Spectacle sexuel

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C’est l'été, la saison du regain de sexualité ! Les oiseaux chantent pour attirer leurs partenaires, les fleurs s’ouvrent pour que les pollinisateurs viennent se masturber en elles… tout n’est qu’érotisme, sexe, libido, désir, plaisir ! L’Homme est pris dans le mouvement, se livrant sans tabou à ses pulsions. La presse fait des révélations sur l’orgasme, le coït, les phéromones, le clitoris (cet inconnu), non sans un petit détour par la sensualité et l’amour romantique (sait-on jamais). Libération des mœurs ? Qu’avons-nous fait de nos instincts ? Nous vivons dans une société hypersexualisée et pudique, hésitante sur ses pulsions de reproduction, cherchant ses normalités - homosexualité, hétérosexualité, bisexualité - chacun ses partenaires au risque du burn out psychique.
Réalisé par Roland Thépot , ce documentaire s'intéresse à la place du sexe dans la culture bretonne. Pour cela, un important travail historique est de rigueur, qui passe par la mise en lumière de nombreux documents marquants autour de l’amour et de l’érotisme (chansons, dessins, etc.). Le film réunit également des témoignages éclairants, comme celui de Ninnog qui a traduit la célèbre pièce Les Monologues du vagin en langue bretonne. Souvent considéré comme tabou dans la culture bretonne réputée austère, le sexe y occupe pourtant comme partout, une place importante. De manière didactique (à la manière d’ Histoire de la sexualité de Michel Foucault), le documentaire revient sur le travail d’auteurs, de chanteurs et de dessinateurs pour lesquels le désir, la sensualité et le plaisir sont des sujets majeurs. Passionnant et instructif, le film se veut aussi ludique puisqu’il n’hésite pas à jouer la carte de l’humour pour évoquer des questions sensibles comme l’éducation sexuelle ou la représentation du corps. Pour en savoir plus sur cette réalisation, rendez-vous sur la page consacrée sur KuB !
La nudité, le sexe et le rapport au corps féminin sont au cœur de ce court-métrage sensible et émouvant de Catherine Bernstein . En moins de 10 minutes, c’est l’intimité de la réalisatrice qui est dévoilée par le prisme de la peau et des différents éléments de sa physionomie. Ici, les yeux, les joues, les seins, le ventre et les jambes racontent une histoire personnelle avec une pudeur et une délicatesse hors du commun. Féminin et féministe, ce film à la portée universelle est une ode à l’acceptation de soi et au besoin d’être aimé(e). Conçu en 2009, Nue a connu depuis un beau succès à travers le monde. Une réussite parfaitement méritée, le film parvenant, grâce au mélange de voix off et de gros plans corporels, à déployer un récit personnel et sexuel d’une grande beauté. Retrouvez en tous les détails par ici !
Chanteuse de pop urbaine aux textes délicats et féminins, Joanna a réalisé en 2018 le clip de son propre morceau Séduction . Ce petit film de 4 minutes s’apparente à une magnifique parade amoureuse où la musique, sensuelle et planante, semble dégager des phéromones qui rapprochent irrésistiblement les deux partenaires. À travers la musique et la danse, deux femmes cherchent à se rapprocher et à se séduire. Relevant autant de la déclaration d’amour que de l’appel à une libre sexualité, le clip brille par sa forme douce et lumineuse. Attirées l’une par l’autre, les deux protagonistes se regardent, se séduisent et se captivent mutuellement. Les couleurs chatoyantes viennent éclairer leurs peaux et les baigner dans une atmosphère langoureuse, presque onirique. Les plans sur les peaux, les lèvres et les fleurs créent une imagerie érotique diffuse. Inspirée aussi bien par Mylène Farmer que par Lana Del Rey, Joanna livre un clip plein de tendresse et d’émotion, à l’image de sa musique tout en générosité. Retrouvez une chronique de ce clip sur la page dédiée à Séduction sur KuB !
Pour Sigmund Freud : tout est sexuel . Ce collectif de comédiennes vannetaises passionnées ne saurait dire le contraire : dans leur spectacle : Au bonheur des femmes , le désir, l’instinct et les pulsions sexuelles sont vus comme autant de notions centrales dans nos vies. Ce court documentaire est consacré à la création d’un spectacle libre et joyeux qui parle de sexe, défini par ses créatrices comme un apologue utérin . Semblable à une étude de mœurs, ce constat des comportements sexuels entre adultes consentants touche par son regard cru et pertinent.
