Stoya donne tout ce qu'elle a

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Stoya, porn-star la plus excitante de sa génération


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par
Stephen Des Aulnois

Publié le 29 juillet 2013 à 15h00 Mis à jour
le 29 juillet 2013 à 15h00

Elle tourne quand ça lui chante, sort avec le sexy James Deen et a 138 000 followers sur Twitter. A 27 ans, la très hot Stoya est devenue la porn-star la plus excitante de sa génération, fusionnant net, culture porno et un sens aigu du self-branding.
Combien d’actrices entrent et sortent du porno sans jamais atteindre la reconnaissance et la célébrité ? Pour percer, il faut pouvoir sortir du lot. Stoya fait partie de ces filles qui marquent ce milieu, dont le nom résonne hors du cercle des fans de porno. En avril dernier, le magazine The Village Voice lui consacrait sa une, intitulée « The prettiest girl in New York is a pornstar « . Même le Vanity Fair US, mag glamour et prescripteur du bon goût, publie une photo d’elle dans son numéro d’août. Dans une industrie qui tend à l’uniformisation, cette Américaine de 27 ans tranche : « too beautiful for porn », de celles qu’on pensait cantonnées aux photos de charme ou à l’érotisme, mais pas au porno, au vrai, explicite et concret.
Stoya abolit les frontières : à la fois féminine et musclée, star du porno et intellectuelle, tout en incarnant la copine idéale. Le magazine GQ la surnomme la « pornstar-next-door » que l’on « croise régulièrement dans les soirées branchées de Brooklyn ». Brune, très belle, fraîche, avec de petits seins, la peau nacrée et naturelle, elle diffère des canons du genre, même si elle rappelle sur Vice.com que « dans l’industrie porno, ‘naturelle’ est un outil marketing comme un autre ». Elle est en contrat exclusif avec Digital Playground, quasiment depuis ses débuts, il y a plus de six ans. Sa boîte de prod cherchait une fille avec un look alternatif, à la Sasha Grey.
Ils sont aussi tombés sur une fille indépendante. Stoya a fait un break d’un an pour mésentente avec son employeur. « Je n’étais pas vraiment contente de la façon dont j’étais traitée chez eux », explique-t-elle sur le blog Popporn, irritée par leur prod peu créative. Son studio lui suggère une mammoplastie avec un éminent chirurgien ? Elle refuse. « J’ai vu votre travail, je ne suis pas impressionnée », a-t-elle répondu. Avec seulement 44 scènes à son actif depuis 2007, soit 6 à 7 scènes ou films par an, Stoya fait figure d’ovni dans un milieu où une star tourne 50 à 70 scènes annuelles.
La jeune femme vit en dehors de la Porn Valley californienne. Elle passe son temps dans le quartier branché de Bushwick, à New York. Elle ne tourne que 46 jours par an. Un luxe réservé à l’excellence, car au-delà de sa beauté, Stoya est un produit marketing incroyablement efficace qui, dès ses débuts, stupéfie son studio. « Ils étaient tellement surpris que ça en était presque insultant, ils m’ont dit : ‘On ne sait même pas pourquoi tu vends autant.’ Je leur ai répondu : ‘Hey les mecs, c’est internet… », confiait-elle au Village Voice. Car Stoya a bien compris que le net a changé la donne de l’industrie porno.
Elle se définit avec ironie comme une marque sur son Tumblr : « Stoya™ : superstar internationale du porno, incendiaire, chimérique, culottée ». Elle publie des essais sur son Tumblr, comptabilise plus de 138 000 followers sur son compte Twitter et écrit régulièrement pour le Guardian et Vice. A l’opposé du stéréotype de la bimbo siliconée, Stoya est une intello geek amatrice de littérature.
« J’aime Terry Pratchett, Warren Ellis et les énormes bouquins sur la sexualité qui me font exploser le cerveau », expliquait-elle récemment sur Reddit.
