Soire libertine avec sa femme et son meilleur pote

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Couples Ă©changistes Ă  la Porte Dauphine






Couples Ă©changistes Ă  la Porte Dauphine


Bains de minuit - 22.04.1988 - 03:34 - vidéo


 
 
 
 

L'agenda et les actualités de l'INA
L'Institut national de l'audiovisuel
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Marc ARICHE, en compagnie d'une jeune femme dans une voiture, drague des couples Ă  la Porte Dauphine, lieu de rendez vous des Ă©changistes parisiens. AprĂšs un petit moment ils finissent par trouver un accord avec un autre couple.
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RĂ©alisateur :
Frank Lords
Journaliste :
Marc Ariche
Chef de production :
Michel Malaussena
Présentateur :
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Monteur :
Francine Ravel
Scripte :
Brigitte Schmouker
Producteurs :
Thierry Ardisson ,
Catherine Barma


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Du samedi 19 novembre 2022 au dimanche 20 novembre 2022 : Le 19/11/2022 de 19h00 Ă  21h00
Le 20/11/2022 de 14h00 à 20h00 au Stade de l'Université
Le dimanche 09 octobre 2022 : A 16h00
Du samedi 27 août 2022 au samedi 03 septembre 2022 : Le 27 août à 19h00
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Elles racontent leur coup d'un soir le plus insolite


Pauline s’empare aussi bien de sujets lifestyle, sexo et sociĂ©tĂ©, qu’elle remanie et dĂ©crypte avec un angle fĂ©ministe, y injectant le savoir d’expert·e·s et le tĂ©moignage de voix concernĂ©es. Elle Ă©crit depuis bientĂŽt trois ans pour Terrafemina.


