Soubrette transsexuelle baise avec son patron

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Soubrette transsexuelle baise avec son patron

Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 23/06/20 à 17h17
— Mis à jour le 23/06/20 à 17h17

VIDEO. Isolement, confinement, lavage de pattes... Les abeilles aussi pratiquent la distanciation sociale
VIDEO. Une eurodéputée noire affirme avoir subi une intervention policière raciste et humiliante


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vendredi 02 septembre

Société Immersion avec les travailleuses du sexe transgenres à Paris

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Elles n’ont, pour la plupart, pas de papiers. Près de 500 travailleuses du sexe transgenres travailleraient chaque jour dans le bois de Boulogne, à l’ouest de Paris . Exerçant cette activité depuis leur adolescence, elles ont souvent subi beaucoup de discrimination dans leur vie. Originaires d’Amérique du Sud pour la plupart d’entre elles, ces femmes sont exposées à de nombreux dangers, pouvant aller jusqu’à l’agression mortelle, comme celle de Vanesa Campos en 2018 ou de Jessyca Sarmiento début 2020 .
Camille Courcy, reporter pour notre partenaire Brut , a rencontré plusieurs d’entre elles. Elles lui racontent leur quotidien.
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Jacquie et Michel : la baise est dans le près


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Publié le 31 août 2014 à 12h00 Mis à jour
le 31 août 2014 à 12h00

