Soumission et Domination entre lesbiennes

Soumission et Domination entre lesbiennes




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Soumission et Domination entre lesbiennes


La Soumission de Karine chapitre 1


VĂ©ronique Maitressfemme




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Chapitre 1: Bienvenue dans notre Vénérable Association.
Je me souviens de notre premier contact sur Windows live. Soucieuse d'apporter du sang neuf Ă  notre VĂ©nĂ©rable Association, j'Ă©tais dĂ©jĂ  depuis quelques semaines Ă  l'affut d'une nouvelle esclave. Je ne sais plus qui a contactĂ© l'autre la premiĂšre. Mais je garde en mĂ©moire notre conversation. TrĂšs vite j'ai Ă©tĂ© envahie par cette profonde Ă©motion que ressentent les fĂ©lins affamĂ©s Ă  la vue d'une proie Ă  la portĂ©e de leurs crocs. Le mĂȘme frisson m'a caressĂ© l'Ă©chine en voyant ta photo. Pour moi ton regard trahissait ta profonde nature. Je l'ai su immĂ©diatement. Je te soumettrai. Tu seras mon esclave et je ferai de toi une chienne sexuelle, Ma Chienne Sexuelle Favorite. J'ai bien pris mon temps avant d'abattre mes cartes en te dĂ©voilant peu Ă  peu mon gout pour la domination. Progressivement au cours de nos dialogues, j'ai pris de l'ascendant sur toi et de multiples dĂ©tails m'indiquaient que j'avais rĂ©ussi Ă  t'intriguer et Ă  entrebĂąiller en toi une porte jusqu'alors bien cadenassĂ©e. C'est Ă  ce moment que j'ai jouĂ© mon vatout. Coupant court Ă  notre relation qui progressait de jour en jour, je t'ai lancĂ© un ultimatum. -« Je ne veux plus continuer cet amour virtuel. On se rencontre ou on se quitte. VoilĂ  mon numĂ©ro de portable. Appelle moi quand tu seras prĂȘte. Mais je te prĂ©viens, si l'on doit se rencontrer je ferais de toi la Reine de l'amour et la DĂ©esse de la jouissance. » Ma patience a payĂ©. Tu m'as appelĂ© ce matin. Ce soir tu frapperas Ă  ma porte. Je suis prĂȘte, tous mes piĂšges sont tendus. La tendre biche vient dans la gueule de la vieille lionne. J'en fais le serment, jamais tu ne repartiras. Tu ne le sais pas encore.
                                              ****
J'ouvre la lourde porte d'entrée et je te découvre. Tu es encore plus belle que sur tes photos. Livide tu me regardes avec stupeur, te demandant encore ce qui en toi t'avait poussé à frapper à mon huis. Je sens ton regard troublé qui balaye mon corps de bas en haut : escarpins et bas rouges, string et bustier en cuir noir et bien sur à la main ma canne de maitresse. Si tes jambes ne flageolaient pas autant tu serais sans doute repartie en courant. Avant que tu ne te reprennes, je t'engage à me suivre jusqu'au troisiÚme et dernier étage de la grande bùtisse. A petits pas apeurés, tu trottines derniÚre moi, trainant avec peine ton lourd sac de voyage. Au fond du long couloir sur lesquels s'ouvrent de nombreuses portes un large écriteau :
                             CHENIL POUR CHIENNE.
A cette vue ton visage s'est pétrifié, et sans cet ascendant que j'ai pris sur toi, j'aurais sans doute eu plus de mal à te pousser dans ta niche. Lorsque la porte s'est refermée sur toi, brusquement plongée dans la pénombre de cette piÚce aveugle, seulement éclairée d'une faible ampoule rouge, tétanisée par la peur tu t'es laissée tomber sur le petit lit en pleurant.
