Spanking hard à coups de brosse et en solo

Spanking hard à coups de brosse et en solo




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Spanking hard à coups de brosse et en solo
Entre le paddle, la canne anglaise, les martinets, fouet et autres objets de torture en tout genre, il est facile de s’y perdre. Moi-même, j’ai vite pris conscience qu’il y en avait plein que je ne connaissais pas, ou que je connaissais sans pouvoir les nommer. Dans cet article (Enfin !!! Car cela fait bien longtemps que je souhaitais l’écrire) je vous répertorie tous les objets utilisés en matière de sadomasochisme.
À ne pas confondre avec les fouets (la différence n’est pas souvent faite.) sont des objets constitués de deux parties : le manche pour la prise en main, qui est toujours rigide. Elle est en bois très souvent, parfois en métal, soit nu soit recouverte. Puis une seconde partie, celle qui « frappe » le maso. Elle est constituée de lanières, plus ou moins nombreuses. Sa matière sera déterminante dans l’effet cherché et produit sur le corps du maso.
Dans leurs ordres de « pouvoir douloureux »
- Les lanières de daim : très douces, très caressantes, sur des martinets qui s’utilisent généralement en duo (deux martinets). La sensation est vraiment très agréable, elle permet une approche très légère en matière de martinet. Peux aisément servir de « préliminaires » lors d’une séance sado-maso.
À ne pas confondre avec les fouets (la différence n’est pas souvent faite.) sont des objets constitués de deux parties : Les lanières de latex très souples permettent de frapper, mais avec une certaine forme de délicatesse, la douleur reste modérée et l’effet (à voir) est juste wahou ! (très pro la description) La peau, notamment sur les fesses ondule à merveille avec ce type de martinet. Associé au bruit qu’il fait, sans compter sur la beauté de l’objet, c’est assez chouette à regarder. Ça fait de ce martinet mon préféré.
Le plus « basique » et le plus connu. D’une efficacité certaine. C’est l’un des incontournable du sadomasochisme.
Les martinets s’utilisent seuls où en duo pour des mains expertes. Il faut un bon coup de main pour savoir les manipuler au mieux. Jouer du martinet requiert une dextérité, et même de l’expérience pour de meilleures sensations. Tout s’articule autour des mouvements du poignet du donneur. Pour l’avoir goûté par le biais de mains expertes et d’autres beaucoup moins, la sensation est juste radicalement différente !
Martinets légers qui permettent de s’échauffer, s'utilisent pas deux, un dans chaque mains
D’ailleurs, j’en profite pour aborder le sujet : pour ce qui est du ressenti, qu’importe l’objet utilisé, tout dépendra toujours de la force, de la façon de faire du donneur et de la perception de celui qui reçoit. Il n’y aura jamais deux ressentis identiques d’une personne à l’autre, tout est question de perception et d’attitude. Une canne anglaise utilisée avec douceur pourrait très bien faire moins mal qu’une simple fessée par exemple.
Comme son nom le sous-entend, c’est un martinet avec 9 lanières. Généralement les lanières sont soit des cordes, soit du cuir. Aussi, comme vous le verrez certainement dans le film Nymphomaniac par exemple, certains chat à neuf queues fait de cordes sont nouées par endroits, pour d’autres sensations.
Les fouets sont les instruments les plus complexes à manipuler. Il faut un certain coup de main pour en faire l’usage. Les fouets sont de longues lamelles de cuir tressé, qui s’affinent petit à petit, commençant en son manche au plus large et en son bout au plus fin. Le fouet s’utilise de deux façons différentes : soit il s’enroule autour du corps du maso, soit il frappe la peau avec son extrémité seulement. Il existe deux types de fouet, ceux avec un cracker et ceux sans. Le cracker est un tressage de fil en nylon, avec en son bout un nœud qui permet de claquer la peau.
Les paddles sont des objets d’impact. Contrairement aux fouets et aux martinets, les paddles sont totalement rigide (avec parfois, une toute petite marge de souplesse). Il se constitue d’un manche et d’une surface plus ou moins large d’impact. Parfois arrondie, parfois rectangulaire, souvent recouverte de cuir, elle peut aussi venir d’un objet détourné du quotidien : planche à découper en bois, dos de la brosse à cheveux, etc. Parfois, elle peut être cloutée, agrémentée de tout ce que votre imagination pourrait permettre, électrifiée même. Les paddles sont très efficaces pour faire rougir la peau sans y laisser de trace au long terme. La zone d’impact étant très large, la douleur est plutôt diffuse et beaucoup moins cinglante/transperçante.
Utilisée principalement en équitation, la cravache est dotée d’un manche, d’une longue tige souple et d’une extrémité généralement faite de cuir ou de caoutchouc. La cravache permet des douleurs à la fois diffuses et cinglantes, la zone d’impact étant assez limitée. En forme d’étoile, de cœur ou encore de main, vous trouvez de tout en la matière ! Lorsqu’elle fend l’air, la cravache fait un bruit très particulier, qui peut parfaitement rentrée en jeu dans les séances, pour jouer sur l’excitation et le psychologique du maso. Personnellement, j’aime beaucoup cet outil.
Je fais une petite mention spéciale pour les longues cravaches avec ce que l’on appelle une chambrière. C’est une longue et fine corde au bout de la cravache, composée d’un cracker à son extrémité.