Une jeune femme a fait valoir son droit à l'oubi pour faire retirer des vidéos d'elle du site Jacquie et Michel. (Jacquie et Michel)
Entre porno amateur et téléréalité, les productions Jacquie et Michel ont réussi une percée sur le marché du X en ligne. Analyse du phénomène.
Ils avaient fière allure les supporters lyonnais qui, à Gerland cet hiver, ont déployé une banderole sur laquelle était crânement inscrit « Merci qui ? Merci Jacquie et Michel ». Mais plus tard, quand Maître Dorian (sosie du DJ allemand Superpitcher) du staff Jacquie et Michel est venu leur offrir de tourner une scène avec deux filles, seul l’un des trois lascars a assuré, les deux autres ont un peu perdu le ballon. L’anecdote suffit à résumer l’esprit Jacquie et Michel : un réseau de proximité basé sur la puissance marketing d’un slogan répété à l’infini. Un mantra efficace qui, ces trois dernières années, a impacté la France entière, pénétrant les esprits, le langage, les réseaux, les afterworks, les vestiaires.
On ne sait qui on doit remercier : dans les films Jacquie et Michel, l’intervieweur est toujours en caméra subjective. Il ne participe pas, ou très rarement, aux ébats. Sa voix est là pour faire le liant. Pour nous tenir la main. Et tout, dans le système Jacquie et Michel, se veut rassurant. Ainsi, les films se ressemblent. Tous commencent systématiquement dans une rue de France, banale, où le caméraman et son hardeur se les gèlent en attendant la fille qui, ils insistent, les a contactés « sur le site ».
« J’ai pas baisé depuis avant-hier, tu le crois ??? »
Quand elle arrive, elle aussi est banale, et c’est un premier coup de génie, ce look girl next door. Bon, qu’il vente ou qu’il neige, elle portera un manteau avec un rien en dessous, se dira excitée (« J’ai pas baisé depuis avant-hier, tu le crois ??? »), entamera un petit strip sauvage (un nichon, une culotte, pas vu pas pris) et là-dessus, la fine équipe prendra la voiture, cap sur un appart « prêté par un fan du site Jacquie et Michel », très content de transformer sa garçonnière en studio de cinéma et plus si affinités. Les marches seront gravies une par une (avec un début de pipe sur le palier) et, chemin faisant, la voix cuisinera la fille en question : « Tu es libertine ? Tu pratiques la sodo ? Ton compagnon et toi vous êtes candaulistes ? »
Puis, la voix, soucieuse de ne pas nous mettre sur la touche, s’empressera de faire part à la fille des réactions enthousiastes des « internautes de Jacquie et Michel » qui ont vu sa première vidéo – et tant pis si cette première vidéo a été tournée le matin même et n’a pas encore été postée. A la fin, ils baisent et le tout dure 42 minutes. Les « internautes de Jacquie et Michel » sont la colonne vertébrale du succès de l’entreprise Jacquie et Michel. C’est pour eux que le label quadrille la France, c’est à eux que l’on s’adresse, même lorsqu’on a la bouche pleine. Ils sont le ventre de ce site de cul trempé de mythologie interactive. Dans une vidéo d’autopromo, où sont interviewés l’actrice/réalisatrice Margaux et son compagnon Juan, vieux compagnons de route de l’aventure J&M, la Marseillaise grande gueule a un peu tout dit : « On aime Jacquie et Michèl(e) pour le concept(e), ici c’est cool(e), on se prend pas la têt(e), c’est du tac(e) au tac(e). » Elle le répétera même deux fois : « C’est du tac(e) au tac(e). » C’est dire s’il existe un lien palpable entre eux et nous.
Un tiers des vidéos seulement naissent d’un message laissé sur le site
Même si au fond tout n’est pas si spontané, ni tout à fait différent du reste de la production semi-amateur : un tiers seulement des vidéos J&M naissent d’un message laissé sur le site. Le reste, ce sont des filles qui veulent percer dans le cul, des filles croisées ailleurs, chez LFAP (La France à poil), MSTX, Pornovrai.com (des anciens de J&M en mode dissidence), ou bien chez les lascars de Vince Banderos (le « Nuit et Brouillard du porno de cave »), et qui pour 450 euros les deux scènes (selon Libération) ont choisi de commencer là où tout le monde se dirige. Aujourd’hui, Jacquie et Michel est le site français le plus visité : les vidéos atteignent en moyenne deux millions de vues.
Et tant pis si ça écorche l’idée diffuse d’une communauté partouzarde, d’un club échangiste interactif né il y a quinze ans environ. On parle au conditionnel car personne ne se souvient avoir parlé ni à Jacquie, ni à Michel. On dit qu’ils étaient enseignants ou fonctionnaires. Michel aurait saisi l’opportunité d’une formation CIF webmaster pour lancer un site pédagogique avant de bifurquer tranquillou vers un site de petites annonces caliente. Vers 2006, l’ADSL aidant, le site échangiste s’est mis à balancer des sextapes puis a décidé de les réaliser à sa façon, jusqu’à devenir en 2014 les manitous du marché français.
Malgré le succès, personne ne les a jamais vus en photo, ni ne sait vraiment s’ils existent. Ce sont des yeux sans visage. Peut-être sont-ils juste un nom de marque, une adresse IP, une idée rassurante que l’on se fait d’un couple coquin, toujours accueillant, bien que nous ne connaissions d’eux que leurs intermédiaires, toujours gentils, toujours rigolards, toujours dans le respect, même si finalement une fois la scène lancée, c’est du hard sans aucune espèce de gentillesse – « chienne » y est l’adjectif le plus souvent balancé, par les garçons mais aussi par les filles, qui se l’approprient, l’émulation voulant qu’elles soient désormais prêtes à exploser leurs limites (« La triple vaginale ? Non j’ai pas ENCORE essayé… »). Laquelle fille, en partant, n’oubliera pas de remercier Jacquie et Michel qu’elle ne connaît ni d’Eve ni d’Adam – comme on remercie le serveur du bar, même quand on a bu au point de se mettre minable.
Dans ce système qui partout suinte le storytelling, aucun historien du langage n’a encore eu le courage de remonter leurs milliers d’archives pour dater au film près l’apparition du fameux « Merci qui ? » et peu importe : comme dans toute opération de com réussie, c’est sa banalisation qui atteste de son existence. Alors, force est de constater que là où autrefois il y avait de la honte, il n’y a plus que de la connivence. « Merci qui ? » atteste qu’on est du même club, on est quelques-uns – des millions en fait – à consommer du cul sur internet, parce qu’il n’y a rien à la télé, rien ou sinon des trucs qui finalement ressemblent comme des soeurs à des pornos J&M : Tellement vrai sur NRJ 12, Confessions intimes sur W9, des modules qui, comme chez Jacquie, comme chez Michel, sonnent tellement réalistes qu’ils auraient pu être vrais. Ils sont fabriqués pareils, fouillent les mêmes chambres à coucher et deviennent bien quand ils trahissent un peu de leur falsification.
La mission mystique d’entretenir nos fantasmes de base
Débusquer la part de fake d’un J&M est aussi passionnant/excitant que de s’imaginer la charge de honte dont s’affranchissent celles qui ont décidé de tourner une vidéo pour eux. La pionne du lycée Mireille-Grenet à Compiègne qui a buzzé l’an dernier, n’est ni pionne, ni du lycée, ni de Compiègne, mais via elle et les autres, Jacquie et Michel se sont donné pour mission mystique d’entretenir nos fantasmes de base, nous refaire bander pour la vendeuse d’en face qui tourne une vidéo pour se venger de son mec qui dort à côté, ou détourner notre regard vers cette représentante en voitures d’occasion de Marignane à qui le patron concessionnaire a voulu faire la surprise d’un petit tournage « à l’arrache ».
Tellement vraie donc, cette interminable et passionnante enquête socio-cul sauvage, où les actrices sont soumises non-stop à la question. Chez J&M, jamais l’interview ne s’arrête, elle a même encore lieu pendant l’acte. Au début, on trouvait ça assez peine-à-jouir comme concept mais on est désormais accro à ces filles qui se donnent comme des folles mais qui dès que la voix leur demande « Merci qui ? » se redressent prestement et se transforment en speakerines, en femmes-sandwichs.
« Merci Jacquie et Michel. » A la place de dire : « J’ai joui. » Et, sans doute, les gens derrière ce site de rêver qu’un jour leur slogan prenne place dans notre pieu et que nous laissions la jouissance de notre extase à la force marketing de ce faux couple anonyme. Résultat : selon une enquête de notre confrère Snatch , le site J&M génèrerait entre 5 et 10 millions d’euros de bénef annuel. Du tac au tac. Merci qui ? Merci mon cul.
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Lili Elbe | via Wikimedia CC License by