J'observe avec extase ton beau visage tordu par la peur et rĂȘve dĂ©jĂ  de lĂ©cher tes larmes salĂ©es sur tes tendres joues. Je constate aussi avec joie que malgrĂ© ta panique, tu n'as aucune rĂ©action de fuite. Sans doute es-tu partagĂ©e entre l'envie de fuir et un profond trouble qui te tord les tripes avec voluptĂ©. Lorsque ton corps n'est plus secouĂ© par les sanglots, je saisis le micro et tente mon premier ordre. Si tu m'obĂ©is maintenant je sais que tu m'obĂ©iras toujours. Soumise un jour, Soumise toujours. - « ArrĂȘtes de pleurnicher ! Tu es une chienne pleine de sueur ! DĂ©shabille-toi et vas te laver ! Surtout, suis bien les instructions ! » Lentement, comme une somnambule, je te vois te lever et ĂŽter tes vĂȘtements les yeux cherchant au plafond micros et cameras. Nue, les bras drapĂ©s sur ton corps pour cacher une bien tardive pudeur, le souffle court, tu t'engages Ă  pas mal assurĂ©s dans la petite salle de bain. Des bougies Ă  la flamme chancelante, laissent deviner une baignoire dĂ©jĂ  pleine, un lavabo, des toilettes et deux Ă©tagĂšres, l'une garnies de produits cosmĂ©tiques et l'autre d'une impressionnante collection d'olisbos. Pour moi la partie s'annonce sous les meilleurs auspices. Tu as obĂ©is Ă  mon premier ordre. Tous les espoirs me sont donc permis ! FĂ©licitations !
IncrĂ©dule tu observes Ă  la lettre toutes les consignes d'un lavage complet et intime, usant des diffĂ©rentes lotions et ustensiles prescrits. De retour prĂ©s de ton lit tu n'as pas pu me cacher ta surprise en constatant la disparition de ton sac et de tous tes vĂȘtements. Ton visage de madone trahit toutes tes Ă©motions. Petite chienne, la peur et l'angoisse te vont si bien! - « ouvres le placard ! DorĂ©navant, voilĂ  la tenue que tu devras toujours porter » Bien peu de chose en vĂ©ritĂ© : String en fines perles dorĂ©es, paire de bas noirs, porte jarretelle noir, escarpins et collier de chien en cuir noir. - « prĂ©pare-toi vite ! On vient te chercher dans 15 minutes. »
A peine vĂȘtue, tu sens peu Ă  peu ton corps fondre dans une molle langueur. Une forte chaleur se rĂ©pand en toi. Ta poitrine se gonfle comme un fruit mur et tes tĂ©tons se dressent presque douloureusement. Toute ta peau s'enflamme. Tes pensĂ©es se troublent. Ton ventre se liquĂ©fie. Tu ne peux rĂ©sister Ă  l'appel violent de ta chair. Ta main se pose sur ton sexe et caresse avec voluptĂ© la petite fente rose dĂ©jĂ  bien humide. Un doigt frĂŽle ton clitoris dressĂ© par un brusque afflux de sang. Le contact est foudroyant. Tu ne peux retenir une longue plainte. Un frisson cambre ton corps comme une arbalĂšte. Une irrĂ©pressible envie de jouir s'impose Ă  toi. Chaque parcelle de ton ĂȘtre n'est que dĂ©sir et rĂ©clame impĂ©rieusement et immĂ©diatement une salutaire libĂ©ration. Ton trouble est pour moi un dĂ©licieux spectacle. Je connaissais dĂ©jĂ  l'effet aphrodisiaque que produisait le lait corporel de ma fabrication sur le corps d'une femme. Mais j'avoue que jamais je n'avais obtenu un rĂ©sultat aussi rapide. Je jubile. Je ne me suis pas trompĂ©e sur toi. Je sais depuis le premier jour que sommeille en toi l'Ăąme d'une adorable petite salope qui n'aspire qu'Ă  ĂȘtre rĂ©veillĂ©e. Compte sur moi ! Te rĂ©vĂ©ler sera mon sacerdoce. Tes gĂ©missements de plus en plus sonores bercent mes oreilles comme la plus belle des symphonies. Perdant toute pudeur malgrĂ© la prĂ©sence des camĂ©ras tu t'allonges sur le lit, bien offerte toutes jambes Ă©cartĂ©es. Tes mains s'agitent frĂ©nĂ©tiquement sur ton sexe en feu. Tes yeux sont mi clos. Ton visage dĂ©fait exprime la force de ton douloureux dĂ©sir. Ta bouche entre-ouverte se tord dans de longues plaintes d'un animal blessĂ©. Ton cerveau ne dicte plus qu'un seul ordre, jouir, jouir et encore jouir Ă  tout prix. BouleversĂ©e par ce spectacle Ă©mouvant, j'ai la gorge serrĂ©e. Je me sens devenir toute moite. Mais la sĂ©ance ne fait que commencer. C'est le moment que je choisis pour te donner mon deuxiĂšme ordre, sachant trĂšs bien, cette fois, que je ne serais pas obĂ©ie. - « Tu n'as pas honte de te branler comme une petite chienne en chaleur? Je te donne l'interdiction formelle de jouir ! Sinon tu en paieras le prix » Je savais que le point de non retour Ă©tait arrivĂ©. Sourde Ă  mon ordre, tes mains continuent leur manĂšge infernal. Je zoome sur ton visage ravagĂ©e par le plaisir. Le sĂ©isme qui se produit, tout d'abord silencieux, secoue ton corps de formidables tremblements. J'ai du mal Ă  maintenir sur le centre de l'Ă©cran ta tĂȘte qui balance de plus en plus vite de droite Ă  gauche comme celle d'une poupĂ©e de chiffon. Ton visage Ă©carlate se rĂ©vulse. Ta bouche grande ouverte cherche en vain un peu d'oxygĂšne.
