Sublime coït de couple

Sublime coït de couple




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Sublime coït de couple

Histoires coquines et récits érotiques





Histoire postée dans la catégorie Libertinage & Exhibition
Je m’appelle Stéphanie et j’ai 36 ans. Chargée de ressources humaines pour une grande entreprise dans le secteur industriel, je suis en couple depuis 14 ans avec Jonathan, rencontré sur les bancs de l’université. Ensemble nous avons 2 filles de 5 et 7 ans, un joli pavillon dans la banlieue lyonnaise, un chien…
Une petite vie bien confortable qui ressemble beaucoup au parfait Français de classe moyenne supérieure. Un modèle de qui a été mon rêve de jeune fille et m’a permis d’être heureusement pendant de nombreuses années mais qui depuis quelques mois commence à me devenir insupportable.
Si mon côté « maman » m’offre toujours autant de bonheur, celui de femme est délaissé depuis trop longtemps. La fougue de nos débuts a maintenant laissée place à la routine et nos ébats deviennent aussi rares qu’inventifs. Fatigue, stress du boulot, gestion des enfants… mon homme n’est pas à court d’excuses et je me sens complètement délaissée.
Après une énième discussion avec ma meilleure amie, j’ai décidé de suivre ses conseils et de m’inscrire sur un site de rencontres extra-conjugales. Même si à ce moment je n’imaginais pas tromper « physiquement» mon homme, j’avais envie de frisson, de me sentir désirer. Et dialoguer avec de parfaits inconnus me permettrait peut-être tout cela. Et après seulement quelques semaines d’utilisation de cette plateforme je peux vous dire que je me suis vite prise au jeu…
Même pas 5 minutes après mon inscription sur Wyylde terminée, un premier homme m’écrit : 45 ans, (trop) sûr de lui mais pas vraiment à mon goût physiquement. Nous échangeons quelques jours mais je n’arrive pas à accrocher plus que ça. Se suivre ensuite plusieurs échanges avec des hommes qui veulent immédiatement me rencontrer dans un hôtel, d’autres trop âgés ou pas assez entreprenants à mon gout.
Bien que certains de ces messieurs furent très sympathiques, je n’arrivais pas à trouver le frisson tant recherché jusqu’au jour ou un profil du nom de Nadège vient me parler. Si au départ je fûs surprise, j’ai rapidement compris qu’en réalité Nadège s’était inscrite avec son homme dans l’optique de réaliser un premier plan à 3. Si j’étais plutôt réticente au début (ma seule expérience avec une femme remonte à un roulage de pelle complètement ivre lors de ma première année de Fac) je m’ouvrais petit à petit à cette éventualité. Et si cette nouvelle expérience était ce que j’étais venue rechercher sur ce site ?
J’apprends que Nadège et Damien habitent à moins d’une heure de route de Lyon, qu’ils ont 38 ans et également 2 enfants. Je me reconnais un peu dans l’histoire de Nadège qui a une vie similaire à la mienne. Epanouie jusqu’au jour ou ce besoin de nouveauté se fût ressentir. Elle en a alors parlée à son homme et se sont décidés à se lancer. Différence majeure : Nadège a déjà fréquentée brièvement une fille durant son adolescence. Je suis admirative de cette démarche et de leur complicité. Il y a quelques années nous avions vaguement parlé de libertinage avec mon homme et la jalousie de ce dernier avait rapidement clos la discussion.
Après quelques jours d’échanges par messagerie interposée, nous échangeons quelques clichés (principalement avec Nadège), de plus en plus sexy. Nadège est sublime. Sous son air de femme sage et rangée, cache en réalité une véritable tigresse. Une sensualité telle qui me fait littéralement fondre, moi la femme 100% hétéro. Elle fait naitre en moi de nouveaux désirs qui m’emportent totalement.
Connaissant ma situation familiale et le fait que mon homme ne soit au courant de rien, mes 2 interlocuteurs sont d’accord pour prendre leur temps et me proposent d’échanger par téléphone avant d’envisager une éventuelle rencontre (je n’étais pas encore certaine de réussir à franchir le pas).
Je me retrouver donc à simuler après de mon homme un faux afterwork afin de pouvoir prendre le temps de les appeler en quittant ma journée de travail. Après avoir discuté de tout de de rien ces 2 coquins n’ont rien trouvé de mieux que de faire l’amour au téléphone. Les entendre m’a complètement retournée. Entendre Nadège gémir sous les coups de Langue de Damien me donnait envie de courir les rejoindre et de me joindre à lui…
Une envie qui sera assouvie quelques jours plus tard et qui sera racontée dans la suite de ce récit…
Belle histoire bien écrite, elle donne envie de connaitre la suite
Il y aura t il une suite à cette histoire ??
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.