Sur Vice, elle met en garde contre « les dangers de l’hétéronormalité », théorise une « métaphysique de la pipe » et remet en question les représentations pornographiques. Son approche du sexe est l’antithèse de la sexologie des mags féminins. Pour elle, les limites et zones de confort sont propres à chacun, la liberté est de mise, les genres indéfinis et multiples. Une vision du sexe influencée par sa mère, féministe et hippie. Stoya sublime le concept de la « girl next door », existant en dehors du fantasme sexuel et du simple cadre porno. Les hommes et les femmes trouvent en elle une figure rock’n’roll (elle est sortie un temps avec Marilyn Manson), geek (elle a appris à lire et l’informatique à 3 ans) et moderne (du fait de son épanouissement en marge du milieu).
Depuis un an, elle forme avec James Deen , l’acteur porno le plus connu et respecté du moment, un couple glamour et discret, qui se met en scène par blogs interposés. Elle l’appelle « Daddy », il l’appelle « The Prom Queen ». Lui, bon vivant amateur de burritos et de « pornromance » à la grammaire chancelante, elle, la tête dans ses bouquins et ses projets artistiques que le porno lui permet de développer : « Les chèques que je reçois de ce rouleau compresseur capitaliste me donnent le temps de m’engager dans des projets qui, j’espère, servent le bien commun. »
Deux stars, deux styles, deux acteurs plébiscités par la génération Youporn et un power couple à la Jay-Z/Beyoncé : à eux deux, ils se fondent en une formidable machine à fantasmes, humaine et sympathique. James Deen, le Californien, parle toujours de sa passion pour le « buttsex » avec ses actrices et partenaires. Stoya, la New-Yorkaise, de ses projets et de ses performances arty, comme celle qu’elle a faite pour l’artiste Molly Crabapple, où elle a passé une journée dans une baignoire remplie de faux billets, grimée en Marie-Antoinette, pour soutenir Occupy Wall Street. Ils craquent devant des petits chats mignons, les adoptent et documentent leurs vies sur le net.
Comme deux jeunes gens ordinaires, ou presque : sur une photo publiée sur son Tumblr, Stoya fait mine d’avaler entièrement son bébé chat, dans une parodie de deepthroat (pratique où l’acteur enfonce son sexe le plus loin possible dans la gorge de l’actrice). Car au fond, quoi de plus proche d’une grosse queue qu’un bébé chat ?
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Stoya arrive sur Wood Rocket pour une série où elle essaye TOUT, nous dit-on (tontaine tonton). Lee Roy Myers, le chauve à barbichette a toujours des idées cool pour le porn. Une des spécialités du site est de filmer les porn stars dans des activités où personne ne fourre de fusée bien dure dans des zones de lancement guyanaise. Et c’est le concept utilisé avec Stoya.
Pas de porn pour notre égérie, à l’instar de son mec qui teste de la bouffe , Stoya va se confronter à toute sorte d’activités et « elle sera aussi nue » , précise Lee Roy , histoire que la fanbase des fappeurs hardcore aille voir de quoi il s’agit.
Stoya Does Everything , ainsi se nommera ce nouveau rendez-vous dont vous risquez d’entendre souvent parler ici. Notre cher taulier m’ordonnera à coup sûr d’écrire dessus à chaque numéro, s’il ne le fait pas lui-même, vu qu’il a collé une photo de cette grande asperge brune (clash) sur son oreiller.
Here is @Stoya about to get some sniper lessons for an episode of her new @Wood_Rocket series! pic.twitter.com/eYsikYobEs
— Lee Roy Myers (@leeroymyers) October 14, 2013
Les premiers épisodes ont été tournés en octobre 2013, on y voyait une Stoya apeurée dans un stand de tir et essayer des costumes d’Halloween . Elle a aussi chassé les fantômes, joué avec des chats en petite culotte et s’est essayée au catch. Il nous tarde de mater ça ; le premier épisode sort ce jour, juste le temps que le soleil se lève en Californie.
Ah ben, l’épisode au stand de tir vient d’être mis en ligne . La pauvre Stoya a failli se blesser avec un retour de douille, pas le genre de retour auquel elle est habituée. Elle ne semble pas ravie de son expérience et affirme qu’elle ne touchera plus jamais une arme à feu. Donc, je propose de mettre la tête de Lee Roy Myers à prix si jamais il égratigne à nouveau le corps parfait de notre porn star préférée. Fait gaffe mec, le lol a ses limites !
Clique si tu veux voir Stoya tenir des gros flingues qui ne tirent pas à blanc

