Souffrance et jouissement

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Souffrance et jouissement
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Liz a raconté comment son orgasme l'a menée aux urgences dans l'émission "Sex sent me to the ER" sur TLC (capture Hitfix)
Liz, une Américaine de Seattle, s’est retrouvée aux urgences parce que, après un rapport sexuel, ses orgasmes s’enchaînaient sans répit et qu’elle ne parvenait pas à y mettre fin : son supplice ne put être interrompu qu’au bout de trois heures !
Les médias font régulièrement état de ces orgasmes irrépressibles qui rendent infernale la vie d’une femme. En 2001, Kim Ramsey, une Américaine, victime d’une chute dans un escalier, subit un traumatisme de la colonne vertébrale : quelque temps après, elle a un rapport avec son compagnon, mais son orgasme se répète de façon irrépressible pendant 36 heures (environ 100 orgasmes !). Traitée, elle peut tout de même subir encore 100 orgasmes en un jour .
En 2012, le site du " Nouvel Observateur " relate le suicide d’une Américaine de Floride, Gretchen Mollannen, qui, à partir de 23 ans, s’est mise à avoir 50 orgasmes par jour "un toutes les 30 secondes, pendant 4, 6, voire huit heures". Sa vie étant devenue au bout de seize ans "un véritable calvaire", elle avait décidé d’y mettre fin.
Un orgasme qui peut se déclencher tout seul
Ces orgasmes irrépressibles sont à bien distinguer des "orgasmes multiples" : une femme peut, pendant un jeu sexuel, avoir plusieurs orgasmes consécutifs. Mais alors ils sont liés à son désir et aux stimulations prodiguées. Tandis que le trouble en question est une véritable maladie où une femme se retrouve en état d’excitation génitale sans le vouloir et sans le provoquer.
Reconstitution de la scène de l'orgasme pour l'émission "Sex sent me to the ER" sur TLC 
Cet état est très polymorphe : il peut se déclencher tout seul (facilité par des vibrations, comme celles que procurent la voiture, ou les secousses d’un mouvement brusque, etc.), est pratiquement permanent ou nettement intermittent, et existe sur des périodes plus ou moins longues ; parfois il peut s’interrompre de lui-même.
Le plus souvent, c’est un syndrome de simple excitation génitale qui ne se calme qu’avec la masturbation ou toute autre stimulation sexuelle : mais si certaines femmes jouissent vite et sont calmées quelque temps, d’autres ne sont absolument pas calmées et doivent reprendre aussitôt la stimulation, d’autres mettent une demi-heure ou plus avant d’obtenir l’orgasme et un répit provisoire…
Des traitements encore peu efficaces
Cette maladie est définie en 2001, et son appellation est aujourd’hui " syndrome d’excitation génitale permanent ". On rapproche son mode d’action du priapisme pour les hommes, ou de la maladie des "jambes sans repos" (qui touche les deux sexes, surtout les femmes et qui provient d’une anomalie du métabolisme des neurotransmetteurs dopaminergiques).
Une atteinte nerveuse, un dérèglement hormonal ou des neuromédiateurs du système nerveux, la prise ou l’arrêt de certains antidépresseurs, les inhibiteurs de la capture de la sérotonine (qui créent une hypersensibilité du clitoris ou du vagin), nombreuses sont les causes à même de les provoquer. Les traitements sont aujourd’hui encore peu efficaces, médicamenteux, cognitivo-comportementaux ou chirurgicaux (chirurgie de décompression du nerf atteint).
Les patientes citées ci-dessus ont une forme exacerbée de ce syndrome parce qu’elles ne subissent pas seulement une excitation permanente (ce qui est déjà dévastateur) mais ont directement de façon spontanée et irrépressible des orgasmes en série.
La vie de ces femmes est complètement détruite, toute vie sociale, professionnelle, conjugale et même personnelle étant impossible. La honte, la culpabilité, nourrissent la dépression et peuvent donc, nous l’avons vu, amener au suicide.
Jouir est une quête pour beaucoup de femmes, un bonheur pour le plus grand nombre, mais une malédiction pour quelques-unes…
Enfin une info qui mérite ? Qui mérite quoi ? je donne ma langue au chat
"nouvelobs", le site où les vidéos se mettent en marchent toutes seules comme des grandes. Pas pratique quand on ouvre plusieurs de ses pages dans des onglets ou fenêtres différentes. Carrément chiant, même.
Comme par hasard c'est une ricaine....
Est-ce qu'un cas similaire existerait chez l'homme ?