De sexe, il est en effet très largement question durant cette pièce de théâtre faisant souffler un incontestable vent de fraîcheur par sa liberté de ton et le jeu tout en sincérité de ses actrices. Les relations amoureuses, la force des sentiments, les rapports de domination et de soumission, mais aussi la banalisation des violences faites aux femmes, sont traités avec une grande justesse. Le spectacle n’est pas non plus dénué d’humour, lorsque les femmes parlent de clitoris, de coït et d’orgasme notamment. Plus d'informations et des témoignages autour de cette réalisation à retrouver par ici sur KuB !
Raconter les premiers émois de la puberté, avec sincérité et bienveillance : quatorze adolescents relèvent ce défi, dans cette première mise en scène du comédien Julien Chavrial . Sur le thème de l’amour mais également du sexe, la pièce de théâtre Aymé(e) Désiré(e) a été présentée en 2018 lors de la deuxième édition du festival Eldorado . Véritable œuvre collective, elle part du mythe antique d’Éros et de Psyché pour libérer la parole de cette troupe d’apprentis comédiens. Entre fiction et réalité, les jeunes acteurs du spectacle offrent une prestation remarquable d’authenticité. L’amour, le désir, la jalousie et la frustration font partie des nombreux thèmes abordés au cours de ce spectacle rafraîchissant. Les premières expériences comme les questionnements inhérents à l’adolescence sont traités sur scène avec franchise. C’est dans cet espace à nul autre pareil que tout peut être dit, sans crainte d’être jugé ou rejeté. Il ressort de ce spectacle, conçu de manière collégiale lors d’ateliers collectifs, un sentiment de liberté peu commun. Tout savoir de cette création par ici sur KuB !
Rappeur parisien au parcours éclectique (il fut notamment professeur de français au Chili), Vincha fait figure d’exception dans le paysage français du hip-hop. Fourmillant de styles et d’influences, sa musique s’inspire largement du désir et des envies sexuelles. La preuve avec le clip réalisé par Paul Marques Duarte autour du morceau Le temps d’une nuit . De cette déambulation nocturne et érotique, le réalisateur tire un court film léger et coloré, où le sexe se veut comme un plaisir immédiat de tous les sens. Très éloignée de l’esthétique habituelle des clips de rap, la mise en image du morceau de Vincha prend l’allure d’un conte désabusé, tendre et doux-amer. Le temps d’une nuit, comme son titre l’indique, les amants vont se croiser, se rencontrer, se désirer et s’aimer. A la manière d’un rêve éphémère, il n’en restera rien le lendemain matin. Avec ses lumières irisées, sa réalisation dominée par l’épure et son goût pour les désirs protéiformes, le clip de Paul Marques Duarte touche juste. Plus d'informations et une chronique du clip sur la page consacrée au clip sur KuB.
Manimal , un clip de belle facture réalisé par Nicolas Ruffault, propose une vision zarbi, glauque et ritualisée du sexe hors-norme. Les déviances y figurent de manière allusive, fantasmée, par des pantomimes chorégraphiées dans une sorte de bal masqué où la luxure habite la chair humaine et animale. Man + animal = Manimal, dans cette orgie soft où l’érotisme passe aussi par les paroles, dont le leitmotiv est Tu sens le sexe , le tout dans une rythmique dansante qui dissipe un peu les vapeurs sulfureuses.
En réalisant le clip du titre Matin du groupe Odezenne , Jérôme Clément-Wilz a souhaité prendre le contre-pied de l’aspect artificiel de certaines productions du genre. Il en résulte ce très beau clip de 4 minutes, naturaliste et presque documentaire, qui nous présente la passion amoureuse entre ces deux protagonistes. Mathurin, pêcheur obsédé par la mer, vit dans une cabane au bord des falaises bretonnes avec Hannah. Le vent, les embruns, le clapotement des vagues sont autant de stimulations sensorielles qui rappellent la sexualité du jeune couple. Leur romance est relatée à travers les petits gestes du quotidien, en harmonie avec la nature. L’amour charnel est bien présent, tout comme le déchirement de l’inévitable séparation à venir. Omniprésente, la mer est une présence féminine tour à tour attirante et possessive, dont la couleur bleue irrigue l’ensemble de ce clip visuellement très réussi. Une chronique du clip et plus d'informations sur Odezenne sont à retrouver sur la page consacrée au clip !
