Soumission aveugle

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Définition soumission aveugle français | dictionnaire français définition synonymes Reverso


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1  fait de soumettre, de mettre dans un état de dépendance  
2  disposition à obéir, à se soumettre  
dominance-soumission      nf    (psychologie)  rapport social de domination fréquemment observé chez les jumeaux  
Dictionnaire Français Définition  

rendre service Ă  une personne ingrate



[Fig.] = aucune reconnaissance, aucune chance que l'action soit appréciée à sa juste
...

le (petit) doigt sur la couture du pantalon

en manifestant du respect ou de la soumission



ne pas avoir les yeux en face des trous

1. ne pas voir ce qu'on a sous le nez ; faire l' aveugle ; bigler 2. ne pas ĂȘtre bien rĂ©veillĂ©



[Fam.] Expression familiĂšre dite Ă  qui ne voit pas ce qui se trouve en face. On di
...

1. priver de la vue 2. éblouir 3. priver de lucidité



au royaume des aveugles, les borgnes sont rois

1. un médiocre paraßt remarquable parmi des gens sans valeur

...

audiodescription, audio-description

procédé permettant aux aveugles et aux malvoyants de suivre un film, un programme télévisé ou un spectacl

...


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Quel chemin de croix que d’écouter le discours dominical de Gebran Bassil: narcissisme, sentiment de persĂ©cution, syndrome de Stockholm, complexe du Christ etc.
Un mĂ©lange d’incohĂ©rences que seuls ses partisans pourront comprendre et assimiler: tant d’inepties Ă  la fois dĂ©passent tout entendement.
Le pire de son discours est de se prendre pour Philippe II de MacĂ©doine, essayant d’appliquer la stratĂ©gie de “diviser pour mieux rĂ©gner”, pensant qu’il peut scinder le binĂŽme chiite. En prĂ©tendant jouer au roi de MacĂ©doine, il est apparu comme le roi des cloches.
Mais son principal message est que sans lui et l’accord de Mar Mikhael, le pays serait ravagĂ© par une guerre civile. Les amĂ©ricains lui auraient promis d’en faire une “rock star” (sic) s’il divorçait avec le parti divin, mais lui, tel JĂ©sus Christ a prĂ©fĂ©rĂ© se sacrifier, pour la stabilitĂ© du Liban, pour nous, peuple de peu de foi en lui

Autre leitmotiv, la diabolisation de Samir Geagea avec un rappel de ses alliances israéliennes et une déformation des derniers incidents: ceux qui choisissent Tayouneh veulent la guerre, alors que ceux qui optent pour Mar Mikhael veulent la paix.
A ce nain en politique, je ne peux que rĂ©torquer qu’il est plus noble d’avoir pactisĂ© dans le passĂ© avec l’ennemi sĂ©culaire pour prĂ©server sa communautĂ© que d’essayer de la dĂ©truire, et fuir en catimini, laissant derriĂšre soi sa propre famille.
Mar Mikhael est devenu une soumission alors que Tayouneh est une rĂ©sistance Ă  l’oppression.
OĂč est la stabilitĂ© du pays lorsque le Hezb peut Ă  tout moment dĂ©clencher une guerre suivant l’agenda perse? OĂč est la constance institutionnelle, lorsqu’il empĂȘche la tenue des sessions gouvernementales? Quid des assassinats de tous ceux qui le critiquent ?
Si lui et ses moutons désirent vivre comme des dhimmis, les banlieues de Téhéran sont assez vastes pour les accueillir
.