Y A T IL PARMI VOUS QUELQU UN D ATTEINT PAR LE SYNDROME D EXCITATION GENITAL PERMANENT?ALORS COMME VOUS DOUTEZ QUE CELA PUISSE EXISTER JE VOUS AVOUE QUE JE SUIS DANS CE CAS.J AI 57 ANS JE N EXERCE PLUS DEUIS 6 MOIS MON METIER D INFIRMIERE DE BLOC CAR JE NE PEUX PLUS ALLER TRAVAILLER DANS CET ETAT.JE SUIS EN GRANDE SOUFFRANCE DEPUIS 1 AN .J AI VU EN 1 ANNEE PLUS DE SPECIALISTES QUE JE N AI PU EN VOIR EN 56ANS .SI PARMI VOUS QUELQU UN EST ATTEINT DE CETTE PATHOLOGIE J ATTEND AVEC IMPATIENCE DE RENTRER EN CONTACT POUR JUSTEMENT ESSAYER DE SAVOIR QUI CONSULTER ET SI VOUS N Y CONNAISSEZ RIEN TAISEZ VOUS CELA VAUT MIEUX
Dommage que vous ayez écrit en majuscule, l'ajout de témoignage à l'article est intéressant.

Bon courage.
Est-ce la cause de l'hospitalisation de Valérie Trierweiler ?
Sur ce sujet qui ne semble pas laisser nombre d'entre nous indifférents :

http://www.ted.com/talks/mary_roach_10_things_you_didn_t_know_about_orgasm.html

Bonne video !
....au Brésil, je crois ...une femme a été autorisée à se masturber sur son lieu de travail...............
Moralité : vaut mieux ne pas être frigide et avoir des orgasmes de trois heures comme il vaut mieux ne as être pauvre et malade.
falibade a t'elle eu ses trente-trois mini posts d'orgasme ce matin ?
Et vous vous êtes dit que vous alliez en déclencher un trente-quatrième ...
Raté !
Mais j'ai beaucoup mieux...votre premier !
Je pense que cette vidéo est à vérifier quant à sa crédibilité mais je ne ne me permets as de nier le syndrome.
Il s'agit d'une reconstitution des événements, donc effectivement la vidéo n'est pas "authentique" ! Bonne journée Falibade.
Moi non plus (l'eau froide t'imagine !)
La reconstitution n'est pas authentique mais les deux personnes qui témoignent ont pourtant l'air de l'être ...
Merci Audrey .Bonne journée aussi !
Je faisais référence au post çi-dessous (l'eau froide) ...
C'est marqué en toute lettres "Reconstitution" ... mais entrecoupée par le témoignage des "vrais gens" c'est le principe, après les "vrais gens" sont peut être aussi des acteurs, les ricains ne sont pas à ça près ... bon bref
J' avais compris.
Par contre, j' ai compris après coup (j'avais lu trop vite) que c'était une reconstitution.
Oui, les "vrais gens" sont peut-être aussi des acteurs. L 'eau froide contre des dollars, pourquoi pas ?
Bref....
Waahhh ....
y z et falibade, ici et main dans la..main !
Où on veut de toute façon et c’est toujours mieux que les rabâchages très pertinents farcis de parfaits traits d'esprit ... qu''est ce qu'on s'e....de !
...y z cherchant à me faire croire qu'elle est en panne d'imagination...À d'autres !
Je n'éparpille pas à d'autres mon imagination ... Bon faut que je bouge
... ou je suis bonne pour le seau d'eau froide de la contributrice çi-dessous
Le couple de la vidéo a l'air de s'être bien marré ...
Ils n'ont pas l'air traumatisés, surement pris un peu de recul ...
Je trouve que ça ressemble quand même beaucoup à un canular cette histoire !!! Et c'est marrant, c'est presque toujours aux Etats-Unis que ça se produit !!!
Il y a peut-être un moyen d'arrêter le "cycle infernal" : une bassine d'eau froide ...
Allez sur Wikipedia, ou consultez internet à propos du docteur Marcel Waldinger, de La Haye, le spécialiste européen de la question.
http://www.restlessgenitalsyndrome.com/en/articles.html
Sur la vidéo, Liz dit avoir essayé de sauter, de se saouler, etc... pendant une heure avant de se résigner à aller aux urgences...
Je n'y crois pas !!! Encore un de ces fameux syndromes auxquels on trouve un nom, et dont subitement plein de gens sont affectés ! (surtout aux USA) !!!
C'est faux: une émission a ėtė produite sur ce sujet, et c'ėtait bien en France. La personne en question était une française et sa fille devait l'aider mémé dans les travaux mėnagers. Tout simplement, la notion de pudeur est sûrement diffėrente en France.
Ben si on pouvait choisir ses heures je serais pas contre !
Mais j'avoue être un érotomane ravi de son sort !
Renseignez-vous (un bon dictionnaire)... l'érotomanie, ce n'est pas ce dont vous parlez....