Elles confient leur coup d'un soir le plus insolite

Sexe dans une smart, cierge au Sacré-Coeur ou chambre uniquement tapissée de miroirs en Argentine : neuf femmes nous livrent leur session cul la plus étrange.
Les coups d'un soir , c'est un peu la loterie. Parfois on tombe sur une perle, d'autres sur un·e partenaire qu'on aimerait bien oublier à jamais. Et puis il y a aussi toutes ces anecdotes dont on se souvient en souriant, tant le contexte nous étonne encore. Le genre de plans qu'on se raconte aprÚs deux verres pour faire marrer l'assemblée.
On a demandé à neuf jeunes femmes de nous confier leurs histoires éphémÚres les plus insolites, et le cru est juteux. Une chose est sûre, on ne pensera plus jamais au quatorze juillet comme avant.
"C'Ă©tait en premiĂšre annĂ©e d'Ă©tude, via Tinder ou une plateforme du genre . Je parlais pas mal avec un mec et on a dĂ©cidĂ© d'aller boire un verre. En arrivant, dĂ©jĂ , il ne me plaisait pas du tout physiquement ! Je me suis mĂȘme demandĂ© si je n'allais pas faire demi tour. Et puis finalement je me suis dit 'allez, vas-y !'.
Pendant tout le rendez-vous j'étais persuadée que ça ne le ferait pas du tout. Mais au moment de partir je ne sais pas... Il a un peu insisté pour qu'on poursuive la soirée et moi comme ça faisait longtemps que je n'avais pas couché avec quelqu'un, j'étais partante. Je savais que je ne le reverrai pas alors pourquoi ne pas en profiter !
Sauf qu'en fait, il habitait loin, et moi je devais commencer les cours tÎt le lendemain. Du coup, on l'a fait dans sa Smart, la voiture. C'était complÚtement improbable. On a essayé de trouver une rue pas trop passante dans Paris et on a fait notre affaire. Ensuite, je suis rentrée en RER. Mes collants étaient troués : une vraie Walk of Shame . On ne s'est plus jamais parlé aprÚs : emballé, c'est pesé !"
"C'Ă©tait Ă  une soirĂ©e de boulot, oĂč on buvait beaucoup. C'Ă©tait sympa, on rigolait bien. Et comme Ă  toutes les soirĂ©es de boulot, part une premiĂšre personne, puis une deuxiĂšme personne... Restent toujours ceux qui sont cĂ©libataires et qui aiment picoler. Donc je me suis retrouvĂ©e seule avec - on va l'appeler 'Monsieur X' - Ă  boire des coups. Quand, patatras !, il m'a embrassĂ©e. Pendant la soirĂ©e, j'avais dĂ» dire que je n'Ă©tais jamais allĂ©e Ă  la basilique de Montmartre, et que j'aimerais beaucoup la visiter.
Bonne pioche, lui avait Ă©tĂ© y faire du bĂ©nĂ©volat et adorait cet endroit. Nous nous y sommes rendu en moto (pas bien, je sais). Il devait ĂȘtre sept heures du matin. Je crois mĂȘme qu'on a posĂ© un cierge et fait un signe de croix. Et puis on est allĂ©s prendre un cafĂ© et on est rentrĂ©s chez moi. Absurde".
"J'Ă©tais en voyage post-Ă©tudes Ă  Buenos Aires avec ma meilleure amie. Dans l'avion, on s'Ă©tait promis de ne jamais se sĂ©parer, ni de rentrer avec des inconnus. Le premier soir, on s'est sĂ©parĂ©es et on est rentrĂ©es chacune avec un inconnu. Le sien Ă©tait un JamaĂŻcain en vacances dans la mĂȘme auberge que nous, le mien l'un des employĂ©s de ladite auberge.
Le deuxiÚme soir, je suis sortie en boßte avec lui, et au moment de rentrer dans son appartement, il me dit que c'est impossible car sa soeur et son neveu y dorment, mais qu'on peut aller à l'hÎtel. Pleine de confiance, je le suis. On arrive dans un hall éclairé au néon rose avec capotes sur le comptoir. Il demande une chambre pour deux heures : ça annonce la couleur.
On y entre et Ă  la place du papier peint, sur les murs, il n'y avait que des miroirs. Partout, mĂȘme au plafond. On a fait l'amour en levrette et je l'ai vu se mater sur la porte (aussi miroir) de la salle de bain. Je me suis endormie une demi heure, et quand je me suis rĂ©veillĂ©e, il Ă©tait en train de renifler ma culotte . Je crois qu'on n'a pas recouchĂ© ensemble aprĂšs ça."
"C'était une soirée sur la plage, lorsque je voyageais à Mancora, au Pérou. J'avais bu du Pisco dans une noix de coco. J'étais saoule, forcément. Avec mes copines on avait rencontré une bande de surfeurs du coin, dont un, qui s'appelait Luis, il me semble. On a sympathisé, et on a fini par coucher ensemble sur la plage . On est allés se baigner à poil aprÚs, mais rien de trÚs romantique : je devais rester au sec au-dessus de la taille à cause d'un eczéma attrapé sur place.
Bref, je suis rentrĂ©e complĂštement saoule Ă  l'auberge de jeunesse oĂč je logeais, j'ai dormi en me disant que je n'en entendrai plus parler. Sauf que le lendemain, il a dĂ©barquĂ© au petit-dej' en venant me chercher pour le cours de surf que j'avais apparemment acceptĂ© qu'il me donne la veille. Il m'a appelĂ©e 'bĂ©bĂ©' devant tout le monde et j'ai cru mourir de honte".