«C’est compliqué» est une sorte de courrier du cœur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et où une chroniqueuse vous répond. Cette chroniqueuse, c’est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni médecin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problèmes. Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez écrire à cette adresse: cestcomplique.slate@gmail.com.

Pour retrouver les chroniques précédentes, c’est ici.


Santé


C'est compliqué


Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Lucile Bellan
— 17 octobre 2017 à 14h35
Aurélie et moi nous sommes rencontrées il y a huit ans. À cette époque, j'étais un homme et je vivais avec une femme qui m'a littéralement poussée au suicide à force de harcèlement. J'ai coutume de dire que si Aurélie n'avait pas été là je serai morte. C'est elle qui m'a poussée à aller chez un psychiatre et qui m'y a conduite toutes les semaines. Je crois que j'étais à deux doigts de passer à l'acte.
De cette relation délétère, il me reste de belles blessures: j'ai notamment du mal à connaître mes sentiments profonds, je suis prête à n'importe quoi pour quelqu'un qui me porte un peu d'intérêt –en pratique, un inconnu me sourit et me dit qu'il me désire, je suis capable de me donner à lui dans l'instant, juste pour le remercier de l'intérêt qu'il me porte. J'ai des anecdotes violentes à ce sujet– et j'ai une peur panique à l'idée de vivre seule.
Pour revenir au sujet qui nous préoccupe, j'étais en questionnement sur mon genre depuis longtemps. Quand j'ai vu que nous nous rapprochions, j'ai tenu à lui en parler rapidement. Je crois qu'à l'époque, je lui ai simplement dit que j'aimais bien m'habiller en fille. Elle n'a pas pris mal la nouvelle, ça avait plutôt l'air de lui plaire. À cette époque, elle m'achetait des sous-vêtements et m'encourageait à les porter. Maintenant, c'est un peu plus compliqué. Elle me dit qu'elle n'avait pas imaginé que j'irai aussi loin. Et effectivement, j'ai beaucoup évolué: je suis un traitement hormonal pour me féminiser, je vis désormais en femme.
Je ne peux plus me servir de mon pénis comme un homme. Elle me dit qu'elle n'est pas lesbienne et nous n'avons plus aucune relation sexuelle depuis un an. Mais on a des câlins, des bisous, bref, la tendresse normale au sein d'un couple. En société, nous vivons comme un couple de lesbiennes: elle n'a pas honte de me tenir la main en public, de m'appeler «chérie» ou «mon amour».
Au début de l'année, un ancien ami a recontacté Aurélie. Elle m'en a parlé dès qu'elle a su que quelque chose de sérieux se produisait. Je lui ai dit qu'elle n'avait pas à choisir et que je ne voyais rien de mal à cette relation. Je n'ai aucun problème avec le polyamour. Elle a longtemps hésité puis a finalement décidé de le rencontrer. À cause de la distance, ils ont du mal à se retrouver mais depuis juin, ils arrivent à se voir une fois par mois. Et à chaque fois c'est la même chose: en rentrant elle pleure pendant un jour, deux jours...
Je suis complètement démunie. Elle vient me voir pour trouver du réconfort, mais j'ai l'impression d'être à l'origine de ses larmes. Sans moi, j'imagine qu'elle serait allée le rejoindre et qu'ils fileraient le parfait amour. Elle me dit quelle a trouv
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