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Publié le 2020-03-09 | lenouvelliste . com
Dans son discours d’investiture, le mercredi 4 mars 2020, le Premier ministre Joseph Jouthe a rĂ©sumĂ© de façon claire et nette le comportement d’un certain nombre de Premiers ministres, ministres, conseillers politiques, fonctionnaires ou professionnels appelĂ©s Ă  Ă©pauler les prĂ©sidents haĂŻtiens. M. Jouthe, d’un ton ferme et dĂ©terminĂ©, a avouĂ© une forme de soumission sans bornes au prĂ©sident Jovenel MoĂŻse. Il confirme Ă©galement qu’on ne saurait contester les ordres ou les idĂ©es d’un chef.
M. Jouthe affirme pĂ©remptoirement : « Quand je rentre au bureau du prĂ©sident Jovenel MoĂŻse, je rentre avec mes idĂ©es. Quand je sors, je sors avec les siennes. Que je sois content ou pas. Je n'ai pas Ă  commenter quand un chef prend une dĂ©cision. Ce n’est pas moi qui le dis. C’est ce que prescrit la loi sur la fonction publique.»
Cette dĂ©claration pose avec acuitĂ© la problĂ©matique de la responsabilitĂ© de l’élite intellectuelle en HaĂŻti, en particulier la responsabilitĂ© d’un Premier ministre, d’un ministre, d’un conseiller politique, d’un professionnel tout court en HaĂŻti. La soumission aveugle au chef telle que le Premier ministre semble la prĂŽner est une attitude trĂšs dangereuse pour le pays. Le dĂ©veloppement Ă©conomique en pĂątit largement.
Cette posture permet de mieux comprendre pourquoi le prĂ©sident Jovenel MoĂŻse persistait dans sa litanie de promesses : courant 24/24 en 24 mois, huit aĂ©rogares, trois grands aĂ©roports internationaux, 12 000 salles de classe, des centaines de kilomĂštres de route, 22 centres de traitement de matiĂšres fĂ©cales, 130 centres de santĂ© dans 130 sections communales, une ambulance dans chacune des 146 communes du pays, un rĂ©seau Ă©lectrique national, un campus universitaire, de nombreux blocs sanitaires Ă  travers le pays et des drainages dans des riviĂšres, des logements sociaux munis de confort moderne, 1 000 kilomĂštres de route par annĂ©e, la relance de l’agriculture et un tĂ©lĂ©phĂ©rique pour se rendre Ă  la Citadelle LaferriĂšre. Pour ne citer que les promesses les plus marquantes.
Selon les informations disponibles, M. Jouthe est ingĂ©nieur civil de formation. Il est censĂ© avoir le sens de la mesure. Il sait mieux que le commun des mortels qu’il est complĂštement impossible, avec les maigres ressources financiĂšres haĂŻtiennes actuelles, de rĂ©aliser un ensemble de promesses. Mais, Ă  bien comprendre M. Jouthe, personne de l’environnement immĂ©diat du prĂ©sident ne devrait oser lui prĂ©senter un portrait fidĂšle de la situation avec des recommandations beaucoup plus rĂ©alistes.
Cette attitude pousse les chefs Ă  penser qu’ils n’ont pas vraiment besoin de savoir ni de savoir-faire dans leur sillage puisque seules leurs idĂ©es comptent. Les professionnels ne peuvent aucunement mettre leurs compĂ©tences au bĂ©nĂ©fice des prĂ©sidents s’ils ne peuvent utiliser leurs expertises pour leur prĂ©senter des diagnostics objectifs et des solutions optimales. Et de fait, les chefs prennent le malin plaisir de nommer leurs amis, des membres de leurs familles et leurs sympathisants aux postes importants. Sans Ă©gard Ă  la compĂ©tence. À l’antipode de la mĂ©ritocratie. Avec de telles nominations, il n’y a aucune chance d’avoir des rĂ©sultats significatifs.
Imaginons un instant que le Premier ministre Joseph Jouthe exige le mĂȘme comportement de tous les ministres de son gouvernement et de tous ses conseillers. S’il se trompe sur un domaine qu’il ne maĂźtrise pas, personne ne pourra Ă©viter les consĂ©quences nĂ©fastes de son erreur sur la nation tout entiĂšre. Pas plus qu’il ne pourra, lui-mĂȘme, prĂ©venir d’éventuels faux pas au prĂ©sident de la RĂ©publique.
Imaginons maintenant que les ministres imposent le mĂȘme type de comportent Ă  leurs conseillers et aux fonctionnaires de leurs ministĂšres respectifs. Ces derniers ne pourront pas corriger des lacunes Ă©videntes de leur ministĂšre, mĂȘme si elles sautent aux yeux du simple profane. Le raisonnement peut ĂȘtre Ă©tendu Ă  tous les organismes autonomes et toutes les institutions publiques, voire les entreprises privĂ©es.
Le plus inquiĂ©tant dans cette attitude, comme l’expliquait Nicolas Machiavel, c’est que pour ne pas dĂ©cevoir le roi, les conseillers cherchent souvent Ă  comprendre l'aspiration du souverain pour pouvoir mieux plaire Ă  Sa MajestĂ©. En ce sens, les conseillers les plus serviles, avant d’entrer dans le bureau du chef, cherchent Ă  savoir ce qu’il pense afin de lui dire exactement ce qui lui plaĂźt. Ces types de conseillers caressent toujours le chef dans le sens du poil.
