Sucer le danseur

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Sucer le danseur


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↑ Michèle Alliot-Marie, alors ministre de la Défense en France.

↑ Dominique Strauss-Kahn.

↑ Roselyne Bachelot , alors ministre français de la santé.

↑ Révélé par Coluche dans le sketch de la publicité [ archive ]

↑ Voir le blog michel13blog.canalblog.com [ archive ] du 31 décembre 2010.


Aimable souvent – Et sables mouvants.
À la campagne, je perçois dans ma couche les mouvements des bœufs. – A la campagne, je perçois dans ma bouche les mouvements des queues.
À veaux sensibles, pis délicats. – À peaux sensibles, vits délicats.
Allons, ma fille, essuie ça vite et bien. – Allons ma fille, essuie sa bite et viens.
Alain Afflelou. – Alain a le flou.
Après l'examen, les bachelières livrent leur Kant au feu. – Après l'examen, les bachelières livrent leurs fentes aux queues.
Arriver à pied par la Chine – Arrivé à chier par la pine
Art mathématique – Ah, matez ma trique
Arrêtez, ça me brouille l'écoute – Arrêtez, ça me broute les couilles.
Attention le pont va casser . – Attention le con va passer.
Attention vous videz vos nouilles sur ma cape ! – Attention vous videz vos couilles sur ma nappe !
Au pensionnat, elles ont toutes un toit pour se doucher. – ...elles ont toute un doigt pour se toucher.
Au vu de la vieille icône, l'élection du Grand parait problématique [1] – Au cul de la vieille Yvonne, l'érection du gland parait problématique.
Au Zambèze, les filles sont belles et gentilles – Aux Antilles, les filles sont belles et j'en baise
Aucun étudiant n'est jamais suffisamment fort pour ce calcul ! – Aucun étudiant n'éjacule suffisamment fort pour se calmer !
Aux sites de Bologne, je préfère les mines de Pompéi [1] . – Aux bites de Sologne, je préfère les pines de mon pays.
Avec leur nouveau règlement sur les munitions ils nous en perdent. – Avec leur nouveau règlement sur les punitions, ils nous emmerdent.
Avec leurs potes elles font rendre les mines. – Avec leurs mottes, elles font rendre les pines.
Avez-vous vu le bond de la crue. – Avez-vous vu le con de la bru.

(ou Hôtel du congre debout et du bon coucher ) – Hôtel du bougre de con et du con bouché

Le choix dans la date - Le doigt dans la chatte
Bouchée à la reine – Bourrée à la chaîne
Rillettes en fût – Fillettes en rut
Tourte de cailles – Courte de taille ou Tarte de couilles
Mouton bouillant – Bouton mouillant
Le caneton à la russe – Le carton à l'anus
Les nouilles cuisant au jus de cane [1] – Les couilles nuisant au cul de Jeanne
Riz Condé – Con ridé
Jolies tranches dans le mou (la fine ou l'épaisse) – Jolies manches dans le trou (la pine ou les fesses)
Escalopes sur une belle salade – Escalade sur une belle salope
Goûtez nos farces ! – foutez nos garces
Veau de Nice – vit de noce
Blanquette de Québec – quéquette de blanc-bec

Côtes du cru – crottes du cul
Poire à la fine – Foire à la pine
Les "glacés du Mans" – Les massés du gland
Crème au goût de Mont-Blanc – Crème au bout de mon gland
Vieux marc très doux – Vieux dard très mou

Baigneurs, admirez-moi ces cites ! – Seigneur, admirez-moi ces bites !
Barrette de shit. – Charrette de bites.
Basculer sur le terrain de l'enquête. – Enculer sur le terrain de basket.
Beau Rahan débite des caisses ! – Déborah encaisse des bites
Bête du fruit. – Faites du bruit.
Bob hésite. – Zob et bite.
Bouilleur de cru . – Couilleur de bru.
Bruno et son habit. (sans tabou) – Bruni et son nabot.