Tout droit tiré du domaine médical, comme d’autres dans le milieu du BDSM, cette roulette est un objet de douleur qui peut rentrer dans le cadre de jeux soit softs, soit très poussés, facile à utiliser, sans avoir besoin d’une connaissance particulière ou de précautions spécifiques à adopter. À simples ou multiples anneaux.
Pour connaître un peu l’histoire de cet objet, il faut savoir qu’à l’origine, la roulette de Wartenberg à été crée à des fins médicales pour servir les neurologues qui l’utilisaient à des fins diagnostics pour voir l’état de sensibilité cutanée de leurs patients. Ils passent donc la roulette sur différent endroits du corps pour voir si le patient ressent ou non le picotement. Le BDSM s’est approprié l’objet, car il permet effectivement de stimuler des zones de façon plus ou moins appuyée, de façon plus ou moins douloureuse.
En effet, la roulette peut chatouiller si vous l'a faite passer avec délicatesse sur le corps de l’autre, mais si vous forcer un peu, vous pouvez aller jusqu’à transpercer la peau. Dans un geste modéré, vous laisserez sur votre passage de jolis pointillés qui, aux bons endroits, procureront beaucoup de plaisir à celui qui la reçoit.

Tout bonnement, c’est une canne, au manche arrondi. Le point d’impact étant très limité, la douleur infligée avec la canne est transperçante.
Dans la même veine que la canne anglaise, mais en beaucoup plus fin, la badine est un objet redoutable et très efficace. Elle peut provoquer des hématomes sous-cutanés instantanément. Le point d’impact étant très mince et les coups portés facilement puissant.
La badine est une tige très rigide soit de bambou, soit de plastique. Vous pouvez en trouver des très élaborées avec un manche, ou alors en jardinerie dans le rayon des tuteurs de bambou, pour quelques poignées de centimes. Mais attention, selon la badine pour laquelle vous optez, le ressenti ne sera pas le même. La prise en mains étant également très importante, le manche (qu’on ne retrouve pas sur les tuteurs en bambou) donne de l’ergonomie à l’objet qu’il est judicieux de considérer. Aussi, la badine peut-être fendue, pour un ressenti moins puissant.

Qu’elles soient étudiées pour le BDSM ou achetés en grande surface pour étendre son linge, les pinces peuvent être redoutable. Elles peuvent se mettre partout où vous le souhaitez, à des endroits stratégiques, telle que la langue, le clitoris, les tétons. Selon la matière des pinces, et selon leur « ressort », celles-ci peuvent avoir un effet très variable.

En association aux pinces, les poids exercent une force sur la partie du corps rattachée. Ils sont très souvent utilisés sur les couilles ou les grandes lèvres.

