Soumise aux désirs de son maître

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Enlevées, violées et humiliées… Tel fut le destin des femmes soumises au bon plaisir de Kadhafi. Dans un livre terrifiant, Annick Cojean leur donne la parole. Interview choc.
Le témoignage de Soraya, recueilli en Libye par Annick Cojean, grand reporter au « Monde », dans son livre « Les Proies. Dans le harem de Kadhafi » (éd. Grasset, sortie le 12 septembre), résonnera longtemps en vous. Comment pourrait-il en être autrement ? Précise, à vif, sans pathos, la jeune Libyenne raconte ses années d’esclave sexuelle soumise aux plaisirs sadiques et violents du dictateur. Elle décrit un système terrifiant, où des jeunes filles comme elle ont été contraintes de satisfaire les déviances du Guide, sous menace de représailles. Soraya, mais aussi Libya, Khadija ou Leila racontent des vies saccagées, souillées. En toute impunité. L’enquête exceptionnelle d’Annick Cojean démontre comment le leader libyen a utilisé le viol comme arme de pouvoir pendant son règne. Et comme arme de guerre pendant la révolution de 2011.
ELLE. La première chose que l’on a envie de vous demander, après avoir lu le récit de son calvaire, est : comment vit Soraya aujourd’hui ? Annick Cojean. Soraya est actuellement en Libye dans une situation très précaire, mais vous comprenez que, pour sa sécurité, je ne puisse vous en dire davantage. Elle est très isolée, coupée de sa famille, et je préférerais la savoir à l’étranger tant je la sais vulnérable, vivant constamment dans la terreur d’être reconnue et débusquée par d’anciens kadhafistes qui redoutent ses révélations, par des révolutionnaires zélés avides de revanche sur tous ceux qui ont vécu près du Colonel, par des extrémistes religieux, peut-être même par ses frères. Elle vit comme une injustice insupportable le fait de devoir se cacher comme une coupable, que son malheur soit inaudible en Libye, que son témoignage ne puisse être reçu pour l’instant devant aucun tribunal. Mais elle refuse de quitter ce pays où une jeune femme toute seule n’a pourtant aucune chance de s’en sortir. J’ai mesuré, après tous nos entretiens, combien elle est triste, abattue, mais surtout déstructurée, cassée, sans plus aucun cadre. Il faudra du temps pour qu’elle se reconstruise après avoir été broyée alors qu’elle sortait à peine de l’enfance…
ELLE. Pourquoi a-t-elle accepté de vous raconter l’indicible ? Annick Cojean. Pour qu’on la croie. Pour qu’on entende enfin sa voix. Qu’elle ne soit plus aujourd’hui encore considérée comme une « fille de joie » de Kadhafi , accusée d’être une opportuniste consentante et largement rétribuée. C’était essentiel pour elle de dire : voilà ce que j’ai vécu, voilà la vérité, j’ai été forcée, abusée, on m’a volé ma vie. Mettre des mots sur son calvaire est la première étape de sa reconstruction. Elle veut, en son nom et en celui de tant d’autres, être enfin considérée comme une victime, pas comme une coupable sur laquelle pèse toujours la honte.
ELLE. Existe-t-il une solidarité entre les jeunes femmes qui furent les otages sexuelles de Mouammar Kadhafi ? Annick Cojean. Aucune. Chacune est trop occupée à survivre… et à se cacher. Elles sont très dispersées. Certaines ont fui et, faute de famille et de ressources, vivent de la prostitution dans les pays alentour. Les autres se terrent en Libye avec la hantise que le secret – le drame – les liant à Kadhafi soit mis au jour. Leur vie familiale, quand elles en ont une, serait détruite et leurs proches subiraient eux-mêmes d’énormes tourments. Le tabou demeure très fort. La peur du déshonneur sur toute la famille, aussi.
ELLE. Qu’est-ce qui, dans votre enquête en Libye, vous a le plus effarée ? Annick Cojean. L’âge et l’innocence des victimes, leur totale vulnérabilité. L’hypocrisie inouïe de Kadhafi , qui camouflait ses mœurs de fou furieux derrière des discours aux relents féministes auxquels nombre d’Occidentaux ont voulu croire avec une naïveté et une lâcheté confondantes. Enfin, la force du tabou autour de la sexualité et du viol, qui fait, et c’est insupportable, qu’une femme victime d’un viol est toujours doublement punie puisque le déshonneur frappe sa famille et qu’elle ne peut donc en attendre ni pitié ni soutien. Au contraire, puisque les crimes dits d’honneur existent bel et bien.