Cabine 13 (treize). – Catherine baise
Calculer en 100 leçons. – s'en**** en caleçons
Cassoulet. – Eh ! Ça coule.
Ce cabot de curé a des nouilles au jus [1] . – Ce nabot de juré a des couilles au cul.
Ce couvent de femmes a été fondé par les Saluces. – Ce couvent de femmes a été sondé par les phallus.
Ce cric a l'air bon. – Ce brick a l'air con.
Ce jeune homme a une mine piteuse. – Ce jeune homme a une pine miteuse.
Ce jeune homme est attaché aux bons Cordeliers. – Ce jeune homme est attaché aux cons bordeliers.
Ce jeune homme sort de l' École des Mines de Paris . – Ce jeune homme sort de l'École des pines de Marie.
Ce n'est pas au pieu qu'est réservé le plaisir de diner. – Ce n'est pas aux dieux qu'est réservé le plaisir de piner.
Ce n'est pas tout d'avoir un bon jute, il faut savoir rouir. – Ce n'est pas le tout d'avoir un bon rut, il faut savoir jouir.
Ce petit bouillon fait la joie du corps. – Ce petit couillon fait la joie du bord.
Ce pichet a une belle mine. – Ce michet a une belle pine.
Ce terrible mondain s'insinue entre les riches. – Ce terrible rondin s'insinue entre les miches.
Ces garçons ont appris a calculer en cent leçons. – Ces garçons ont appris à enculer sans caleçons.
Ces luttes perpétuelles épuisent la malheureuse Russie. – Ces ruts perpétuels épuisent la malheureuse Lucie.
Ces vastes fouilles n'ont donné que de vieux coutres. – Ces vastes couilles n'ont donné que de vieux foutres.
Ces vastes souilles améliorent le port de votre Calvi. – Ces vastes couilles améliorent le sort de votre pâle vie.
C'est le petit vieux qui vend de la serge. – C'est le petit vieux qui sent de la verge.
C'est un fâcheux problème de math. – C'est un fameux problème de chatte.
C'est un ministre décent. – C'est un sinistre dément.
C'est une jolie bête qu'un faucon. – C'est une jolie fête qu'un beau con.
Cette crue n'interdit pas d'aller jusqu'à la grotte. – Cette grue n'interdit pas d'aller jusqu'à la crotte.
Cette femme a l'allure douteuse. – Cette dame à l'allure fouteuse.
Cette fois, j'ai senti le bout de ses galoches. – Cette fois, j'ai senti le goût de ses baloches.
Cette lutte est vraiment passive. – Cette pute est vraiment lascive.
Ce Messier est fou ! – Ce Fessier est mou !
Chirac , au fond à Bernadette , il préfère les caisses noires. – Chirac, au con à Bernadette, il préfère les fesses noires.
Ce sénégalais avait une chopine de cola. – Ce sénégalais avait une pine de chocolat.
Clotilde au nom pas irakien et qui n'est pas une barbouze sort d'une vilaine partie. [1] – Clotilde au con pas iranien et qui n'est pas une Barbie sort d'une vilaine partouze.
Ces danois me font penser à deux gros bœufs longs.
Cœur de bouillon. – Beurre de couillon.
Combien y a-t-il de feux dans votre Nantes ? – Combien y a-t-il de nœuds dans votre fente ?.
Comment peut-on dîner avec si maigre part ! – Comment peut-on piner avec si maigre dard !
Comment vider notre cale sans boucher le trou du fond. – Comment vider notre fale sans boucher le trou du con.
Conan le barbare . – Connard le barbant.
Couds-la au fond ! – Fout-la au con !
Couper les nouilles au sécateur ! – Couper les couilles au sénateur !
Croix-de-feu . – Froide queue.
Curieuses Fouilles – Furieuses Couilles.

Daffy Duck. – Daddy fuck.
Dans ce siècle de perdition, toutes les jeunes filles doutent de leur foi. – Dans ce siècle de perdition, toutes les jeunes filles foutent de leurs doigts.
Dans la nuit, les Terre-Neuviens craignent les proues qui tuent. – Dans la nuit, les Terre-Neuvas craignent les trous qui puent.
Défense aux dames patronnesses de quêter sur un pliant. – Défense aux dames patronnesses de péter sur un client.
Des colonnes de gauchistes se branchent sur l'Irak. – Des cochonnes de gaullistes se branlent sur Chirac.
Des pêcheurs en quête de thon. – Des pêcheurs en tête de con.
Des piles de boîtes. – Des poils de bite.
Deux carrioles sans mulets. – Deux marioles s'enculaient.
Direction et gestion. – Digestion érection.
Dommage, j'étais en face de la poutre. – Dommage, j'étais en passe de la foutre.
Du moment que j'ai la cote je n'ai pas besoin de ton dû. – Du moment que j'ai la dote, je n'ai pas besoin de ton cul.
Dur, dur. – Dur, dur.


