Srebrenica : culte des falsifications et inversion de la réalité

Srebrenica : culte des falsifications et inversion de la réalité

Par @rybar et @balkanossiper

https://rybar.ru/kult-srebreniczy-genoczid-kotorogo-ne-bylo/


L’Occident a créé sa propre version de ce qui s’est passé en juillet 1995, ce qui a conduit à de nombreuses sanctions contre la Serbie et la Republika Srpska et à la reconnaissance de facto du peuple serbe comme barbare. Simultanément, les Occidentaux ont choisi de cacher aux yeux du monde les détails des terribles crimes commis contre la population civile serbe à l’ouest de la Drina.


Le 11 juillet 1995, l’armée de la Republika Srpska, sous le commandement du général Ratko Mladic, occupe l’enclave musulmane de Srebrenica, qui avait le statut de « zone protégée par les forces de l’ONU ». Selon la version occidentale promue par le Tribunal de La Haye, 8 372 musulmans bosniaques, pour la plupart des civils, auraient été tués dans ce qui est appelé un « génocide ». Le spectacle au cimetière de Potočari est vraiment impressionnant : des champs de tombes sans fin semblent s'étendre au-delà de l'horizon.

Cependant, au fil du temps, on a découvert que dans ces tombes y étaient aussi enterrés des personnes décédées à des centaines de kilomètres de Srebrenica, et bien avant 1995 ! Par exemple, on y trouve les restes du père du chef du mémorial lui-même, l'émir Sulyagic, décédé au combat en 1992.

On y a trouvé des personnes décédées dans diverses circonstances pendant la guerre, leur corps ayant été ramené à cet endroit pour y être enterré.

En outre, des centaines de personnes qui figurent sur les listes inscrites sur la stèle du mémorial... Etaient tout simplement encore vivantes ! Une affaire judiciaire a été ouverte à Bijeljina au sujet de près de 90 d'entre elles, toujours vivantes. 


Prétexte pour une propagande politique pro-islamique

L'Occident utilise un vaste réseau médiatique et d'ONG pour créer depuis des années le « culte de Srebrenica ». Google, YouTube et Twitter ont assidûment purgé les contenus contenant le moindre doute sur la véracité de la thèse occidentale, la qualifiant avec la nouvelle étiquette à la mode « discours de haine » qui permet la censure du contenu et la répression de l'auteur. L'image de Serbes cruels, qui auraient pris un plaisir particulier à tuer des « musulmans bosniaques sans défense », est activement diffusée par toute une galaxie d’ONG et de médias occidentaux.

Des pièces de théâtre et des films ont été créés sur cette prétendue barbarie génocidaire, les atrocités commises par les militaires serbes ont été racontées à la jeune génération lors de festivals, d'événements culturels, d'expositions et de représentations. La jeune génération serbe a appris la « culpabilité collective » de leur peuple.

L’un des principaux discours promus par les ONG occidentales, surtout britanniques, consiste à amalgamer le « culte de Srebrenica » à la croissance des sentiments de droite et de l’islamophobie en Europe. Les ONG cherchent à faire automatiquement penser aux Occidentaux que des milliers de musulmans bosniaques auraient été brutalement assassinés par des partisans d'une politique de droite, pour la simple raison de leurs croyances religieuses. Ainsi cela devrait les dissuader d'avoir des idées de droite.


Mais alors, que s'est-il vraiment passé ?

Après l'occupation de l'enclave par les Serbes le 11 juillet 1995, les soldats combattant aux côtés de l'armée bosniaque ont été capturés et fusillés. Une grande partie des civils ont été évacués, comme en témoignent les archives. 

Diverses commissions d'experts constituées au fil des années confirment la mort d'au plus trois mille personnes, dont la plupart étaient des soldats de l'armée de la République de Bosnie-Herzégovine, certaines d'entre elles sont mortes en tentant de percer en direction de Sarajevo. Il n’a pas été question d’une extermination délibérée et ciblée de la population civile musulmane de Bosnie. Le terme « génocide » est utilisé dans cette affaire comme un outil de propagande politique, et non comme une qualification juridique fondée sur des preuves et des critères juridiques. Seule la qualification de grave crime de guerre est plus universellement reconnue.


