Son jouet violet la rend tellement heureuse

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ZÚd-3 Èt a écrit: (Mat doit mourir d'impatience )
Mat: Bonjour, je suis vapodoucheur et masseur de talons! / Dark Krayt: Vous ĂȘtes embauchĂ©! Fics: Pius Dea , Jedi corellien , Les Origines de Jedi corellien
Salut l’équipe, un copain m’a parlĂ© de ce challenge et je viens rĂ©guliĂšrement sur le site depuis un paquet d’annĂ©es maintenant sans m’avoir crĂ©e de compte. C’est dĂ©sormais choses faite et premiĂšre participation avec ce challenge que je trouve bien sympa ! Court mais J’espĂšre que ça vous plaira ! Il prend place quelques heures Ă  peine aprĂšs la bataille de Geonosis et donc dans les consĂ©quences de l'affrontement (Ă©dit ) De longues heures, il Ă©tait restĂ© prostrĂ© dans le fauteuil de pilote principal du vaisseau. Caressant avec un mĂ©lange de colĂšre et de tristesse les manettes de ce qui fut jadis le plus fidĂšle compagnon de transport de son pĂšre. Le Slave One ne volerait plus jamais avec Ă  ses commandes Jango Fett. Cela en Ă©tait terminĂ©. Boba Ă©tait dĂ©sormais ce que l’on appellait un orphelin de guerre. Et Il haĂŻssait les Jedi. Il haĂŻssait le jedi Windu qui avait refusĂ© de lĂącher les armes Ă  la demande de Dooku. Il haĂŻssait Dooku pour ne pas avoir protĂ©gĂ© son pĂšre. Il haĂŻssait les clones car il ravivait Ă  chaque instant le souvenir cuisant et douloureux de ce qu’il n’avait plus. Il Ă©tait seul Ă  prĂ©sent. Rien ne comptait plus que ce qu’il sentait naĂźtre et grandir au fond de lui
 grandir jusqu’à devenir un sombre dĂ©ferlement de rage silencieuse, un dĂ©sir incandescent qui commençait Ă  le consumer de l’intĂ©rieur : Venger la mort de son pĂšre. Une seule solution pour cela : devenir encore plus fort que ce que Jango Fett avait Ă©tĂ©. Devenir aussi fort Ă  tel point qu’il n’ait plus jamais Ă  souffrir la crainte d’aucun jedi dans toute la galaxie. Devenir aussi puissant de tel sorte qu’à leur prochaine confrontation, le visage de Boba soit le dernier que le jedi Windu puisse voir avant sa mort. Avant que ne s’éteigne la maudite lame mauve une derniĂšre fois. Et pour toujours. Car le temps oĂč il serait le chasseur de prime le plus craint et le plus respectĂ© de la galaxie viendrait : Il Ă©tait Boba Fett. Les turbomoteurs du Slave One s’activĂšrent de nouveau Ă  la demande du jeune garçon. Il Ă©tait temps. Cap sur Mandalore.
Modifié en dernier par Shaar-Luun le Sam 09 Juil 2022 - 20:36, modifié 2 fois.


« Twice the pride, double the fall » Count Dooku
Bienvenue! Ton petit texte est bien sympathique! N'oublie pas d'aller te présenter dans la section appropriée, tu y rencontreras des gens trÚs sympa, que tu dois déja connaitre, si tu les as lu.
"Des monsters de dehors, une fuite de dedans, noussa coule et sans énergie! Ca est quand pour voussa, noussa en danger?" Délégué Binks
Shaar-Luun a Ă©crit: Salut l’équipe, un copain m’a parlĂ© de ce challenge et je viens rĂ©guliĂšrement sur le site depuis un paquet d’annĂ©es maintenant sans m’avoir crĂ©e de compte.
Quand un ouvrier a travaillé dix-huit heures, quand un peuple a travaillé dix-huit siÚcles et qu'ils ont, l'un et l'autre, reçu leur paiement, allez donc essayer d'arracher à cet ouvrier son salaire et à ce peuple sa République ! Victor Hugo
Petit défi: Qui sera en mesure de trouver le média d'origine du protagoniste de mon récit?
