Solo sur un sextoy

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Solo sur un sextoy
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En couple ou en solo, les vibromasseurs sont de plus en plus présents dans les lits des Français. Toutefois, quelques erreurs sont à éviter pour vraiment prendre du plaisir en toute sécurité avec ce sextoy.
Utiliser un vibromasseur sans connaître son corps
Penser qu’un vibromasseur provoque un orgasme à coup sûr
Ne pas communiquer avec son partenaire
Penser qu’il n’apporte pas de plaisir aux hommes
Avoir une utilisation addictive du vibromasseur
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Publié par Sophie Raffin, Journaliste , le 17/02/2022 à 17:17
S’ils ont longtemps été tabous, les vibromasseurs s’invitent de plus en plus dans la chambre des Français. Un sondage, mené par The Poken Company et l’Ifop et publié en septembre 2021, révélait que près d’ une femme sur deux (46%) admet avoir déjà utilisé un “vibro” dans leur vie. Elles n'étaient qu’une sur trois en 2012 (37%) , 9% en 2007 et à peine 7% en 1992.
Et les Françaises ne sont pas les seules à se faire plaisir avec des sextoys . "Les Européennes vivant dans des sociétés marquées par une certaine éthique égalitaire en matière de mœurs, se distinguent par une plus grande intégration des sextoys dans leur répertoire sexuel (61% en Allemagne, 60% au Royaume-Uni )", explique l'institut de sondage. Mais la gent féminine ne les a pas adoptés partout. "Dans les pays latins marqués par l’influence de l’Église catholique, leur usage apparaît moins fréquent (ex : 30% en Italie)”, poursuit l’étude.
La sexologue et fondatrice de VibroFun, Emilie Leroy, rejoint les données présentées par cette étude. " L'utilisation des vibromasseurs se démocratise davantage au fil des années", explique-t-elle avant d'ajouter "l'effet Covid s'est révélé être un accélérateur pour les Français ayant subi le confinement". 
Toutefois, selon l’experte, les personnes qui voudraient tenter l’expérience, ne savent pas forcément comment choisir le vibromasseur qui répond à leurs besoins "tant il en existe de toutes formes et de tous styles". La sexologue donne ainsi quelques conseils pour faciliter le choix. 
Pour elle, la première question à se poser avant un achat est " quelle zone apporte le plus de plaisir : vaginale, clitoridienne, anale…". En effet, les jouets coquins ne stimulent pas tous les mêmes points érogènes . Certains sont dédiés aux zones internes , d’autres externes . Les autres éléments sur lesquels s’interroger sont
Et attention à la qualité de l’objet . Vérifiez qu’il respecte les normes européennes (CE) . Pensez aussi à regarder sa composition. Il est préférable d’éviter les phtalates - classés comme substance cancérogènes, mutagènes - et autres substances controversées. Pour limiter les risques de réaction allergique , misez sur le silicone plutôt que le latex. 
Par ailleurs, si le vibromasseur est avant tout un objet dédié aux plaisirs et aux jeux érotiques , plusieurs erreurs peuvent mettre à mal vos rapports sexuels ou votre santé. Medisite fait le point en images sur celles à éviter. 
"Les principales erreurs sont liées à une méconnaissance de son corps, de ses désirs et par conséquent de la nature de stimulation recherchée", explique la sexologue Emilie Leroy
“Certaines femmes achètent un vibromasseur rabbit alors qu’elles sont par nature clitoridiennes : l’usage du vibromasseur rabbit ne conviendra absolument pas pour une stimulation du clitoris" ajoute-t-elle.
