Son professeur ne peut résister à cette chatte
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Son professeur ne peut résister à cette chatte
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Iris Knobloch , la nouvelle patronne du Festival de Cannes à partir du 1 er juillet, va arriver à son poste avec un défi de taille : la place des films de plateformes dans la compétition cannoise. Il y a cinq ans, pour la première et dernière fois, Netflix en était. Avec, entre autres, un fabuleux animal ( Okja , de Bong Joon-ho). Face à la bronca du milieu , une règle prévaut depuis : seules les œuvres destinées à sortir en salles en France peuvent briguer la Palme d’or. Thierry Frémaux, le délégué général, voudrait assouplir ce principe mais son conseil d’administration fait barrage.
Pour les distributeurs indépendants, déjà meurtris par la crise sanitaire et la désaffection du public en salles, une Palme d’or décernée aux plateformes vidéo serait le coup de grâce. « Deux places réservées pour elles en compétition, ce serait deux places de moins pour nous, estime Éric Lagesse, patron de Pyramide (huit films à Cannes cette année, toutes sections confondues, dont six en sélection officielle). Dans de telles conditions, qui sait si notre seul titre en compétition [ Les Huit Montagnes, de Felix Van Groeningen et Charlotte Vandermeersch] aurait eu sa chance ? »
Lui-même client des services de vidéo en ligne par abonnement (« avec modération »), le distributeur se défend de faire le même métier. « Nous, les indépendants, découvrons des auteurs et prenons des risques pour les accompagner. Vous imaginez Amazon draguer Mikhaël Hers , le réalisateur des Passagers de la nuit ? » Chez les exploitants, on exprime la même volonté de ne pas laisser aux plateformes le beurre et l’argent du beurre. Pour Marc-Olivier Sebbag, délégué général de la Fédération nationale des cinémas français, « Cannes est un festival de cinéma, pas de téléfilms ni de séries ; lesquels ont tout à fait leur place hors compétition ».
À force de camper sur sa position de prestige, Cannes ne risque-t-il pas de se ringardiser ? Dans Le Figaro , le patron de Pathé, Jérôme Seydoux, l’a récemment taxé de « dernier des Mohicans » dans un monde qui s’adapte. La Mostra a ainsi décerné le Lion d’or à une production Netflix dès 2018 ( Roma, d’Alfonso Cuarón ). Et la dernière édition des Oscars a récompensé The Power of the Dog , de Jane Campion (Netflix), et Coda , diffusé sur Apple TV+.
De son côté, Netflix se garde bien de faire le siège. La plateforme décline toute présence hors compétition – pas question qu’un film taillé pour les plus hautes récompenses, tel Blonde, d’Andrew Dominik, consacré à Marilyn Monroe , finisse sur un strapontin – mais fait profil bas. Et table sur une « modernisation » de la chronologie des médias : une réduction du délai entre la sortie d’un film en salles et sa diffusion sur une plateforme. Pour Netflix, ce délai est de quinze mois mais pourrait être revu à la baisse en janvier 2023. Si cela se confirme, la multinationale pourrait alors sortir au cinéma les titres sélectionnés en compétition et garantir à ses abonnés en France de les découvrir sur la plateforme quelques mois après seulement.
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Publié
le 11/05/2021 à 09:34 , Mis à jour le 12/05/2021 à 10:03
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FIGAROVOX/TRIBUNE - Sur le site Lumni.fr, plateforme éducative numérique de l'audiovisuel public, le programme «Sexotuto» comporte certains contenus très discutables. Ce n'est en rien être pudibondes que de le constater, argumentent Sabine Duflo et Marie-Alix Le Roy.