C’est ici que les droĂŻdes viennent mourir... DroĂŻde d’entraĂźnement impĂ©rial prototype numĂ©ro 10: dĂ©signation: PROXY
Petit défi: Qui sera en mesure de trouver le média d'origine du protagoniste de mon récit?
"Des monsters de dehors, une fuite de dedans, noussa coule et sans énergie! Ca est quand pour voussa, noussa en danger?" Délégué Binks
Je t’aime, de tout mon cƓur, de toute mon ñme. Je voulais que tu le saches avant que l’on ne disparaisse.
PadmĂ© faisait les cent pas dans la suite qu’on lui avait attribuĂ©e, en attendant qu’un transport puisse ĂȘtre dĂ©ployĂ© et la ramĂšne en sĂ©curitĂ© sur Naboo. Votre vie est toujours en danger, ma chĂšre enfant. Tant que l’enquĂȘte menĂ©e par MaĂźtre Kenobi n’est pas officiellement close, le protocole doit ĂȘtre respectĂ©. Vous ĂȘtes non seulement toujours la cible d’une tentative d’assassinat aux yeux du comitĂ© de maintien de la sĂ©curitĂ©, mais aussi l’une de mes plus fidĂšles amies et un membre prĂ©cieux du SĂ©nat. Ni moi, ni la RĂ©publique ne pouvons prendre le risque de vous perdre. Palpatine avait bien entendu raison. Rien ne prouvait, pour le moment, que son assassin avait bien pĂ©ri sur GĂ©onosis. Des analyses devaient ĂȘtre menĂ©es, un rapport devait ĂȘtre rĂ©digĂ©. De la paperasse, toujours de la paperasse. Des dĂ©lais, des rĂšgles Ă  respecter, des compromis diplomatiques, des pratiques d’une lenteur abyssale, Ă  honorer pour le bien commun. Au fond, peut-ĂȘtre qu’Anakin et sa fougueuse candeur n’étaient pas totalement dans l’erreur. Parfois, derriĂšre un charmant sourire et un air faussement attentif, PadmĂ© ne pensait qu’à ça. Ignorer les rĂšgles. Contourner les chemins officiels. Accomplir quelque chose, tout de suite, sans s’infliger les affres dĂ©primantes de la politique ; aller confronter les corporations miniĂšres d’Irvin IV sur leurs pratiques d’esclavage hors d’ñge et leur imposer des contrĂŽles Ă  dĂ©faut du changement, trouver un slicer de gĂ©nie et percer l’algorithme du clan bancaire pour le forcer Ă  accompagner la transition des systĂšmes de la bordure intĂ©rieure, mener des nĂ©gociations musclĂ©es 
 Sauver des vies. AmĂ©liorer la galaxie. La sĂ©natrice soupira ; ce n’était pourtant pas cette voie-lĂ  qu’elle avait choisie. Si mĂȘme elle, l’une des avocates les plus actives pour la paix dans la galaxie ne croyait pas de tout son cƓur en la dĂ©mocratie, qui le ferait ? Qui tempĂ©rerait les ardeurs de jeunes Jedi rĂȘvant de remodeler la sociĂ©tĂ© Ă  l’image d’un idĂ©alisme naĂŻf, dangereux ? Anakin . Elle Ă©tait coincĂ©e dans un appartement au luxe ostentatoire tandis que l’homme qu’elle aimait subissait une opĂ©ration dont les dĂ©tails lui Ă©taient inconnus. Elle avait pratiquement suppliĂ© les gardiens du temple de la laisser le voir, avant que les guĂ©risseurs ne l’endorment. Mais les Jedi Ă©taient si secrets, si fermĂ©s. A leurs yeux, elle Ă©tait peut-ĂȘtre une alliĂ©e de choix quand il s’agissait de se faire entendre au SĂ©nat, mais elle restait une Ă©trangĂšre. Elle regarda avec dĂ©dain les fauteuils en velours fin et