Spécialiste de la pipe impressionne un Black

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Écrit par Arnaud Camu, La Grande Époque 

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«Je pense que c’est spectaculaire en termes de couleurs, en termes de costumes», dit Jeannot Blanchet, spécialiste des services de banque d'investissement chez Morgan Stanley, lors de l’entracte de Shen Yun Performing Arts à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts de Montréal, le samedi 8 janvier.
Ayant à maintes reprises inspiré des designers de la mode, les costumes de Shen Yun sont faits à la main et représentent un grand nombre de dynasties, régions et groupes ethniques de la Chine.
Le sentiment d’unité transmis par les danses a aussi impressionné M. Blanchet qui voyait Shen Yun pour la première fois.
«La façon qu’ils sont très synchronisés est très en unité.»
Il note que cette harmonie prend un aspect tridimensionnel avec Shen Yun par ses arrière-plans animés qui projettent des images et paysages liés aux danses et costumes sur scène.
«Ça coule très bien. Lorsqu’ils font venir des personnages sur scène et qu’ils les font ensuite quitter, c’est très intéressant.»
Basée à New York, Shen Yun a pour mission de raviver la culture traditionnelle chinoise et a actuellement trois compagnies en tournée de par le monde présentant l’édition 2011 du spectacle.

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Le compositeur et musicien arménien Djivan GASPARYAN est mort le 6 juillet 2021 à l’âge de 92 ans. Il était connu pour avoir été le plus célèbre joueur de cet instrument à vent emblématique de la culture arménienne qu’est le doudouk, l’un des plus anciens instruments à anche double flottante dont les origines remonteraient à l’ère pré-chrétienne. Inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO depuis 2005, le doudouk n’aurait sans doute pas acquis la notoriété qu’on lui connaît aujourd’hui si Djivan GASPARYAN n’en avait pas étendu la résonance élégiaque dans le monde entier durant ses quelque soixante-dix ans de carrière, notamment en la croisant avec d’autres formes d’expression musicales traditionnelles ou modernes.
Traditionnellement joué dans les régions caucasiennes (Arménie, Georgie) et anatoliennes (Turquie, Kurdistan), ce petit instrument en bois d’abricotier rougeâtre, et dont la tessiture n’a qu’un octave, se distingue des autres types de hautbois par sa troublante sonorité à la fois nasale et veloutée, qui semble charrier toute la mélancolie et la détresse d’un pays et d’un peuple qui n’a pas été épargné par les caprices de l’Histoire.
De ses débuts dans une Arménie encore sous le joug soviétique à sa reconnaissance internationale due à de prestigieuses créations et collaborations avec des artistes occidentaux, Djivan GASPARYAN a connu une destinée singulière. Natif de Solag, une petite communauté rurale du nord-est d’Erevan (la capitale arménienne), Djivan GASPARYAN a commencé à étudier le doudouk dès l’âge de six ans après en avoir entendu le son prenant lors de projections de films muets musicalement illustrés par un petit ensemble de doudouks. C’est de là qu’est partie sa passion pour cet instrument, et ce n’est sûrement pas par hasard si, par la suite, Djivan GASPARYAN a révélé le son du doudouk auprès du grand public à travers de nombreuses musiques de films qui ont contribué à sa notoriété.
Parmi la trentaine de musiques de films auxquelles a participé Djivan GASPARYAN, certaines ont en effet été déterminantes pour sa reconnaissance mondiale, comme celle de Peter Gabriel pour le film La Dernière Tentation du Christ de Martin Scorsese, Passion, qui fut la référence inaugurale du label de « world music » Real World, et celle de Hans Zimmer et Lisa Gerrard pour le film Gladiator de Ridley Scott (2000). Citons également sa présence dans la B.O. de Graeme Revell pour The Siege (1998), celle d’Alexandre Desplat pour le film Syriana (2005), celle de James Newton Howard pour Blood Diamond (2006) ou encore celle de Gregory Colbert pour le projet multimédia Ashes and Snow (2005), où Djivan improvise aux côtés de la légende du qawwali Nusrat Fateh Ali Khan et du musicien et producteur canadien Michael Brook.