Pendant quelques secondes tout semble se figer; le calme de l'Ɠil du cyclone. Puis brusquement un long cri puissant vient dĂ©chirer cette profonde immobilitĂ©. De violentes contractions venues du fond de ton ventre tordent tes tripes et te plient en deux. Comme celles d'un puissant tsunami, leurs ondes dĂ©vastatrices se propagent Ă  la vitesse de la lumiĂšre dans toutes les veines de ton corps. Tes yeux maintenant grands ouverts sont Ă©blouis par des flashs puissants. Tu perds pied et t'abandonnes avec dĂ©lice Ă  ce gigantesque orgasme qui t'emporte de plus en plus loin, de plus en plus fort. Si fort qu'au point ultime, ton cerveau s'Ă©teint. Tu retombes sur le lit comme un pantin dĂ©sarticulĂ©.
Des mains expertes te massent le corps lorsque tu reprends tes esprits. On t'a transportĂ©e dans la salle de toilettage. Tu es couchĂ©e sur le dos, intĂ©gralement nue, sur une table capitonnĂ©e de cuir, pieds et poings liĂ©s de chaque cotĂ© de la table. Ton premier regard est pour ta masseuse : collier de chien blanc autour du cou, seins nus aux tĂ©tons traversĂ©s par de lourds anneaux d'or, string de perle, bas, porte-jarretelle, escarpins, le tout d'un blanc immaculĂ©. Autour d'elle deux autres femmes dans la mĂȘme tenue, observent la scĂšne en ricanant. Le feu de ton corps loin d'avoir Ă©tĂ© Ă©teint par l'orgasme prĂ©cĂ©dent, continue Ă  te martyriser entretenant une perpĂ©tuelle et irrĂ©sistible envie de jouir. Tu as honte d'ĂȘtre observĂ©e et de ne pouvoir, jambes bien Ă©cartĂ©es, cacher ta chatte ouverte et trempĂ©e. Les mains enduites de crĂšme massent fermement tes seins. Chaque passage sur les bouts gonflĂ©s et sensibles t'arrache des soupirs. Puis inexorablement le massage se fait plus prĂ©cis. Descend au creux du ventre, puis Ă  l'intĂ©rieur des cuisses. Les doigts huileux courent sur la peau en traçant de larges traces rougeĂątres. Lorsqu'ils glissent enfin dans ta grotte humide, tu es tĂ©tanisĂ©e comme traversĂ©e par une dĂ©charge Ă©lectrique. Une dĂ©licieuse sensation de plaisir, te fait perdre tout contrĂŽle. MalgrĂ© toi tes hanches se soulĂšvent pour venir Ă  l'encontre de cette lente et profonde caresse. Chaque va et vient provoque un petit bruit de succion excitant. Sans plus aucune retenue, ton mouvement s'accĂ©lĂšre et tu sens sur tes cuisses couler un filet de mouille. Encore une fois tu n'aspires plus qu'Ă  une seule chose : jouir, jouir et encore jouir. A l'instant