qui justifie un rapport sexuel est, semble-t-il, la délivrance de sperme dans le vagin. Pourquoi, alors, tous ces mouvements de va-et-vient ? Pourquoi, plutôt que de glisser son pénis et de le retirer plusieurs centaines de fois à chaque rapport, ne pas tout simplement l'introduire une seule fois, éjaculer, puis aller boire une limonade et passer à autre chose ?
Avant de me répondre « Parce que c'est amusant ! », rappelez-vous que l'évolution n'accorde aucune importance à l'amusement en tant que tel. Elle ne fait que « concevoir » les choses de manière à les rendre plaisantes, ce critère étant rempli si celles-ci ont encouragé nos ancêtres à transmettre leurs gènes aux générations suivantes. Par exemple, même si nous apprécions la nourriture, nous ne passons pas cinq minutes à mâcher chaque bouchée, simplement pour apprécier la chose plus longtemps. Ce serait inefficace. Nous avons donc évolué de telle façon que cela nous paraît aujourd'hui dégoûtant.
S'il est impossible de fournir une explication définitive à la durée de nos rapports sexuels, le début d'une réponse peut être fourni par la forme du pénis. En 2003, des chercheurs ont montré – à l'aide de vagins et de pénis artificiels, ainsi que de sirop de maïs pour faire office de sperme – que la crête qui entoure la tête du pénis éloignait le sirop qui préexistait dans le vagin.
Cette expérience montre que les mouvements répétés de l'homme pourraient avoir pour objectif d'éloigner le sperme laissé par d'autres hommes, et ainsi de s'assurer, au moment de l'éjaculation, que ses petits nageurs auront les meilleures chances d'atteindre l'ovule les premiers. Ce phénomène pourrait d'ailleurs expliquer pourquoi l'homme éprouve de la douleur lorsqu'il poursuit ses mouvements après l'éjaculation : il risquerait alors d'évacuer son propre sperme. Que déduire, finalement, de tous ces résultats ? Si je peux vous donner un conseil, essayez de ne pas trop y réfléchir au beau milieu de vos ébats amoureux.

*Brendan Zietsch est chercheur en génétique à l'université de Queensland ( Australie ).
Palmarès des hôpitaux et cliniques, dossiers spéciaux, conseils et astuces… Retrouvez chaque mardi notre sélection d’articles issue de notre rubrique Santé.
Le secret : retarder justement la conclusion

J'ai largement battu le record évoqué, en dépassant les deux heures, mais le secret est simple : excitation, mais retarder au maximum la conclusion, en s'accordant même des pauses ; le plaisir est multiplié pour la dame, et extraordinaire pour monsieur.
Et les préliminaires sont... Essentiels. Une femme habile peut aisément ranimer la flamme d'un homme. Et même si l'homme est fatigué, il reste bien d'autres moyens de donner du plaisir à une femme que la simple pénétration virile.
Le plaisir suprême pour moi est de constater celui de ma partenaire : celui de l'homme, si facile à obtenir, vient après

Mais si, je reviens. J'ai lu, vous et d'autres, avec un réel intérêt et, n'en doutez pas, du respect. Certes trop timide pour me raconter ainsi, bien vu. Mais je n'ai pu m'empêcher d'un bon (et gentil) mot sur un sujet encore trop souvent tabou. Merci.