Encore des nouilles (Pierre Desproges)
Écartez la mouche de cette colonne ! – Écartez la moule de cette cochonne !
Échec et mat ! - Et mec et chatte !
Elle a glissé dans la piscine avec son caleçon de satin [1] . – Elle a pissé dans la glycine avec son sale con de catin.
Elle appréhende les pistes indigènes. – ...les pines indigestes.
Elle a reçu toute la farine sur sa mante. – Elle a reçu toute la marine sur sa fente.
Elle cuvait quand on l'a emballée. – Elle bavait quand on l'a enculée.
Elle en fait des chichis pour une pauvre mite dans sa botte ! – Elle en fait des chichis pour une pauvre bite dans sa motte !
Elle hésitait à dévoiler son but devant tant de candeur. – Elle hésitait à dévoiler son cul devant tant de bandeurs.
Elle m'a menti la sotte ! – Elle m'a senti la motte !
Elle mastique la sotte ! – Elle s'astique la motte !
Elle me met la garce sur le flanc pour me sécher ! [1] . – Elle me met sa farce sur le gland pour me lécher !
Elle a été souillée jusque dans la nuque. – Elle a été couillée jusque dans l'anus.
Elles sont mordantes, les pipelettes de Pau ! ! ! ! – Elles sont mordantes, les pipes de Paulette !
Emballé par la canicule. – Enculé par la cannibale
En dérobant ses valoches, Carla nie que Sarko a un plan de rigueur : « Voyez son plan aguerri. » [1] – En dévorant ses balloches, Carla nie que Sarko a un gland de rippeur. « Voyez, son gland a péri. »
En orient j'ai vu un grand nombre de sites en babouches. – En orient, j'ai vu un grand nombre de bites en sa bouche.
En pull Lacoste. – Encule la Poste.
En se couchant, le valet pense à fermer la lumière. – En se couchant, le valet pense allumer la fermière.
Encore une tine de pâté ! – Encore une pine de tâtée !
Encouragé par sa femme le bûcheron fendait dix bois par jour. – Encouragé par sa femme, le bûcheron bandait dix fois par jour.
Et surtout par son admirable beauté de sites. – Et surtout par son admirable sauté de bites.
Elles habitent des gîtes immondes. - Elles agitent des bites immondes.
Elle en a bu une vite. - Elle en a vu une bite.

Feindre à la presque. – Peindre à la fresque.
Fer de mine. – Merde fine.
Fourgon blindé. – Bourdon flingué.

Garçon, où fourre-t-on les billes ? – Garçon, où bourre-t-on les filles ?
Ghislaine jouit d'un nom bien coté. – Ghislaine jouit d'un con bien noté.
Goûtez-moi cette farce. – Foutez-moi cette garce.

Hâtez-vous de me faire la cour avant d'être marié. – Hâtez-vous de me faire l'amour avant d'être carié.
Henri a été maculé de boue. – Marie a été enculée debout.
Horrible, l'abysse de béton. – Horrible, la bite de Besson.

