Sous le regard de mon paternel

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Sous le regard de mon paternel

PriÚre et méditation



L’herbier mystique



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Pour vous prémunir contre les dangers et les maux du monde, Covid inclus, recourez à cette priÚre fortifiante qui vous sera un secours de poids dans les mauvais pas. 
Pour contrer les Ă©preuves et les malheurs, cette priĂšre personnelle vous deviendra une rĂ©fĂ©rence bienfaisante oĂč vous rĂ©fugier comme lorsque vous entrez en dialogue avec votre ange gardien. Sous le regard paternel et consolateur de Dieu en tout et partout, il n'est de crainte ou de dĂ©route possible : 


J’avance sur ma route avec la force de Dieu pour me protĂ©ger,
La sagesse de Dieu pour me diriger,
L’oeil de Dieu pour me guider,
L’oreille de Dieu tĂ©moin de mon langage .
Que la parole de Dieu soit sur mes lĂšvres, Que la main de Dieu me garde,
Que le chemin qui mĂšne Ă  Dieu s’étende devant moi,
Que le bouclier de Dieu me protĂšge,
Que l’armĂ©e invisible de Dieu me sauve de toutes les embĂ»ches du dĂ©mon ,
de tout vice qui pourrait me réduire en esclavage et de tous
ceux qui me veulent du mal, au cours de mon rapide ou long voyage,
seul ou avec la multitude.
Que le Christ sur ma route me garde de la prison , me garde du feu,
de la noyade ou de la blessure provoquĂ©e par la colĂšre de l’ennemi,
afin qu’une moisson fructueuse puisse accompagner ma mission.
Christ devant moi, Christ derriĂšre moi, Christ sous moi, Christ sur moi,
Christ en moi et à mes cÎtés, Christ autour et alentour,
Christ Ă  ma gauche et Ă  ma droite,
Christ avec moi le matin, avec moi le soir,
Christ dans chaque cƓur qui pensera à moi,
Christ sur chaque lĂšvre qui parlera de moi,
Christ sur chaque regard qui se posera sur moi ,
Christ dans chaque oreille qui m’écoutera.
Sur ma route me conduisant vers le roi d’Irlande et sa colùre,
j’invoque le pouvoir de la TrinitĂ© Sainte, par ma foi dans la Triade,
par ma foi dans le PÚre, dans la divinité éternelle du Créateur.

Saint Patrick
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Accueil > SPIRITUALITE > Spiritualité > Sous le regard du PÚre miséricordieux
Sous le regard du PĂšre misĂ©ricordieux Anthologie sur la misĂ©ricorde Pendant des dĂ©cennies, avec beaucoup de patience et une grande force de conviction, le PĂšre Kentenich, - fondateur du mouvement Schoensttat, - a conduit Ă  Dieu, PĂšre plein d’Amour et de MisĂ©ricorde. Avec lui beaucoup ont fait l’expĂ©rience d’un prĂȘtre paternel qui rendait perceptible humainement le PĂšre aimant et misĂ©ricordieux. La prĂ©sente anthologie est tĂ©moin des diffĂ©rentes annĂ©es de son activitĂ©. Elle aimerait montrer que le thĂšme a grandi chez lui et s’est enrichi. Le PĂšre Kentenich puise constamment dans le message de l’Ancien et du Nouveau Testament. Il se met consciemment Ă  l’école de saint Paul. Il se laisse stimuler et enrichir par le tĂ©moignage des saints comme saint François de Sales, sainte ThĂ©rĂšse d’Avila et sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant-JĂ©sus. L’impulsion du pape François est une chance pour ramener au cƓur de la Bonne Nouvelle ce message central. SchƓnstatt aimerait y contribuer pour sa part.


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Publié le
23/10/2017 Ă  16:00







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Le lien entre une fille et son pĂšre peut conditionner fortement le reste de ses relations tant professionnelles qu'amoureuses.
Au commencement, il y a la mÚre , avec laquelle on ne fait qu'un. Puis vient le pÚre, cet autre qui va nous donner la confiance en soi , l'assurance en nos capacités une fois lancées dans le monde extérieur. De nombreuses femmes aux carriÚres brillantes l'affirment: sans ce regard paternel confiant et plein d'espoir, elles n'auraient pas aussi bien réussi. 