mĂȘme oĂč tu sens un formidable orgasme libĂ©rateur naitre au creux de tes reins, les doigts de la masseuse quittent ton antre, et une main inconnue te tire violemment les cheveux. Un visage fĂ©minin se penche sur toi et te murmure Ă  l'oreille. « -Petite chienne jouisseuse incapable de te retenir ! Souviens-toi du second ordre ! Je vais t'apprendre Ă  le respecter. »
L'inconnue fait le tour de la table et entre enfin dans ton champ de vision. Son visage et son corps sont d'une rare beautĂ©. Son cou porte un collier de chien en or. Sa superbe poitrine est mise en valeur par une guĂȘpiĂšre de cuir rouge. Son sexe est Ă  peine couvert par un string de cuir Ă©galement rouge. Des bas noirs gainent ses longues jambes, plongeantes dans de hautes bottes de cuir rouge Ă  talon aiguille. Elle t'agite alors sous les yeux le martinet qu'elle teint d'une main et la cravache de l'autre. - « je te laisse le choix. Ou tu te retiens ou tu reçois une bonne correction. Mais dĂ©jĂ  je dois te corriger pour ta dĂ©sobĂ©issance de tout Ă  l'heure. » AussitĂŽt les laniĂšres du martinet cinglent violemment la fine peau de tes seins en arrachant de ta poitrine un immense hurlement. -« bĂąillonne moi cette petite salope ! Ses cris me percent les oreilles. » Rapide et obĂ©issante une des assistantes au collier blanc t'enfonce dans la bouche une boule de caoutchouc et la fixe avec une laniĂšre autour de la tĂȘte. Ce premier coup t'a littĂ©ralement coupĂ© le souffle. La brulure est fulgurante et irradie sur tout ton systĂšme nerveux. Tes yeux noyĂ©s de larmes regardent Ă©tonnĂ©s les marques rouges qui zĂšbrent tes seins. Au deuxiĂšme coup tes dents s'enfoncent profondĂ©ment dans la boule de caoutchouc. Tu rĂąles et tu supplies. Le troisiĂšme coup laboure tes cuisses. Tous tes sens sont en alerte. Ton corps est secouĂ© par des sanglots. Mais malgrĂ© cette terrible Ă©preuve, tu sens encore cette Ă©norme chaleur te tordre le ventre et aiguiser, encore plus, ta phĂ©nomĂ©nale envie. Les trois coups suivants sont reçus comme une dĂ©livrance. Ton corps tout entier est secouĂ© de spasmes. Tu gĂ©mis et t'abandonnes dans un ocĂ©an de plaisirs nouveaux, extrĂȘmes, proches de la fĂ©licitĂ©. Chaque image de cette scĂšne restera gravĂ©e longtemps dans ma mĂ©moire. AssurĂ©ment tu es une recrue hors paire. Te sentant prĂȘte pour me rejoindre j'ordonne aux assistantes de te prĂ©parer pour cette premiĂšre rencontre.