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Depuis 2009, année où le magazine Adult Video News lui a remis le trophée de la révélation de l’année, l’actrice porno Stoya s’est rapidement fait un nom, à la fois à l’écran et en ligne, où elle fréquente activement les réseaux sociaux, échangeant avec ses fans sur Twitter et dans de nombreux blogues. Elle a discuté avec Métro du port du condom dans les films pour adultes, des améliorations qui de­vraient être apportées dans son milieu et de ce qu’elle juge être des pratiques sexuelles sécuritaires.
La réaction de l’industrie à l’annonce de la séropositivité d’un acteur porno vous a-t-elle satisfaite? «Satisfaite» est un terme ambigu dans le contexte. Il n’existe pas de pratiques absolument sûres. Il y a toujours un risque. La seule façon pour l’industrie d’être complètement sécuritaire serait que les acteurs n’aient aucune relation sexuelle – auquel cas, nous ferions des films érotiques à l’eau de rose, ce qui serait un peu moche. Mais, oui, je suis satisfaite de la réaction du milieu et j’apprécie que les dirigeants se soient montrés préoccupés par la santé des acteurs. Je pense cependant qu’en tant qu’industrie, nous pouvons faire mieux.
L’Adult Industry Medical Healthcare Foundation exige de chaque acteur qu’il passe mensuellement un examen. Cela est-il suffisant? Cette mesure existe depuis 10 ou 15 ans et, avec le temps, la réglementation aurait dû être améliorée. Pour ma part, je demande des examens deux jours avant le tournage d’une scène. Je dispose de ce privilège en raison des termes du contrat qui me lie à la compagnie pour laquelle je travaille. La plupart des acteurs n’ont pas cette possibilité parce qu’ils ne forment pas un groupe en tant que tel. D’ailleurs, toute tentative pour syndiquer l’industrie porno est condamnée à l’échec. Ça n’est jamais arrivé et ça explique pourquoi nous ne pouvons agir en bloc et faire ce genre de demande.
Que pensez-vous du port du condom dans les films pornos? On répète que les studios croient que le condom est mauvais pour les affaires. Mais, selon moi, ça ne peut pas être aussi simple. Il existe une certaine proportion de spectateurs qu’on entend beaucoup et qui ne veut pas que les acteurs pornos portent le condom. Soit. Mais je sais aussi que, parmi mes collègues et mes amis, les rapports sexuels protégés sont rares.
Que peuvent faire les producteurs pour rendre le port du condom acceptable à l’écran? Quand j’en vois un dans un film porno, je trouve que ça ne convient pas. Le condom arrive à un moment donné, on le voit apparaître et disparaître. Le montage donne l’impression qu’il s’agit d’une sorte de condom magique intermittent. Je pense que, si on l’utilisait à l’écran comme on le fait dans l’intimité, c’est-à-dire sans en faire toute une histoire, le condom serait plus excitant, et les gens qui s’en plai­gnent auraient moins de raisons de rouspéter.
Pourquoi l’industrie ne peut-elle prendre l’initiative dans ce dossier et rendre le port du condom obligatoire? Si on commençait à produire des films avec des condoms, plusieurs possibilités s’offriraient aux spectateurs qui n’aiment pas ça. Il y a tant de porno sur l’internet que vous pouvez vous tenir occupé pour le reste de votre vie si vous en avez envie. Ceux qui sont contre le condom se tourneraient donc simplement vers des films plus vieux ou des sites d’amateurs, lesquels sont déjà presque au même niveau que les pros.

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Source : http://www.spotx.fr/


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