Sabine Duflo est psychologue clinicienne et thérapeute familiale. Elle a publié Il ne décroche pas des écrans! La méthode des 4 pas pour protéger le cerveau des enfants (Marabout, 2020). Marie-Alix Le Roy est à l'origine du groupe Facebook «Parents unis. Pas de smartphone avant 15 ans» et a publié Protégeons nos enfants des écrans! (Mame, 2020). Elles sont membre du collectif CoSE ( surexpositionsecrans.org ),
Nos enfants sont confrontés de plus en plus tôt, de plus en plus fréquemment à la pornographie. Une étude de 2018 a estimé qu'un adolescent sur 5 aurait été exposé à du matériel pornographique de manière accidentelle[1]. Une autre étude a montré qu'en France 58% des garçons et 45% des filles avaient vu leur première image pornographique avant l'âge de 13 ans[2]. Le porno en réalité est partout, non seulement sur les sites pornographiques mais aussi plus simplement dans les séries, les clips dont les paroles et les images souvent hypersexualisées conditionnent la sexualité du très jeune auditeur/spectateur, la formate. « Yeah, yeah, yeah you fuckin' with some wet-ass pussy. Give me everything you got for this wet-ass pussy »[3]. Tous les enfants et ados connaissent cette chanson « WAP » (acronyme de Wet-Ass Pussy ) de Cardi B, sortie en août 2020 : 389 millions de vues sur YouTube, 25 millions de vues en 3 jours. Et ils n'ignorent rien du sens des paroles ni de la danse qui en découle, très suggestive et reprise des millions de fois sur leur réseau social préféré Tik Tok.
Nos démocraties s'accommodent plutôt bien de l'exploitation marchande de nos pulsions : la pornographie circule partout sur le net et les enfants y ont accès dès lors qu'un portable avec une connexion internet leur est fourni, c'est-à-dire vers 10-11 ans en moyenne, à l'entrée au collège. Certains parents récalcitrants tentent de résister et cherchent à équiper leur enfant plus tardivement mais avec le confinement, l'injonction de l'Éducation Nationale à utiliser « l'outil numérique » a eu raison des plus résistants.
Leur enfant est sommé de s’asseoir chaque jour devant l'écran de son ordinateur, ou d'utiliser son téléphone portable pour ceux, nombreux, qui n'ont pas d'ordinateur mais sont équipés d'un téléphone portable avant même l'entrée en sixième. Le même outil leur permet en en clic de visionner des sodomies en chaîne, des éjaculations faciales… ou l'explication du théorème de Pythagore par leur professeur de maths. Pour être honnête, il faudra plutôt 5 clics et beaucoup de patience avant de pouvoir se connecter au cours de son professeur de maths alors qu'il est si aisé de visionner du porno.
Il y a beaucoup de choses positives dans Sexotuto comme une explication du consentement et son rappel à chaque épisode ; il y a cependant des éléments qui posent problème et qui auraient dû attirer l'attention des parents et des professionnels de l'enfance.
Pas facile donc pour les enseignants de rivaliser avec « la pluralité des offres » sur internet. En 2017, il existait déjà plus de 4 millions de sites pornographiques sur internet…
Heureusement un site, lumni.fr a pu voler au secours de l'enseignement ringard et des enfants impatients. Lumni.fr c'est l'internet éducatif qui s'est imposé durant le confinement, celui auquel ont recours de nombreux enseignants pour compléter un cours ou le donner, le site devant lequel on laisse nos enfants en toute confiance. « Apprends, révise et comprends le monde avec Lumni. » Telle est la promesse de ce site qui propose un enseignement de toutes les « matières » de la maternelle au lycée.
Par exemple, en cliquant sur « maternelle », on tombe sur « Raconte-moi les gestes barrières avec "Tchoupi salue de loin" ». Et en cliquant sur Collège, « Troisième », puis sur « Prévention » et sur « Éducation à la sexualité », on tombe sur Sexotuto[4], une web-série en 37 épisodes qui vous explique de façon ludique « l'érection » (Sexotuto 2), « la masturbation » (Sexotuto 6), « les pratiques sexuelles sans pénétration » (Sexotuto 11), le plaisir (en deux épisodes) etc. Il y a beaucoup de choses positives dans Sexotuto comme une explication du consentement et son rappel à chaque épisode ; il y a cependant des éléments qui posent problème et qui auraient dû il nous semble attirer l'attention des parents et des professionnels de l'enfance.
