Souris putain On dirait que t'aimes pas

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Souris putain On dirait que t'aimes pas

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Une Sterne Royale au lever du soleil sur Miami Beach.... Comme elles sont loins ces vacances... Tout s’est quasiment arrêté: les consultations, la chirurgie, les réunions... la guerre se déroule sur des fronts où mes compétences ne sont pas essentielles... J’ai bien proposé de donner un coup de main aux urgences ophtalmologiques mais l’hôpital est en nombre et en ordre de bataille m’a t’on dit... alors je me confine à la maison.... C’est une période étrange et ralentie...
Souvent on me demande ce que je pense de la polémique sur le Plaquenil (Hydroxychloroquine)...
Je suis rétinologue médico-chirurgical, je n’ai aucune compétence en maladies infectieuses...
Toutefois, je suis un peu sidéré par la situation actuelle...
On a d’un côté un traitement peu coûteux, ancien, dont on connaît parfaitement les effets secondaires possibles (et ici j’ouvre une parenthèse pour affirmer, ce qui relève de mon expertise, que le risque pour la macula aux doses et sur la durée prescrites est inexistant), disponible en quantité dont les chinois nous disent qu’il est efficace... De l’autre des politiques qui demandent de revérifier ces résultats une première fois (ce qui déjà me semble un peu fort, les chinois ne sont-ils pas humains comme moi? Si ça marche sur eux pourquoi ça marcherait pas sur nous?) puis une seconde fois dans un essai clinique randomisé en double aveugle appelé pompeusement Discovery (putain « disvovery » juste pour la validation française d’un traitement découvert par la Chine... Ah les buses!!!)... se serait drôle, si la maison ne brûlait pas... Mais y a le feu les gars!!! réveillez-vous!!! Réveillez-vous!!! Combien de temps et de morts encore pour confirmer un traitement dont on sait qu’il est efficace en Chine?
En plus, si on en croit le Pr Raoult les prélèvements viraux se négative au bout de 6 jours sous traitement contre 20 sans... putain y a pas besoin d’être bac + 11 pour voir l’impact que ça peut avoir sur la durée de contagiosité, celle du confinement et celle de la mise en à l’arrêt de nos pays...
Bref voilà ce que j’en pense... ça me rend dingue... on a le choix entre l’espoir et rien... et on est les seuls assez cons pour choisir rien...
Dans mon crâne, ça sifflait. Je me réveillais lentement, relevant ma tête lourde et… Bordel, il fait humide et froid ici… Pourquoi je frissonne comme ça?
Mes implants me font mal, j'essaye de lever le bras droit... Mais… Putain on dirait un mec impuissant avec sa queue. Rien ne se passe, fait chier… Je bouge légèrement, j'entends les cliquetis métalliques de mes entraves.
Où je suis? Il fait noir là-dedans… Bordel me dites pas que le paradis ça ressemble à ça... Puis une grosse lumière m'aveugle. Putain de spot ultra puissant de mes deux couilles. Au moins, ces deux-là sont à leurs places.
Un homme, grand, fin, caché par l'obscurité passe autour de moi. Il me frappe au visage. Quel bâtard… Il tire mes cheveux en arrière et me pose plein de questions. J'écoute strictement aucune de ces conneries. Je souris et rigole, du sang remonte dans ma gorge, et bordel, j'ai mal aux côtes. Ca fait combien de temps que je suis ici?!
Ils ont dû me torturer, mais j'ai pas de souvenirs. Ces connards doivent effacer la mémoire au fur et à mesure pour savoir si je dis la vérité. Putain de Corpos... C'est bien leurs manières… Mais, je cèderais pas un brin à ces connards habillé en costards sur-mesure.
You can be pretty and scary at the same time...