Au risque de vous contredire, plus je vieillis et plus la durée augmente... Sans doute parce que je prends mon temps, que je n'ai plus rien à prouver et que mes vieilles artères sont moins réactives ! Bref le colporteur vous salue et souhaite durer encore longtemps...
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Publié par Dr Catherine Solano , le 07/04/2004 à 02:00
Lorsqu'un chirurgien opère un patient pour cancer de la prostate, il prend soin de conserver les nerfs de l'érection, de manière à maintenir les meilleures possibilités de sexualité par la suite.
Mais, quelque soit l’attention et l'expérience du part du chirurgien, pendant un temps, l'érection cesse après l’intervention . C'est normal, à cause du choc opératoire. Les nerfs, même préservés parfaitement, ont été étirés et agressés. Ils ont besoin de temps pour retrouver leur fonctionnement.
Ainsi, pendant les trois premiers mois qui suivent une telle intervention de la prostate, les érections sont faibles voire inexistantes. Puis, entre trois et neuf mois réapparaît spontanément une intumescence, gonflement de la verge qui n’est pas encore tout à fait une érection. Et encore plus tard, entre 8 à 24 mois, l'érection redevient suffisante pour permettre à nouveau des rapports sexuels.
Ainsi, peuvent se passer deux ans avant de retrouver une possibilité de relations sexuelles correctes. Deux ans, c'est un très long moment d'apnée pour le pénis qui souffre du manque d'oxygénation !
C'est pour cela qu'en prévention, on pratique la rééducation pénienne active . Le geste rééducateur consiste en une injection dans le pénis, à l'aide d'une aiguille extrêmement fine d'une substance qui déclenche l'érection. Les trois premiers mois, la dose de produit utilisé est très faible de manière à permettre un léger afflux de sang favorable à l'oxygénation, donc une tumescence pas complètement rigide. Puis, après trois mois, il est possible d'augmenter les doses de produit actif pour déclencher une érection suffisante pour des relations sexuelles.
$$Des injections qui servent à différents troubles de l'érection $
Ces injections se font au rythme d'une ou deux par semaine à une fois tous les dix jours, en fonction de l'homme et des réactions de l'organe à rééduquer !
C'est ainsi que la chirurgie des cancers de la prostate a permis de mieux connaître l'effet positif de certains produits actifs : en cas de long moment sans érection, il peut être nécessaire de donner un coup de pouce à la nature ! On peut donc penser que pour des troubles de l'érection durant trop longtemps, et dont l'origine est toute autre, il est licite de proposer cette même rééducation, même s'il faut bien sûr en chercher et en soigner la cause initiale. Cela s'envisage dans le cas où les médicaments par voie orale se révèlent inefficaces.
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Petit guide de la masturbation pour se faire plaisir


Après la lecture de ce sujet, vous saurez tout sur la masturbation. Et vous saurez aussi comment vous faire grandement plaisir. Parce que se masturber est plus que normal, suivez le guide !
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La masturbation, c’est la stimulation manuelle et solitaire des organes sexuels (pénis pour les garçons et clitoris et vagin pour les filles), dans le but de provoquer une excitation et éventuellement un orgasme. Cette pratique sexuelle existe depuis que l’humain est sur Terre. Se masturber est normal et naturel . Tout le monde ou presque s’est déjà masturbé ou se masturbe encore, jeune ou moins jeune, avec plus ou moins de fréquence.
Un petit point avant d’aller plus loin : non, la masturbation ne rend pas malade , ni obsédé, ni stérile, ni impuissant, ni sourd…et oui, même s’il est encore plus courant et facile pour les garçons de parler de ce sujet, les filles sont toutes aussi concernées… et actives !
Quand on débute sa puberté, le corps se transforme. Les organes sexuels (pénis ou vulve) se développent et la production d’hormones sexuelles (testostérone chez les garçons et estrogènes chez les filles) s’accélère. Sous l’influence de ces hormones, notre cerveau est stimulé plus ou moins en permanence par une excitation latente, que l’on qualifie de désir sexuel . Dans l’attente d’une certaine maturité sexuelle (physique et psychologique) et afin de réguler cette montée du désir, les garçons et les filles peuvent avoir recours une stimulation manuelle de leurs organes génitaux, appelée masturbation, plus pudiquement nommée « caresse », ou plus populairement « branlette » (quelle poésie).
Filles et garçons se masturbent tout simplement pour se faire plaisir. La masturbation fait du bien, elle apaise, elle détend … Elle aide aussi à dormir. Se masturber, c’est s’accorder un moment de bien-être !
Une autre vocation de la masturbation est celle de l’apprentissage et de la découverte de son corps . Les transformations physiques qui interviennent au cours de la puberté sont de grandes interrogations de la part des filles et des garçons qui n’ont pas été préparés à cela. Partir à l’exploration des organes et de leur fonctionnement joue un rôle très important à la préparation de la sexualité.
Les garçons utilisent parfois la masturbation, comme d’un régulateur mécanique de leur éjaculation. En effet, en se masturbant peu avant un rapport sexuel (une à deux heures avant), ils réduisent leur « potentiel d’excitation ».
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