ELLE. Dans votre livre, Kadhafi apparaît d’une violence extrême, insoutenable… Annick Cojean. Il était machiavélique, pervers, obsédé. D’un sadisme absolu. D’emblée, quand on lui amène des jeunes filles en pâture, il les insulte. Les traite de « putes », de « salopes ». Il les prend violemment. Il les frappe. C’est un prédateur qui, à aucun moment, ne considère ses proies comme des êtres humains. Les scènes décrites par Soraya et d’autres victimes ne sont que tortures, brutalités et humiliations. Dans la résidence de Bab al-Azizia, elles étaient coupées du monde, cloîtrées dans les sous-sols. Kadhafi avait aussi une garçonnière à l’intérieur même de l’université de Tripoli, où, horreur totale, avait été aménagée, attenante à celle-ci, une salle d’examens gynécologiques. On m’a garanti, au cours de mon enquête, que tout ce qui se passait dans ses garçonnières était filmé. Les enregistrements auraient été détruits sur « décision révolutionnaire », m’a-t-on dit.
ELLE. Les captives de Kadhafi n’ont-elles jamais tenté de s’enfuir, de se rebeller ? Annick Cojean. Cela leur était impossible. Kadhafi et ses sbires menaçaient leurs familles de représailles si elles osaient. Il verrouillait ainsi leur silence et leur obéissance. Dans les sous-sols de la résidence de Bab al-Azizia, elles vivaient dans un monde à l’envers, ne savaient pas si c’était la nuit ou le jour, mangeaient à n’importe quelle heure. On venait les chercher à tout moment pour satisfaire les désirs du « maître ». Les rares fois où Soraya et d’autres ont eu des plages de liberté, c’est quand Kadhafi les emmenait en voyage officiel à l’étranger. Mais, même si elles vivaient alors dans une apparence de liberté et de luxe, elles restaient ses prisonnières.
ELLE. Vous racontez également comment Kadhafi a utilisé le sexe comme pression politique… Annick Cojean. C’est aussi un aspect qui m’a particulièrement effarée pendant mon enquête. Le dictateur, m’a dit un de ses proches, « gouvernait, humiliait, sanctionnait, promouvait par le sexe ». On le décrivait comme un ascète, très pieux, partant se recueillir dans le désert et exigeant l’intégrité absolue de tous autour de lui ! Or, dès sa prise de pouvoir, il apparaît qu’il cherche des proies, éprouve le désir d’humilier par le sexe. Posséder le corps des Libyennes, c’était une façon pour lui d’avoir du pouvoir sur les hommes aussi, en abusant de leurs femmes et de leurs filles. Nombreux sont ceux, dans toutes les sphères de la société, y compris dans la famille de Kadhafi, à avoir redouté que celui-ci ne jette ses filets sur leurs filles, femmes ou soeurs.
ELLE. Au centre de ce dispositif, il y a la puissante Mabrouka Shérif, pourvoyeuse de jeunes filles et âme damnée du tyran… Annick Cojean. Ce système odieux n’a pu fonctionner aussi longtemps que grâce à la complicité active ou passive des sbires et des conseillers de Kadhafi, mais aussi des nombreux témoins, qui, par peur mais aussi par indifférence ou intérêt, ont permis qu’il existe et perdure. Mabrouka Shérif était, ces dernières années, la pièce essentielle du dispositif de Kadhafi. Elle fut la ravisseuse, la geôlière, le bourreau de Soraya. Elle était la souveraine du harem. Mais aussi la pourvoyeuse attitrée en gibier sexuel, filles et garçons, qu’elle recrutait en Libye ou à l’étranger, notamment à Paris, et la directrice de ce qu’on appelait le « service spécial », les filles en uniforme supposées composer la garde personnelle du dictateur. Elle a d’abord fui la Libye avant de négocier son retour et d’accepter de rester en résidence surveillée dans sa région natale, en pays touareg. C’est une manipulatrice redoutable, adepte de la magie noire, qui a brisé la vie de centaines de jeunes gens.
ELLE. Kadhafi mort, il ne sera jamais condamné pour ces viols. Mais d’autres personnes sont impliquées et toujours vivantes comme Mabrouka Shérif. Seront-elles, à votre avis, jugées un jour ? Annick Cojean. Je ne sais pas. J’espère que les juges réuniront suffisamment de pièces et de témoignages pour juger les principaux complices de ces crimes. Beaucoup de gens, comme le fait Mabrouka, affirmeront avoir été contraints d’agir par la force alors qu’ils allaient audevant des désirs de leur maître et rivalisaient de zèle pour lui apporter du gibier.