"J'avais rencontrĂ© ce mec Ă  une soirĂ©e d'Ă©change linguistique et culturel - le genre d'Ă©vĂ©nement oĂč tu vas pour choper. Je le vois, il est brun, tĂ©nĂ©breux, il a la mĂšche, les tatouages. Il est beau, on a l'impression qu'il sort d'une scĂšne de film. Je le croise en partant alors que j'allais au vestiaire, on commence Ă  se parler, Ă  flirter. On s'Ă©crit pendant plusieurs jours... Et je me rends compte que je ne sais pas quel Ăąge il a. J'avais 33 ans Ă  l'Ă©poque, il finit par me dire qu'il en a 23. Je me dis que c'est une trop grande diffĂ©rence d'Ăąge , je suis prĂȘte Ă  tout arrĂȘter ; c'est un bĂ©bĂ©. Mais il me lance 'tu vas voir Ă  quel point je ne suis pas un bĂ©bĂ©'. J'ai des frissons d'excitation de partout, alors je lui laisse une chance.
On finit par se voir et par prendre un verre. Il me fait bien comprendre qu'il est fauché, donc je paye toutes les boissons. On boit, il est hyper tactile. Moi je n'en peux plus, j'ai envie de lui et qu'on aille chez moi. Je lui propose, comme il n'a plus de sous, qu'on poursuive la soirée dans mon appartement car j'ai de quoi boire à la maison. On y va.
C'était trÚs caliente. Il sentait bon, il avait mis du parfum, une chemise blanche : j'étais hyper motivée. On s'embrasse, et là je me dis : mauvais signe. Il m'embrasse... comment expliquer : comme une poule qui picore du maïs. C'était atroce, je n'ai jamais eu pire baiser de ma vie. On dirait qu'il allait me péter les dents, c'était juste pas possible.
On se retrouve dans mon lit, Ă  poil, et lĂ  je dĂ©couvre qu'il s'est rasĂ© de partout. Ça piquait sur le torse. Je commence Ă  l'embrasser un peu partout et Ă  lui tailler une pipe . Et lĂ , l'horreur : ça sent pas bon, une odeur de toilettes. J'essaie vraiment de l'occulter mais je n'arrive pas Ă  me mettre dedans. Pour couronner le tout, il n'avait pas de prĂ©servatif, et le sexe Ă©tait nul. Il ne pensait pas du tout Ă  mon plaisir. Il a commencĂ© Ă  grogner, ça a durĂ© cinq minutes et c'Ă©tait fini. C'Ă©tait vraiment zĂ©ro.
Forcément, j'avais envie qu'il parte, mais il voulait rester dormir, alors j'ai un peu cédé. Grave erreur : il a pété toute la nuit j'ai mis 24 heures à me débarrasser de l'odeur. Et en plus de ça, il n'a pas décampé avant que je le dirige vers la porte à 13 heures le lendemain. Je ne l'ai évidemment jamais revu, malgré ses relances".
"C'Ă©tait lors d'une fĂȘte de fin de tournage. Je travaillais dans une agence d'acteurs et je passais dire bonjour Ă  une comĂ©dienne que je connaissais. On a bu du champagne et on a sautĂ© dans la piscine d'un hĂŽtel cinq Ă©toiles avec l'Ă©quipe du film. De fil en aiguille, j'ai fini par me retrouver toute seule avec le chef opĂ©rateur dans un jacuzzi. Il venait d'Equateur. On a couchĂ© ensemble, dans ledit jacuzzi, ce que je n'avais jamais fait. On est remontĂ©s dans sa chambre avec les bouteilles de champagne, on a continuĂ© jusqu'Ă  casser le miroir de la salle de bain .
Le lendemain, c'Ă©tait son dernier jour de tournage, avec la scĂšne la plus importante. Il devait porter une camĂ©ra Ă  l'Ă©paule donc ĂȘtre en forme physiquement. Ce n'Ă©tait Ă©videmment pas le cas. La journĂ©e a Ă©tĂ© complĂštement perturbĂ©e Ă  cause de son Ă©tat (et de nos Ă©bats) : deux comĂ©diens ont mĂȘme loupĂ© leur train. Je ne me rappelais mĂȘme plus de son prĂ©nom au matin, je ne l'ai jamais revu et la derniĂšre fois que j'ai entendu parler de lui, c'est en apercevant son nom au gĂ©nĂ©rique du film."
"J'habitais Ă  Paris et j'Ă©tais sortie avec ma coloc de l'Ă©poque rue Princesse. Il y avait un match de rugby Argentine-France dans l'un des bars, et on a rencontrĂ© un groupe de rugbymen. Une chose en entraĂźnant une autre, ils nous demandent de venir chez eux. J'ai couchĂ© avec l'un entre eux dans la salle de bain, dans des positions que je ne pensais mĂȘme pas possibles physiquement , que je n'avais en tout cas jamais pratiquĂ©es.
Le lendemain, on est rentrées chez nous comme si de rien n'était, alors qu'on venait de vivre une nuit complÚtement improbable."
"Je venais de sortir d'une rupture trÚs douloureuse avec un mec que j'avais seulement rencontré six mois auparavant. Le genre de truc fulgurant qui vous met par terre. Dix jours aprÚs notre séparation, c'était son anniversaire. On s'était rencontrés via des potes de potes, et j'avais un peu d'espoir qu'on se rabiboche, alors j'y suis allée. Pire idée. Il était super heureux avec tous ses amis et j'avais l'impression qu'on m'avait arraché le coeur.
Je suis rentrĂ©e chez moi en pleurs, tellement triste que je me suis effondrĂ©e sur le chemin. Un couple de Londoniens s'est arrĂȘtĂ© (j'habitais Londres, Ă  l'Ă©poque) pour savoir comment j'allais et m'a proposĂ© de venir Ă  une soirĂ©e avec eux. Quand j'y repense, j'ai l'impression que c'est un film tellement c'est gros.