Elles sont initialement à usage médical, mais sont utilisées dans le BDSM à des fins sado-maso, mais aussi esthétiques. Cela va du simple « perçage » de la peau jusqu’au perçage de tétons, voire même des sexes (homme ou femme). Les clous sont au niveau supérieur, avec le plantage des seins ou de la peau des testicules sur des planches de bois.

Dans le même genre, il est également possible de pratique le « play piercing » qu’est l’acte de percer en vue d’un piercing, tout en y intégrant la dimension sadomasochiste.
Les jeux de cire sont très répandus dans le BDSM. Tantôt esthétique, tantôt SM, les jeux de bougies sont très appréciés. Avec une bougie basse température, spécifique, ou alors une bougie basique, il est possible d’apprécier la douleur tantôt légère, tantôt mordante (voire même prendre le risque de brûler la peau) si l’on s’approche tout proche de la peau. L’espace entre la bougie et la peau est déterminante, car c’est la goutte de cire dans l’air qui se refroidira plus où moins selon la distance qu’elle fera avant d’arriver sur la peau.

C’est un très bel objet, que l’on trouve soit d’origine (le violet wand était utilisé dans la médecine pour traiter un certain nombre de maladies physique, voire psychiatrique) soit neuf. Les véritables violet wand sont pour moi des beaux objets de collections qui peuvent être, bien rénové, de vrais petits bijoux. Le principe est simple, il s’agit d’une machine sur lequel on adapte des embout de verre conducteur par lequel passe des influx électriques. On l’appelle violet wand, car l’électricité au cœur du tube en verre se visualise en un faisceau violet, qui lorsqu’elle s’approche de la peau, s’y « connecte » par de petits éclairs de la même couleur. C’est très esthétique, et c’est assez safe pour les personnes que ce genre de jeux d’électricité effraye. Dans le cas des violet wand, l’électricité n’est pas traversante, elle ne reste qu’en surface de la peau, et ne représente que peu de danger, contrairement à l’électrostimulation.

S’utilise avec beaucoup de précaution et pas sur n’importe qui. L’électrostimulation peut-être un jeu très dangereux pour celui qui n’en ont aucune connaissance. Seuls les experts en la matière peuvent en « jouer ». L’électrostimulation s’exerce avec des patches, des pinces, et même d’autres objets tels que des paddle, des godes, etc. Elle permet des décharges électriques, voir la conduction d’un point A à un point B d’un courant électrique à travers le corps. C’est assez sensationnel à vrai dire, et totalement à part. Selon l’intensité et la zone concernée, il est possible d’aller de la simple chatouille à la grande décharge.

Nous approchons des pratiques des plus douloureuses. Le fil barbelé est utilisé enroulé autour du maso, suffisamment fort pour que les pics s’enfoncent dans les chairs. Parfois même, cela transperce. C’est un jeu qui oblige à être suffisamment expérimenté en matière de SM pour l’apprécier. J’ai déjà vu une femme suspendu dans du fil barbelé, époustouflant !
crédit photo : Fen Ikkusu et Olympe louveteau
Je pense que sur le plan sado-maso, difficile de faire plus fort. Il s’agit là de se faire planter des hameçons dans le dos, voire les membres, pour être élevé hors du sol. Les sensations sont, parait-il intenses, permettant même une forme de « défonce » que l’on appelle le Subspace. Tout comme l’usage de l’électrostimulation et du fil barbelé, il faut faire ceci avec des personnes ultra expérimentées.


Brosse à cheveux, brosse à récurer, brosse de pansage (équitation), brosse de travaux (aux fils de fer). Autant de brosses possible pour des usages infinis !

Culières en bois, planche à découper et baguettes japonaises par exemple. Les baguettes étant utilisées par deux, pour pincer (à l’aide de deux petits élastiques de bout en bout) des tétons ou une langue par exemple.

C’est un fouet de forme très particulière, qui, comme son nom le présage, procure une sensation de brûlure instantanée. À très forte allure, on pourrait penser que la peau s’arrache à chacun des coups donné. Ce fut pour moi une sensation assez grandiose.

