Sous la jupe et sous le short des filles

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Sous la jupe et sous le short des filles
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A Reims, le mot d’un centre aĂ©rĂ© demandant Ă  des parents de mettre des shorts sous les jupes de leur fille de 4 ans pour Ă©viter « les gestes dĂ©placĂ©s » a suscitĂ© une vive Ă©motion sur les rĂ©seaux sociaux. Face Ă  la polĂ©mique, la direction s’est expliquĂ©e dans l’Obs.
Ils ne s’attendaient pas Ă  ce que « l’affaire » prenne une telle ampleur. Le 18 juillet, Alice N., contrariĂ©e, poste un message sur Facebook pour faire part de son indignation. Un animateur du centre aĂ©rĂ© oĂč elle a inscrit sa fille de 4 ans pour les vacances, lui a remis un mot. Celui-ci demande aux parents de mettre un short ou des pantalons sous les jupes de leur fillette. Le centre aĂ©rĂ© Ă©voque deux raisons. D’abord le confort des petites filles dans les activitĂ©s. Ensuite, « des enfants de 10 Ă  12 ans qui peuvent avoir un comportement dĂ©placĂ© avec une petite fille dont la jupe se soulĂšverait « .
#Reims "comportement déplacé à 10/12 ans" La couche-culotte de chasteté à la crÚche aussi ? https://t.co/Q3P0YxE4Vf pic.twitter.com/ExRvC1qAH3
— Calcنlette (@LaMutine) July 21, 2016
OutrĂ©e, Alice N. Ă©crit donc sur Facebook : « Ma fille ne doit pas avoir Ă  choisir entre une coquetterie – toute relative – et normale et la tranquillitĂ© de faire du toboggan sans avoir Ă  subir les ‘comportements dĂ©placĂ©s’ de mĂŽmes Ă  qui on n’apprend pas le respect de l’autre. Elle a quatre ans putain. QUATRE ANS. Et on lui fait comprendre que les jupes c’est pas adaptĂ© si elle veut pas d’ennuis » . Ce post, qui fait Ă©chos Ă  un dĂ©bat bien plus large sur le harcĂšlement de rue notamment des femmes adultes, est partagĂ© des milliers de fois sur Twitter.
Pendant ce temps on demande aux petites de 4 ans de ne pas mettre de short au centre aéré, normal, oklm pic.twitter.com/ybpKyhIO9v
— Daria Marx (@dariamarx) July 18, 2016
Les parents de la fillette ont Ă©crit Ă  la direction du centre de loisir pour faire part de leur Ă©tonnement face Ă  cette recommandation. Ils disent comprendre l’argument du confort mais pas le second. Dans un mail que l’Obs a pu consulter, ils suggĂšrent Ă  la direction : « Signaler aux enfants ayant un comportement dĂ©placĂ© que c’est inappropriĂ© nous semble faisable pour l’équipe. Et pourquoi pas faire passer un mot aux parents afin de s’assurer que leurs enfants n’aient pas de comportement dĂ©placĂ©, jupe ou non ? »
Alice N. s’étonne aujourd’hui que dans sa rĂ©ponse, la direction en question explique que « le seul but Ă©tait le confort des enfants, notamment dans les activitĂ©s. Elle ne rĂ©pondait pas du tout sur le fond de la question, Ă  savoir qui doit se protĂ©ger de quoi et comment. »
NoĂ«lle Harmand, la directrice gĂ©nĂ©rale des maisons de quartier de Reims a tenu Ă  couper court Ă  la polĂ©mique. Jointe par l’Obs , elle a rappelĂ© : « Nos centres de loisirs accueillent des filles et des garçons, certains entre 11 et 12 ans. Les animateurs ont repĂ©rĂ© que les enfants pouvaient avoir des rĂ©flexions envers les fillettes. Un travail Ă©ducatif a d’abord Ă©tĂ© fait avec les enfants pour rappeler les notions de respect mutuel. La directrice du centre a ensuite pris l’initiative » de cette note.
Elle ajoute que ce mot Ă©tait « un peu maladroit » et comprend qu’il « ait pu ĂȘtre mal interprĂ©tĂ©. Il n’y a eu aucun geste dĂ©placĂ© entre les enfants, nous avons voulu anticiper (
) Il est hors de questions qu’on remette des pantalons Ă  toutes les filles, nous sommes sensibles Ă  la question d’égalité ». Cela va mieux en le disant