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La plupart des gens éprouvent de l’anxiété, de la dépression et du stress à un moment donné de leur vie. Pour plusieurs, ces émotions sont à court terme et n’interfèrent pas trop avec leur qualité de vie.
Mais pour d’autres, les émotions négatives peuvent conduire à un profond désespoir, les amenant à remettre en question leur place dans la vie. C’est ce qu’on appelle une crise existentielle.
L’idée d’une crise existentielle a été étudiée par des psychologues et des psychiatres tels que Kazimierz Dabrowski et Irvin D. Yalom pendant des décennies, dès 1929.
Pourtant, même avec l’abondance de recherches anciennes et nouvelles sur le sujet, vous pourriez ne pas être familier avec ce terme, ou ne pas comprendre en quoi il diffère de l’anxiété et de la dépression normales.
Voici ce que vous devez savoir sur une crise existentielle, ainsi que sur la façon de surmonter ce point tournant.
« Les gens peuvent vivre une crise existentielle lorsqu’ils commencent à se demander ce que signifie la vie et quel est leur but ou le but de la vie dans son ensemble « , explique Katie Leikam , thérapeute agréée à Decatur, en Géorgie, spécialisée dans le traitement de l’anxiété, du stress relationnel et de l’identité sexuelle. « Ça peut être une rupture dans les schémas de pensée où l’on veut soudainement des réponses aux grandes questions de la vie. »
Il n’est pas rare de chercher un sens et un but dans votre vie. Dans le cas d’une crise existentielle, cependant, le problème réside dans l’incapacité de trouver des réponses satisfaisantes. Pour certaines personnes, le manque de réponses déclenche un conflit personnel de l’intérieur, causant frustration et perte de joie intérieure.
Une crise existentielle peut toucher n’importe qui à n’importe quel âge, mais beaucoup vivent une crise face à une situation difficile, peut-être la lutte pour réussir.
Les défis et les stress quotidiens ne provoquent pas nécessairement une crise existentielle. Ce type de crise est susceptible de faire suite à un désespoir profond ou à un événement important, tel qu’un traumatisme majeur ou une perte majeure. Quelques causes d’une crise existentielle peuvent inclure :
Les différents types de crises existentielles comprennent :
Vous avez la liberté de faire vos propres choix, ce qui peut changer votre vie pour le meilleur ou pour le pire. La plupart des gens préfèrent cette liberté plutôt que de laisser quelqu’un prendre les décisions à leur place.
Mais cette liberté s’accompagne aussi d’une responsabilité. Vous devez accepter les conséquences des choix que vous faites. Si vous utilisez votre liberté pour faire un choix qui ne se termine pas bien, vous ne pouvez blâmer personne d’autre.
Pour certains, cette liberté est trop écrasante et déclenche une anxiété existentielle, qui est une anxiété généralisée quant au sens de la vie et aux choix.
Une crise existentielle peut aussi frapper après un certain âge. Par exemple, votre 50e anniversaire peut vous forcer à faire face à la réalité d’une vie à moitié terminée, ce qui vous amène à remettre en question les fondements de votre vie.
Vous pourriez réfléchir sur le sens de la vie et de la mort, et poser des questions comme : « Que se passe-t-il après la mort ? » La peur de ce qui peut suivre la mort peut déclencher de l’anxiété. Ce type de crise peut également survenir après un diagnostic de maladie grave ou lorsque la mort est imminente.
Même si vous aimez les périodes d’isolement et de solitude, les humains sont des êtres sociaux. Des relations solides peuvent vous apporter un soutien mental et émotionnel, apportant satisfaction et joie intérieure. Le problème, c’est que les relations ne sont pas toujours permanentes.
Les gens peuvent s’éloigner physiquement et émotionnellement, et la mort sépare souvent les êtres chers. Cela peut conduire à l’isolement et à la solitude, ce qui fait que certaines personnes ont l’impression que leur vie n’a pas de sens.
Avoir un sens et un but dans la vie peut donner de l’espoir. Mais après avoir réfléchi à votre vie, il se peut que vous ayez l’impression de n’avoir rien accompli de significatif ou d’avoir fait une différence. Cela peut amener les gens à s’interroger sur leur existence même.
Ne pas se permettre de ressentir des émotions négatives peut parfois mener à une crise existentielle. Certaines personnes bloquent la douleur et la souffrance, pensant que cela les rendra heureuses. Mais elle peut souvent conduire à un faux sentiment de bonheur. Et quand vous n’éprouvez pas le vrai bonheur, la vie peut se sentir vide.
D’autre part, incarner les émotions et reconnaître les sentiments de douleur, de mécontentement et d’insatisfaction peut ouvrir la porte à la croissance personnelle et à l’amélioration de la vie.