"Une autre erreur courante est de penser que l’utilisation d’un vibromasseur procurera nécessairement un orgasme. L’essentiel est d’éprouver du plaisir lors son utilisation sans être focalisé sur la recherche de l’orgasme ultime qui viendra que par lui-même…", prévient la fondatrice de VibroFun.
"La masturbation au travers l’utilisation d’un vibromasseur en solo requiert d’être détendue et d’avoir confiance. C’est d’autant plus vrai quand le vibromasseur s’invite dans le couple. C’est pourquoi, nous recommandons sans cesse d’instaurer un climat de détente, de patience et de confiance pour maximiser les chances d’obtenir un plaisir partagé pendant l’acte", explique Emilie Leroy.
"À ce jour, cette pratique n’est pas encore courante. C’est pourquoi il existe quelques appréhensions avant son utilisation. Il est important de communiquer avec son partenaire pour justement installer ce climat de confiance", martèle-t-elle. Et si vous n’avez pas envie de l’utiliser à deux, n’hésitez pas à le dire !
"Les vibromasseurs sont majoritairement destinés aux femmes par nature, reconnaît la sexologue. Ils ont été fabriqués pour cibler des zones propres au corps féminin telles que le clitoris et le vagin, le point G . Nous pouvons citer par exemple le vibro rabbit, le wand, le succion etc. Pour autant, les hommes peuvent tout à fait trouver leur plaisir via la voie anale avec des vibromasseurs dédiés à la stimulation de cette zone".
Elle ajoute ensuite "un homme découvrira un plaisir sexuel encore jamais connu en combinant une masturbation et une stimulation anale au travers l’utilisation d’un vibromasseur adapté".
Autant pour les utilisations en solo qu’en duo, vous ne pensez pas toujours à associer du lubrifiant au sextoy. Erreur. Il ajoute généralement au plaisir en rendant son usage encore plus aisé et agréable… surtout pour les novices un peu anxieux.
"L’hygiène intime avant et après un rapport sexuel est une chose et l’hygiène de votre vibromasseur en est une autre. Ce merveilleux accessoire érotique est capable de vous procurer un orgasme exceptionnel MAIS peut également vous procurer une infection si vous ne prêtez pas attention à son nettoyage". 
"Il faut garder à l’esprit que les vibromasseurs sont très délicats et ne peuvent pas être nettoyés avec n’importe quelles sortes de produits. Il convient alors de nettoyer et sécher après chaque utilisation son vibromasseur pour garantir une hygiène optimale et une durée de vie plus longue".
Outre qu’il peut être gênant d’avoir son sextoy posé sur la commode à l’arrivée de votre belle-mère, il est préférable de ranger le vibromasseur dans un endroit propre et sec. Cela assurera ainsi sa propreté lors de la prochaine utilisation.  
Si les vibromasseurs sont funs, ils font partie de ces objets qui ne se partagent pas. Ils peuvent, en effet, être porteurs d’infection ou de maladies sexuellement transmissibles . Et même en plein ébat, on n'échange pas son vibromasseur entre partenaires. Et si on le fait, des précautions sont à prendre : mettre un préservatif dessus et le changer dès qu’il est utilisé sur l’autre.
Lorsqu’on sait bien utiliser son vibromasseur, il est assez aisé d’atteindre l’orgasme, et cela même seul. Ce plaisir intense à portée de main peut devenir addictif pour certains. Il ne faut donc pas hésitez à demander de l’aide si votre sextoy prend une part trop importante dans votre vie sexuelle (par exemple, l’ impossibilité d’avoir un orgasme avec son partenaire sans son utilisation, anorgasmie ).
Merci à Emilie Leroy, sexologue et fondatrice de VibroFun
https://www.ifop.com/publication/observatoire-europeen-de-la-sexualite-feminine/, étude septembre 2021
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Sexo


