Soumise fait tout ce qu'on lui dit c'est magique

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Vassili a posté le 26 avril 2017 à 10h31
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Vassili a posté le 26 avril 2017 à 10h26
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Vassili a posté le 23 avril 2017 à 09h11
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LuciusSergius a posté le 23 avril 2017 à 02h23
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Vassili a posté le 23 avril 2017 à 02h20
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On est tous inquiets avec ce premier tour qui arrive. On a peur. Mais en fait, on a grave déconné, pas assez bossé, donné de nous-mêmes.
C'était pourtant simple, il suffisait de cligner un peu des yeux, de se dénuder et puis de coucher, tout simplement.
On aurait ainsi pu changer le cours de cette élection si l'on en croit les témoignages que nous avons reçus. Sur Facebook, on a demandé :
Chose amusante : des gens nous ont écrit pour nous raconter leur passage à gauche (et pas en sens inverse). C'est vieux comme le monde de changer d'opinion politique dans un lit. Dans ses " Mémoires d'Outre-Tombe", Chateaubriand, déjà, écrivait :
Et on se rappelle bien sûr du "Nom des gens", le film de Michel Leclerc qui racontait la stratégie d'une jeune femme (jouée par Sara Forestier) pour faire passer des électeurs de droite à gauche : coucher.
Pour aimer, il faut s'ouvrir à l'autre, le rejoindre, mais il faut, semble-t-il aussi, surtout se ressembler.
Et parmi les conjoints du même couple, dit l'étude, il est plutôt rare que l'un des membres ait viré de bord.
A deux jours du verdict, voici quatre histoires vraies qui parlent autant de politique que d'amour.
Qui ? Emmanuel, 27 ans, journaliste
Avec tous mes amis, on en rigole beaucoup aujourd'hui. En plus, cette fille, on peut lui trouver un petit air de Sara Forestier et moi je ressemble au mec dépressif du début...
C'est bizarre d'avouer ce revirement politique. Mais en fait, ça va plus loin qu'une question de convictions profondes ou légères. Rencontrer quelqu'un et tomber amoureux, ça nous oblige à nous ouvrir à d'autres cercles de gens, d'idées. L'amour nous fait changer. Moi, en tous cas, ça m'a fait changer.
Depuis que j'avais 18 ans, je votais à droite. C'est mon père qui m'a formé à la politique et il était de droite. J'ai voté Nicolas Sarkozy en 2012.
J'étais bien endoctriné dans l'idée qu'il fallait un système méritocratique, que l'immigration nécessitait une régulation drastique. Ah oui, j'étais aussi climato-sceptique.
En 2012, j'ai rencontré Marie qui votait à l'extrême gauche. Elle a voté Mélenchon à la dernière élection présidentielle.
On se disputait beaucoup. La première fois qu'on s'est pris la tête c'est quand elle m'a montré une vidéo de l'économiste Bernard Friot sur le revenu universel. Je me suis dit :
L'idée ne me semblait pas possible du tout. Mais à force de parler avec elle, j'ai eu la conviction que je ne faisais plus le bon choix en votant à droite. J'ai commencé à me diriger vers une droite plus sociale. En septembre dernier, alors que j'étais encore avec Marie, j'ai rencontré Elodie et je suis tombé amoureux d'elle. Tout de suite. Un coup de foudre. J'ai quitté Marie.
Elodie est une fille qui s'intéresse beaucoup à la politique et au féminisme. On était à l'école de journalisme ensemble et quand on a passé notre premier week-end ensemble, elle m'a demandé gênée :
Je sentais que c'était grave pour elle et j'étais incapable d'assumer alors j'ai menti.
J'ai pas dit que j'avais voté Hollande non plus mais je ne pouvais pas lui dire la vérité. J'avais peur qu'elle prenne peur.
Ensuite, cette fille m'a tellement fasciné, que je me suis intéressé à tous les courants d'idées qui étaient les siens, du féminisme au revenu universel. Je lisais tout. Je me disais :
