Soirée baise et nuit d'ivresse à 3
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Soirée baise et nuit d'ivresse à 3
6 commentaires sur “ Plan à 3 et inconnu – Partie 1 ”
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Je te retrouve pour un nouveau récit qui, je l’espère, ne te laissera pas de marbre…
Tout avait commencé par un jeu. Un jeu si innocent…
Pour pimenter notre quotidien et approfondir notre connaissance de l’autre, chéri était revenu des courses un matin avec une boîte noire. Comment aurais-je pu deviner que cette boîte serait ma Pandore ?
J’avais joué le jeu et, sous ses ordres, écrit mes plus sombres fantasmes sur de minuscules morceaux de papier. La règle était simple : un secret par feuille, dix secrets en tout, trois expliqués en détails.
Pour moi, il s’agissait d’un plan à trois avec une autre femme, d’une soirée avec deux hommes rien que pour moi et d’une partie de jambes en l’air avec un inconnu.
Pour lui, je le découvrais au fur et à mesure, il s’agissait de me voir draguer une autre femme, nous rendre en club libertin et faire l’amour sur une plage naturiste.
Le jeu terminé, nous triquions à notre amour et recommencions à discuter des menus de la semaine. Une journée de couple des plus banales, en fin de compte.
Sauf que voilà, les choses finissant rarement comme on le pense.
Par où commencer ? Ses mains sur ma peau ? Sa paume qui me pousse vers une chambre ? Le bruit de mes talons qui claquent sur le parquet ? Ma robe un peu trop courte ? Ou tout simplement mon anniversaire ?
Je venais de fêter mes 25 ans. L’âge idéal pour faire des folies de son corps à peine apprivoisé. Mon homme voulant marquer le coup, il m’avait fait la surprise de m’offrir un petit coffret bleuté qui révélait une nuit pour deux dans un hôtel de luxe, au bord de la mer.
De fil en aiguille, je finissais par suivre ses directives très précises, conditions sine qua non pour consommer mon merveilleux cadeau.
Et nous y voilà, lui vêtu d’un superbe costume gris, moi en robe rouge trop courte pour la saison, à déambuler dans les couloirs chics de notre nid d’amour d’une nuit.
J’étais prévenue. Cet anniversaire serait inoubliable.
Je marche dans les couloirs de l’hôtel. A ma droite, des cadres d’acteurs célèbres venus séjourner ici et des photographies du paysage environnant. A ma gauche, une série de lampes qui réchauffent l’atmosphère en faisant ressortir le rouge vif de la peinture. j’essaye de deviner combien de personnalités ont déjà baisé sauvagement entre ces murs, si elles avaient aussi 25 ans et si elles devaient comme moi se concentrer pour marcher en talons de 12cm.
Pas après pas, je sens la paume de mon homme se faire plus pressante. Il a hâte de savourer cette soirée comme il se doit et de profiter d’un tête à tête en dehors de la maison. Du haut de ses 35 ans, de sa barbe bien taillée pour l’occasion et de son pantalon bien taillé, il n’a jamais paru aussi sérieux. Je croise les doigts pour que les dessous affriolants que je porte et le champagne aient raison de ses traits de banquier.
Puis, sa main quitte mon épaule. Chambre 41. Nous sommes arrivés. Je ris intérieurement de ce chiffre qui sonne « Cat-in ». Ce soir, je ne suis plus moi. Je veux profiter de son corps magnifique, de son odeur, de la vue et surtout de ses baisers.
La porte en ébène dévoile une suite magnifique. Le lit king size aux draps de soie jouxte une banquette en cuir noir, elle-même dirigée dans la direction d’une autre pièce : la salle de bain et son immense douche à l’italienne, assez spacieuse pour un couple à 4.
Mon chéri me demande comment je trouve la chambre, si je ne regrette pas trop notre 40m2 et des poussières et si un bain de minuit me plairait. Il attend que j’acquiesce pour m’annoncer, joueur, qu’il a d’autres plans. A ce moment, un employé arrive chargé d’une grosse valise. Je reconnais notre malle de vacances. Je m’approche pour l’en débarrasser mais chéri s’interpose : « Laisse-ça là, je m’en occupe. Assieds-toi sur le lit. »
Surprise par sa prise d’initiative inhabituelle, je m’exécute.