Par exemple l'épisode 11 « Les pratiques sexuelles sans pénétration ». Un garçon qu'on imagine avoir 15 ans et une fille qui semble plus âgée, (sa copine, son coach ?) discutent « sans tabou » de sexualité. « Bon tu penses à quoi de meilleur qu'une bonne douche ? Des trucs au sexe ? » petit bruit de cloche, l'actrice remue sa langue de façon gourmande. La discussion s’enchaîne ensuite sur les façons d'atteindre le plaisir « On peut même atteindre l'orgasme avec les doigts ou avec le cunnilingus ». L'actrice déguisée en vieux professeur explique doctement : « cunnilingus du latin cunnus qui signifie sexe féminin et luptus du verbe ligerer qui signifie lécher… En résumé le cunnilingus consiste à lécher ou stimuler avec sa bouche les parties externes du sexe de la bien aimée, alors les grandes lèvres, les petites lèvres, le clitoris. Chez la plupart des femmes c'est la stimulation externe qui va amener beaucoup de plaisir voir amener à l'orgasme et pas forcément la pénétration. »
Simultanément s'affiche une photo de sexe féminin ouvert, petites lèvres, grandes lèvres, clitoris bien visible comme on les voit… dans les films porno. Deux acteurs nus un homme et une femme sont postés debout à côté des acteurs, on les retrouve tout au long des épisodes. Leur visage est masqué comme fréquemment celui des acteurs hommes dans les films porno.
Que va-t-il se passer pour un enfant de 5, 6 ou 7 ans qui peut très facilement tomber sur ces vidéos grâce à ce site « partenaire de l'Éducation Nationale » ?
« C'est quoi l'organe le plus sensible chez le garçon ? » » Le gland » répond l'acteur « 4000 terminaisons nerveuses » et une photo de sexe d'homme s'affiche aussitôt à l'écran. « J'imagine le plaisir que vous devez ressentir juste avec une fellation… » « T'as pas idée » rétorque l'acteur . « On peut prendre ou donner du plaisir en léchant le pénis avec les lèvres, la langue… Le cunnilingus, la fellation aussi appelés sexe oral et d'une manière générale essayer d'éviter les dents… » Et l'acteur enchaîne hilare en croquant une carotte. Ensuite ça continue avec le même souci de pédagogie pour la masturbation « On peut se masturber soi-même ou mutuellement avec la bouche un peu comme un 69… Et pour les plus acrobates d'entre vous, on peut même combiner le cunnilingus et la fellation » enchaîne l'actrice.
Arrêtons-nous là. Et posons quelques questions qui semblent avoir échappé aux réalisateurs et producteurs de ces films « éducatifs ».
À quoi veut-on éduquer l'adolescent par un film de ce genre ?
Qu'auront appris par ces films, les ados, spectateurs de porno, qu'ils ne savaient déjà ?
Que va-t-il se passer pour un enfant de 5, 6 ou 7 ans qui peut très facilement tomber sur ces vidéos grâce à ce site « partenaire de l'Éducation Nationale » ?
Est-ce que le problème pour nos ados confrontés à du porno est réellement le manque d'explication technique de la fellation, du cunnilingus ou du 69 ? Ou n'est-ce pas autre chose ?
Est-ce le rôle de France Télévision, chaîne publique, de produire ce genre de films… avec l'argent du contribuable ?
Est-ce que ces 37 épisodes de Sexotuto relèvent bien du même domaine à savoir celui de la « Prévention » ? La réponse est clairement non.
On peut nous accuser de pudibonderie pourtant tel n'est pas le cas. Notre seul souci est celui de la protection de l'enfance et de l'adolescence.
On ne trouve ici qu'une seule explication : celle que décrivait il y a près d'un siècle Aldous Huxley dans Le Meilleur des mondes.
Expliquer le consentement relève du domaine de la prévention, expliquer qu'il y a différentes formes de sexualité (homosexualité, hétérosexualité, bisexualité etc.) et qu'aucune n'est condamnable peut relever de « l'éducation morale et civique » ; mais expliquer les techniques du plaisir en les décrivant de façon minutieuse, photos à l'appui, imitation via des poupées (la technique du 69) pour être certain que le très jeune spectateur a bien compris, relève du champ de la pornographie. Une pédago-pornographie si on préfère.
En effet, « Porno-graphie » c'est littéralement l'image ou l'écrit qui donne à voir la pratique de la prostituée. Pornographie, nom : Du grec Porne (prostituée) et Graphe (écriture/image). Pourquoi renchérir sur une pornographie à laquelle nos enfants sont soumis dès le plus jeune âge et qui, nous le savons, laisse des traces [5] et conditionne leurs pratiques sexuelles [6].