TerrassĂ©e par des sensations aussi fortes, je sombre dans une profonde lĂ©thargie. A ma grande surprise, je baigne dans une douce plĂ©nitude. Je suis lĂ©gĂšre, aĂ©rienne. Mon corps est chaud, presque brulant, mais apaisĂ©. C'est avec bienveillance que je me suis laissĂ©e toilettĂ©e, baignĂ©e, massĂ©e, Ă©pilĂ©e, parfumĂ©e, maquillĂ©e, ongles mains et pieds vernis. Je n'ai mĂȘme pas eu un seul signe de recul, ni lorsqu'une « collier blanc » m'a tondu cheveux et sourcils, ni lorsqu'elle m'a, pieds et poings, liĂ©e, ni lorsqu'elle m'a bandĂ© les yeux, ni mĂȘme encore lorsqu'elle, avec l'aide de trois autres consƓurs, chacune portant un membre, m'ont transportĂ©e comme un vulgaire paquet. Dans la totale obscuritĂ©, mon cerveau se re-concentre et se focalise sur chaque son : de talons hauts qui claquent sur le marbre, de portes qui se verrouillent et de voix fĂ©minines qui hurlent des ordres. Il y a aussi cette brĂšve sonnerie qui stridule de temps en temps. La rĂ©sonance des bruits mĂȘlĂ©s laisse imaginer la grandeur de la bĂątisse. Le parcours me semble interminable : portes ouvertes et refermĂ©es, escaliers montĂ©s, d'autre descendus, encore des portes encore des couloirs glacĂ©s. Est ce le noir ? Le froid ? Les bruits? L'ensemble sans doute ! Toujours est-il que peu Ă  peu, je rĂ©alise ce que je viens de vivre en l'espace de quelques heures. Mais cette peur qui m'envahit au lieu de me pousser Ă  fuir, annihile toute ma volontĂ©. L'adrĂ©naline qui fuse dans chaque veine rĂ©veille mes instincts et agit comme un aphrodisiaque. J'ai honte. Je l'avoue. Depuis dĂ©jĂ  deux mois, dĂšs le dĂ©but de mes contacts sur le net avec Maitresse VĂ©ronique, ces questions me taraudent la cervelle. Voudrais-je franchir le pas ? Jusqu'oĂč ? Mais je n'arrive pas, Ă  chasser de mes pensĂ©es les profondes Ă©motions que j'ai ressenties devant vos photos ou encore en dĂ©vorant vos e-mails. Plus qu'un amour, une vĂ©ritable adoration s'est installĂ©e. Pourtant j'ai cherchĂ© Ă  lutter, mais je n'ai rien pu faire contre le harcĂšlement constants de mes rĂȘves torrides oĂč je me donne corps et Ăąme Ă  Vous Maitresse. Le long silence qui a suivit votre ultimatum n'y Ă  rien changĂ©. Bien au contraire. Et puis, j'ai dĂ©cidĂ©. Vous l‘aviez dĂ©couverte avant moi, Maitresse VĂ©ronique, la misĂ©rable salope qui dormait en moi. Vous l'avez rĂ©veillĂ©e. Maintenant je suis venue vous l'offrir. « Oui Maitresse VĂ©ronique ! Je ne suis qu'une chienne qui souhaite vous appartenir. Faites de moi ce que vous voudrez. »
Une derniĂšre porte franchie on me dĂ©pose couchĂ©e sur le ventre sur une Ă©paisse fourrure. Les crĂ©pitements et la douce chaleur qui se propage m'indiquent la prĂ©sence proche d'une cheminĂ©e. Les « colliers blanc » parties, un long silence s'installe. Seules les volutes d'un dĂ©licieux parfum trahissent une prĂ©sence fĂ©minine. Attentive, je retiens mon souffle. J'essaye d'endiguer les Ă -coups de mon cƓur. Je n'ose bouger. Je me sens observĂ©e. Un lĂ©ger bruissement de soie, puis votre voix, grave, douce et pourtant ferme, me fait tressaillir. - « Te voici Ă  mes pieds ! Je savais que tu viendrais. Bienvenue dans notre VĂ©nĂ©rable Association ! » §§§§§§§ §§§§
récit terriblement troublant, on attend une suite...
Votre passion partagée est un plaisir à la lecture.
Une description trĂšs riche, une histoire qui maintient le suspense, une hĂ©roĂŻne attachante par sa sincĂ©ritĂ©, elle mĂȘme traduite dans les mots de son rĂ©cit... Vous nous avez rĂ©galĂ©, et surtout vous nous communiquez l'envie de lire la suite. Car il est certain qu'il doit y avoir une suite.
Venez, venez, je vous attends en fermant les yeux...
Madame Votre texte m'a profondément troublée ... Respectueusement.
Ravie que cela vous ait plu Festi. Merci pour votre commentaire
j'aime cette description qui ouvre une relation soumise/ maitresse Ă  tout ce qui peut se faire avec une soumise offerte
Merci pour vos commentaires. Passez d'excellentes fĂȘtes de fin d'annĂ©e
beau texte....on s'y croirait...je lirais le reste plus tard compliments pour votre belle 'constance' D'

Avant de pouvoir accĂšder Ă  Atramenta...