les bibelots qui dĂ©coraient la table en verre, trĂŽnant au milieu de la piĂšce Ă  vivre. Elle avait envie de renverser les meubles, de prendre chaque statuette, chaque babiole, et de les jeter sur le sol en marbre. Que quelque chose Ă©clate, brise le silence insupportable qui la forçait Ă  n’écouter que ses pensĂ©es furieuses. Anakin est blessĂ©. Anakin pourrait mourir. Je lui ai dit que je l’aimais, mais le sait-il vraiment ? Anakin. Anakin. ANAKIN. PadmĂ© se laissa glisser contre l’immense baie vitrĂ©e, puis serra ses genoux tremblants contre elle. Elle suffoquait et devait lutter pour offrir le moindre rĂ©pit Ă  ses poumons en feu. Mais qu’est-ce qu’elle fichait ? Ce n’était pas la premiĂšre fois qu’elle devait sagement attendre qu’on l’autorise Ă  reprendre le cours de sa vie, que sa libertĂ© Ă©tait dans les mains d’autrui. C’était le jeu, quand on Ă©tait une figure publique. Ce n’était pas pour elle qu’elle s’inquiĂ©tait ; si elle devait mourir dans l’exercice de ses fonctions, qu’il en soit ainsi. Elle consacrerait chaque parcelle du temps qui lui Ă©tait donnĂ© pour rendre la galaxie meilleure. Mais aujourd’hui, aprĂšs Naboo, aprĂšs l’attentat, aprĂšs Tatooine, aprĂšs GĂ©onosis, aprĂšs Anakin , PadmĂ© Ă©tait incapable de trier ses messages, de pianoter furieusement sur son datapad et de diviser les tĂąches urgentes entre ses assistants parlementaires. Elle savait pourtant que son comlink devait dĂ©border de messages de bon rĂ©tablissement de la part de connaissances et de collĂšgues, de ses amis les plus proches comme de mielleux dĂ©tracteurs. Elle devrait s’occuper, retrouver maĂźtrise d’elle-mĂȘme en se plongeant dans son travail, sa raison d’ĂȘtre. PadmĂ© essuya ses joues, rĂ©alisant qu’elle pleurait. Ça ne lui ressemblait pas. La sĂ©natrice savait que ses adversaires ne la prenaient pas toujours au sĂ©rieux, aveuglĂ©s par son visage de poupĂ©e et ses coiffures alambiquĂ©es. Elle y comptait, choisissait toujours ses tenues avec soin ; qu’ils la prennent pour une parvenue lors d’un premier Ă©change, une enfant devenue reine, une charmante idiote Ă  la voix trop aiguĂ« pour se faire entendre au SĂ©nat. Qu’ils palissent quand elle apparaissait ensuite dans une robe austĂšre et royale, leur jetant chacune de leurs erreurs au visage. Qu’ils tremblent devant la politicienne redoutable Ă  qui aucun dĂ©tail n’échappait, et qui savait tour Ă  tour plaider une cause les yeux dĂ©bordant de larme pour Ă©mouvoir une assemblĂ©e ou devenir une statue de glace et de raison. Elle Ă©tait PadmĂ© Amidala et ne s’apitoyait jamais sur son sort. Ses pensĂ©es filĂšrent vers GĂ©onosis. Elle avait refusĂ© qu’on la soigne, Ă©cartant les mĂ©dics penchĂ©s sur les griffures qui lacĂ©raient son abdomen. Elle avait pratiquement giflĂ© MaĂźtre Kenobi quand ce dernier lui avait interdit d’accĂ©der Ă  la tente oĂč Anakin recevait les premiers soins. Elle s’était donnĂ©e en spectacle, oubliant le masque qu’elle portait tous les jours en public. Rien d’autre n’existait, sinon la certitude dĂ©chirante qu’Anakin Ă©tait blessĂ©.