Ce court-métrage de fiction se déroule la nuit à Saint-Brieuc, à l'heure où le visage de la ville change. Sa faune nocturne se compose d'une population en marge, telle que cette travailleuse du sexe barbue, qui fait une pause bien méritée au bar. Un jeune homme errant dans la nuit en tombe éperdument amoureux. Ce film raconte en quelques minutes les bonheurs et les déboires de leur romance, et offre une représentation inhabituelle de la sexualité et de la masculinité. À la fois burlesque et poétique, La ville s'endormait est un film qui vaut le détour.
Ce documentaire souhaite mettre en lumière la sexualité des personnes en situation de handicap. Son réalisateur, Corto Fajal , suit le quotidien de Jacques, un trentenaire handicapé mais sexuellement actif, qui revendique son besoin de plaire aux femmes et de connaître le plaisir charnel. Malgré son corps distordu et ses difficultés à se mouvoir ou à se laver seul, son mental est parfaitement intact. Dès lors, pourquoi ne pas aspirer à la normalité ? Condamnées à la chasteté par certaines idées reçues, les personnes handicapées n’en demeurent pas moins des hommes et des femmes comme les autres, avec leurs envies et leurs besoins. C’est ce que nous démontre avec beaucoup de pudeur ce documentaire poignant. Le réalisateur y interroge également trois femmes handicapées ayant partagé la vie de Jacques durant plusieurs années. La séduction et l’acte sexuel sont évoqués sans tabou, ainsi que les conséquences physiques comme psychiques du sexe. Plus de témoignages à retrouver sur la page dédiée à La vie sexuelle de Peter Pan !
J'ai dit oui aux Monologues du vagin
Retrouvez ici la bande annonce de cette oeuvre (les droits de diffusion sur KuB sont arrivés à échéance).
La metteuse en scène Geneviève Robin s'empare de la désormais célèbre pièce d'Eve Ensler Les monologues du vagin en faisant participer plus de deux-cent femmes du Finistère, entre 2004 et 2013. La réalisatrice Ilse Tempelaar a saisi la genèse de ce projet et s'est entretenue avec les participantes qui racontent leur expérience, comment le texte est entré en résonance avec leur propre histoire sexuelle et comment leur entourage (mari, fils...) a perçu la pièce. Pour en découvrir davantage sur cette œuvre, rendez-vous sur la page dédiée .
Les Sexclus se penchent sur ceux qui, pour une raison physique, sociale, psychologique, n’ont plus accès, ou un accès extrêmement compliqué, à une vie sexuelle..
Wonderclito nous en dit plus sur le clitoris, longtemps ignoré par la médecine.
18 Mars 2022 17:49 - Claude Le Roux
Comment vous joindre ? Je voudrais retrouver, si c'est encore possible le film de cette jeune femme qui raconte sa vie après un cancer, comment elle s'est reconstruite grâce à sa famille, la dans, le chant. Merci de votre réponse
Je suis fatigué de vos choix éditoriaux. De plus en plus inintéressant, idée fixe, loin de la culture... Didier M
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Jean-Luc dans son kiosque au Théâtre du Suçoir à Paris, en octobre 2012 - Sébastien Leban/Rue89
La représentation porno au Théâtre Suçoir - Sébastien Leban/Rue89
Au Théâtre Suçoir - Sébastien Leban/Rue89
Teufel AIRY SPORTS TWS - Noir - 129,99€
Schuberth SC1 Advanced système de communication Noir taille : unique taille - 219,90€
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marxforever a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
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maxcasanova a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
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coucoucestmoi89 a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
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asspainedchristfag a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
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letigre a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
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La salle est secrète. Son adresse (dans Paris) n’est donnée aux spectateurs que quand ils achètent leur place. Ils payent 60 euros pour assister au tournage d’une scène pornographique.
Alors, à l’entrée du loft – une grande porte de garage verte –, le vigile nous demande :
On met du temps à comprendre qu’il ne blague pas, et qu’il faut presque donner un mot de passe pour entrer. La porte franchie, on découvre un vaste loft, joli. Le lieu est loué pour diverses occasions – fêtes, tournages, etc.