A sa demande, je me tourne face au mur, incapable de voir le contenu de la valise. Je perçois quand même un bruit sourd ; un objet roule au sol. Il y a plusieurs matériaux tantôt « doux », tantôt métalliques.
« Mon amour, cette soirée est la tienne et je voudrais te faire plaisir. » Me dit-il en s’approchant du lit.
« Mais pour cela j’ai besoin de ta confiance et de ton obéissance absolues » .
Je tremble, il cale un baiser dans mon cou.
« Si tu te sens prête, enfile-ça et embrasse moi » .
Il me tend un bandeau rouge, assorti à ma robe, que je passe, peu rassurée, sur mes yeux. Je m’attends à voir arriver un gâteau, des bougies et des paquets. Mais il n’en est rien. Il avance vers moi, pose ses lèvres près des miennes et attend que je fasse l’ultime chemin. Nos bouches se touchent, dans une étreinte chaude et humide. Ses mains parcourent mes cheveux, les miennes se posent instinctivement sur son torse.
« Oh, j’ai oublié ça ! » Il a saisi mes poignées et les attache avec une rapidité surprenante. la corde me serre assez pour que je me sente déséquilibrée sans en souffrir.
Aveugle et ligotée, j’attends de connaître ses intentions.
« Tu te souviens, ma belle, de notre rencontre ? J’avais promis de te faire vivre ta plus belle vie, de t’aimer toujours comme au premier jour et de satisfaire ta curiosité. Je veux être ce petit diable sur ton épaule, que tu te sentes magnifique avec moi et que tu oses affirmer tes désirs, assouvir tes envies. L’autre jour, quand je t’ai demandé de mettre tes fantasmes dans une boîte, ce n’était pas par pure curiosité. C’était pour mieux te cerner et t’aider à t’éclater au lit. Je veux que tes 25 ans soient fêtés dignement, dans l’ivresse des corps et l’amour d’être ensemble. Je veux qu’à minuit tu aies joui des millions de fois. »
Je frissonne de plus en plus en l’imaginant réaliser mes fantasmes. A-t-il acheté le gode dont je lui ai parlé ? Va-t-il me prendre sur la plage ? Sous la douche ? J’en salive d’avance.
« Je vais allumer quelques bougies. Lève les jambes bien sur le lit pour ne pas te brûler » .
Il s’éloigne et fait cliquer son briquet.
Je l’entends disposer des bougeoirs autour du king size et un peu plus loin.
« J’espère, ma grande, que tu n’as pas peur du noir, car ce soir c’est ambiance tamisée ! »
Il prononce ces mots en faisant coulisser les stores. Je nous devine déjà dans le noir, plafonnier éteint et porte verrouillée, prêts pour nous dévorer.
Puis, tout s’emballe. Sa bouche sur mon cou, ses mains sur mes épaules pour un court massage. Ses doigts agiles qui dé-zippent ma robe et ses lèvres qui suivent la descente de mon habit. Il enlève mes talons, baisse mes collants en douceur, me demande de me mettre debout sur le matelas pour me débarrasser sur superflus. Seuls la dentelle que je porte en dessous me protège de la nudité. Au travers de ma culotte, il dessine de petits ronds et souffle un peu de sa chaleur.
Il agrippe mes hanches, mord mes cuisses, lèche mon nombril, aspire ma langue, tire ma queue de cheval pour mieux la défaire.
Je profite de l’instant et ne retiens que son odeur, de plus en plus musquée, animale.
Quand, sans prévenir, il me pousse sur le lit, me laissant ventre contre la soie, incapable de me relever. Il m’aide après quelques secondes à me débattre à me mettre à genoux, mains sur les cuisses, tête baissée.
« Attends ici, je n’en ai pas pour longtemps » .
Je suis à moitié nue quand j’entends la porte bouger. Chéri revient, le pas lourd, lent.
Je ne bouge pas.Je murmure seulement un « Allez, cesse le mystère et viens me dévorer ! »
Je l’entends grogner un « Patience ! » puis écraser le lit de son poids. Toujours agenouillée, j’attends qu’il établisse le contact et sens, enfin, la chaleur de sa paume sur mes omoplates. Sa grande main remonte vers ma nuque et descend caresser le haut de mes fesses. Je frémis au contact de sa langue qui trace de petits cercles dans mon cou, sur mes lobes.
