Souvenirs de notre plan à trois

Souvenirs de notre plan à trois




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Souvenirs de notre plan à trois



Témoignages


J’ai fait un plan à trois avec deux hommes (dont mon mari) et c’était fou




Une madmoiZelle

20 avr 2022


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madmoizelle



Témoignages



Vivre une expérience sexuelle avec ton compagnon et un autre partenaire, ça te tente ? C’est le fantasme réalisé par cette lectrice de Madmoizelle lors d’un plan à trois avec son mari et un autre homme.

Superbe récit, ça fait rêver d'avoir un mari aussi ouvert et prévenant et de rencontrer une tierce personne aussi respectueuse. Chouette aussi de voir que deux hommes cis peuvent s'ouvrir à autre chose que l'hétérosexualité et accepter de bouger les lignes de la "virilité". Dommage simplement, pour moi, qu'il faille à tout prix préciser in fine qu'ils sont hétéros... au final, est-ce si important ? Et dernier petit bémol pour moi, point de vue perso: dommage que le témoignage retourne finalement aux basiques : la fell-fell. J'aurais adoré une description de cunni donné par deux hommes en même temps. Décidément, c'est toujours tabou ce mot ou quoi ? Ou une description qui parle de baisers et de caresses plus explicites à destination de la narratrice. Sinon, chouette de constater que deux hommes peuvent prendre soin d'une femme, et d'eux-memes réciproquement. Ce genre de témoignage me réconcilie presque avec nos (pas souvent) amis les hommes.