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Mon errance venait de prendre des airs d'évasion sauvage. Je n'étais plus la créature cloîtrée dans le bois, l'infâme sorcière que l'on craignait et que l'on priait, la tueuse de l'enfant roi. Je troquais mon titre de régicide pour celui d'enchanteresse, divinatrice, magicienne et étourdissante putain des sept mers. Je galopais dans les plaines, chevauchant impétueux griffons et buffles arrogants. Je naviguais à l'envi, tantôt maîtresse affriolante du capitaine, tantôt cavalière corruptrice des serpents abyssaux.
J'usais et abusais de mes charmes incendiaires pour abattre le monde à mes pieds. Ceux qui me résistaient étaient si rares que je leur laissais la vie sauve. Ceux là, ces mignons qui arrivaient à voir entre mes courbes les dangers vertigineux de ma puissance, oui eux je les traînais dans mon sillage. Je les éduquais et leur apprenais mon nom. Ils avaient le luxe de ne plus être la proie mais les chiens de la chasseresse. J'aiguisais leurs sens et leurs crocs...
Quand je me pensais seule dans ces vieilles ruines, rongées par les ronces indomptables, tu es apparu sous la lune. Les pierres du nemeton ont roulé sous tes bottes et tu t'es avancé vers moi sans trembler. J'ai bien tenté de jouer de mes envoûtantes manières, de mon visage diaphane et de mes courbes plantureuses.
Pourtant mes ombres se sont transformées, tu m'as reconnue et c'est là que le bât blesse : illusions et mensonges se sont dissipés à tes yeux aussi rapidement que mes enjôleuses fumées. La valse reprend où nous l'avions laissée, Cole. Ils m'ont enfermée, abrutie, mais ils n'ont pas eu mon essence...
Ils ignoraient sans doute que mon sang coulait dans des veines mortelles, faisant de l'un des leurs le réceptacle de chair à mes pouvoirs. Les chiens t'ont chassé, les chiens t'ont trouvé.
Viens avec moi cueillir les roses sur la colline.
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La lune est pleine, il est midi vingt
Dans les rues déferlent ces foules de débris divins
Besoin d'être fou pour pas finir dingue
J'me fais discret pour ne pas qu'elles me touchent
Je vois des gens cassés, le bruit que fait leur vieille âme le prouve
Ça fait semblant d'aller, mais dans leur dos courbé, ils ont tous des flèches enflammées (hmm)
Dans ces gigantesques cimetières vivants, je sais que trois quarts des gens seront pas pour
Même si j'm'adresse qu'à des statues qui parlent, même si des centaines d'entre elles m'font la cour
Même si je sais que chaque minute qui passe me rapproche de ce jour où ils s'en prendront à nous
Même si j'suis moi-même qu'une statue qui parle, j'écris des chansons d'amour
Mais j'écris des chansons d'amour, même si je sais qu'c'est mort, yeah
Même si les tensions s'ajoutent, même si les envies de tuer m'dévorent, yeah
J'laisse la vie me prendre et j'savoure, putain quel décor, yeah
J'suis posé au bord d'un lac creusé par un ancien météore, yeah
Mais j'écris des chansons d'amour, même si je sais qu'c'est mort, yeah
Même si les tensions s'ajoutent, chaque jour, j'vois monter la haine des autres
Même si ma colombe voit rouge, même si c'est mon dernier vol, yeah
J'écris des chansons d'amour, tu m'regardes comme si j'te jetais des sorts (chansons d'amour, yeah)
La lune est pleine, il est midi vingt
Putain où sont-elles ces foutues voix qui m'disent "viens"?
Besoin d'être fou pour pas devenir dingue
Chaque nuit, j'rêve qu'on est en train d'valser
Je sais au fond moi qu'c'rêve est prémonitoire, ici trop veulent regarder s'achever
Dans l'attente de voir ces débris divins se déclarer la guerre
J'm'enferme et j'écris des chansons d'amour, regarde sur le sol brûler mon ombre
Celle-là, j'l'ai écrite spécialement pour toi, oui, même si, j'avoue, j'me rappelle plus ton nom
J'fais ça pour diluer la folie humaine, en quoi ça t'gêne, pourquoi tu t'emportes?