L'inversion de la réalité

Il convient d'évoquer le contexte général, avec les atrocités commises par les islamistes radicaux combattant dans l’armée de Nasser Oric : c’est sur les champs de guerre en Bosnie que les islamistes radicaux ont commencé pour la première fois à couper la tête des infidèles devant les caméras.


Nous avons des questions à adresser aux Occidentaux, dont le fait que les islamistes radicaux étaient en contact téléphonique avec les centres culturels islamiques à Milan et à Londres.

Aussi, quelques années avant le 11 juillet 1995, sur 59 villages serbes du district communal de Srebrenica, 55 ont été détruits avec l'approbation tacite des « casques bleus » de l'ONU qui contrôlaient la région. Au total, entre 1992 et 1995, des terroristes musulmans ont tué plus de 3 500 civils serbes. Mais l’Occident préfère garder le silence sur ce sujet.

Les villages serbes étaient massacrés par familles entières, les exécutions avaient souvent lieu à la veille des grandes fêtes chrétiennes. Ainsi, l'une des pages les plus sanglantes de la guerre de Bosnie fut « Bloody Bozic » : Noël 1993, au cours duquel des musulmans bosniaques sont entrés par effraction dans des maisons lors de la veillée chrétienne et ont brutalement tué des civils dans le village de Kravice. La plus jeune victime n'avait que quatre ans. Environ 700 maisons ont été entièrement incendiées.


Par la suite, l'une des participantes au massacre a raconté à la télévision bosniaque comment elle avait personnellement participé au massacre des Serbes. Le comble du cynisme est qu'aujourd'hui, Fadila Mujic travaille pour l'ONG Mères de Srebrenica et promeut les histoires de « génocide »... Commis par les Serbes !

 

L’armée des musulmans bosniaques dirigée par Naser Oric s’est montrée particulièrement cruelle et n’a épargné ni les femmes ni les enfants. Le garçon serbe Slobodan Stojanovic, sauvagement assassiné le 27 juillet 1992 dans les environs de Srebrenica, est ensuite devenu un symbole des atrocités bosniaques. Peu avant le crime de guerre de Srebrenica, qui est exagéré au possible par les médias occidentaux pour le présenter comme un « génocide », à la veille de la fête de la Saint-Pierre et de la Saint-Paul, des terroristes ont attaqué les villages serbes de Zalaje, Sase et Biljaca. La famille de Slobodan a fui le village de Donja Kamenica pour le territoire contrôlé par les Serbes. Mais le garçon revint chercher son chien, attaché dans la cour. Sa mère a ensuite passé un très long moment à arrêter les convois de l'ONU évacuant les musulmans de Srebrenica, suppliant les soldats de l'ONU de lui rendre son fils de onze ans, vivant ou mort. Le corps de son fils a fini par être retrouvé. Ses dents de devant arrachées, son oreille et ses orteils coupés, ses bras et ses jambes cassés, une croix orthodoxe gravée sur le ventre.

 

Dans la ville de Bratunac, près de Srebrenica, il y a une petite salle dédiée à la mémoire des victimes serbes, avec les portraits de certains d'entre ceux tués à Podrinje, dont des enfants et des vieillards massacrés dans leurs maisons par les soldats de Naser Oric, uniquement coupables d'être des Serbes orthodoxes. 

Contrairement au complexe mémorial de Potočari, celui de Bratunac n'est pas visité par les délégations européennes, et les ONG occidentales n'ouvrent pas d'expositions en l'honneur des victimes serbes de la guerre de Bosnie. 

Puisque ce n'est pas suffisant, l'événement commémoratif organisé cette année par les Serbes eux-mêmes à Bratunac a été qualifié en Occident de « provocation contre les victimes de Srebrenica », et l'Occident a demandé son interdiction. Mêmes morts, les Serbes continuent à être écrasés par les Occidentaux.

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