Soudainement, il saisit mon visage et le l’incline pour mieux le couvrir de baisers. Sa bouche dépose un bisou sur mon front, que j’interprète comme un signe de protection, puis effleure ma joue pour mieux se poser, enfin, sur la mienne. A l’instant où ses lèvres s’unissent aux miennes, j’ai un mouvement de recul et panique « Putain mais t’es qui ? Bébé bordel t’es où ?? »
Ce ne sont pas les lèvres que je connais et qui m’embrassent depuis maintenant cinq ans.
Je discerne entre deux sursauts qu’une autre personne est dans la pièce, assise sur la banquette que j’entends bouger.
« Mon amour, dans ta liste de fantasme tu avais écrit rêver de deux hommes rien que pour toi. Mais aussi de te faire prendre par un inconnu. J’espère que ton cadeau te plaira…. Ne panique pas : Cet homme a toute ma confiance, et même si tu ne sauras jamais qui il est, il te plairait j’en suis sûr. Imagine-le comme tu-veux, et profite de ce moment sans trop te poser de questions. Je suis là, ma belle, je te protège et je reste près de toi. En attendant respire, je vais venir m’occuper de toi et te déguster comme il se doit, mais tu dois d’abord le satisfaire lui. »
Lui. Celui qui passe ses bras autour de moi, que je devine avoir de l’expérience vu son agilité pour saisir mes seins et dégrafer mon soutien-gorge. Lui qui doit avoir la quarantaine et que je devine brun, barbu, séduisant. Lui que je suis frustrée de ne pas pouvoir voir ni toucher.
Le mystérieux inconnu se place face à moi, m’aide à m’allonger sur le dos et relèves mes mains au-dessus de ma tête. Il écarte mes jambes et vient déposer des baisers le logs de mes cuisses, de mon ventre, de ma poitrine. Je sens son souffle chaud découvrir ma peau et son odeur qui trahit une certaine excitation.
« J’ai très envie de te goûter. Par où veux-tu que je commence ? » Il murmure ces mots entre deux baisers, avant de me bâillonner.
J’entends mon amour me dire : « Je ne veux pas t’entendre. Tu voulais être l’objet d’un homme ? Parfait. Tu en as deux pour le prix d’un. Garde un peu de ta salive pour moi et si ça ne va pas, tape du pieds ou secoue la tête. C’est clair ? Bien. Et puis je vais te prendre en photo, histoire de garder une trace de ta nuit de dévergondée. Je veux pouvoir te regarder encore et encore haletante et baisée par un autre. »
Sur ces mots, sûrement convenus comme un code, l’inconnu baisse ma culotte. Je le sens me regarder, nue, la bouche forcée par une gag ball, les mains liées, offerte à ses perversions.
Je crie, étouffée, quand il mord la pointe de mon sein tout en posant son index sur mon clitoris déjà gonflé.
« Roh ce que tu peux être bandante. Voyons-voir si mademoiselle est déjà affamée… »
Son doigts entame de petits soubresauts avant que sa langue ne s’immisce par surprise dans mon antre déjà humide.
« Bon goût, mais pas assez mouillé pour que je te prenne comme la chienne que tu mérites d’être. »
Si une suite te donne envie, laisse-moi un j’aime, un commentaire ou un message !
A très vite pour une partie II plus… caliente,
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Étudiante férue de jolis mots, je me plait à goûter aux délices offerts par la sexualité, et à découvrir un éventail de possibilités. Je gère le blog https://plaisirsdelicieux.wordpress.com afin de partager avec toi mes écrits, mes expériences, et chaque jour éveiller un peu plus tes sens ainsi que ta curiosité.
Un cul, mais une tête aussi (et surtout) !
Voir tous les articles par doucecharmeuse
Ouuuh que j’ai hâte de lire la suite !!
Intéressant cette soirée
J’espère qu’elle appréciera le cadeau d’anniversaire
Magnifique récit, détaillé et qui fait monter la température. J’espère vraiment qu’il y aura la suite
Je vais y travailler ! Merci pour ton commentaire, je t’embrasse.
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