J'peux te jurer que toi aussi tu m'aimes et que pour le moment tu le sais pas encore
Je fais ça d'un amour radical, de quoi mettre ces pauvres villes en feu
Pendant que ce monde nous déracine l'âme, sous le regard et les cris d'un soleil silencieux
Parole de débris divin, je chanterai, c'est à ça que servira ma vie
Même si partout autour de nous, l'enfer s'installe au paradis
Même si les démons de la guerre me charment
Même si je ne suis qu'un maître d'armes
T'as l'bonjour de ma paire de sabres
Mais j'écris des chansons d'amour, même si je sais qu'c'est mort, yeah
Même si les tensions s'ajoutent, même si les envies de tuer m'dévorent, yeah
J'laisse la vie me prendre et j'savoure, putain quel décor, yeah
J'suis posé au bord d'un lac creusé par un ancien météore, yeah
J'écrirai des chansons d'amour, jusqu'à c'qu'il ne reste plus rien, yeah
Même si les tensions s'ajoutent, même si tout brûler pourrait me faire du bien
Tant qu'il y a du cœur dans c'bas-monde, j'sens le peu qu'il m'reste du mien
Avoir les couilles d'être et plus seulement paraître humain
La recette du bonheur est : Un peu trop sâlée, Un peu trop sucrée, Mais putain, qu’est ce que c’est bon !! Fredéric Heyver
« Il m’arrive de trouver que la vie est une putain de plaisanterie. Si l’on est un tant soi peu sensible, on est écorché partout tout le temps.. »Françoise Sagan
& .:S.C:. Cyber Diva – Flutterby – Hooded Headpiece – tram K0328 hair
LOVE - OLAND VIKING STANDING STONES
Photo: Sigüenza, Guadalajara, Castille, Château en Espagne.
Foto : Sigüenza. Castillo en el aire…
« Il m’arrive de trouver que la vie est une putain de plaisanterie. Si l’on est un tant soi peu sensible, on est écorché partout tout le temps.. »Françoise Sagan
::OOPS:: Jane Dress @the 4 Season Event
Inspiration – Pretty Woman @unik sl
Tulssy – Butterfly Ballerina @unik sl
J’peux faire de ta planète un putain de paradis
Depuis que t’es là, je me connais moi
Que c’est pas dehors mais dans tes bras que je veux passer la nuit
Pourtant dеux semaines que j’ai pas dormi
“The monsters were never under my bed.
Because the monsters were inside my head.
I fear no monsters, for no monsters I see.
Because all this time the monster has been me.”
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*LODE* Head Accessory - Marigold [duo color]
Storybook - Mummy - Bodysuit Wraps - Brown
Post apocalyptic Prostethic upper left
Je vais pas vous draguer, promis juré
Je suis célibataire, depuis hier putain!
Je peux pas faire d'enfant et bon c'est pas! Eh reviens!
Cinq minutes quoi! Je t'ai pas insulté
Je suis poli, courtois, et un peu fort bourré
Tu étais formidable, j'étais fort minable
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Lucian ouvre la baie vitrée et l'air vicié des basses artères de Drune entre dans l'appartement. On l'a loué à l'heure, ça se fait de plus en plus dans les quartiers sordides et on a grassement payé la putain androïde qui y créchait pour y poser le matériel. Notre géant a préparé les armes : affutage laser des lames, démontage et nettoyage des revolvers. Il est précis quand il s'agit de cajoler ses "bijoux"... Et les nôtres par la même occasion. Oui, il le fait mieux que tout l'monde et il préfère savoir qu'il peut compter sur nous ET nos guns, surtout s'ils ne risquent pas de s'enrayer à cause d'un entretien négligé.
J'ai lancé les écrans, éteint toutes les lumières pour montrer à Velen les plans du quartier des Lunes. De l'index je trace notre parcours dans les ruelles étroites, enfilant l'image holographique d'un véhicule de droite et de gauche, terminant notre course anticipatoire dans un cul de sac. Je la sens dubitative. Elle monte quelques tentacules de son plat vers ses lèvres, fronçant ses beaux sourcils.