"Tout comme ma mĂšre, mon pĂšre m'a encouragĂ©e Ă  beaucoup travailler, explique Catherine Barba, 44 ans. TrĂšs tĂŽt, mon pĂšre me parlait de l'informatique et des ordinateurs." ExpatriĂ©e Ă  New-York, la Française est dĂ©sormais une serial entrepreneure chevronnĂ©e, l'une des meilleures expertes de l'e-commerce et Ă  la tĂȘte du Women in Innovation Forum NY. 

Alors qu'il est souvent mis de cÎté ou dépeint comme le parent "secondaire", le pÚre serait "le tiers séparateur entre l'enfant et la mÚre, explique la psychothérapeute Valérie Colin-Simard, auteure de PÚres d'aujourd'hui, Filles de demain (éd.Marabout). Déjà dans le ventre, la voix du pÚre symbolise l'étranger, l'inconnu pour le bébé . Plus tard, il représentera le monde extérieur, le regard de la société sur l'enfant. Toutefois, ce schéma est un archétype qui se traduit de mille et une façons différentes." 

Plus le pÚre "autorise" la fille à s'identifier à lui, plus il lui donne le droit de conquérir des terrains hors des carcans sexistes que la société a prédisposés pour elle. Mais pour la fille, c'est toujours le premier drame: ce pÚre qui va lui permettre de se différencier de la mÚre est aussi celui qui va la rejeter. 

"Entre 3 et 6 ans, les filles espĂšrent que leur papa pourra leur donner ce que la mĂšre n'a pas pu: un bĂ©bĂ©, un pĂ©nis, et tout son amour", rĂ©sume Didier Lauru, psychanalyste et auteur de PĂšre-fille, une histoire de regard (Ă©d.Albin Michel). "Le pĂšre doit tout faire pour que sa fille renonce Ă  lui en tant que partenaire amoureux, mais est censĂ© aussi la rassurer sur deux choses: sa fĂ©minitĂ©, sa capacitĂ© de sĂ©duction et son intelligence, ses capacitĂ©s Ă  se dĂ©brouiller seule." Un peu comme une feuille de route pour la suite. Évidemment, tous les pĂšres ne suivent pas cette thĂ©orie. Et les filles ne les Ă©coutent pas toujours. 

L'entrepreneure Muriel de Saint Sauveur est un cas Ă  part parmi ses amies. Aujourd'hui Ă  la tĂȘte du cabinet de coaching Women Masterclass, la sexagĂ©naire a d'abord montĂ© son entreprise Ă  23 ans seulement et fait carriĂšre, soutenue par son pĂšre. "Il Ă©tait trĂšs concentrĂ© sur moi, alors que ma mĂšre Ă©tait portĂ©e sur mon frĂšre. Il m'a prĂ©sentĂ© son comptable, m'a introduite auprĂšs des bonnes personnes. Je venais d'un milieu bourgeois oĂč les filles avaient aussi droit Ă  une Ă©ducation, mais on ajoutait toujours qu'elles 'allaient se marier'. Pour moi, tout cela est arrivĂ© bien aprĂšs." 

À l'inverse, Émilie, 32 ans, n'avait pas l'impression que son pĂšre attendait grand-chose d'elle. "Il ne m'a jamais trop posĂ© de questions sur mes ambitions et mon avenir. En revanche, il Ă©tait toujours d'accord avec mon frĂšre aĂźnĂ©, il lui passait tout, s'intĂ©ressait Ă  ses loisirs, Ă  ses Ă©tudes. Je savais qu'il avait toujours voulu un garçon... Moi, je suis arrivĂ©e juste aprĂšs lui, mais je n'Ă©tais pas vraiment dĂ©sirĂ©e." 