D’un autre cĂŽtĂ©, il y a des chefs qui n’acceptent tout simplement pas d’opinions contraires. « Le prĂ©sident a parlĂ©, point barre », proclamait le prĂ©sident Jovenel MoĂŻse. La dĂ©claration du Premier ministre Joseph Jouthe ne fait que confirmer ce mot d’ordre prĂ©sidentiel. C’est donc sans surprise que les deux hommes se partagent la gouvernance de la nation. Le chef de l’État avait mĂȘme avouĂ© avoir menacĂ© d’arrĂȘter un homme d’affaires qui ne partageait pas la façon dont le programme de crĂ©dit « AtĂš plat » est administrĂ© par l’Office d’assurance vieillesse (Ona).
Ce mode de fonctionnement met Ă  l’écart tout expert honnĂȘte et responsable qui aimerait partager des idĂ©es novatrices ou des possibilitĂ©s d’amĂ©liorations aux projets du prĂ©sident. Il fait la part belle aux flagorneurs. La dĂ©claration du Premier ministre a d’ailleurs reçu de vifs applaudissements de la part de l’assistance composĂ©e de personnalitĂ©s proches du pouvoir. Comme une sorte d’inquiĂ©tante approbation gĂ©nĂ©rale qui traduit un malaise plus profond concernant la responsabilitĂ© des ministres, des conseillers et des membres de l’élite intellectuelle dans la prise de dĂ©cision publique.
En fin de compte, on dĂ©bouche sur une inefficacitĂ© flagrante dans la conception et la mise en Ɠuvre des politiques publiques. À titre illustratif, on peut citer l’échec de la Caravane du changement initiĂ©e par le prĂ©sident MoĂŻse au dĂ©but de son mandat. Tout l’appareil Ă©tatique tournait autour de ladite caravane Ă  grand renfort de propagande. Mais aucun document-cadre n’était rendu public. Chaque conseiller du prĂ©sident essayait de fournir ses propres explications visant beaucoup plus Ă  plaire le chef qu’à amĂ©liorer l’efficacitĂ© des interventions de l’État.
Certains conseillers prĂ©tendaient qu’il s’agissait d’une idĂ©e de gĂ©nie de la part du prĂ©sident sans fournir d’arguments convaincants. Trois ans plus tard, on n'entend plus vraiment parler de cette caravane qu’ils prĂ©sentaient comme une panacĂ©e. On ne voit pas non plus de rĂ©sultats tangibles de cette fameuse « stratĂ©gie ».
On a vĂ©cu la mĂȘme expĂ©rience avec l'ex-prĂ©sident Joseph Michel Martelly avec le Programme de scolarisation universelle gratuite et universelle (Psugo). Martelly avait mis l’appareil Ă©tatique au service du Psugo avec des dĂ©penses pharaoniques pour des rĂ©sultats insignifiants.
Pour une méthodologie rationnelle de prise de décisions publiques
Une approche rationnelle pourrait consister Ă  identifier une problĂ©matique qui conduit Ă  une promesse de campagne. Rendu au palais national, le prĂ©sident pourrait s’adjoindre les meilleures compĂ©tences locales et de l’assistance technique internationale disponible pouvant conduire Ă  la rĂ©alisation/rĂ©Ă©valuation de cette promesse. Mais si tout le monde doit se courber aux idĂ©es du prĂ©sident, on comprend qu’il n’y aura pas de rĂ©flexion approfondie sur les solutions Ă  apporter aux grands problĂšmes du pays.
Si seules les idĂ©es du chef comptent, il n’y a mĂȘme pas de nĂ©cessitĂ© de rĂ©aliser des recherches scientifiques. On tĂątonne. On promet. Puis on se rĂ©tracte. On agit. Et l’on se ravise plus tard. La tentative ratĂ©e de dĂ©dollarisation illustre bien les faiblesses de la prĂ©sidence en matiĂšre de prise de dĂ©cision rationnelle.
L’attitude du Premier ministre contraste avec l’esprit critique auquel est astreint tout intellectuel ou scientifique responsable. Celui-ci passe la majeure partie de sa formation Ă  dĂ©velopper son esprit critique. Il n’accepte aucune idĂ©e comme parole d’évangile. Il n’a pas de prĂ©jugé par rapport Ă  la provenance d’une idĂ©e. Il ne prend pas pour un ordre une idĂ©e fausse d’un chef et ne refuse pas une pensĂ©e novatrice d’un subalterne ou d’un adversaire. Il passe au peigne fin toutes les idĂ©es. D’oĂč qu’elles viennent. 
Contredire (dans le respect) un supĂ©rieur hiĂ©rarchique ne vise qu’à chercher la meilleure solution Ă  une problĂ©matique donnĂ©e pour son institution d’appartenance et pour son pays. Il ne devrait y avoir rien de dĂ©rangeant dans une dĂ©marche respectueuse de confrontation d’idĂ©es. Sinon, ce serait la vieille conception autocratique laissant croire que le chef suprĂȘme a toujours raison. Quelle que soit son incompĂ©tence.
La science progresse Ă  partir de la confrontation d’idĂ©es divergentes. Du choc des idĂ©es jaillit la lumiĂšre, dit-on. Le monde progresse Ă  partir de l’émergence d’idĂ©es contradictoires. C’est pourquoi l’esprit critique joue un rĂŽle crucial dans le progrĂšs de l’humanitĂ©.
Le nouveau management axĂ© sur les rĂ©sultats suggĂšre de consulter les scientifiques, les principaux acteurs de la vie nationale et les bĂ©nĂ©ficiaires avant de prendre les grandes dĂ©cisions les plus importantes qui engagent la nation. Il s’agit d’une mĂ©thodologie rationnelle de prise de dĂ©cisions publiques plutĂŽt que d’une dictature de la pensĂ©e d’un chef suprĂȘme.
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