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Au printemps 2018, nous avons organisé et vécu avec mon mari notre premier « plan cul de couple » avec une tierce personne. Nous avons eu beaucoup de chance en rencontrant « la » bonne personne pour nous et ce fut incroyablement beau, bon, sexy, respectueux et enrichissant.
À l’origine de cette expérience, il y avait une envie et un besoin plutôt précis de mon côté : je fantasmais depuis un certain temps sur les hommes exceptionnellement membrés .
Avec mon homme, nous avions déjà échangé à ce propos car nous parlons de tout sans tabou, et notamment de sexualité. Il avait remarqué que les vidéos porno que je regardais à côté de lui sur mon petit téléphone dans notre lit mettaient en scène des hommes particulièrement hors norme !
Tout comme moi, j’avais remarqué que ses choix à lui allaient souvent vers des threesomes , deux filles et un mec, mais aussi deux mecs et une fille.
Niveau sexe, on n’a pas vraiment de complexe ou de blocage l’un et l’autre : on aime explorer et surtout écouter nos désirs. Parfois on ne fait l’amour que deux fois par mois, et puis soudainement il arrive qu’on se transforme en petits lapins !
Pour nous, le plus important c’est d’être loyal, envers soi-même et envers l’autre.
Nous avons tous les deux été trompés par nos ex suite à des baisses de libido, et cela nous a beaucoup affectés humainement. Alors quand on s’est rencontrés, c’était pour nous la règle de base : la fidélité entre nous serait de se dire les choses.
Un jour, il me dit : « Mais si tu fantasmes autant sur les grosses queues, pourquoi tu ne t’autoriserais pas un plan cul avec un gars qui en a une vraiment grosse ? » Oui, il est pas du genre possessif mon homme.
J’y ai réfléchi mais je ne me voyais pas vivre un truc sans lui, pour moi ça aurait été comme le tromper et décidément ça ne me plaisait pas comme scénario. Quand aux « clubs » échangistes, nous y avions mis les pieds une fois l’année d’avant par curiosité et nous étions ressortis complètement dégoûtés de cette expérience.
Ambiance boîte de nuit, musique trop forte, alcôves sombres, crades, mecs bedonnants qui te mettent la main au cul sans te demander ton avis, ça n’était vraiment pas notre truc. On avait eu la sensation de se retrouver exposés comme de froids morceaux de viande et nous avions conclu que ça n’était pas pour nous.
Quelques jours plus tard, je lui ai proposé une autre autre solution : « Et si on vivait cette expérience en couple ? ».
On a pris le temps de parler, de se positionner, on s’est dit nos limites, nos attentes, nos besoins, nos envies, on s’est littéralement projetés dans la scène, ce qui nous a permis d’exprimer quelques petites angoisses aussi. Peur de l’abandon quand tu nous tiens…
Et puis le lendemain, il m’a montré un texte qu’il avait écrit afin de le mettre sur un site spécialisé.
Ce texte nous présentait succinctement et proposait une rencontre où « la femme resterait centrale » c’est comme ça qu’il avait exprimé ses propres limites et j’ai trouvé ça bien.
On était super excités quand on a mis le texte en ligne, comme des gamins qui font un truc un peu interdit, c’était drôle. C’était une belle soirée de vendredi, nos enfants étaient respectivement chez leurs autres parents, on avait tout le week-end de libre, pour nous.
Et là, on a commencé à recevoir des mails, beaucoup de mails ! On était tous les deux lovés l’un contre l’autre dans le canapé et il pleuvait des mails dans notre boîte spécialement créée pour l’occasion.
On s’est regardés surpris et on a ouvert la première réponse : un homme qui se disait intéressé et joignait une photo à sa phrase. Sur le téléphone de mon mari, on a chargé la photo et on s’est retrouvés nez à nez avec un sexe en gros plan !
Il a eu le réflexe d’éloigner le téléphone de lui en tendant son bras et on a éclaté de rire. Voilà, c’était notre première expérience de dick-pic, à l’époque on ne savait pas que ça existait !
En même temps, on l’avait bien cherché car dans notre annonce une des demandes explicites était que le troisième luron soit bien doté.
Qu’est-ce qu’on a ri ce soir-là, en voyant tous les messages improbables que l’on recevait. On s’est vite rendu compte qu’on devrait mettre en place une technique pour trier les réponses afin de choisir au mieux.
Déjà, on a commencé par éliminer ceux qui ne prenaient pas le temps d’écrire plus de trois phrases. Puis on a réalisé qu’on préférait échanger avec ceux qui envoyaient des photos d’eux-même jointes à celle de leur bite (ou pas, finalement). On a surtout fait confiance à nos premières intuitions.
Après ce premier tri, on a entamé une correspondance avec 4 hommes différents. Avec l’un, on s’est rendu compte au cours des échanges qu’il était en couple et que sa femme n’était pas au courant de ses aventures : pour nous, c’était niet.
Avec un autre, nous avons ressenti venant de sa part un besoin pressant qui nous dérangeait. Et quand il a commencé à devenir vraiment trop insistant, nous avons coupé court.
Avec le troisième, c’était sympa mais je le trouvais un peu jeune. Il avait 25 ans, il sortait de sa première relation longue et avait envie de se changer les idées. J’ai partagé mes doutes avec mon mari mais comme le gars était gentil, mignon et qu’il était libre dans le week-end, nous avons convenu d’un rendez-vous dans un café en bord de mer, dans la ville où il habitait.
Nous avons fait une heure de route et puis 15 minutes avant le rendez-vous, nous avons reçu un sms de sa part, nous disant qu’il était désolé mais que ça allait trop vite pour lui. Moi ça m’a un peu énervée sur le moment, mais au final je suis contente qu’il ait annulé parce que ce n’était pas le bon.
Le quatrième, tu t’en doutes, était le bon ! Dès le début de nos échanges par mails, on a senti qu’on était sur la même longueur d’onde. Sa photo de profil le montrait en visite dans un musée d’art, il avait notre âge et avait déjà eu deux expériences avec un couple pendant des vacances d’été. Ce qui nous a tout de suite rassurés.
On parlait le même langage et nous avons convenu d’une première rencontre dans un bar de notre ville. Entre nos premiers échanges et le rendez-vous, deux semaines s’étaient écoulées.
Avec mon mec, une de nos limites était qu’on ne voulait pas vivre cette expérience chez nous, on avait envie de protéger notre maison familiale et on était prêts à prendre une chambre d’hôtel si jamais la troisième personne partageait le même besoin que le nôtre.