www.pexels.com needs to review the security of your connection before
proceeding.

Did you know some signs of bot malware on your computer are computer crashes, slow internet, and a slow computer?
Requests from malicious bots can pose as legitimate traffic. Occasionally, you may see this page while the site ensures that the connection is secure.

Performance & security by
Cloudflare













Home







Edition



Africa


Australia


Canada


Canada (français)


España


France


Global


Indonesia


New Zealand


United Kingdom


United States






Academic rigour, journalistic flair



Il est difficile de mesurer la durée d'un rapport sexuel, car les couples peuvent avoir tendance à la surévaluer.
Shutterstock





Quelle est la durée « normale » d’un rapport sexuel ?




Published: August 21, 2017 10.06pm BST
• Updated: September 24, 2020 12.06pm BST

We believe in the free flow of information




santé


sexualité


sexe


évolution


amour


temps


femmes


personnes âgées


couple

















ARC Future Fellow, The University of Queensland

Brendan Zietsch a reçu des financements de l'Australian Research Council.
University of Queensland provides funding as a member of The Conversation AU.
Pas besoin d’être scientifique pour se poser la question. Appuyé contre la tête de votre lit après un coït bien trop court à votre goût, vous vous êtes peut-être déjà demandé : quelle est la durée « normale » d’un rapport sexuel ?
Eh bien sachez que les scientifiques se posent la même question. Ils se contentent de la formuler différemment, d’une façon obscure et presque comique : quelle est la durée moyenne de latence de l’éjaculation intravaginale ?
Bien sûr, le sexe ne se résume pas à l’introduction d’un pénis dans un vagin et à une éjaculation. Mais il peut être difficile de déterminer ce qui en fait partie, ou pas – faut-il compter, ou pas, les préliminaires et si oui lesquels ? Dans un souci de simplicité et de précision, nous nous concentrerons donc sur la période allant de la pénétration à l’éjaculation.
Mesurer sa durée moyenne n’est pas une mince affaire. Pourquoi ne pas demander directement aux gens combien de temps ils mettent, me direz-vous ? Eh bien, cette méthode poserait deux problèmes majeurs. Tout d’abord, les estimations données risqueraient d’être surévaluées. Il est socialement tentant, en effet, de prétendre que vos ébats se sont poursuivis jusque tard dans la nuit.
Ensuite, on n’est pas forcément capable de dire combien de temps cela a duré. Le sexe n’est, en principe, pas une activité pendant laquelle nos yeux sont rivés sur le réveil posé sur la table de chevet. Or, fournir une estimation sans aucune assistance peut se révéler difficile si l’acte a été particulièrement exaltant.
La meilleure étude , parmi celles qui ont cherché à estimer la durée moyenne de la période menant à l’éjaculation dans la population générale, a été menée auprès de 500 couples originaires de divers endroits de la planète. Ceux-ci devaient mesurer, à l’aide d’un chronomètre, la durée de leurs relations sexuelles pendant une période de quatre semaines.
Oui, vous avez bien lu : aussi bizarre que cela puisse paraître, les participants devaient appuyer sur le bouton start au moment de la pénétration du pénis, puis sur le bouton stop lors de l’éjaculation. Vous objecterez sans doute qu’une telle action est susceptible d’influencer l’humeur des participants, et qu’elle ne rentre pas vraiment dans l’ordre naturel des choses. Mais il est rare que la science atteigne la perfection, et cette méthode est la meilleure que nous ayons trouvée.
Mais alors, pour quels résultats ? Le principal enseignement est que ceux-ci varient considérablement d’un couple à l’autre. La moyenne de chaque couple (calculée à partir de tous leurs rapports sexuels pendant la période de quatre semaines) va de 33 secondes pour la durée la plus courte, à 44 minutes (soit 80 fois plus !) pour la plus longue.