ELLE. Mouammar Kadhafi, entouré de ses Amazones, se glorifiait – en recevant les hommages de certains Occidentaux, d’ailleurs – d’être le premier dirigeant du monde arabe féministe. Quelle sordide imposture… Annick Cojean. C’est insensé ! Les femmes n’étaient pour lui que des objets sexuels qu’il méprisait. Je reproduis en exergue de mon livre un extrait de son discours tenu en septembre 1981, lorsqu’il présente au monde les premières diplômées de l’Académie militaire des femmes. Il dit : « Nous appelons une révolution pour la libération des femmes de la nation arabe et ceci est une bombe qui secouera toute la région arabe et poussera les prisonnières des palais […] à se révolter contre leurs geôliers, leurs exploiteurs et leurs oppresseurs. […] Aujourd’hui n’est pas un jour ordinaire mais le commencement de la fin de l’ère du harem et des escla ves. » Or, c’est exactement son système pervers et criminel qu’il décrit ! Il se faisait photographier avec ses Amazones, qui n’étaient en fait que des figurantes pour la galerie et les médias étrangers, et séquestrait des jeunes femmes qui vivaient un enfer…
ELLE. Votre livre sera traduit en arabe et publié en Libye. Comment pensez-vous qu’il sera reçu ? Annick Cojean. Il était fondamental que les Libyens aient accès à cette enquête. Mais j’ai du mal à imaginer l’ampleur du choc que ce livre provoquera. C’est une petite bombe. J’espère qu’il libérera de nombreuses femmes recroquevillées sur leur terrible secret. Elles verront au moins leur souffrance reconnue et cela ouvrira peut-être un débat au nouveau Parlement sur le statut de ces victimes, leur droit à une protection et à des compensations. Je sais aussi qu’il dérangera et irritera un nombre considérable de gens non seulement parmi les anciens cercles kadhafistes mais aussi dans les milieux les plus conservateurs et intégristes du pays. De rares amis libyens ont soutenu mon initiative mais, au plus haut niveau de l’Etat, on a parlé d’offense. Comme si toute la nation se trouvait déshonorée par les moeurs barbares de l’ancien dictateur.
ELLE. Croyez-vous que la publication de votre livre en Libye permettra à d’autres femmes d’oser parler ? Annick Cojean. Soraya, Libya, Khadija, Leila et quelques autres souhaitent, bien sûr, que la vérité sorte sur Kadhafi et ses complices. Mais elles savent le poids du tabou et les risques encourus par celles qui parleront. Je ne crois pas, hélas, que ce livre déliera la langue de beaucoup d’autres femmes mais je pense qu’il sera désormais impossible aux nouvelles autorités de fermer les yeux sur ce sujet, que des politiques et des juges déclencheront des enquêtes sur les complicités dont a bénéficié le dictateur et qu’une nouvelle attention sera portée aux droits des femmes.
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titarue89 a posté le 07 novembre 2016 à 18h38
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alexandre_gamberra a posté le 07 novembre 2016 à 18h38
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alexandre_gamberra a posté le 07 novembre 2016 à 18h38
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virginie78 a posté le 07 novembre 2016 à 18h38
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monenvolue a posté le 07 novembre 2016 à 18h38
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En me fondant sur mon vécu, je me permettrai de formuler deux ou trois hypothèses sur le sadomasochisme.
Cette déviation sexuelle -ce terme n’est pas, sous ma plume, péjoratif : j’en use pour circonscrire la nécessité de certain(e)s d’entre nous de théâtraliser la sexualité et de la jouer, par le truchement d’objets détournés par le désir de leur destination habituelle- touche des individus qui, lors de leur structuration psychique, ont été particulièrement blessés.
Attention, je ne soutiens pas que nous avons tou(te)s été traumatisé(e)s, violé(e)s, battu(e)s, « incesté(e)s » dans l’enfance !
Je pense simplement que la lutte au terme de laquelle nous avons fini par nous construire a été si rude que nous en conservons des souffrances que nous exorcisons dans le secret de l’alcôve.
Je ne veux pas tout réduire à l’Œdipe et à la castration mais, dans mon cas, l’absence du père conjointe à l’image d’une mère déniant sa maternité ont possiblement modelé et façonné ma sensibilité, si bien que le sujet abandonnique que je suis cherche à refermer symboliquement ses plaies dans un amour SM où l’autre, par son abandon sans réserve (mais pas sans limite), le délivre d’un puissant sentiment de culpabilité envers ses géniteurs.
Ma compagne « asservie » me renvoie probablement ma propre image sur un mode cathartique.
De surcroît, je suis persuadé que mon (le) SM restitue, métaphoriquement, le fond de violence et de criminalité constitutif des sexualités humaines. Evidemment, je suis un sadien (pas un sadique ! , je le répète) de stricte obédience (et aussi un freudien !) : désirer un individu, c’est toujours l’intégrer et l’assujettir à son propre désir.
Il ne peut en être autrement (tous les praticiens et cliniciens vous l’expliqueront). L’autre aiguise par conséquent terriblement mes sens chaque fois qu’il se love dans ce que je perçois être « la vérité » de mes désirs.
Quant aux fantasmes, on ne les « réalise » jamais. On s’en approche sans parvenir à les vivre. Aussi évoluent-ils et se réorganisent-ils au fil des mois et des expériences. Ceux qui en cette période de mon existence m’habitent entretiennent une parenté avec ceux qui me hantaient lorsque j’avais 20 ans, mais ils sont différents, plus complexes et transgressifs.
Je conclurai sur une remarque personnelle. Le rituel SM, son dress code et sa langue, q
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