L’anxiété et la dépression lorsque votre vie s’écarte du droit chemin ne signifie pas toujours que vous traversez une crise existentielle. Ces émotions, cependant, sont liées à une crise lorsqu’elles s’accompagnent d’un besoin de trouver un sens à la vie.
Pendant une crise existentielle, vous pouvez ressentir des sentiments normaux de dépression. Ces symptômes peuvent inclure une perte d’intérêt pour les activités préférées, de la fatigue, des maux de tête, des sentiments de désespoir et une tristesse persistante.
Dans le cas d’une dépression existentielle, il se peut que vous ayez des pensées au sujet du suicide ou de la fin de la vie, ou que vous ayez le sentiment que votre vie n’a pas de but, dit Leikam.
Le désespoir associé à ce type de dépression est profondément lié aux sentiments d’une vie vide de sens. Vous vous demandez peut-être quel est le but de tout ça : »Est-ce seulement pour travailler, payer les factures, et éventuellement mourir ? »
« L’anxiété existentielle peut se manifester sous la forme d’une préoccupation à l’égard de l’au-delà ou d’une inquiétude ou d’une nervosité face à sa place et à ses projets dans la vie « , dit Leikam.
Cette anxiété diffère du stress quotidien en ce sens que tout peut vous rendre mal à l’aise et anxieux, y compris votre existence même. Vous pouvez vous demander : « Quel est mon but et quelle est ma place ? »
Parfois, les pensées sur le sens de la vie et votre but peuvent peser lourdement sur votre esprit et provoquer des pensées de course. C’est ce qu’on appelle le trouble obsessionnel-compulsif existentiel, qui peut survenir lorsque vous êtes obsessionnel ou que vous avez des compulsions quant au sens de la vie.
« Cela peut se manifester par le besoin de poser des questions encore et encore, ou de ne pas pouvoir se reposer tant qu’on n’a pas de réponses à ses questions « , dit Leikam.
Trouver un but et un sens à votre vie peut vous aider à vous libérer d’une crise existentielle. Voici quelques conseils pour y faire face :
Remplacez les idées négatives et pessimistes par des idées positives. Vous dire que votre vie n’a pas de sens peut devenir une prophétie qui se réalise d’elle-même. Au lieu de cela, prenez des mesures pour vivre une vie plus significative. Poursuivez une passion, faites du bénévolat pour une cause à laquelle vous croyez ou pratiquez la compassion.
Votre vie a probablement plus de sens que vous ne le pensez. Notez tout ce pour quoi vous êtes reconnaissant. Il peut s’agir de votre famille, de votre travail, de vos talents, de vos qualités et de vos réalisations.
Prendre le temps de s’auto-explorer peut aussi aider à sortir d’une crise existentielle, dit Leikam.
Si vous avez de la difficulté à voir le bien en vous-même, demandez à vos amis et à votre famille d’identifier vos qualités positives. Quel impact positif avez-vous eu sur leur vie ? Quelles sont vos qualités les plus fortes et les plus admirables ?
Cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas chercher des réponses aux grandes questions de la vie. En même temps, comprenez que certaines questions n’auront pas de réponses.
Pour traverser une crise existentielle, Leikam suggère également de décomposer les questions en réponses plus petites, puis de se contenter d’apprendre les réponses aux questions plus petites qui composent le tableau d’ensemble.
Vous pourriez être capable de traverser une crise existentielle tout seul, sans médecin. Mais si les symptômes ne disparaissent pas ou s’ils s’aggravent, consultez un psychiatre, un psychologue ou un thérapeute.
Ces experts en santé mentale peuvent vous aider à faire face à une crise grâce à la thérapie par la parole ou la thérapie cognitivo-comportementale. Il s’agit d’un type de thérapie qui vise à changer les schémas de pensée ou de comportement.
Demandez de l’aide immédiate si vous avez des pensées suicidaires. N’oubliez pas, cependant, qu’il n’est pas nécessaire d’attendre qu’une crise atteigne ce point avant de parler à un médecin ou à un autre professionnel de la santé.
Même si vous n’avez pas de pensées suicidaires, un thérapeute peut vous aider en cas d’anxiété grave, de dépression ou de pensées obsessionnelles.
Une crise existentielle peut arriver à n’importe qui, conduisant beaucoup à s’interroger sur leur existence et leur but dans la vie. Malgré la gravité potentielle de ce mode de pensée, il est possible de surmonter une crise et de surmonter ces dilemmes.
La clé est de comprendre comment une crise existentielle diffère d’une dépression et d’une anxiété normales, et d’obtenir de l’aide pour tous les sentiments ou pensées que vous ne pouvez pas secouer.
Dr Kavaler a obtenu son diplôme de l’Université de Montréal en 1986. Dre Frechette travaille à New York, NY et se spécialise dans la médecine générale et la santé des femmes.
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