" A440, y'a un truc que tu fais faux. On n'peut surement pas s'coincer là. Si on contourne par le marché des Epices on pourra sûrement reprendre après le bouleva...
- Nope. Si tu nous fais passer par l'est, on vient se caler juste sous les fenêtres de nos comparses de l'Opéra'tron. Ils vont nous cueillir tous les trois avant qu't'aies l'temps de dire... Maki.
- T'es fine... Mais j'suis sûûûûûre qu'on peut s'calculer un itinéraire moins risqué."
Elle remue les lèvres, se mordille l'inférieure en reculant. Bras croisés en travers de son ventre, les baguettes agitant un morceau de poulpe dans le vide, elle lève les yeux vers le plafond. Des néons roses y dansent, le clignotement de l'enseigne de la chaîne d'appartements qui réfléchit son "SEX'PPARTY" sur les murs crasseux. Je lui réponds en m'enfonçant dans le siège. "On abandonne not' véhicule et on en trouve un autre ?" Depuis le balcon, Lucian percute immédiatement ce que je suis en train de proposer et grogne. Il rentre à son tour pour poser ses pupilles iridescentes sur les plans.
" J'ai une idée les filles. Et non, A440, tu sacrifieras certainement pas ma nouvelle caisse. On va prendre le métro, si on sort bouche Rios, on est à seulement une dizaine de minutes de marches de l'objectif. Et pour repartir, on s'ra bieeeeen plus discrets si on se fond dans la foule." Je soupire, j'aime pas marcher. Il déplace les pages et me montre une publicité qui s'impose dans l'angle droit de ma navigation.
Un contest photo dans les rues de Drune, le soir de notre mission. Ça va attirer du monde, on va mieux pouvoir se fondre dans la masse..
Regard dans le trio, Velen part nous chercher des fringues de rechange, je calcule les itinéraires des métros et repère les spots critiques où les photographes vont se masser, Lucian s'en retourne aux armes. On est prêts.
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Bonsoir, Monsieur, Madame, aujourd'hui, j'te dis tout
J'trouve que ça vieillit et moi j'veux rester petit
Un gamin pour la vie sans mouchoirs, ni cris
Alors vas-y, j'te dis tout sur le drame que je vis
Au quotidien, en enfer, voilà où je suis
De ce monde de fou et partir je ne sais où
Ce monde m'étrangle, m'écrase et me brûle
Me détruit, m'empêche de vivre dans ma bulle
Laisse-moi courir loin, laissant c'monde à bannir
Si Dieu dit que le suicide est un péché alors
Qu'il dise comment je pars sans lui faire de tort
Et peut-être qu'ainsi j'y verrai dans le flou
Moi j'n'y arrive pas dans ce monde que je vois
Où l'amour n'est plus rien que querelles et disputes
Ne seraient qu'un mythe, qu'une putain de légende urbaine
Dis-moi comment m'enfuir, assez de questions posées
C'est qu'il peut rêver chaque nuit comme les mômes
Qu'on soit vieux, jeunes, vilains, gentils ou encore moches
On a le droit d'rêver sans même rien dans les poches
Né d'parents sans fortune elle me refuse la lune
Que tes enfants ont transformés en méchants monstres
C'est vrai, j'm'avoue peut-être vaincu
La vie m'bouffe avec un sale goût d'amertume
Dans ce son qui conte la vie d'un con pessimiste
Personne avec qui partager cette gloire, putain
Peut-être qu'ils s'emmerdent, ces cons
D'abord c'est le bonheur quand tu donnes à ton cœur
À bouffer à l'amour qui calme tes douleurs
Dans cette génération d'cons remplis de menteurs
Une fois le cœur brisé, pas besoin de l'appeler
La solitude débarque elle vient vite te trouver
Elle n'attend pas qu'tu ouvres, non elle entre sans frapper
Tes coups d'blues sont pour elle un quatre heures à bouffer
Car moi je n'sais plus qui je suis, j'suis perdu
Mon bonheur a le goût d'une saveur amère