22 juil. 2016 à 13:48 - mise à jour 22 juil. 2016 à 13:48 ‱ 3 min
A l'heure oĂč certains lycĂ©es français font scandale pour interdire Ă  des adolescentes de porter des jupes longues , ce centre aĂ©rĂ© de la ville de Reims dĂ©conseille aux parents de mettre une jupe Ă  leur petite fille. Les parents avaient reçu ce lundi 18 juillet un mot rappelant le rĂšglement du centre de loisir: objets prĂ©cieux sous votre responsabilitĂ©, respect des horaires, attention aux retards... Mais un paragraphe dĂ©tonne parmi ces recommandations habituelles : " Nous vous demandons de mettre soit des shorts, pantalons ou de mettre un short sous la jupe de votre fille car dans le groupe des plus de 6 ans notamment cela permettra Ă  votre enfant dĂ©jĂ  d'avoir une meilleure mobilitĂ© pour les activitĂ©s et sachez que nous avons des enfants de 10 Ă  12 ans qui peuvent avoir un comportement dĂ©placĂ© avec une petite fille dont la jupe se soulĂšverait. Nous voulons juste Ă©viter des situations complexes Ă  gĂ©rer ".
Pour cette maman, la consigne est inacceptable. Elle s'insurge sur Twitter : " Par cette chaleur, il faudrait que l'on mette des shorts sous les jupes de nos filles, pour Ă©viter que les enfants aient 'un comportement dĂ©placĂ© avec une petite fille dont la jupe se soulĂšverait' . [
] Il ne leur vient pas Ă  l’idĂ©e que ce n’est pas aux petites filles d’adapter leur tenue en fonction des lourdauds, mais plutĂŽt aux lourdauds de s’éduquer ? [...] Ma fille ne doit pas avoir Ă  choisir entre une coquetterie - toute relative- et normale et la tranquillitĂ© de faire du toboggan sans avoir Ă  subir les 'comportements dĂ©placĂ©s' du mĂŽme Ă  qui on apprend pas le respect de l'autre. Elle a quatre ans putain. QUATRE ANS. Et on lui fait comprendre que les jupes c’est pas adaptĂ© si elle ne veut pas d’ennui. "
Ce post a Ă©té retweetĂ© prĂšs de 4000 fois. Jointe par L'Obs , la maman explique : " En voyant ce mot, j’étais trĂšs en colĂšre. La responsabilitĂ© Ă©tait dĂ©placĂ©e du cĂŽtĂ© des petites filles qui portent des jupes. Je comprends que le rĂŽle de l’animateur n’est pas d’éduquer les enfants mais il peut dire 'non' Ă  un garçon s’il embĂȘte une fille parce qu’elle a une jupe. Lui expliquer qu’il ne faut pas soulever la jupe d’une fillette ou l’embĂȘter Ă  cause de cela. " 
Vivre sa vie, avec les aléas du vent
Les parents ont finalement contactĂ© la direction du centre de loisir pour exprimer leur stupĂ©faction Ă  la lecture du mot. L'Obs a dĂ©voilĂ© le mail dans lequel les parents argumentent : " si cela s'entend tout Ă  fait pour le confort de notre enfant lors d'activitĂ©s sportives, en revanche nous sommes bien plus contrariĂ©s Ă  l'idĂ©e que cela soit pour Ă©viter des 'comportements dĂ©placĂ©s' dont il est fait mention. " Ils poursuivent : " si comportements dĂ©placĂ©s il y a, ce n'est pas Ă  notre fille d'en porter la responsabilitĂ© au travers de sa tenue. [
] Nous estimons qu'une petite fille de 4 ans dont la jupe se soulĂšve est simplement une petite fille qui vit sa vie avec les alĂ©as du vent, des objets qui l'entourent, et que ça n'est pas pour autant que des comportements ou des remarques dĂ©placĂ©es doivent avoir lieu. "
Tout en prenant soin de ne pas incriminer les animateurs, ils suggÚrent : "Signaler aux enfants ayant un comportement déplacé que c'est inapproprié nous semble faisable pour l'équipe. Et pourquoi pas faire passer un mot aux parents afin de s'assurer que leurs enfants n'aient pas de comportement déplacé, jupe ou non?"
AprĂšs avoir reçu une rĂ©ponse de la direction, certains parents sont déçus. La mĂšre Ă  l'origine du tweet est dĂ©concertĂ©e : " La direction se disait dĂ©solĂ©e qu’on ait pu mal comprendre, et expliquait que le seul but Ă©tait le confort des enfants, notamment dans les activitĂ©s. Elle ne rĂ©pondait pas du tout sur le fond de la question, Ă  savoir qui doit se protĂ©ger de quoi et comment."
La directrice générale se dit étonnée de l'ampleur qu'a pris cette histoire : " nos centres de loisirs accueillent des filles et des garçons, certains entre 11 et 12 ans. Les animateurs ont repéré que les enfants pouvaient avoir des réflexions envers les fillettes. Un travail éducatif a d'abord été fait avec les enfants pour rappeler les notions de respect mutuel. La directrice du centre a ensuite pris l'initiative de ce mot. "
InterrogĂ©e sur le manque d'explications autour de cette lettre, elle rĂ©pond : " je comprends que le mot ait pu ĂȘtre mal interprĂ©tĂ©. Il n'y a eu aucun geste dĂ©placĂ© entre les enfants, nous avons voulu anticiper. Le but n'Ă©tait pas du tout de demander aux fillettes de se cacher, il s'agissait avant tout d'Ă©viter tout malaise et d'assurer le confort lors des activitĂ©s extĂ©rieures. Il est hors de questions qu'on remette des pantalons Ă  toutes les filles, nous sommes sensibles Ă  la question d'Ă©galitĂ© ."

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C'est une scÚne hallucinante qui laisse sans voix. Dans un supermarché bondé, un homme s'est accroupi en plein milieu d'un rayon pour regarder sous la jupe d'une jeune femme. Non Stop Zapping vous propose de découvrir ces images.
http://www.non-stop-zapping.com/actu/web/un-pervers-regarde-sous-les-jupes-des-femmes-dans-un-supermarche-video-53634


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