Giscard est rentré d'Afrique avec des diapos plein les manches (Canard enchaîné). – Giscard est rentré d'Afrique avec des diamants plein les poches.
Il a laissé tomber sa gomme sur son plan. – Il a laissé tomber sa pomme sur son gland.
Il courait tant de buts divers, qu'il en perdait sa belle mine [1] . – Il bourrait tant de culs divers, qu'il emmerdait sa belle pine.
Il est arrivé à pied par la Chine. – Il est arriver à chier par la pine.
Il est trop bon pour la quitter. – Il est trop con pour la biter.
Il étale la pâte sur la bûche – Il étale la pute sur la bâche
Il fait beau et chaud – Il fait chaud et beau
Il faut être peu pour bien dîner . – Il faut être deux pour bien piner.
Il faut qu'il rende, ce vieux bouquin. – Il faut qu'il bande, ce vieux rouquin.
Il la mouche parce qu'elle est alitée. – Il la touche car elle est à limer.
Il le dit à deux femmes. – Il le fit à deux dames.
Il m'a promis son tennis. – Il m'a trop mis son pénis.
Il ne faut pas bacler les rites. – Il ne faut pas racler les bites.
Il ne faut pas mettre la tête de son lit dans les vitres. – Il ne faut pas mettre la tete de son vit dans les litres.
Il n'y a pas que de bons côtés au concours hippique. – Il n'y a pas que de cons bôtés au concours hippique.
Il n'y a que la femme du meunier qui soit capable de bâter une mite. – Il n'y a que la femme du meunier qui soit capable de mâter une bite.
Il y a deux sortes de gendarmes: les courts et les longs. – Il y a deux sortes de gendarmes: les lourds et les cons.
Il y a ici des tentes à foison. – Il y a ici des fentes à toison.
Il y a là de jolis sites pour bâtir. – Il y a là de jolies bites pour satires.
Il y a du Moka dans l'auto Kabile – Il y a du caca dans l'automobile.
Il y a un coteau près du pont. – Il y a un poteau près du con.
Il y a une panne de micro dans les pièces du fond - Il y a une pine de maquereau dans les fesses du pion.
Ils n'avaient que de vieilles caisses pour ranimer leur feu. – Ils n'avaient que de vieilles fesses pour ranimer leurs queues.
Ils en perdit son latin à l'extérieur – Il en perdit son latex à l'intérieur.
Il ne faut pas glisser dans la piscine – Il ne faut pas pisser dans la glycine.

J'ai admiré de jolis sites en faisant ma balade. – J'ai admiré de jolies bites en faisant ma salade.
J'ai bouffé dans la louche de la baronne. – J'ai louffé dans la bouche de la baronne.
J'ai le nom de la russe sur le bout de la langue. – J'ai le rond de l'anus sur le bout de la langue.
J'ai mis en perce un fût de Kummel.
J'aime à sucer le jonc de ma petite canne. – J'aime à sucer le con de ma petite Jeanne.
J'aime le goût de ce petit blanc. – J'aime le bout de ce petit gland.
J'ai fait ça afin d'avoir un coin du son – J'ai fait ça afin d'avoir un soin du con.
J'approche le cou du but. – J'approche le bout du cul.
Jean-Marie Le Pen . (attribué à Jean Cocteau ) – En Paris je l'aime , ou : Jean Marais le pine.
Jean-Paul , le pape. - J'empale le Pope.
Je donnerais bien ma paie pour avoir votre rubis. – Je donnerais bien ma raie pour avoir votre pubis.
Je munirai ta lame d'un beau manche en fer. – Je munirai ta femme d'un beau manche en l'air.
Je n'ai pas de rebord à mes épaulettes. - Je n'ai pas de remords à baiser Paulette.
Je n'aime pas le son de votre cœur. – Je n'aime pas le con de votre sœur.
Je ne suis pas pressé pour dîner. – Je ne suis pas dressé pour piner.
Je ne suis pas homme à mettre le produit de mes fouilles dans des caisses. – Je ne suis pas homme à mettre le produit de mes couilles dans des fesses.
Je plains les fous de contrepèteries. – Je pétris les cons de foutre plein.
Je suis fasciné par les grues des Causses. – Je suis fasciné par les culs des grosses.
Je vous trouve un peu trop nourri pour mon goût. – Je vous trouve un peu nourri pour mon gros trou.
Je vous laisse le choix dans la date. – Je vous laisse le doigt dans la chatte.
Je vous vois bien en curé avec une calotte. – Je vous vois bien enculé avec une carotte.
Jeanne d'Arc avait une cotte de mailles. – Jeanne d'Arc avait une motte de cailles.
Joseph a maculé Henri. – Joseph a enculé Marie.
Jules Verne. – Nulle verge.