PadmĂ© ferma les yeux et se força Ă  affronter les images qui se prĂ©cipitaient devant ses paupiĂšres closes ; le sable ocre. Les cris de la bĂȘte affamĂ©e qui escaladait le poteau en haut duquel elle s’était rĂ©fugiĂ©e. Les caquĂštements railleurs du public. La peur, l’adrĂ©naline, le soulagement quand Anakin lui avait intimĂ© de le rejoindre sur le dos du Reek. L’arrivĂ©e des Jedi. Des Ă©clats de lumiĂšre dans tous les sens, sa propre main, serrĂ©e autour d’un blaster, tirant sans relĂąche sur des cibles floues. Le regard admiratif d’Anakin. L’amour et la fiertĂ© dans ses yeux. Elle ne voyait que lui, fĂ©roce et chevaleresque, entourĂ© de poussiĂšre et de lumiĂšre, rayonnant d’une aura presque divine. Elle en oubliait l’armĂ©e de droĂŻdes, les corps des Jedi tombĂ©s au combat. Il n’y avait rien Ă  craindre, puisqu’il tourbillonnait toujours, tranchait sans relĂąche des membres mĂ©caniques. L’amour leur donnait des ailes, les rendait invincibles. Aucun tir ne semblait pouvoir les toucher, car rien ne pourrait les atteindre, tant qu’ils seraient ensemble. Puis elle Ă©tait tombĂ©e. Elle avait roulĂ© sur le sable et perdu connaissance, sa derniĂšre pensĂ©e consciente tournĂ©e entiĂšrement vers lui, saisie par la peur viscĂ©rale et irrationnelle que maintenant qu’elle n’était plus Ă  ses cĂŽtĂ©s, quelque chose de terrible allait se produire. Le destin lui avait donnĂ© raison. Anakin avait perdu un bras. Anakin avait failli mourir. Anakin avait besoin d’elle et elle Ă©tait enfermĂ©e ici, prisonniĂšre d’une cage dorĂ©e alors que son cƓur menaçait de jaillir hors de sa poitrine. C’était injuste. C’était
 terrifiant.
Comment pourrait-elle rester saine d’esprit, si elle devait revivre cette scĂšne en boucle ? Que resterait-il d’elle, aprĂšs un Ă©niĂšme au-revoir, dans l’ombre du SĂ©nat ou d’une ruelle obscure, sans la moindre certitude de le revoir un jour ? Comment survivrait-elle aux longues semaines d’agonie, sans nouvelles de sa part, alors qu’il accomplissait une mission aussi risquĂ©e que confidentielle ? Pour que leur relation ait une chance, elle devait rester secrĂšte. PadmĂ© devrait taire chacune de ses Ă©motions, ne jamais lui sourire plus que de raison, conserver un calme absolu en public. Eteindre sans relĂąche le feu qui la dĂ©vorait intĂ©rieurement. Il leur faudrait se contenter de nuits fugaces, d’étreintes volĂ©es entre deux missions et voyages diplomatiques. Il leur faudrait mentir. Son cƓur se serra Ă  l’idĂ©e de garder Bail hors de tout cela, lui qui ne cessait de lui demander si elle avait enfin rencontrĂ© quelqu’un. Et Anakin
 non seulement il devrait jouer chaque jour un jeu de dupe auprĂšs du Conseil, mais Ă©galement mentir Ă  son mentor, Ă  celui qu’il avait confiĂ© aimer comme un pĂšre. Chaque jour, il brĂ»lerait de partager sa joie avec Obi-Wan. Et Ă  chaque fois, il serait forcĂ© de regarder MaĂźtre Kenobi dans les yeux et maĂźtriser ses Ă©motions, le tromper. Anakin s’en voudrait terriblement, la culpabilitĂ© le rongerait. Mais il le ferait pour elle, elle en Ă©tait certaine. Il ferait tout pour elle. PadmĂ© le savait car elle ressentait exactement la mĂȘme chose. Elle ferait tout pour Anakin. Elle enfreindrait la loi. Elle grifferait la porte jusqu’au sang, jusqu’à perdre ses ongles sur le tapis de fourrure blanche, si cela lui permettait de le retrouver. Elle l’aimait Ă  en perdre la raison.