Je voulais être comme elle pour être avec elle . Je n'ai jamais lu autant de choses sur le combat féministe qu'à cette époque parce que je savais que ça lui tenait à cœur. Et plus je m'informais, plus je me disais :
En novembre, j'ai encore hésité à aller voter à la primaire de droite. Je n'y suis pas allé finalement. Tout le discours sur les fonctionnaires et l'islam m'a fatigué.
J'ai continué à m'intéresser à d'autres choses, à être curieux. Aujourd'hui, je lis Fakir et Basta Mag. A la primaire du Parti socialiste, j'ai voté Hamon et depuis je le soutiens.
L'histoire avec Elodie s'est finie vite, mais je me suis rendu compte qu'elle m'avait changé parce que j'étais amoureux d'elle. C'était un mélange d'admiration et d'obsession. Quand on parlait, je la trouvais très intelligente. Elle déconstruisait tout ce que j'avais appris par mon père, dans mon île corse. Pour en arriver là il fallait que ce soit intense.
Qui ? Lila, 28 ans, assistante de direction
Je vais voter Mélenchon à cette élection et c'était pas gagné. Je suis passée d'une franche Sarkozyste encartée à une Mélenchoniste engagée.
A 14 ans, j'ai même envoyé un mail à Nicolas Sarkozy sur son site. Je lui avais dit :
Je suis issue d'une famille d'origine italienne, catholique, de droite. J'ai grandi, de plus, à Mantes-la-Jolie où j'ai été scolarisée avec des enfants issus de l'immigration. Je n'ai jamais rien eu à subir dans cette banlieue qu'on qualifie de chaude. Mais ma famille (qui ne côtoyait d'ailleurs personne issue de l'immigration) avait de très forts préjugés.
Mes parents s'inventaient des problèmes. Ils avaient peur, me disaient de ne pas prendre transports toute seule le soir, tard. Et ils ressentaient aussi une forme d'injustice. A l'école mon père s'indignait :
Après le lycée, je suis partie à la fac de Cergy. Et là, j'ai commencé à côtoyer des personnes de différentes catégories sociales. Et surtout beaucoup d'étudiants socialistes. J'ai commencé à considérer que j'avais été élevée dans un climat de crainte anormal.
Plus tard, dans mon expérience en entreprise, je me suis rendue compte que le profit à tout prix nuisait aux salariés, qu'on était sous pression en permanence...
Mais je me revendiquais toujours de droite.
Il s'est passé des choses dans ma famille aussi : mon père catholique, de droite, convaincu, s'est révélé très tardivement homosexuel. Quand la droite a commencé à s'opposer au Mariage pour tous, je ne me retrouvais plus du tout dans ses idées. J'ai découpé ma carte.
C'est à ce moment de mes doutes que je rencontre mon copain sur Tinder. On tombe amoureux sans forcément parler de politique. Jusqu'au jour où on joue à se faire deviner l'un à l'autre nos convictions. Et là, il me sort une phrase qui résonne encore dans ma tête.
Il a grandi dans une famille de classe moyenne supérieure avec un bon niveau de vie mais aux valeurs communistes.
Jean m'a fait découvrir l'histoire de la gauche socialiste et communiste. Il m'a fait lire des livres sans jamais me dire :
Jamais il n'a cherché à me dire que j'avais tort. Il a fait ça avec une douceur et une tolérance géniale. Je ne me suis jamais sentie obligée de rien. Il me disait juste:
Aujourd'hui je ne me revendique pas comme communiste mais j'ai fini pas être convaincue par ses idées. Quand je pense qu'au moment de l'élection de François Hollande, je me disais :
Je fréquentais une école de communication privée, tous mes amis étaient des UMPistes. Ça va faire 4 ans que je suis avec Jean, maintenant. Je ne me reconnais plus dans aucun parti, mais les idées de Mélenchon me plaisent. Ma famille me voit comme la personne qui a failli, qui a vécu trop longtemps à Paris.
Qui ? Marie-Camille, 23 ans, Professeure des écoles
