Soumission buccale et anale d’une petite bourge

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Soumission buccale et anale d’une petite bourge
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Cécile s’éveille dans le luxueux lit de sa luxueuse résidence d’un quartier fameux. Elle actionne l’ouverture électrique des rideaux et est confrontée au spectacle d’un jeune homme en t-shirt blanc et jean crasseux occupé à pisser. Le jet doré s’élève insolemment dans un arc de cercle parfait pour retomber au milieu de la piscine carrelée de mosaïques.

Cécile s’assoit. Au prix de quelques contorsions, elle presse un bouton pour appeler la bonne, Judith, tout en enfilant un peignoir de soie orné de marabouts et des mules roses poussiéreuses. Sa besogne achevée, le jeune homme remonte la fermeture de son pantalon et s’éloigne d’un pas nonchalant.
– Judith !!!!! Glapit Cécile.
– Ne faut pas vous énerver madame, répondit la bonne sans s’émouvoir. C’est un garçon que votre mari il a envoyé pour faire la piscine.
– Vous ne pouviez pas le dire plus tôt ?
Cécile est écarlate. Furieuse, elle entre dans la salle de bain et claque la porte si violemment qu’un cadre se décroche du mur. L’imbécile de bonne, l’abrutie. On ne trouve plus de personnel correct. Ils viennent, ils repartent. Que vous vous fassiez violer ou dévaliser chez vous, c’est le cadet de leurs soucis. Elle enlève son peignoir et sa chemise de nuit puis se glisse sous le fouet vivifiant d’une douche glacée. Elle grince des dents. Le froid est bon pour la peau. Il raffermit tout car malgré la gym, le yoga et la danse moderne, tout a besoin d’être raffermi.
Elle sort de la douche, hors d’elle. Elle se drape dans une sortie de bain en tissu éponge moelleux et ouvre la porte. Cécile a un petit sourire dur. Elle possède un joli petit nez retroussé, des cheveux blonds, longs, et émaillés de mèches dorées. Ses vilaines lunettes ont cédé la place à des lentilles de contact de couleur bleu tendre ; sans les lentilles, les yeux de Cécile sont verts. Mais elle préfère bleu. Ses seins rebondis se tendent orgueilleusement en avant et ceux-là, les lois de la pesanteur ne peuvent rien contre eux.
Ce matin, elle est décidée. Lavée, maquillée pour sortir, elle porte une robe de coton léger qui moule bien sa belle poitrine. Elle est ravissante, très excitante même, sans slip, ni soutien-gorge. Avant de sortir, Cécile passe plusieurs fois devant la glace, pour se regarder. Elle dit à la bonne :
– Écoute, je vais rester absente assez longtemps. Il se peut que je ne rentre pas avant ce soir.
– Comment ?
– J’ai rendez-vous à neuf heures et après, j’irai faire un tour de voiture, il fait si beau !
C’est une belle journée claire, sans smog. Elle a une envie folle de tout plaquer et d’aller à la plage. Alors à quoi bon résister ? Lorsqu’elle arrive à la rue, elle a cinq minutes d’avance sur l’horaire prévu. Elle n’est pas tellement surprise d’apercevoir son amant tenant dans les bras une magnifique gerbe de roses. Il se précipite vers elle et lui remet les fleurs en la saluant.
– Cécile, tu es très jolie. Ta sensualité est rayonnante. Je suis béni des dieux pour avoir su te plaire.
Cécile ne répond pas aux compliments que vient de lui faire l’homme. Heureuse, toutefois, de son appréciation, elle laisse fleurir un sourire sur ses lèvres.
– Chéri ! Veux-tu venir prendre du soleil à la plage avec moi ?
Alors, ils se mettent en marche et prennent la direction de la plage. Il la regarde tout en songeant que ce n’était pas qu’une aventure brève mais une liaison durable. Ils parviennent à la plage, elle descend prudemment, puis traverse l’étendue de sable jusqu’à la mer. Les vagues sont gigantesques et, un peu plus loin, deux jeunes se livrent à de dangereuses acrobaties avec leurs planches de surf. Elle les regarde, s’imaginant à leur place avec Serge son amant, en train de folâtrer
sur les énormes rouleaux. Serge, si attentionné, si romantique, si différent en un sens. Elle marche lentement le long
de la plage. Les flots mousseux lui chatouillent les pieds. Elle est émerveillée d’être là avec un homme spécial au bord de la mer.
Ses yeux éclaboussés de soleil paraissent encore plus immenses. Serge l’admire, médusé par sa beauté ingénue. Il fait chaud ! Une journée parfaite pour paresser au son du ressac des vagues. Elle voit la bosse qui commence à déformer le caleçon. Ils choisissent un endroit tranquille. Le lieu est complètement désert. Ils restent étendus sur la serviette….
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Bourges doit s’imposer en Pologne pour conserver pleinement son destin entre ses mains sur la dernière journée d’Euroligue. Et s’éviter un possible match couperet au Prado, contre les Espagnoles de Salamanque.