Le besoin de reconnaissance sera le moteur de l'Ă©volution de la jeune femme de 32 ans. "Quand j'ai eu ma premiĂšre rupture amoureuse , j'ai transfĂ©rĂ© toute cette haine sur mon pĂšre. Je me suis mis la tĂȘte dans le guidon pour bosser, je me suis battue pour arriver Ă  Paris et acquĂ©rir un statut social. Je voulais prouver Ă  ces hommes que je n'Ă©tais pas une moins-que-rien, que j'allais rĂ©ussir ma vie, que j'Ă©tais intelligente. Ça m'a pris dix ans, j'ai rĂ©ussi, puis j'ai tout lĂąchĂ© pour faire enfin les choses pour moi." 

MĂȘme s'ils sont prĂ©sents physiquement, les pĂšres peuvent ainsi ĂȘtre absents, comme l'a Ă©tudiĂ© Ă  travers diffĂ©rents ouvrages la psychologue et psychanalyste canadienne Louise Grenier, auteure de Filles sans pĂšre, l'attente du pĂšre dans l'imaginaire fĂ©minin (Ă©d.QuĂ©becor). 

"Certains sont incapables de s'investir en tant que tel, soit parce qu'ils sont dĂ©pressifs, silencieux, repliĂ©s sur eux-mĂȘmes, qu'ils ont des problĂšmes d'addiction. D'autres sont prĂ©sents durant l'enfance puis se retirent quand la fille devient femme. Ils ne peuvent pas reconnaĂźtre leur fĂ©minitĂ©, ils la dĂ©nient, l'ignorent, par peur d'un rapprochement incestueux, nous explique-t-elle. Souvent, ces femmes vont trĂšs bien rĂ©ussir sur le plan professionnel, mais vivront des Ă©checs amoureux car elles ont de la difficultĂ© Ă  se sentir femme, elles n'ont pas appris Ă  se situer en tant que telle." 

Si elle ne dirait pas qu'elle a choisi tous ses compagnons en fonction de son pĂšre, Camille, 28 ans, remarque un point commun entre tous ses hommes: ils ont plutĂŽt Ă©tĂ© avares de compliments et de preuves d'amour . "Ma relation avec mon pĂšre Ă©tait bonne, malgrĂ© le divorce, jusqu'Ă  l'adolescence. AprĂšs, il me faisait des rĂ©flexions, un peu la morale, mais jamais de compliments ni contrepartie valorisante. C'Ă©tait: 'j'espĂšre que tu travailles bien Ă  l'Ă©cole', mais jamais 'c'est bien, tu as de bons rĂ©sultats'. Je me demandais toujours si j'Ă©tais une bonne 'fille Ă  ses parents', bien Ă©duquĂ©e. À cĂŽtĂ©, je voyais mes oncles clamer combien ils Ă©taient fiers de mes cousines. Mon pĂšre leur faisait des compliments mais Ă  moi, rien. J'avais l'impression d'ĂȘtre nulle." 

D'aprĂšs la psychothĂ©rapeute ValĂ©rie Colin-Simard, il est frĂ©quent que l'adulte se replace dans des situations analogues Ă  celles qu'il n'a pas pu rĂ©soudre durant l'enfance. "C'est alors une occasion d'affronter de nouveau ces traumatismes et blocages sous une autre forme pour cette fois-ci guĂ©rir et s'en libĂ©rer. C'est une quĂȘte de rĂ©paration." 

La réparation peut venir en se libérant de ce regard paternel, déterminant certes, mais jamais fatal. "Petite, la fille a fait de son pÚre un idéal, elle l'a mis sur un piédestal, constate Didier Lauru. Pour ne pas rester coincée dans des schémas répétitifs malheureux une fois adulte, il faut qu'elle l'en fasse descendre." C'est désormais au tour de la femme de poser un regard critique sur son pÚre. 

Camille a arrĂȘtĂ© de se remettre en question quand son pĂšre l'a profondĂ©ment déçue. "Nous avions convenu qu'il me verserait la pension alimentaire jusqu'Ă  mon premier salaire mais il a arrĂȘtĂ© avant, sans mĂȘme me prĂ©venir. J'ai eu ensuite des difficultĂ©s financiĂšres et je lui ai demandĂ© de l'aide. Il m'a conseillĂ© d'aller faire un prĂȘt. Le problĂšme n'Ă©tait pas qu'il ne me donne pas d'argent, mais qu'il me laisse me dĂ©brouiller seule, sans rĂ©flĂ©chir ensemble Ă  une solution. J'en ai conclu qu'il Ă©tait Ă©goĂŻste, que je ne pouvais pas compter sur lui. Je lui ai Ă©crit une lettre Ă  laquelle il n'a pas voulu rĂ©pondre. À partir de lĂ , j'ai dĂ©cidĂ© de ne plus l'appeler. Ma famille dit que c'est dommage, mais tant pis." 