Même si on trouvait ça un peu froid les chambres d’hôtel et que le fait de devoir payer pour vivre une expérience sexuelle me plaisait moyen…
Quand Peter est entré dans le bar, il nous a tout de suite plu, autant à mon mec qu’à moi. On a aimé ce qui se dégageait de sa personne. Il était très similaire physiquement à mon homme, même taille, mince comme lui et très stressé comme lui. C’était incroyable de se retrouver dans ce café, sans se connaître pour parler de soi et de nos sexualités.
On s’est mis à une table qui était un peu à l’écart pour pouvoir parler librement. Peter nous a raconté ses deux expériences, à chaque fois il s’était retrouvé embarqué par un couple homme-femme et il en gardait un merveilleux souvenir. Il nous en parlait de façon très belle et tendre.
Il nous a aussi fait part de son stress et s’est dit intimidé d’être là, seul face à nous : entité couple. Là, j’ai réalisé qu’il avait du courage en effet et ça nous a permis à mon mari et moi d’être encore plus attentif à lui.
Une de ses premières questions a été de nous demander pourquoi nous n’avions pas cherché un couple, comme nous étions un couple. On s’est retrouvés bêtes car on y avait pas pensé. « Rencontrer une troisième personne c’est déjà beaucoup, non ? » a été notre réponse.
Je nous trouvais très mignons tous les trois dans ce café et étrangement je me sentais à l’aise. Pour lui, la nouveauté était d’être la personne expérimentée et de se retrouver en quelque sorte comme le guide de l’aventure. Il avait envie que ce soit aussi bien pour nous que ce qu’il avait vécu et se sentait investi d’une « petite » responsabilité.
Nous avons tout de suite réalisé que ça collait bien entre nous, qu’on s’attirait autant émotionnellement que physiquement alors nous sommes passés à la vitesse supérieure.
Je lui ai demandé comment il imaginait les choses du côté pratique. En tant que célibataire, il nous a immédiatement invité à venir chez lui, et même s’il n’avait pas projeté que ça irait si vite, il a dit : « Bah oui finalement, si on a organisé cette rencontre c’est pas pour faire genre et remettre à plus tard ».
Il nous a demandé de lui donner 30 minutes d’avance afin qu’il prépare sa maison pour nous accueillir. Prévenant, en plus.
Quand on s’est séparés au bar, on sentait l’électricité entre nous trois. Le moindre effleurement de peau et nos bises nous on fait réaliser à quel point nous étions excités !
Arrivés chez lui, nous avons découvert sa maison : super belle, bien décorée dans le style d’un mec célibataire ayant la quarantaine, du goût et des moyens. Nous sommes montés directement sous les combles où nous attendait une chambre d’amis cosy, douillette avec poutres apparentes, le lit à hauteur du sol, comme je les préfère pour faire l’amour.
Peter avait installé son ordi pour mettre de la musique, et en plus il avait de très bon goûts musicaux. Il avait monté son huile de massage et nous avions apporté la nôtre : c’était la même.
Il était vrai ment aux petits soins avec nous. Son attention allait autant vers moi que vers mon homme.
Quand on s’est déshabillés, mon mari m’a regardée en poussant un petit soupir de soulagement car Peter était imberbe du torse et je savais qu’il avait super peur de se retrouver face à un mec très poilu. Nous avons passé une merveilleuse nuit d’amour. J’ai été une vraie princesse, choyée, comblée d’amour et de caresses, au centre de tout.
On s’est bien amusés et on a aussi beaucoup ri de la nouveauté. Parfois, on arrivait même à verbaliser les choses quand l’émotion était trop forte.
Quand je me suis retrouvée assise sur mes genoux entourée de deux magnifiques hommes avec de chaque côté à hauteur de mon visage, leurs bites entre mes mains, puis contre mes joues, c’était houaaaa, très puissant. Quand j’y repense, ça m’émoustille encore entre les cuisses.
Je crois que mon mari a pris beaucoup de plaisir à regarder cet homme m’en donner et il était sans aucun doute le plus excité de nous trois ! C’est d’ailleurs le seul à avoir joui cette fois-là.
Après que nos ardeurs se soient calmées, nous avons passé encore une heure sur le lit, à écouter de la musique, à parler de plein de trucs différents, à toucher nos corps tout doucement, à se renifler tendrement. J’aimais particulièrement sentir les différentes textures de peaux, de cheveux entre eux deux.
La fatigue arrivant, il nous a proposé de rester mais nous avions envie de nous réveiller chez nous au petit matin. On voulait préserver intacte cette bulle temporelle, sans l’entacher de quotidien, avec un réveil à gérer : « thé ou café ? »
Au final, il ne m’a même pas pénétrée avec sa grosse queue. Ce n’est pas grave, je l’ai sentie aux creux des mes mains et elle a somptueusement rempli ma bouche, c’était largement suffisant.
Pendant les deux jours qui ont suivi, j’ai littéralement plané, j’avais beau agir au présent, mes pensées s’en retournaient à cette nuit magique, ça me faisait des petits papillons dans le corps et c’était délicieux.
Pour mon homme, c’était la même chose, quand on se croisait dans la maison, on se regardait dans les yeux avec beaucoup d’amour. On avait désormais un beau secret à chérir ensemble.
Nous avons envoyé un message à Peter pour lui raconter notre état, il nous a répondu que lui aussi planait sur son petit nuage à quelques kilomètres de là.
Le lundi, avec la reprise du boulot et le retour des enfants, on a dû atterrir.
À la fin de la semaine, mon souvenir s’est transformé et j’ai réussi à analyser certaines choses. Je suis comme ça moi, j’intellectualise tout, c’est une belle qualité qui s’avère parfois fatigante.
Je suis alors revenue vers mon mari pour lui faire part de mon cheminement cérébral.
C’était vraiment bien comme première expérience MAIS j’avais finalement été gênée d’être le centre de tout. La danse était codifiée dès le départ alors qu’en amour je préfère la danse libre. J’ai parfois eu la sensation d’être la dépositaire de caresses qui ne m’appartenaient pas.
Cette image a beaucoup parlé à mon compagnon et il a cogité sur ça quelques jours. Il a envoyé un message à Peter pour avoir son avis et Peter lui a effectivement dit qu’il s’était beaucoup retenu afin de respecter
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