La route a cependant été longue pour Djivan GASPARYAN qui, encore enfant, a dû assurer sa subsistance et celle de ses frère et sœur en l’absence de sa mère, morte alors qu’il n’avait que treize ans, et de son père, parti pour la guerre. Djivan jouait alors du doudouk dans les rues et lors des fêtes pour essayer de combler la misère… C’est à l’âge de dix-neuf ans qu’il donne son premier concert en solo. Un an après, il est invité à se produire au festival international de la jeunesse à Moscou, devant Josef Staline, qui le remercie d’un cadeau que le jeune Djivan s’empressera de revendre…
Plus tard, Djivan GASPARYAN a été admis dans le très réputé Ensemble national arménien de chant et de danse dirigé par Tatul Altunyan et a impressionné par sa capacité à assimiler rapidement des mélodies rares. Son passage dans cet ensemble lui a valu d’être réquisitionné sur la scène internationale à la fois comme soliste et comme musicien de studio, et il a gagné de nombreuses récompenses.
Le prix le plus révélateur a sans doute été celui qu’il a remporté lors ce concours international de musique à Moscou, en 1957, où se produisait 5000 artistes du monde entier, et qui l’a conforté dans l’idée que le doudouk pouvait être apprécié hors des frontières arméniennes. Encore jeune homme, Djivan GASPARYAN a de plus remporté un concours consacré à cette forme artistique savante caratéristique de la culture azérie (d’origine perse) qu’est le « mugham », un système de suites musicales avec parties fixes et parties improvisées.
Mais bien qu’étant devenu une légende artistique en Arménie, où il fut nommé « artiste d’honneur » en 1953 puis « artiste populaire arménien » en 1968, Djivan GASPARYAN a quitté l’Ensemble d’Altunyan, où il est resté un quart de siècle durant, pour… retourner à l’école (à 52 ans!) et étudier au Conservatoire Komitas. Il est vrai que, jusqu’alors, Djivan ne savait pas lire une partition !
À une époque où le déclin de l’Union soviétique entraîne des transformations radicales en Russie et en Europe de l’Est et où l’Arménie subit un tremblement de terre aux conséquences catastrophiques, Djivan GASPARYAN est contraint comme beaucoup d’autres Arméniens de quitter sa patrie.
Si la notoriété de Djivan GASPARYAN a surtout été circonscrite à l’Arménie et à l’Union soviétique durant trente années, elle a fini par gagner le monde occidental, notamment suite à l’invitation que lui a faite un certain Brian Eno pour venir à Londres après l’avoir écouté en concert à Moscou. Le célèbre musicien électronique, théoricien des « stratégies obliques », a ainsi réédité sur son label Opal le tout premier disque de Djivan, d’abord publié par le label russe Melodiya en 1983, rebaptisé I Will Not Be Sad in this World lors de sa parution en CD en 1989. Eno a de même présenté Djivan à Michael Brook, spécialiste de l’ « infinite Guitar », qui a produit son premier disque à l’international, Moon Shines at Night (All Saints, 1993). À la même époque, Djivan GASPARYAN se fait entendre dans Passion de Peter Gabriel. Il n’en faut pas davantage pour propulser la carrière internationale du désormais légendaire « doudoukiste ».
Dès lors, Djivan GASPARYAN a multiplié les collaborations avec des musiciens a priori bien éloignés de la tradition arménienne, notamment avec Michael Brook (avec l’album Black Rock, paru sur Real World en 1998, dans lequel Djivan fait également entendre son trop rare timbre vocal), la chanteuse touva Sainkho Namtchylak (Naked Spirit, 1998), le musicien suisse Andrea Wollenweider (album Cosmopoly, 1999), le guitariste canadien Jessie Cook (albums Red en 1998 et Incantation, en 2000), le pianiste italien Ludovico Einaudi (Eden Roc, 1999), le multi-instrumentiste d’origine arménienne Abaji (Nomad Spirit, 2005) ou encore Brian May, Branford Marsalis, Sting et autres célébrités des musiques actuelles (David Sylvian a de plus échantillonné un thème de Djivan dans son album Dead Bees on a Cake, 1999).