La baronne invite le penseur à dîner. – La baronne a invité le danseur à piner.
La belle passagère a attrapé des coups sur le pont. – La belle passagère a attrapé des poux sur le con.
La berge précède le vide. – La verge précède le bide.
La bonne épouse connaît son dû. – La bonne épouse donnait son cul.
La bonne ménagère bouche les trous de mites. – La bonne ménagère mouche les trous des bites.
La boulangère a une maie qui rouille. – La boulangère a une raie qui mouille.
La bureautique est un mythe. – La bite au cul m'est un rite.
La canicule n'a rien pour m'emballer. – La cannibale n'a rien pour m'enculer.
La cantinière porte une grosse d'œufs au camp. – La cantinière porte une grosse queue aux dents.
La Chine se soulève à la vue des Nippons. – La pine se soulève à la vue des nichons.
La comtesse apercevait de superbes sites autour de son balcon. – La comtesse apercevait de superbes bites autour de son sale con.
La cuisinière a reçu un coup sur son fond. – La cuisinière a reçu un fou sur son con.
La cuisinière fait des nouilles auprès de mon feu. – La cuisinière fait des fouilles auprès de mon nœud.
La cuisinière s'est aperçue que son mouton bouillait. – ... que son bouton mouillait
La cuvette est pleine de bouillon. – *La buvette est pleine de couillon.
La dame essuie son fard avec son manteau couvert de loutre. – La dame essuie son lard avec son manteau couvert de foutre.
La dévote se contente d'un sort falot. – La dévote se contente d'un fort salop.
La femme du capitaine m'a fait mander à bord. – La femme du capitaine m'a fait bander à mort.
La femme du charpentier doit se contenter d'un petit feu de poutre. – ... un petit peu de foutre.
La femme du chef d'orchestre a fait mander le basson. – ... bander le maçon.
La femme du contribuable demande qu'on modifie sa cote. – ... qu'on codifie sa motte.
La femme du mineur est ensevelie sous des piliers de mine. – ... sous des milliers de pines.
La fermière attrape les bœufs à la course. – ... les queues à la bourse.
La fiancée du bijoutier est heureuse d'avoir à sa disposition une mine de perles. – ... une pine de merles.
La fillette timide mâchait sa cotte. – ... cachait sa motte.
La flotte de la reine est prête. – La flotte de l'arête est pleine.
L'Afrique en transe. – La trique en France.
La grande galope seule. – La salope grande gueule.
La jeune existentialiste se prête au jeu du néant. – ... au nœud du géant.
La jeune fille contemple un plant qui vient de la Guinée. – ... un gland qui vient de la piner.
La jeune fille toussait en se mouchant. – ... moussait en se touchant.
La maison peut également procurer des rillettes en fût. – ... des fillettes en rut.
La Miss pousse. – La pisse mousse.
La pauvre femme est folle de la messe. – ... molle de la fesse.
La petite espiègle me cacha les mouilles. – ... me mâcha les couilles.
La petite nonne aime les gros œufs. – La petite zone aime les gros nœuds.
La philanthropie de l'ouvrier charpentier. – La tripe en folie de l'ouvrier partant chier.
La pratique de la contrepèterie consiste en l'art de décaler les sons que l'on débite avec la bouche. – ...consiste en l’art de dessaler les cons que l’on débouche avec la bite.
La reine avait une pierre fine à la main. – ... une fière pine à la main.
La résistance excite les sections de rapine. – ... l'érection de sa pine.
La rosière songe à la mine orgueilleuse du père. – La rosière songe à la pine orgueilleuse du maire.
La serge du vicaire avait beaucoup plu à la dame du fiacre [1] . – La verge du sicaire avait beaucoup plus à la femme du diacre.
La servante du curé se demande ce qu'il fait entre ses deux messes. – ... ce qu'il met entre ses deux fesses.
La servante tire le pis de la vache.- La servante tire le vit de l'apache.
La symphonie fantastique. – Nympho s'astique la fente.
La vieille chouette suçait les vers du nid. - ...les nerfs du vit.
La vache qui rit. – L'avare qui chie.
Laisse ta biquette au pieu, Nanette ! – Baisse ta liquette au pieu, Nanette !

L'ai touché l'autre jour un petit bon carré. – J'ai bourré l'autre lourd, un petit thon caché.
L'abeille coule. – La belle couille.
L'Afrique est bonne hôtesse. – La trique est bonne aux fesses.
L'Américain montre à la jeune fille la pureté de son dollar. – L'Américain montre à la jeune fille la dureté de son polar.
L'amiral nous brouille l'écoute avec sa panne de micro. [1] – L'amiral nous broute les couilles avec sa pinne de macro.
L'antiquaire emporte dans ses caisses le produit de mes fouilles. – L'antiquaire emporte dans ses fesses le produit de mes couilles.
L'archéologue met le produit de ses fouilles dans de vieilles caisses. – L'archéologue met le produit de ses couilles dans de vieilles fesses.
L'arm
Hollie Berry laisse son petit ami la baiser brutalement
Savannah Stern est une grande pute
Une vilaine fille séduit son tuteur

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