Je ne pourrais pas parler des cordes à proprement dit, car pour moi, leur utilisation première n’est pas destinée à faire mal. Cependant, les cordes de coco elles, sont très rugueuses et irritantes. Sur la peau, elle brûle très rapidement et lorsqu’elle passe sur toute sa longueur contre la peau, les sensations peuvent être assez intenses.

Représente les jeux (bien que très psychologique, plus que sado-maso) avec un couteau. L’idée n’étant pas forcément de couper, mais de passer la pointe du couteau dans des endroits stimulants tels que la gorge, le sexe ou l’entrecuisse par exemple. Dans le même genre, les bagues "griffes", ou les ongles pointus.

Soit au fer, soit sous forme de tatouage ou encore au violet wand. Le marquage est avant tout un acte D/s, mais selon la méthode choisie, elle peut aussi être redoutablement douloureuse.

Objet terriblement érotique pour moi, la ceinture de cuir peut devenir un superbe objet de douleur.
A utiliser sur toutes les parcelles du corps, le scotch, retiré violement permet des sensations moderée mais très appréciable. Parfois même, des micro-hématomes peuvent se former à la surface de la peau. Je conseil du gros scotch noir (sans trame de tissu, du type gris, car il rigidifie le scotch ce qui atténue son effet) de bricolage. Pour quelques euros vous avez de quoi contraindre et faire même dans le même temps. Un achat impératif selon moi, car c'est toujours fort utile.
Voici de quoi, gratuitement, ravir un.e masochiste : des orties hautes (pour l'hygiène) passée tout contre la peau, soit en fouettant, soit en caressant. Cela réveil sur l'instant de jolies et douces sensations douloureuses. Cela pique et se transforme rapidement en démangeaison. L'effet est quasi immédiat, mais la démangeaison s'intensifie progesssivement pour durer de 30 minutes à parfois beaucoup plus. Sur les muqueuses, l'effet est exacerbé. Sur le clitoris, c'est divin !
Les seins ou le sexe privé d'espace, aspiré petit à petit s'étend, gonfle. La douleur ne tarde jamais, selon la puissance de la pression exercée.
Il en existe de toutes formes, toutes tailles.
sous les mains, sous les pieds, mais surtout sous les genoux; le riz (ou tout objets/aliments s'y rapprochant (de petits grains durs) est un excellent moyen pour punir/faire extrêmement mal. J'ai déjà testé cela sur mes genoux pendant plusieurs dizaines de minutes, les grains s'enfoncent dans les chairs petit à petit pour un effet douloureux assez extrême. Un très bon moyen de punir (pour moi en tout cas)
Une très belle découverte toute récente. Le baume du tigre, au delà de son aspect thérapeutique peut être un redoutable moyen de faire mal. Déposé sur les seins, le clitoris ou encore la verge, le baume du tigre brûle, et ce durant parfois plus d'une trentaine de minutes. Effet surprenant garanti !
Pour petit rappel, la douleur dépend surtout du donneur et pas tant que cela de l’objet. Selon la force mise, la surface d’impact et la zone concernée. Il existe des zones du corps beaucoup plus sensibles que d’autres.

Concernant les zones concernées, j’ai trouvé un petit schéma qui représente les zones du corps des moins douloureuses aux plus sensible sur le plan cutané.
Cette liste est bien évidemment non exhaustive, mais j'espère qu'elle vous permettra d'y voir plus clair dans la foultitude d'objets SM qu'il est possible d'utiliser lors d'une séance. J'espère aussi vous avoir permis de prendre conscience qu'avec un peu d'imagination, il n'était pas toujours nécéssaire d'investir beaucoup d'argent pour se divertir en matière de sadomasochisme.
Pour terminer, je souhaite remercier énormément tous ceux qui ont participé à cet article de par leurs superbes photos, les anonymes tous comme les autres
Vous devez avoir 18 ans pour visiter le site.