Mais Djivan GASPARYAN a aussi eu à cœur d’établir des dialogues musicaux avec des artistes représentants des cultures traditionnelles attenantes à celle de l’Arménie. Déjà, au début des années 1990, alors que cette dernière accédait à l’Indépendance, et qu’elle entamait une guerre ouverte avec son pays voisin, l’Azerbaïdjan, Djivan GASPARYAN a donné plusieurs concerts avec l’illustre chanteur azéri Alim Qasimov, prenant à rebrousse-poil les sentiments politiques belliqueux alimentés par les autorités politiques des deux pays.
D’autres échanges artistiques « transculturels » de Djivan GASPARYAN ont eu une même portée fraternelle symbolique, notamment celui qu’il a réalisé avec le très réputé joueur de luth iranien Hossein Alizadeh et son groupe (album Endless Vision, 2005), à une époque où l’Iran était considérée comme l’« Axe du mal »…
Notons aussi sa réalisation scénique et discographique avec le guitariste « fretless » turc Erkan Oģur, Fuad, qui a fait suite à la toute première performance scénique que Djivan a pu donné en Turquie, à Istanbul, en 2000, lors d’un concert avec Andrea Wollenweider. Auparavant, les relations tendues entre la Turquie et l’Arménie (suite au génocide des Arméniens perpétué sur le territoire turc en 1915, qui a laissé des traces profondes…) avaient empêché Djivan d’entrer en Turquie…
Même si elle a démarré tardivement (en dépit d’une apparition dans un enregistrement paru sur le label Ocora, Arménie – Musique instrumentale, en 1971), la carrière discographique de Djivan GASPARYAN se révèle assez riche et pluridimensionnelle, offrant des œuvres d’inspiration traditionnelles et d’autres plus expérimentales, dans un esprit « cross over ». Sans doute la meilleure porte d’entrée pour appréhender l’étendue de son univers est le double CD paru sur le label Network en format Long Box, The Soul of Armenia, qui regroupe des extraits de quelques-uns de ses albums solo ou avec ses groupes (Djivan GASPARYAN TRIO, Djivan GASPARYAN QUARTET, Djivan GASPARYAN ALL STARS ENSEMBLE), de rares collaborations avec d’autres artistes, et l’équivalent d’un CD entier d’enregistrements inédits réalisés en 2007.
Outre sa carrière de musicien, Djivan GASPARYAN a également mené une activité pédagogique en enseignant le doudouk à de nombreux jeunes musiciens au Conservatoire d’Erevan, assurant ainsi le devenir culturel de cet instrument en bois d’abricotier qui a fait des émules bien au-delà de l’Arménie, comme en témoigne la passion qui lui a voué notamment le saxophoniste et flûtiste français Didier Malherbe, qui en a fait son nouvel instrument fétiche au sein de son groupe Hadouk. Et bien sûr, Didier Malherbe a eu l’occasion de jouer avec Djivan GASPARYAN, se rappelant, lors d’un entretien sur France Culture, de l’homme « merveilleux, extrêmement chaleureux » qu’il était…
L’héritage artistique laissé par Djivan GASPARYAN est assurément immense : il a non seulement porté tout un pan de la culture arménienne auprès des médias internationaux, mais il a de même révélé les vertus et les capacités d’un instrument d’apparence frustre et modeste à faire entendre sa voix si envoûtante au-delà de ses frontières culturelles. Les effluves plaintives et résilientes de son doudouk résonneront encore longtemps dans les âmes sensibles du monde entier, ouvrant un champ exploratoire panoramique pour les nouvelles générations de doudoukistes. Merci l’artiste pour tout ce que tu as entrepris.
Article réalisé par Stéphane Fougère
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