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L'heure de vérité approche à grands pas pour les Tango. Dans un peu plus de quatre-vingts minutes, elles seront fixées sur leur sort en Euroligue. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que tout reste très ouvert dans le groupe B.
Techniquement, les Berruyères ont « toutes les cartes en main », comme le fait remarquer Diandra Tchatchouang. Avec deux victoires, Bourges serait qualifié, quels que soient les autres résultats.
Dans ce cas de figure, une troisième place resterait même possible avec des défaites d'Orenbourg à Kayseri et contre Fenerbhçe. Compte tenu des difficultés des Tango à s'exporter hors des frontières de l'hexagone, ce serait même un petit exploit.
Cela dit, un autre scénario existe. Celui d'une dernière journée où Bourges, Kayseri et Orenbourg finiraient à 22 points (voir classement ci-contre) . Cette hypothèse d'une égalité à trois impliquerait une qualification au ratio attaque-défense et non plus au point-average.
« Tout est encore possible, insiste Valérie Garnier. Gagner est capital pour nous. Les résultats de cette avant-dernière journée nous permettront d'y voir plus clair, de savoir si la réception de Salamanque sera décisive ou non. »
Sur le papier, Bourges a plus que les moyens de s'imposer. « C'est effectivement un adversaire à notre portée, glisse Diandra Tchatchouang, même si on joue chez lui, devant son public. »
Pour éviter un éventuel traquenard, les Berruyères devront d'abord garder en tête qu'elles avaient eu du mal à se défaire des Polonaises à l'aller, malgré un score plutôt flatteur de 72-54 en leur faveur.
« On avait commis pas mal d'erreurs, confirme Tchatchouang. Leur ligne d'arrières, et notamment la Jamaïcaine Reid et l'Américaine Harris, étaient un peu partout en défense. Cela nous avait pas mal gênées. »
Mieux, car malgré un bilan de 3 victoires pour 9 défaites, Torun a confirmé son côté imprévisible en allant titiller Salamanque, la semaine dernière (70-64).
« Elles sortent d'un vrai bon match, souligne Valérie Garnier. Perdre de six points à Salamanque, c'est déjà mieux que ce que nous avions fait (défaite 59-48, ndlr) æ »
Au-delà du résultat, l'entraîneure pointe l'énorme chantier réussi par les Polonaises au rebond « avec 16 prises offensives ». « Sachant qu'on est un peu permissives dans ce domaine, cela veut dire que ce sera encore plus une priorité pour nous. »
Outre Reid (6 interceptions à l'aller), Harris et Adjukovic (11 pts), les Tango devront surveiller de près l'intérieure Agnieszka Fikiel, venue de Kosice en cours de saison. « C'est un point de fixation important, prévient Valérie Garnier, qui connaît bien la joueuse pour l'avoir eue sous ses ordres à Toulouse. »
Contre Salamanque, Fikiel s'est avérée un véritable poison avec 9 points, 11 rebonds (dont 5 offensifs) et 5 passes décisives. Les Berruyères savent à quoi s'en tenir…
Energa Torun. 1. Amanda Jackson (USA, 1,75), 7. Kaja Darnikowska (Pologne, 1,83), 10 Maurita Reid (Jamaïque, 1,72), 11. Tijana Adjukovic (Serbie, 1,96), 15. Aleksandra Pawlak (Pologne, 1,88), 21. Katarzyna Suknorowska (Pologne, 1,69), 22. Agnieszka Fikiel (Pologne, 1,95), 25. Malgorzata Misiuk (Pologne, 1,84), 28. Agnieszka Makowska (Pologne, 1,82), 30. Rebecca Harris (USA, 1,73).
Tango Bourges Basket. 4. Romane Bernies (1,70), 5. Paoline Salagnac (1,76), 6. Diandra Tchatchouang (1,90), 7. Endy Miyem (1,88), 9. Céline Dumerc (1,69), 10. Lisa Berkani (1,76), 11. Helena Ciak (1,97), 12. Marianna Tolo (1,96), 13. Johannah Leedham (1,86), 14. Pauline Lo (1,93).
Arbitres. Boris Gabara (Slovaquie), Paulo Marques (Portugais), Charalampos Karakatsounis (Grèce).
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Publié le

11/11/2013 à 09:37
| Mis à jour le

01/06/2017 à 20:30



Enfin réouverte après plusieurs mois de travaux, la piscine Gilbert Bozon accueillait ce week-end les championnats régionaux interclubs par équipe. Organisés dans toute la France, ces championnats comptent pour le classement général national. Les 31 équipes présentes (de 10 nageurs chacune) qualifiées grâce aux résultats de la saison dernière, devaient participer à quatorze épreuves dans les cinq styles que compte la natation en course (10 individuelles et 4 en relais).
Comme de coutume, Bourges, Chartres et Tours étaient les clubs qui figuraient parmi les favoris pour le podium, aussi bien chez les hommes que chez les dames. « Bourges était dominateur ces dernières années. Là, on sent que Tours et Chartres se rapprochent. De nouveaux jeunes arrivent et les clubs travaillent mieux, ça les fait progresser » , analyse Michel Sauget, président du Comité régional du Centre et secrétaire général de la FFN.
Après quelques années plutôt creuses, huit records régionaux ont été battus dans les eaux de Bozon ce week-end, dont quatre pour Bourges grâce, notamment, au jeune Romain Boullier (15 ans) sur les 100 et 200 m nage libre ainsi que sur les 100 et 200 m brasse.
Christophe Cleuziou, entraîneur de Bourges avait de quoi être satisfait : « On avait pour objectif de gagner chez les hommes et chez les femmes, ça s'est parfaitement déroulé. En plus, nos équipes 2 font aussi partie du haut de tableau. On ne pouvait pas espérer mieux, c'est de bon augure pour la suite. » Quant aux progrès affichés par Tours et Chartres, Christophe Cleuziou les voit comme « une émulation qui fait progresser tout le monde » .
Les championnats interclubs sont la seule compétition par équipe qui existe. L'occasion pour les sportifs de nager dans une ambiance festive (un défilé en déguisement était organisé avant les premières épreuves). Et si la préparation sportive était un peu courte – les entraînements ont commencé mi-septembre – la motivation de concourir par équipe était grande.
Les championnats interclubs départementaux par équipe avaient lieu en parallèle. Chez les messieurs, Bourges, Chartres et Tours étaient en tête au classement
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