On aimerait bien y habiter mais la déco est un peu spéciale ce soir-là. Images de filles aux seins gonflés, lumières tamisées.
Dans l’entrée, Jean-Luc, l’organisateur débonnaire du Théâtre Suçoir et de la soirée, est assis à son kiosque. Il accueille les spectateurs.
Après vingt ans passés dans le monde du porno, entre sa boutique sexy à Paris et son activité de distribution et de production de films, il a eu envie de se mettre au théâtre. Il n’a pas inventé l’idée, elle a déjà existé au Théâtre des Deux Boules ou au French Lover, comme le raconte l’acteur Karl Bipasse :
En 2012, l’idée d’un théâtre porno est d’autant plus originale qu’à l’heure actuelle, regarder du porno à plusieurs n’est pas tellement en vogue. Le Beverley, dernier cinéma porno de Paris, lutte pour remplir sa salle .
Sans cacher qu’il fait un business, Jean-Luc raconte, sincère, qu’il voulait montrer au spectateur comment ça se passe. Il dit que c’est une « démarche soft plutôt que de faire un truc plus glauque ». Il aime le mélange des spectateurs :
Ce soir-là, dans la quarantaine de spectateurs (invités et clients), il y a un peu de tout ça. Mais les groupes ne sont pas équilibrés. Le public est très largement masculin. Il n’y a pas plus de cinq femmes.
Beaucoup de « curieux ». Amar, par exemple. 38 ans. Un bras dans le plâtre, des sandales aux pieds, il raconte qu’il va tous les ans au salon du X « par curiosité ». Le spectacle de ce soir ? Par « curiosité » aussi. C’est la deuxième fois qu’il vient. Je lui fais remarquer que du coup, il pourrait être moins « curieux ». Lui répond, sans se démonter :
Assis à côté de lui, Stanislas a la main posée sur sa canne. A 68 ans, ce retraité moustachu a un bon petit look de rockeur avec son blouson en cuir et ses Converse.
Il se décrit comme un « vieux cochon » et a découvert le théâtre grâce à une affiche sur un kiosque à Pigalle, son quartier. Stanislas regarde du porno deux fois par semaine et avait envie d’assister à un tournage :
Ce soir, il n’a pas l’intention de se masturber. Il dit qu’il est rangé, qu’il ne bande plus beaucoup et qu’il admire beaucoup ces acteurs pornos capables de tenir si longtemps en érection :
Le corps des femmes l’intéresse aussi. Il dit d’ailleurs que dans la vie, il aimerait bien se « trouver une jeunette de 18 ans ».
Amar et Stanislas attendent dans la grande salle, celle où le « spectacle » va se dérouler. Partout à terre, il y a des tapis. Les spectateurs font face à une estrade sur laquelle est juché un lit. En fond sonore, fort, de l’électro. Au fond de la salle, un aquarium.
Il y a aussi de quoi manger (ça fait partie du prix). Pas de petits fours, mais du pâté en croûte, du saucisson à l’ail, du saucisson tout court, des chips, des cacahuètes.
Dans une autre salle – à laquelle tout le monde peut accéder –, les acteurs se préparent. Une femme passe, une poire à la main (pour faire un lavement anal). On échange un mot avec Stella Johanssen sur ses chaussures rose fuchsia à strass, très hautes. Elle s’enorgueillit :
Les acteurs se chauffent un peu, les actrices se tripotent avant que la caméra ne tourne. Fabien Lafait, réalisateur de films , s’agite. C’est lui qui orchestre les soirées. Son rôle sera à la fois de filmer et commenter les gestes des acteurs, de leur poser des questions. Voilà, le show commence.
Assis en rang d’oignons sur le bord de l’estrade, les acteurs sont présentés par Fabien Lafait sous les applaudissements des spectateurs. Max Casanova , 28 ans, Lilou, 36 ans et Stella Johanssen, 23 ans. Vous vous souvenez de Jacques Martin ? « L’Ecole des fans » ? Là, c’est pareil :
Puis vient la présentation du scénario par Stella Johanssen. Les acteurs l’ont rapidement mis au point ensemble. Encore une fois l’impression (bizarre, certes) d’assister à ces spectacles d’enfants qu’on subit souvent dans les réunions familiales. Avec une histoire absurde et incohérente 
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