- MaĂźtre Kenobi est arrivĂ©, maĂźtresse Amidala. - TrĂšs bien, fais-le entrer, C-3. AmĂšne-nous des rafraĂźchissements, veux-tu. PadmĂ© inspira profondĂ©ment et lissa du plat de la main la robe d’un vert tendre qu’elle avait revĂȘtue ; simple et Ă©lĂ©gante, elle complimentait sa silhouette sans rien dĂ©voiler de sa peau et soulignait Ă  merveille le brun de ses boucles, qui tombaient en cascade sur ses Ă©paules recouvertes d’un chĂąle en soie. Elle n’avait pas jugĂ© utile de se maquiller, se contentant de rehausser ses joues pĂąlies par le manque de sommeil d’un peu de rose, et ne portait que de simples boucles d’oreille en sĂ©lĂ©nite. L’image mĂȘme de l’innocence et de la sagesse. Pas qu’elle espĂšre susciter le moindre Ă©moi chez maĂźtre Kenobi, non, mais elle s’était sentie redevenir elle-mĂȘme en composant ce tableau. L’apparence est une arme, ma robe est mon armure, mon sourire est mon Ă©pĂ©e . Une maigre dĂ©fense peut-ĂȘtre, mais un exercice qui lui avait permis de se calmer et de retrouver une certaine contenance. Et elle avait besoin de tout le soutien Ă  sa disposition pour affronter ce qui l’attendait. - SĂ©natrice Amidala ? Elle rĂ©prima un sursaut au son de la voix du Jedi et lui indiqua d’un geste gracieux de prendre place sur le fauteuil en face d’elle. Aussi courtois que d’ordinaire, Obi-Wan Kenobi obtempĂ©ra, non sans lui avoir adressĂ© une rapide rĂ©vĂ©rence, tĂ©moin de son respect et du fait que malgrĂ© ce cadre intimiste, il n’avait rien oubliĂ© de leur statut respectif. - Maitre Kenobi, je vous remercie d’avoir rĂ©pondu aussi vite Ă  mon invitation, dĂ©clara PadmĂ© d’une voix assurĂ©e, ne rĂ©vĂ©lant rien de la tempĂȘte qui faisait rage en elle. Je vois que les guĂ©risseurs ont fait des merveilles, vous voir dĂ©jĂ  sur pied est une surprise. Une excellente surprise, ajouta-t-elle avec plus de chaleur. Je suis ravie de vous voir debout, Obi-Wan. Si elle avait insistĂ© sur son prĂ©nom pour convoquer leur passĂ© mutuel, en appeler Ă  cette part d’empathie qu’elle savait si exacerbĂ©e chez lui, elle n’avait prononcĂ© aucun mensonge. Elle Ă©tait heureuse qu’Obi-Wan aille bien ; Anakin aurait besoin de lui. - Je vous remercie. Je dois rester raisonnable encore quelques jours et ne pourrai pas honorer mes engagements d’instructeur auprĂšs des apprentis mais
 Oui, je vais bien. Obi-Wan effleura presque inconsciemment son Ă©paule gauche, lĂ  oĂč le Comte l’avait frappĂ©, puis reprit ; - Je dois avouer que votre requĂȘte m’a surpris, SĂ©natrice. Je
 il hĂ©sita, passant une main dans sa barbe. Je ne peux pas vous donner de dĂ©tails sur l’opĂ©ration d’Anakin, je n’ai moi-mĂȘme pas encore eu l’autorisation de me rendre Ă  son chevet. Mais Padmé  - Je sais. Il faut que ça cesse. PadmĂ© essuya rageusement la larme qui avait perlĂ© au coin de ses cils, et planta ses yeux dans ceux du Jedi ; par les Saintes Etoiles, elle Ă©tait soulagĂ©e de ne pas devoir tourner autour du pot. MaĂźtre Kenobi savait parfaitement qu’elle ne l’avait pas conviĂ© pour Ă©changer des ragots en buvant une infusion florale. Obi-Wan recula imperceptiblement contre le dossier du siĂšge, une surprise sincĂšre peinte sur son visage ; - Alors
 C’est bien vrai ? Je ne peux nier avoir eu quelques doutes mais bon sang, Padmé  Anakin est encore jeune et naĂŻf mais je vous pensais plus