Cette attitude est saine selon Louise Grenier: au lieu de virer dans la quĂȘte pathologique, mieux vaut assumer cette faille pleinement. "Souvent, celles qui ont eu des pĂšres absents ont honte, la famille parle peu... Pourtant, il faut le partager. On peut trouver des figures de substitution, mais on ne pourra jamais combler ce manque, ni changer de pĂšre. Il vaut mieux renoncer et faire le deuil. L'important n'est pas d'aller Ă  la recherche du pĂšre, mais de voir en soi la part de l'enfant que nous Ă©tions qui attend encore son pĂšre, pour mieux s'en distancier." 

Pour conscientiser ces Ă©motions restĂ©es bloquĂ©es en nous, ValĂ©rie Colin-Simard conseille de trouver un lieu sĂ©curisĂ© oĂč les exprimer. "Ça peut ĂȘtre auprĂšs d'un psy , ou dans une lettre qu'on brĂ»lera ensuite. L'essentiel dans cette dĂ©marche est de faire comme si on s'adressait directement Ă  la personne concernĂ©e, mais on l'Ă©crit pour se libĂ©rer soi. Je dĂ©conseille fortement de l'affronter directement car en gĂ©nĂ©ral cela aggrave les blessures rĂ©ciproques et empire les choses." 

PlutĂŽt que de se dĂ©verser sur son pĂšre, Émilie, aidĂ©e par sa psy, a arrĂȘtĂ© de lui en vouloir... Et a aussitĂŽt ouvert les yeux sur ses bons cĂŽtĂ©s. "Il n'est peut-ĂȘtre pas trĂšs expressif, mais quand j'ai eu des problĂšmes de santĂ©, il a Ă©tĂ© lĂ . Quand j'ai tout quittĂ© pour partir en voyage en Asie plusieurs mois, il m'a soutenue." 

Camille, elle, essaie de s'accorder la bienveillance qu'elle aurait aimĂ© recevoir de son pĂšre. "Quand je vois que certains pĂšres sont hyper fiers de leur fille pour des choses que je fais ou suis capable de faire, ça me conforte dans l'idĂ©e que je ne vaux pas rien. Ma psy m'a permis de dĂ©culpabiliser et de ne plus me dire que j'Ă©tais la mauvaise fille qui attendait trop de son pĂšre. J'ai donnĂ© de la lĂ©gitimitĂ© Ă  mes Ă©motions et j'ai compris que j'avais le droit de revendiquer certaines choses. Au final, j'arrĂȘte de me faire souffrir pour lui." 


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Création : 11/06/2009 à 22:54
Mise Ă  jour : 11/11/2010 Ă  15:05
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Bienvenue sur mon blog photographie ! Bonne visite Ă  tous (:


‱ La photographie, c'est l'art de Capter quelque chose de prĂ©cieux, de le rendre infini et immortel. GrĂące Ă  la photo, j'arrive Ă  regarder le Monde tel qu'il est vraiment, je m'imagine en train de l'embellir aux yeux des autres.. La vie peut ĂȘtre si belle, si on s'en persuade.


Flora . F ‱ Photography ‱
















Photography tonight,
Revolution tomorrow.




# Posté le samedi 17 octobre 2009 21:03
Modifié le jeudi 11 novembre 2010 14:52

Lolo-ChouX ,
Posté le vendredi 07 mai 2010 10:27

E X P L D R R R R !! Mais jaaaiiiimeeee ( L ) !!

StrangexNeed ,
Posté le mercredi 14 avril 2010 21:13


StrangexNeed ,
Posté le samedi 10 avril 2010 15:12


Silver-Dream-Horse ,
Posté le lundi 19 octobre 2009 20:59

BĂȘte de saut : :)
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