Et pourtant je vis de mon rêve de morveux
Mais c'est plus fort que moi, il me manque encore ça
Ça et ça, là-bas, toujours plus, j'suis comme ça
À une personne sincère qui n'me jouera pas d'tours
Mais sachez, tout de même que sur scène grâce à vous
J'ai l'impression d'être loin de ce monde de fou
Comment on fait? J'suis pas très mytho
Moi j'ai le truc, je sens les pipeaux, ouais (Aya Nakamura)
Tu ne vas pas me manquer, toi qui croyais me connaître
T'es rempli de charabias, tu n'sauras plus rien de moi
Je ne peux pas supporter, t'as osé me comparer
T'inquiète pas, j'vais tout niquer, c'est la putain de life
Si c'est fini, c'est la vie, c'est la vie, vie, vie
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Je suis de bonne, bonne, bonne humeur ce matin
Plus je travaille et moins je me marre
C'est, c'est une vie saine de ramer
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Je suis de bonne, bonne, bonne humeur ce matin
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Je suis de bonne, bonne, bonne humeur ce matin
Des gens, des gens qui trouvent ça beau
Applaudissent, applaudissent dans notre dos
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Je suis de bonne, bonne, bonne humeur ce matin
Je suis de bonne, bonne, bonne humeur ce matin
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens
Pas assez de parisiennes et trop de parisiens
Paris est plein, plein, plein de parisiens.
A faire pâlir tous les Marquis de Sade
A faire rougir les putains de la rade
A faire crier grâce à tous les échos
A faire trembler les murs de Jéricho
A faire flamber des enfers dans tes yeux
A faire jurer tous les tonnerres de Dieu
A faire dresser tes seins et tous les Saints
A faire prier et supplier nos mains
Plus loin que tes rêves ont imaginé
Comme j'aurai tellement aimé être aimé
Je vais t'aimer, Je vais t'aimer...
Tu sais que tu viens du Midi quand...
Tu mets de l'huile d'olive partout dans tes plats.
Tu as une légère tendance à l'exagération.
Les gens te disent "arrête de crier" mais tu ne. cries pas, tu parles juste.
Tu sais que l'été entre 11h et 16h c'est pas possible de faire autre chose que la sieste.
Tu ne comprends pas pourquoi on te dit que tu as un accent mais que ça te fait plaisir quand même.
Tu sais que "degun" c'est pas une personne;
Tu dis "peuchère" à tout bout de champs.
Toi aussi quand tu étais gosse on t'appelait "pitchoun(e)".
Tu sais que "couillon" n'est pas un gros mot.
Le mot coucourde te fait pas rire, bah oui c'est jamais qu'une courgette.
Tu mets les Santons de Provence dans ta crèche à Noël.
Tu as forcément bu du pastaga et ça depuis ton plus jeune âge.
Fin avril tu sors les tee-shirt, et ça jusqu'en octobre.
Ton décor c'est des oliviers et des pins.
Tu passes des journées entières à la plage l'été.
Tu sais jouer à la pétanque depuis tout petit
Tu payes ton Coca 5€ en plein été (merci les touristes!)
Tu sors acheter le pain et que tu rentres 1h après...Tu as rencontré charette (en même temps tu connais bcp de monde!) et on t'a payé au moins 3 coups a boire!
L’apéro est pour toi bien + qu'une "tradition" c'est un style de vie!
L'été c'est resto au bord de l'eau et soirée sur le port
Tu dis "plein des" et pas plein de...
Dès lors où tu t'éloignes de la méditerranée et du vent marin, tu pleures comme un orphelin.
Tu sais qu'il ne faut pas confondre Marseillais, Toulonnais, Niçois et Corses , C'est pas pareil.
En dehors du Midi ceux sont des estrangés.
Tu dis « boire un canon
Chate latino se fait défoncer
Lesbiennes noires magnifiques
Femme à lunettes fit ça à la mison