 - Raisonnable ? SĂ©rieuse ? Insensible ? Je suis au regret de vous dĂ©cevoir, MaĂźtre Kenobi, mais les choses sont ce qu’elles sont. Anakin et moi nous aimons. VoilĂ . C’était dit. Elle ne pouvait plus reculer. - Padmé  soupira Obi-Wan, plongeant son visage dans ses mains jointes. Qu’est-ce que vous attendez de moi ? Vous savez bien que le Code Jedi nous interdit l’attachement. Je ne peux ni vous donner ma bĂ©nĂ©diction, ni garder cette information secrĂšte. Je vais devoir m’en remettre au Conseil. Anakin pourrait ĂȘtre exclu de l’Ordre, c’est trĂšs grave, Padmé  Vous me mettez dans une position extrĂȘmement dĂ©licate. - Si je vous ai fait venir, Obi-Wan, c’est pour que vous m’aidiez. Je suis consciente que la situation actuelle ne sera bĂ©nĂ©fique pour personne. Je vous ai fait quĂ©rir parce que je sais que vous aimez profondĂ©ment Anakin et que vous ferez tout pour assurer son bonheur. C’est Ă©galement ce que je souhaite. Le Jedi se tortilla nerveusement sur son fauteuil, tiraillĂ© entre la morale et ce qui se jouait devant lui. PadmĂ© s’avança et se posa une main sur la jambe d’Obi-Wan, le forçant Ă  affronter son regard ; - Je dois prendre une dĂ©cision, Obi-Wan. Et j’ai besoin que vous m’aidiez. Nous ne pouvons revenir en arriĂšre, ce qui est fait est fait. Mais l’avenir est
 ah, quel est cette formule Jedi, dĂ©jĂ  ? - Toujours en mouvement, est l’avenir, murmura MaĂźtre Kenobi. Ils interrompirent leur Ă©change le temps que le droĂŻde de protocole ne dĂ©pose des boissons et un plateau de fruits, puis observĂšrent leurs verres dans un silence de plomb. Obi-Wan se dĂ©cida Ă  le rompre ; - Qu’est-ce que je pourrais bien vous apporter, PadmĂ© ? Vous savez que cette union ne peut avoir lieu. Vous savez pertinemment que vivre dans le secret vous dĂ©truirait tous les deux, Anakin ne pourrait jamais le supporter, il se rapprocherait du cĂŽtĂ© obscur chaque jour et
 - Moi non plus, je ne pourrais pas vivre ainsi. Oui, je le sais. Mais
 et si nous ne nous cachions pas ? - Si vous rĂ©vĂ©lez cette union, Anakin devra quitter l’Ordre. Ou plutĂŽt, il devra choisir entre vous et son statut de Jedi. Et il vous choisira PadmĂ©, oh, il tournera le dos sans la moindre hĂ©sitation Ă  tout ce qu’il connaĂźt depuis qu’il a quittĂ© Tatooine, Ă  ses principes, ses pouvoirs, sa
 famille. PadmĂ© laissa filer un instant avant de rĂ©pondre. Elle avait rĂ©flĂ©chi Ă  tout ça, Ă©videmment, mais une part d’elle espĂ©rait pourtant qu’Obi-Wan lui apporterait une solution miracle. Quelque chose auquel elle avait Ă©tĂ© incapable de penser, malgrĂ© les heures passĂ©es Ă  se torturer l’esprit. - Comment pouvez-vous en ĂȘtre aussi certain ? chuchota-t-elle. Vous formulez les choses comme si quoi qu’il arrive, je faisais dĂ©jĂ  le choix pour lui. - Parce que c’est la vĂ©ritĂ©, PadmĂ©. Une ombre passa sur le visage d’Obi-Wan, ses yeux se perdant dans le vide, vers des souvenirs intenses, douloureux et sans doute bien plus rĂ©els qu’il ne voulait l’admettre. - Je le sais, PadmĂ©, parce que la femme que j’ai aimĂ©e a eu la clĂ©mence de ne pas me mettre face Ă  ce choix. J’étais jeune, encore un padawan et
 nous avons vĂ©cu presque un an en fuite, pour la protĂ©ger des assassins qui la traquaient. Nous sommes tombĂ©s amoureux. Nous avons piĂ©tinĂ© toutes les limites que m’imposaient mon statut de Jedi. Mais une fois la mission terminĂ©e, une fois sa sĂ©curitĂ© assurĂ©e
 elle m’a laissĂ© partir. Parce qu’elle savait qu’elle n’avait qu’un mot Ă  dire pour que j’abandonne ma raison d’ĂȘtre, ma mission sur cette terre. Si elle m’avait demandĂ© de rester, j’aurais tout quittĂ©. Je serai devenu un duc oisif, un Jedi dĂ©chu fait concubin, la risĂ©e de toute sa cour. Ou peut-ĂȘtre que j’aurais relevĂ© le dĂ©fi avec brio et que ma v
Un bon cul qui monte une bonne queue
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Une innocente rousse veut ĂȘtre la reine du bal

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