Je suis du mois de septembre donc à la dernière élection, heureusement, je n'ai pas pu voter. J'étais à droite parce que ma famille l'était. Mon grand-père était même élu municipal dans une toute petite ville.
Quand j'étais petite, ils paraissaient tous tellement intelligents. Pour moi la droite, ça voulait dire être adulte, être sérieux. C'est comme ça que j'ai grandi : la gauche, c'était les rêveurs. La droite, c'était la raison.
Et en fait en grandissant, je me suis rendue compte qu'on pouvait être adulte et de gauche, sans être décérébré.
J'ai rencontré Florent, un été. On préparait des commandes dans une entreprise de produits frais. Je suis tombée amoureuse de lui sans parler de politique.
Quelques mois sont passés. Il y a eu des municipales ou les européennes, je ne sais plus. Avant on ne savait pas l'un comme l'autre qu'on était de l'autre bord. On ne le sentait pas au quotidien.
Avec ces élections, on a commencé à parler. Je lui disais :
A cette époque, je commence aussi mes études et rencontre d'autres personnes que celles de mon milieu. C'est une conjugaison de plein de facteurs qui ont fini par me faire voter à gauche mais mon copain est le principal, sans lui j'aurais pas franchi le pas.
Il écoutait des musiques qui s'opposaient à la politique de Sarkozy.
Sur des sujets d'actualité, sur l'environnement je sentais que j'étais plus de gauche, que je n'étais fondamentalement pas de droite.
Un jour, j'ai du faire une procuration parce que j'étais à l'étranger. Mon père m'a dit :
J'ai toujours pas élucidé la chose. Aujourd'hui, on débat souvent et c'est très très très houleux. J'ai eu l'impression de faire un coming-out, ma mamie ne l'a toujours pas accepté.
Elle refuse que je vote Mélenchon aux présidentielles mais bon tant pis...
Je viens d'un milieu rural : des agriculteurs qui ont beaucoup travaillé. Dans ma famille, on ne parlait pas de politique ou peu. On parlait d'argent et de travail. J'avais compris qu'on était de droite. C'était quelque chose qu'on disait librement.
Et puis j'ai rencontré mon mari au lycée. Je pense que c'était en 1978.
On était politiquement opposés mais on avait un respect mutuel, l'un pour l'autre. Il venait d'un milieu de gauche socialiste : papa enseignant, maman fonctionnaire. C'était quelqu'un très volubile, avec une certaine aura et je suis tombée amoureuse.
On avait des discussions politiques mais c'était un sujet de conflit. Dans les dîners avec ses amis, j'écoutais et j'étais contre mais je ne disais rien.
Un soir, après l'élection du maire de la commune (RPR), il y a eu une petite fête et j'ai chanté la Marseillaise. Mon mari était là. Il était mal à l'aise. Et moi, j'ai chanté, mais j'ai ressenti un malaise après.
Lui me l'a reproché et s'est moqué de moi, il m'a dit :
J'étais pas fière de moi... Progressivement ses idées avaient fait leur chemin. Je crois me souvenir que j'ai voté Mitterrand en 1981. Mais, c'est aussi possible que j'ai voté Giscard. Je ne sais pas si je m'en suis persuadée... En 2012, j'ai voté Hollande même si aux primaires, j'avais voté Martine Aubry et au final il m'a énormément déçue avec sa loi travail. Ça m'a fait mal. Je ne comprends pas.
Hamon je le trouve tiède, d'ailleurs, je n'ai pas voté à la primaire.
Aujourd'hui, je vais voter Mélechon et je le revendique à toutes les fêtes. Je l'ai encore dit à Pâques. Je sais très bien que dans la famille on votera plutôt Fillon ou Macron. Mais je m'en fiche. Je suis un peu la cas soc de la famille.
Quant à mon mari, on a divorcé depuis et je sais pas pour qui il va voter. Socialiste sûrement. Aujourd'hui je suis plus à gauche que lui. J'ai évolué dans le milieu associatif alors qu'il a évolué dans un milieu plus lié à l'argent...
Ma plus grande fierté ? J'ai engendré deux petits électeurs de Mélenchon . Voilà mon témoignage. Par ou grâce à l'amour, j'ai changé "de bord" et je suis fière d'avoir parcouru ce chemin.
Reprise