Il est donc clair qu’il n’y a pas une durée « normale » pour le rapport sexuel. La durée moyenne (médiane en fait, techniquement), mesurée à partir de celles de tous les couples, s’élève à 5,4 minutes. Ce qui signifie que, si l’on classe tous les couples participants, du rapport sexuel le plus court jusqu’au plus long, celui du milieu arrive à une moyenne de 5,4 minutes sur cette période de quatre semaines.
L’étude a également dégagé quelques enseignements secondaires. Par exemple, l’usage de préservatifs ne semble pas avoir d’effet sur la durée du rapport, pas plus que la circoncision éventuelle chez l’homme. Ces résultats ont le mérite de remettre en cause quelques croyances traditionnelles quant à la relation entre la sensibilité du pénis et son efficacité au lit.
L’origine géographique n’a pas beaucoup d’influence non plus – mis à part pour les couples turcs, dont les rapports semblent être sensiblement plus courts (3,7 minutes) que ceux des autres pays concernés (Pays-Bas, Espagne, Royaume-Uni et États-Unis). L’âge des participants, en revanche, n’est pas neutre : plus un couple est âgé, plus les relations sexuelles sont courtes, contrairement à l’idée reçue (certainement colportée par des hommes d’un certain âge).
En tant que chercheur intéressé par le thème de l’évolution, tous ces débats sur la durée du rapport sexuel m’amènent à une question : pourquoi est-ce que cela prend du temps tout court ? La seule chose qui justifie un rapport sexuel est, semble-t-il, la délivrance de sperme dans le vagin. Pourquoi, alors, tous ces mouvements va et vient ? Pourquoi, plutôt que de glisser son pénis et de le retirer plusieurs centaines de fois à chaque rapport, ne pas tout simplement l’introduire une seule fois, éjaculer, puis aller boire une limonade et passer à autre chose ?
Avant de me répondre « Parce que c’est amusant ! », rappelez-vous que l’évolution n’accorde aucune importance à l’amusement en tant que tel. Elle ne fait que « concevoir » les choses de manière à les rendre plaisantes, ce critère étant rempli si celles-ci ont encouragé nos ancêtres à transmettre leurs gènes aux générations suivantes. Par exemple, même si nous apprécions la nourriture, nous ne passons pas cinq minutes à mâcher chaque bouchée, simplement pour apprécier la chose plus longtemps. Ce serait inefficace. Nous avons donc évolué de telle façon que cela nous paraît aujourd’hui dégoûtant.
S’il est impossible de fournir une explication définitive à la durée de nos rapports sexuels, le début d’une réponse peut être fourni par la forme du pénis. En 2003, des chercheurs ont montré – à l’aide de vagins et de pénis artificiels, ainsi que de sirop de maïs pour faire office de sperme – que la crête qui entoure la tête du pénis éloignait le sirop qui préexistait dans le vagin.
Cette expérience montre que les mouvements répétés de l’homme pourraient avoir pour objectif d’éloigner le sperme laissé par d’autres hommes, et ainsi de s’assurer, au moment de l’éjaculation, que ses petits nageurs auront les meilleures chances d’atteindre l’ovule les premiers. Ce phénomène pourrait d’ailleurs expliquer pourquoi l’homme éprouve de la douleur lorsqu’il poursuit ces mouvements après l’éjaculation : il risquerait alors d’évacuer son propre sperme.
Que déduire, finalement, de tous ces résultats ? Si je peux vous donner un conseil, essayez de ne pas trop y réfléchir au beau milieu de vos ébats amoureux.
This article was originally published in English
Comments are open for 72 hours but may be closed early if there
is a high risk of comments breaching our standards .

Copyright © 2010–2022, The Conversation


Superbe film porno lesbien classique revisité
Un bon POV en public
Des lesbiennes avec des nichons énormes

Report Page