Soubrette asiatique soumise à la queue de son homme

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Soubrette asiatique soumise à la queue de son homme

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Zapping Men's UP Epicurieux EP8 : Sur les traces de Dom Pérignon en Kia EV6
De Schwarzenegger à DSK en passant par Mahmoud Abdel Salam Omar, les hommes de pouvoir ont décidément un petit penchant pour les soubrettes !
Après les récents scandales qui ont touché l’univers de la politique, c’est en toute légitimité que l’on se demande si cette attirance pour les femmes de chambre est une réalité cachée ou un simple cliché chez les politiques ?
Premier cas, le 16 mai dernier, DSK est arrêté et accusé d’agression sexuelle, tentative de viol et séquestration sur une femme de chambre du Sofitel à New York.
De Schwarzenegger à DSK en passant par Mahmoud Abdel Salam Omar , les hommes de pouvoir ont décidément un petit penchant pour les soubrettes !
Après les récents scandales qui ont touché l’univers de la politique, c’est en toute légitimité que l’on se demande si cette attirance pour les femmes de chambre est une réalité cachée ou un simple cliché chez les politiques ?
Premier cas, le 16 mai dernier, DSK est arrêté et accusé d’agression sexuelle, tentative de viol et séquestration sur une femme de chambre du Sofitel à New York. La première audience de son procès se déroule aujourd’hui, son avocat prévoit un non-lieu.
Le lendemain de cette arrestation, Arnold Schwarzenegger avoue avoir eu une petite aventure avec la bonne de maison et révèle au grand public avoir fait un enfant dans le dos de son épouse. Grande classe Schwarzi !
Troisième et dernier cas, Mahmoud Abdel Salam Omar , un financier égyptien, récemment accusé d’avoir fait monter une femme de chambre dans sa suite et de l’avoir agressé sexuellement. Décidément, les soubrettes ont la côté chez les hommes politiques !
Fantasme, cliché ou réalité, pour le psychiatre et sexologue Willy Pasini , cette fascination pour les femmes de chambre est bien une réalité : «C’est une réalité. Pour deux raisons. Comme elle exécute les besognes du patron, elle est considérée comme une esclave par certains hommes. Ensuite, il est le chef du territoire sur lequel elle se trouve et il peut estimer avoir un contrôle sur elle. C’est un vieux réflexe éthologique (lié au comportement des espèces animales, ndlr).»
Une réponse qui laisserait penser que les hommes agiraient finalement comme des animaux primitifs qui désirent montrer leur autorité. D’après le Dr Willy Pasini , « ceux qui manquent d’assurance chercheront des relations avec des femmes qui leur sont inférieures (…) C’est d’autant plus le cas pour un homme qui est écrasé par sa femme: il recherchera quelqu’un qui l’admire » déclare-t-il !
La domination sexuelle d’une soubrette n'est pas le premier fantasme masculin. En effet, le docteur Willy Pasini affirme que le fantasme le plus récurent chez les hommes « est celui de faire l’amour avec deux femmes en même temps. Suivi du fait de soumettre une femme qui ne le veut pas. L’infirmière reste en tête des fonctions les plus excitantes ». On a plus qu'à bien se tenir...
De Schwarzenegger à DSK en passant par Mahmoud Abdel Salam Omar, les hommes de pouvoir ont décidément un petit penchant pour les soubrettes !
Après les récents scandales qui ont touché l’univers de la politique, c’est en toute légitimité que l’on se demande si cette attirance pour les femmes de chambre est une réalité cachée ou un simple cliché chez les politiques ?
Premier cas, le 16 mai dernier, DSK est arrêté et accusé d’agression sexuelle, tentative de viol et séquestration sur une femme de chambre du Sofitel à New York.
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1.



On insérait de force des pointes en métal dans la bouche des femmes qui critiquaient constamment ou comméraient.