Vu le résultat, faut croire que la nana b. comme un pied !
S'il y en qui le font comme elles écrivent c'est pas jouasse...
Ou alors elle s'est faite ...avoir par un mec qui n'avait jamais l'intention de voter mais juste de "coucher" comme il est dit si élégamment dans le papier...
Vu le résultat, faut croire que la nana b. comme un pied ou qu'elle se faite...p
@pascal pau a posté le 22 avril 2017 à 13h19
"Intéressant l'article ! Instructif !"

J'adore votre sens de l'humour...
Ben moi je votais Arlette.
Puis j'ai rencontré cette femme merveilleuse, je me souviendrai toujours de ce jour : elle était habillée en bleu marine, ce qui faisait ressortir son carré en soie sous son minois d'ange surmonté d'un serre tête en guise d'auréole. Son nom précédé d'une particule, qui rappelait vaguement une lointaine leçon d'histoire, et, pendant les conversations, l'allusion à ses ancêtres, qui n'ont manifestement jamais trop peiné, laissait clairement deviner qu'elle ne votait pas vraiment trotskiste.
Depuis j'ai les cheveux très courts, je porte des bombers et je fais très peur à mes voisins quand je fais du sport.
Elle m'a bien fait glisser à droite : je ne vote plus LO mais Mélenchon. Mon ange m'a converti.

:-))))
@pascal pau a posté le 22 avril 2017 à 13h19
"Intéressant l'article ! Instructif !"

J'adore votre sens de l'humour ...












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Les Manipulateurs » Comment Déjouer Un Manipulateur En Moins D’une Minute ?

Comment Déjouer Un Manipulateur En Moins D’une Minute ?


Posted by Michaël LIZEN



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On parle beaucoup des manipulateurs mais connaissez-vous les 9 moyens sûrs de les reconnaître ?
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Donnez-moi quelques minutes et je vous explique comment déjouer un manipulateur .
Vous devez amener la personne manipulatrice à déposer les armes et à se rendre .
Après la lecture de cet article, vous connaîtrez : 
☞ Les 4 choses les plus utiles à faire immédiatement si vous voulez déjouer un manipulateur
☞ Le piège dans lequel vous ne devez plus tomber. Vous m’en voudrez de ne pas vous l’avoir dit plus tôt !
☞ Les 2 erreurs à ne surtout pas commettre devant un manipulateur – sinon vous êtes fichu…
☞ Un « truc » facile et efficace pour neutraliser le manipulateur. 
Vous devez sortir de l’état émotionnel brouillé dans lequel vous êtes.
La bonne façon de procéder est de « faire silence ».
Quand vous êtes en face d’un manipulateur, vous devez RESTER CALME , ne pas stresser , ne pas vous énerver , ne pas vous mettre en colère et surtout, ne plus rentrer dans son jeu .
Il y a une expression qui résume bien ce qu’il faut faire avec un manipulateur : RESTER DE MARBRE .
Si vous ne parvenez pas à GARDER VOTRE CALME , alors sans le vouloir, vous faites le jeu du manipulateur. Vous lui permettez d’avoir une emprise sur vous…

Par contre, en restant bien calme, vous déstabilisez immédiatement le manipulateur.

Souvenez-vous ce que nous a dit Napoléon Bonaparte :

« On déjoue beaucoup de choses en feignant de ne pas les voir » 
C’est de lui renvoyer systématiquement la balle .
En lui faisant préciser le fond de sa pensée .
Si vous avez lu mon article précédent , vous savez qu’une des armes du manipulateur est d’installer un climat de confusion. Le manipulateur sabote la communication en l’établissant à un niveau trop général et trop vague:
Il gé néralise … (« Tu ne fais jamais rien de bien… », « Tu es toujours en retard… »)
Il t ait … (« Ton projet ne peut pas marcher »)
Il déforme … (« Je ne peux pas le faire »)
Il est imprécis … (« Tu me déprime », « On m’a dit que »)
Et il fait des suppositions … (« C’est trop cher »)
La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez le faire sortir du brouillard et retourner cette arme contre lui.
☞ Simplement en lui posant des questions qui permettront de préciser les choses et ainsi de serrer la réalité de plus près :
« Jamais, tu veux dire jamais …?» « Je suis vraiment toujours en retard ? Toujours ?)
« Peux-tu terminer ta phrase ? », « j’aimerais maintenant que tu m’explique pourquoi ?»
« Tu veux dire quoi exactement ? » « Et qu’arriverait-il si tu le faisais ? Hein ?»
« Je te déprime, c’est bien cela que tu me dis n’es-ce-pas ? » « Comment précisément ? », « Qui précisément t’a dit que ? »
« Tu dis que c’est trop cher. Trop cher comparé à quoi ? » « Peux-tu me le prouver ? »
En procédant de cette manière, vous êtes le détective en quête de vérité et de précision
Je me suis réveillé en suçant une bite
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De belles ebony se font plaisir mutuellement

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