J'ai dit oui, et je me suis retrouvĂ©e dans un appartement Ă  quelques centaines de mĂštres. J'ai rencontrĂ© un grand mec avec des yeux trĂšs verts. Il s'appelait James. Il Ă©tait gentil, attentionnĂ©, il me trouvait belle : tout ce qu'il me fallait Ă  l'Ă©poque. On est partis vers 6h30 pour se promener au bord du canal, on s'est embrassĂ©s sur un rebord de fenĂȘtre, on a pris un petit-dĂ©jeuner trĂšs copieux. Et on est rentrĂ©s chez moi. Le sexe Ă©tait archi-nul, mais la douceur du type m'a fait un bien fou. On s'est revus quelques fois en pointillĂ©, on ne cherchait rien ni l'un ni l'autre. J'en garde un trĂšs bon souvenir."
"C'était l'été dernier, il y a un an quasiment, lors du bal des pompiers du 14 juillet, à Paris. Pendant la soirée, j'ai commencé à parler avec un mec, il était mignon. Il venait de New York mais parlait un peu français car sa mÚre est sénégalaise. On a discuté un moment, c'était sympa. Et puis il m'a présenté son cousin, qui lui est français et habite à Paris. On a fait passé un peu de temps à la caserne, et puis on a fait un after chez moi tous les trois avec mon meilleur ami, qui a fini par partir vers cinq heures du matin.
A ce moment-là, je n'avais pas encore trop décidé lequel me plaisait le plus, je les trouvais tous les deux vraiment trÚs beaux, trÚs intéressants. On a continué à parler, à discuter de choses et d'autres, de la vie. Et puis je n'arrivais toujours pas à choisir entre l'un ou l'autre.
J'ai fini par leur proposer qu'on aille se coucher tous les trois. On s'est allongés dans le lit, j'ai commencé à en embrasser un, pendant que l'autre se touchait, ou qu'il était sur moi ou que j'étais sur lui. Au bout d'un moment, le cousin français est parti dans le salon, avant de rentrer chez lui, et j'ai fini la nuit avec l'Américain. Il est resté une partie de la journée et on s'est quittés.
Depuis, j'ai revu le Français plusieurs fois (il travaille dans le bar au coin de ma rue), on a couchĂ© ensemble. Pour l'AmĂ©ricain, il me prĂ©vient quand il est Ă  Paris mais on n'a jamais encore eu l'occasion de se revoir. J'en garde un super bon souvenir, je n'ai pas pris un plaisir de dingue mais j'Ă©tais super excitĂ©e, je me sentais trĂšs en confiance, un peu tĂȘte brĂ»lĂ©e. Et pour ĂȘtre honnĂȘte, j'aimerais bien rĂ©itĂ©rer l'expĂ©rience du plan Ă  trois , mais cette fois avec un couple. D'ailleurs, je viens d'en rencontrer un sur une appli ..."
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Accueil » Ma femme, moi, Seb et Melissa 1
Cette histoire est rĂ©elle, j’ai juste remplacĂ© les prĂ©noms par des pseudos, et je n’aimerais pas heurter la sensibilitĂ© de mes proches. Voici mon histoire! AprĂšs le dĂ©part de notre fils pour l’Australie, ma femme est en grand dĂ©primĂ©. J’ai pris la dĂ©cision de prendre une semaine de congĂ© Ă  destination de Normandie, dans un hĂŽtel quatre-Ă©toiles. Tout se passait bien, vacances tranquille et normale, jusqu’au troisiĂšme jour.
Nous avons dĂ©cidĂ© d’aller Ă  la plage de nudiste, nous marchions au bord de la mer, nous avons trouvĂ©, un emplacement idĂ©al, prĂšs des dunes, nous serons Ă  l’abri du vent, avec des arbres pour avoir de l’ombre, calme et loin des gens.Nous nous installons et nous Ă©talons nos serviettes, avant de quitter l’ensemble de nos vĂȘtements. Elle m’étala de la crĂšme Ă  bronzer sur tout le corps en me massant lĂ©gĂšrement et je lui fis de mĂȘme, ce qui nous excite terriblement tous les deux,,et aussitĂŽt je penche mon visage vers le sien et je prends possession de sa bouche pour un long et langoureux baiser. Pendant ce temps une de mes mains se posent sur un sein qu’elle soupĂšse, puis me doigts, pinçant un tĂ©ton qui s’érige fiĂšrement, l’autre main caresse les jambes en continuant de malmener le tĂ©ton raidi. À un moment, elle se redressa assez brusquement : elle avait dĂ» entendre un bruit. Je regardai instinctivement derriĂšre nous et aperçus la arrive d’un couple, vers Ă  nous. Nous nous sommes immĂ©diatement arrĂȘtĂ©s, et regardant le couple nous approchant, et ils nous demandent si cela ne nous dĂ©range pas de rester Ă  cĂŽtĂ© de nous. l’homme a environ vingt-cinq ans, et la femme, environ dix-neuf. Nous avons acceptĂ©, avec grand plaisir! Je fais les prĂ©sentations, terry Marianne, ils se prĂ©sentĂšrent aussi,Seb et melissa.
Présentation faite. Seb expli
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Femme plantureuse baise alors que la laveuse est allumée

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