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Les peines pour les hommes étaient souvent bien plus légères.
La bride-bavarde était une muselière en fer pour le visage de la femme, utilisée pour punir les «bavardes» – les femmes qui critiquaient sans cesse, comméraient, répondaient ou qui parlaient simplement trop. La bride était verrouillée sur votre tête, et un embout en métal couvert de piques était placé de force dans votre bouche. À chaque fois que vous bougiez la langue, les piques la lacéraient.
La victime de cette torture était parfois enchaînée à un crochet chez elle, ou bien humiliée publiquement.
Variation des piloris, souvent en bois ou en métal, il était utilisé pour punir les femmes qui se disputaient et les commères. Une femme pouvait avoir à le porter seule ou attachée avec la femme avec laquelle elle s'était battue.
Cette punition humiliante pouvait être infligée aux hommes comme aux femmes, mais les femmes accusées d'être des commères ou des filles de joie étaient les premières à devoir s'installer sur un «cucking stool». Attachées sur cette chaise en bois sans siège — souvent une chaise percée —, elles étaient forcées à rester assises, exposées à l'humiliation publique.
Les «cucking stool» ont été modifiés quelques siècles plus tard pour être utilisés comme des sièges à plongeon. Le siège était attaché à de longues poutres en bois, qui reposaient sur un axe. La victime, assise, était ensuite suspendue au-dessus d'une rivière ou d'un étang puis immergée autant de fois que la punition le disait, « afin de refroidir sa chaleur excessive », comme le disait l'écrivain français François Maximilien Misson. Dans certains cas, les femmes étaient immergées un si grand nombre de fois qu'elles en mourraient.
Le «thewe» était un genre de pilori conçu spécifiquement pour les femmes. La femme était enchaînée à un poteau par le cou, mais contrairement aux hommes, ses mains n'étaient pas attachées.
En 1777, Ann Morrow a été accusée de s'être faite passer pour un homme et d'avoir épousé une autre femme. Elle fut mise au pilori, et la foule en colère lui a crevé les yeux en lui jetant des pierres.
Dit aussi «pilori tonneau», cet appareil était utilisé pour punir les hommes coupables de vol, d'ivresse et d'émeutes. Mais les femmes pouvaient également être mises dans un manteau d'ivrogne.
Un homme a raconté avoir vu un tonneau à Delft, aux Pays-bas : «Un lourd récipient en bois, semblable à une baratte, que la femme audacieuse qui a deux maris en même temps porte sur ses épaules, seule sa tête dépassant au sommet, et qui est ainsi promenée en ville, en punition de son intempérance.»
La mutilation ou l'ablation du nez d'une femme était une punition pour les femmes aux mœurs légères, qui a perduré durant le Moyen Âge. En défigurant la femme, on éliminait le pouvoir de sa beauté. La loi britannique de Cnut (1018) imposait qu'une femme accusée d'adultère ait le nez et les oreilles coupés en punition. En comparaison, un homme adultère devait payer une simple amende.
Les marches de la honte étaient une punition traditionnelle pour les prostituées ou les «harpies» – des femmes dominatrices. Ces dernières devaient marcher pieds nus dans les rues, parfois vêtues uniquement de leur jupon. Les chaussées étaient sales, hérissées de pierres irrégulières. La foule, railleuse, se mettait en rang pour regarder les victimes fixement.
C'était une punition populaire pour les prostituées au XVIe siècle. Lady Low , qui dirigeait une maison close à Aberdeen, en Écosse, fut marquée au fer rouge sur les deux joues par un bourreau, puis dû porter une couronne en papier avant d'être bannie de la ville pour sept ans et un jour.
Jusqu'au XVIIe siècle, au Royaume-Uni, l'une des punitions pour les femmes accusées de vol était la noyade . C'était également la cause de la mort dans « l'ordalie par l'eau froide », dans laquelle les chasseurs de sorcières testaient le fait qu'une femme était une sorcière ou non en regardant si elle flottait ou coulait.
La noyade en tant que punition civile simple était d'ailleurs considérée comme une punition clémente, comparée à certaines des méthodes d'exécution plus brutales, comme...
Les femmes accusées de sorcellerie et de communier avec le diable étaient brûlées. Mais c'était également une punition courante en cas de trahison ou d'hérésie. En Écosse, une femme pouvait avoir les membres couverts de goudron, ou devoir porter une robe et un bonnet enduits de cette susbtance. Elle était ensuite attachée par le cou sur un tonneau, le feu allumé, et elle était à la fois brûlée et pendue dans un brasier.
Ce post a été traduit de l'anglais .
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