Entre le paddle, la canne anglaise, les martinets, fouet et autres objets de torture en tout genre, il est facile de s’y perdre. Moi-même, j’ai vite pris conscience qu’il y en avait plein que je ne connaissais pas, ou que je connaissais sans pouvoir les nommer. Dans cet article (Enfin !!! Car cela fait bien longtemps que je souhaitais l’écrire) je vous répertorie tous les objets utilisés en matière de sadomasochisme.
À ne pas confondre avec les fouets (la différence n’est pas souvent faite.) sont des objets constitués de deux parties : le manche pour la prise en main, qui est toujours rigide. Elle est en bois très souvent, parfois en métal, soit nu soit recouverte. Puis une seconde partie, celle qui « frappe » le maso. Elle est constituée de lanières, plus ou moins nombreuses. Sa matière sera déterminante dans l’effet cherché et produit sur le corps du maso.
Dans leurs ordres de « pouvoir douloureux »
- Les lanières de daim : très douces, très caressantes, sur des martinets qui s’utilisent généralement en duo (deux martinets). La sensation est vraiment très agréable, elle permet une approche très légère en matière de martinet. Peux aisément servir de « préliminaires » lors d’une séance sado-maso.
À ne pas confondre avec les fouets (la différence n’est pas souvent faite.) sont des objets constitués de deux parties : Les lanières de latex très souples permettent de frapper, mais avec une certaine forme de délicatesse, la douleur reste modérée et l’effet (à voir) est juste wahou ! (très pro la description) La peau, notamment sur les fesses ondule à merveille avec ce type de martinet. Associé au bruit qu’il fait, sans compter sur la beauté de l’objet, c’est assez chouette à regarder. Ça fait de ce martinet mon préféré.
Le plus « basique » et le plus connu. D’une efficacité certaine. C’est l’un des incontournable du sadomasochisme.
Les martinets s’utilisent seuls où en duo pour des mains expertes. Il faut un bon coup de main pour savoir les manipuler au mieux. Jouer du martinet requiert une dextérité, et même de l’expérience pour de meilleures sensations. Tout s’articule autour des mouvements du poignet du donneur. Pour l’avoir goûté par le biais de mains expertes et d’autres beaucoup moins, la sensation est juste radicalement différente !
Martinets légers qui permettent de s’échauffer, s'utilisent pas deux, un dans chaque mains
D’ailleurs, j’en profite pour aborder le sujet : pour ce qui est du ressenti, qu’importe l’objet utilisé, tout dépendra toujours de la force, de la façon de faire du donneur et de la perception de celui qui reçoit. Il n’y aura jamais deux ressentis identiques d’une personne à l’autre, tout est question de perception et d’attitude. Une canne anglaise utilisée avec douceur pourrait très bien faire moins mal qu’une simple fessée par exemple.
Comme son nom le sous-entend, c’est un martinet avec 9 lanières. Généralement les lanières sont soit des cordes, soit du cuir. Aussi, comme vous le verrez certainement dans le film Nymphomaniac par exemple, certains chat à neuf queues fait de cordes sont nouées par endroits, pour d’autres sensations.
Les fouets sont les instruments les plus complexes à manipuler. Il faut un certain coup de main pour en faire l’usage. Les fouets sont de longues lamelles de cuir tressé, qui s’affinent petit à petit, commençant en son manche au plus large et en son bout au plus fin. Le fouet s’utilise de deux façons différentes : soit il s’enroule autour du corps du maso, soit il frappe la peau avec son extrémité seulement. Il existe deux types de fouet, ceux avec un cracker et ceux sans. Le cracker est un tressage de fil en nylon, avec en son bout un nœud qui permet de claquer la peau.
Les paddles sont des objets d’impact. Contrairement aux fouets et aux martinets, les paddles sont totalement rigide (avec parfois, une toute petite marge de souplesse). Il se constitue d’un manche et d’une surface plus ou moins large d’impact. Parfois arrondie, parfois rectangulaire, souvent recouverte de cuir, elle peut aussi venir d’un objet détourné du quotidien : planche à découper en bois, dos de la brosse à cheveux, etc. Parfois, elle p
Belle allemande lunettes fan de sodo
Jeune blondasse de 18 ans aime le gout du sperme
Vintage auto stoppeuses en chaleur - Free xxx sex porn video streaming

Report Page