Il y a quelques annĂ©es encore, je n’avais aucune idĂ©e de ce que pouvait signifier la soumission Ă  proprement dit. La « vraie » soumission Ă  mes yeux, la plus complĂšte, constante et dĂ©sirĂ©e, sans aucune restreinte. Nous ne sommes jamais trĂšs loin de l’idĂ©e du lĂącher prise, celui dont je parle en permanence. Ce sentiment puissamment libĂ©rateur que je cherche Ă  atteindre un peu plus tous les jours. Me donner pleinement et sans limites, les yeux fermĂ©s. Pour y arriver, je me soumets donc au quotidien, trĂšs naturellement et cet article va vous expliquer de quoi il en retourne avec exactitude.
Certainement, j’imagine qu’il est beaucoup plus facile de se soumettre de façon ponctuelle, seulement lors d’une sĂ©ance, ou en intĂ©rim. Certains d’entre vous vivent leurs soumissions ainsi : par intermittence. Vous vivez ces instants intensĂ©ment, puis lorsque vous passez le pas de la porte, vous redevenez la femme ou l’homme libre et Ă©mancipĂ© que vous avez toujours Ă©tĂ©. Vous soumettre vous fait du bien, c’est salvateur, mais il y a des limites Ă  tout, et vous aimez bien au-delĂ , redevenir vous-mĂȘme ensuite, probablement beaucoup moins soumis. Je comprends parfaitement ce genre de schĂ©ma mĂȘme si je ne le partage pas, je crois mĂȘme que vous ĂȘtes trĂšs nombreux dans ce cas de figure.
 Tout ça pour vous dire qu’aujourd’hui, je vais vous parler de tout l’inverse, puisque je me sens beaucoup mieux placĂ©e pour vous parler de ce que je vie, sans en faire de gĂ©nĂ©ralitĂ©, seulement vous tĂ©moigner mon positionnement, mon ressenti. Je vais donc aborder aujourd’hui comment je vis ma soumission au quotidien.
Mon tempĂ©rament est ainsi fait, je suis soumise et cela est bien ancrĂ© en moi, pas d’ambivalence possible. Cela ne signifie pas que je suis une bonne poire bien au contraire, mais j’ai ce trait de caractĂšre tout naturel qui m’attire vers un Ă©tat de soumission permanent et trĂšs marquĂ©. J’aime me sentir sous la coupe et sous la responsabilitĂ© de quelqu’un, mĂȘme si par la force des choses, j’ai appris aussi Ă  ĂȘtre seule, sans accompagnement. Je suis quelqu’un d’ultra autonome justement, j’ai appris Ă  voler de mes propres ailes et c’est trĂšs bien comme ça. J’aime Ă  ĂȘtre une femme de caractĂšre, organisĂ©e et trĂšs active. J’aime toucher Ă  tout, et apprendre de moi-mĂȘme, cependant, lorsque je sens une force supĂ©rieure proche de moi, quelqu’un vers qui me tourner, quelqu’un qui prendra un plaisir certain Ă  m’épauler ou m’instruire, m’inculquer, me superviser, je suis naturellement attirĂ©e et ce processus m’est presque inconscient. J’aime Ă  sentir la supĂ©rioritĂ© de quelqu’un sur moi, Ă  la seule condition que dans mon esprit cette personne-lĂ  l’est rĂ©ellement (qu’elle le revendique ne me fait rien, il faut obligatoirement que ce ressenti vienne de moi) je dĂ©veloppe alors un certain sentiment d’admiration et commence petit Ă  petit Ă  me donner Ă  la hauteur de ce que mon « dominant » me rĂ©clame.
Jusqu’alors, j’ai plutĂŽt bien rĂ©ussi ma vie, un peu grĂące Ă  ma soumission et aux « dominants » que j’ai pu croiser sur ma route. J’ai trouvĂ© tout au long de mon cursus des personnes qui assumaient ce rĂŽle Ă  mes yeux Ă  merveille, aussi rares soient-elles malgrĂ© tout, toutes bienveillantes et Ă©lĂ©vatrices. Aujourd’hui encore, j’ai une estime pour tous ces gens qui auront pris une place Ă  part entiĂšre dans ma vie. Les dominants fonciĂšrement mauvais, pratiquant l’abus de faiblesse, le racket intellectuel (le racket sous toutes ses formes Ă  vrai dire, que cela touche au temps, Ă  l’estime de soi, au bien intellectuel ou f
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