On ne trouve ici qu'une seule explication : celle que décrivait il y a près d'un siècle Aldous Huxley dans Le Meilleur des mondes . Un monde où le bonheur est roi, assimilé à la recherche permanente du plaisir. Le plaisir est un dictat et par voie de conséquence tout ce qui nécessite du temps, des sentiments, un attachement exclusif à l'autre comme l'amour, des relations profondes et singulières comme les relations familiales est banni. Rappelons cette scène qui se déroule dans un « centre de conditionnements », là où sont éduqués tous les enfants depuis l'embryogenèse jusqu'à l'âge adulte. « Un petit garçon de 7 ans et une petite fille qui pouvaient avoir un an de plus s'amusaient fort gravement (…) à un jeu sexuel rudimentaire (…) Ce n'était qu'un couple de mioches prenant leurs ébats. Rien de plus. » Brusquement « d'un buisson voisin sortit une infirmière tenant par la main un petit garçon qui hurlait ». « Qu'est-ce qu'il y a demanda le directeur ? Pas grand-chose répondit-elle. C'est tout simplement ce petit garçon qui ne semble guère disposé à prendre part aux jeux érotiques ordinaires(..) De sorte que je l'emmène chez le directeur Adjoint de Psychologie. Simplement pour voir s'il n'y a pas quelque chose d'anormal. »
Anormal en effet ce petit garçon du roman d'Huxley qui ne régit pas de la façon attendue à la « leçon de sexe élémentaire » diffusée sous forme d'un enseignement « hynopédique » fourni aux enfants dès le berceau consistant à leur répéter des milliers de fois pendant leur sommeil les mêmes préceptes de sorte à ce qu'ils les appliquent ensuite sans réfléchir « Soixante-deux mille quatre cents répétitions font une vérité ». Cette « leçon de sexe élémentaire » fait partie intégrante du chapitre « Éducation morale » dans la dystopie d'Huxley. Une dystopie où le pouvoir ne s'exerce pas dans la contrainte mais grâce à une soumission volontaire au dictat du plaisir immédiat, dont l'encouragement à une jouissance sexuelle permanente fait partie.
Incroyable prémonition de l'écrivain... Car jouir, satisfaire de façon immédiate chacune de nos pulsions, les susciter avant qu'elles ne s'éveillent, tel est bien l'objectif de notre pornocratie [7] actuelle. À tout prendre, la « poésie » de Cardi B peut sembler moins nocive que certains épisodes de Sexotuto : elle ne prétend pas « éduquer » les adolescents.
[1] The prevalence of unwanted online sexual exposure and sollicitation among youth : a meta-analysis,review article, volume 63, issue 2, p133-141, august01-20218 in journal of adolescent health by Sheri Madigan, Vanessa Villani and co
[2] Sexologies, volume 27, Issue 4 Octobre-décembre 2018 by Samiotto, M. Melchiorre
[3] Traduction en français pour les non anglophones « ouais, ouais, ouais, tu baises avec une chatte mouillée. Ramène un seau et une serpillère pour essuyer cette chatte mouillée. Donne-moi tout ce que tu as pour essuyer cette chatte mouillée. »
[4] Contenu mis en ligne depuis le 11 mars 2021
[5] Voir Sabine Duflo, Porno-pandémie : les enquêtes de l'Arrière-cours, 20/10/2020.
[6] Voir l'article Pornographie en ligne : des risques préoccupants pour les adolescents par Sandrine Charnier, Joelle Lebreuilly, Martine Batt Université de Lorraine The conversation, 28 avril 2021.
[7] Terme emprunté à Patrick Marcolini dans « Pornification, le stade ultime du capitalisme », in Divertir pour dominer 2. La culture de masse toujours contre les peuples. Dirigé par C. Biagini et P. Marcolini, édition l'Echappée. 2019
Tout a fait d'accord avec ce texte. Les enfants ne sont pas de adultes miniatures. Les mettre devant ce genre de vidéos au collège les expose à des troubles psychiques potentiels. Ensuite on s'étonnera du nombre de viols ? Laissons les enfants vivent leur vie d'enfant, avec innocence.
J'ai des enfants (à l'école primaire et au collège), j'ai visionné ce sexotuto, et je n'ai rien trouvé qui soit inapproprié pour des enfants. Il est nécessaire que les enfants sachent ce qu'est un pénis, une vulve, des seins, qu'ils sachent ce qu'est une érection, un clitoris, un rapport sexuel. Si l'on chasse de tels contenus, ne nous leurrons pas: les seules nudités que les enfants verront, les seules images qu'ils verront de la sexualité, ce sera le porno. N'ayez pas la naïveté de croire que le filtre parental ou autres di
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