Comment les sextoys ont changé mon rapport à la masturbation




Une madmoiZelle

08 mar 2018


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madmoizelle



Sexo



Cette madmoiZelle a longtemps boudé la masturbation, persuadée qu’elle n’aimait pas ça. Et puis un jour, elle a essayé un sextoy… et elle a changé d’avis.

Oups, ça ressemble plus à de la pub pour les sextoys qu'à un témoignage.
Souvent, c'est plus agréable de garder un tissus....le contact direct peut faire mal (après, je ne sais pas si c'est le cas pour les autres files). Je n'ai jamais touché mon clitoris avec mes mains ou doigts ! Je suis persuadée que ça me ferait mal. Alors un objet en plastique directement dessus...
Pour ma part, j'ai déjà acheté un sextoy, c'est doux, rigolo mais ça ne fait aucun effet malgré les vibrations. Je ne l'ai pas utilisé en profondeur mais bon, c'était assez décevant.
Du coup, je suis curieuse de lire les commentaires sur cet article.

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J’ai découvert mes premiers frissons de désir à l’adolescence, vers 12 ou 13 ans. Ils se manifestaient lorsque je regardais des films par exemple…
Mais je n’avais jamais vraiment pensé à me toucher seule avant d’avoir une discussion avec des amies, qui clairement ne se privaient pas de le faire.
Elles avaient l’air de trouver ça génial et lorsque j’y repense je me dis que cette discussion sans honte entre des jeunes filles de 13 ans, c’était beau, alors que la masturbation féminine fait aujourd’hui encore l’objet de tabous.
En tous cas, elles avaient piqué ma curiosité : pourquoi est-ce que je ne pourrais pas m’y essayer aussi ?
Alors un soir, dans mon lit, je me suis livrée à l’expérience. En me caressant par-dessus ma culotte, je sentais bien que c’était agréable.
Mais… Je ne ressentais absolument pas le petit frisson d’excitation que j’avais espéré. En fait, c’était bien, sans plus.
« En même temps fallait aller sous la culotte ! » , je vous entends déjà.
Oui, merci du conseil, ne vous en faites pas pour moi j’ai aussi essayé ! Mais il faut croire qu’il me manquait un mode d’emploi.
Certes, j’avais entendu parler du clitoris … mais honnêtement, malgré les schémas, j’avais du mal à le placer sur moi-même. Certes, j’avais entendu parler de la pénétration… mais honnêtement, ça ne me faisait pas plus d’effet que ça.
Alors j’ai réessayé de temps en temps, sans jamais éprouver un plaisir immense, et lorsque j’ai eu mon premier mec, à 15 ans, j’ai arrêté.
Bah oui eh, maintenant que j’avais un partenaire, j’allais pas me masturber ! Ça se fait pas, si ?
Si. Ça se fait bien entendu. J’ai pas tardé à prendre conscience que j’y avais droit et que ça ne devait (toujours) pas être une honte.
Pour autant, je ne m’y suis pas vraiment ré-essayée. C’était une idée qui existait, mais la perspective du sexe en solo ne m’excitait absolument pas .
Vu que je connaissais les joies du sexe à deux, je ne voyais pas l’intérêt de retourner vers le sexe toute seule. J’avais « besoin du contact » , du « partage » , vous comprenez ? (mdr)
Même une fois célibataire, expérimentant de longues périodes d’abstinence , l’idée de la masturbation ne me tentait toujours pas.
J’avais envie de sexe, mais pas de masturbation. Si au départ j’avais un peu honte, je ne me sentais pas normale, j’ai vite compris qu’en matière de sexe, les goûts et les couleurs, c’était très varié.
Si me toucher toute seule n’était pas mon délire, c’était mon droit . Aucune raison d’en être attristée ou honteuse.
J’ai retrouvé un mec, et je ne me suis pas posé la question pendant plusieurs mois : ma dose de sexe, je l’avais avec lui, et j’avais pas besoin de plus.
Mais lorsque je me suis de nouveau retrouvée célibataire, j’ai commencé à interroger un peu plus cette absence de masturbation. Ce n’était toujours pas une honte… Mais ça commençait à devenir un besoin.
J’ai décidé de réessayer le plaisir en solo, mais différemment : avec l’aide d’un sextoy . Et ça m’embête presque de l’admettre, mais j’ai bien été obligée de me rendre à l’évidence… pour moi, ça changeait tout !
Avec ce « rabbit » ma foi fort commun, j’ai atteint l’orgasme en très peu de temps, alors que je n’en avais jamais eu sans partenaire.
Petit à petit donc, les sextoys se sont fait une place dans mon armoire et dans ma vie.
J’ai découvert le « womanizer » (ou aspirateur à clito sur madmoiZelle) , puis ce qu’on appelle les « wand » , et même un truc auquel je ne donne pas vraiment de nom :
Voilà, je ne sais pas comment dire autrement que « sextoy à deux branches ». On peut le trouver par exemple sur le Dorcel Store .
Au final, il ne se passe plus une semaine sans qu’au moins l’un de mes jouets ne sorte de son tiroir.
Le fait que j’ai un nouveau partenaire n’y a rien changé : ils sont là, bien installés, et d’ailleurs ils atterrissent parfois au milieu d’une partie de jambes en l’air pour notre plus grand plaisir à tous les deux !
Depuis, j’ai essayé un peu d’analyser tout ça : pourquoi, pendant tant de temps, m’étais-je passée de plaisir solo ?
Certes, je n’en ressentais pas expressément le besoin et il ne servait à rien de se forcer… Mais pour moi, c’est révélateur d’autre chose : je ne me connaissais pas, et je n’avais pas vraiment essayé de me connaître.
Si j’avais eu Charlie à l’époque, ça aurait peut-être été différent.
Je n’avais pas persévéré dans la découverte de mon intimité : je laissais cette charge à mes partenair
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MILF connue baisant dans la cuisine
BDSM chaud et marrant pour une asiatique