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Journal
â Justice
Mis en cause pour avoir laissĂ© filer lâimam du Nord, Ă©rigĂ© du jour au lendemain en « ennemi de la RĂ©publique », le ministre de lâintĂ©rieur compile des noms de religieux à « exclure ». DâaprĂšs nos informations, plusieurs imams sont dâores et dĂ©jĂ sur la sellette, dont lâex-numĂ©ro un de lâUOIF, alliĂ© historique du ministĂšre de lâintĂ©rieur.
Lâaffaire de la dĂ©publication, par le journal « Le Monde », dâune tribune sur lâAlgĂ©rie dĂ©sagrĂ©able aux oreilles dâEmmanuel Macron nâest pas un cas unique oĂč lâĂlysĂ©e confond journalisme et communication. Plusieurs chercheurs, responsables politiques et journalistes sâinquiĂštent de ce mĂ©lange des genres.
par
Joseph Confavreux
Les refus dâinstruction en famille sont nombreux depuis lâadoption de la loi SĂ©paratisme en 2021. Et pour cause : elle a transformĂ© un rĂ©gime dĂ©claratif en systĂšme dâautorisations prĂ©alables. Recours, dĂ©sobĂ©issances civiles : des familles racontent leur bataille.
par
Sophie Boutboul
Le texte soumis Ă rĂ©fĂ©rendum dimanche 4 septembre aux Chiliens prĂ©sente des avancĂ©es dans un certains nombre de domaines : reconnaissance des droits des autochtones, paritĂ©, droit Ă lâavortement, droit du travail, lutte contre le changement climatique, Ă©ducation...Â
par
François Bougon
et Mathieu Dejean
En dĂ©pit de « petits pas » effectuĂ©s par le prĂ©sident français, saluĂ©s avec enthousiasme par les coryphĂ©es qui lâentourent, ses dĂ©clarations demeurent partielles et partiales, et laissent toujours dans lâombre des rĂ©alitĂ©s quâil se refuse Ă nommer et Ă reconnaĂźtre de façon prĂ©cise. DĂ©putĂ©-e-s de la Nupes encore un effort ! DĂ©posez au plus vite une proposition de loi relative Ă la reconnaissance par lâEtat des crimes de guerre et des crimes contre lâhumanitĂ© commis par la France en AlgĂ©rie et dans les autres rĂ©gions de lâempire.
par
O. Le Cour Grandmaison
Une « nouvelle dynamique irréversible» a été décrétée à Alger par Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebbonne suite à la « visite d'état » d'une délégation des anciens colonisateurs...
Macron avait Ă peine fini de nous chanter la sĂ©rĂ©nade que Tebboune venait, en une seule phrase, liquider les principes directeurs dâune politique Ă©trangĂšre algĂ©rienne dite depuis 60 ans indĂ©pendante, fondĂ©e sur la souverainetĂ© des Ătats et la non-ingĂ©rence.
[REDIFFUSION] En s'appuyant sur les rĂ©cits des gĂ©nĂ©rations passĂ©es, la jeunesse peut jouer un rĂŽle crucial dans la construction dâune mĂ©moire collective apaisĂ©e.
par
mathijscazemier
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Ădition
Ce blog est personnel, la rĂ©daction nâest pas Ă lâorigine de ses contenus.
Martin VIEILLEVILLE, fils génétique adultérin du Docteur Charles GOUINGUENET, mon/son papa. Photo trouvée dans le porte-feuilles du Docteur Charles GOUINGUENET.
Martin mon frÚre, tu es né alors que j'avais 26 ans et ma grande soeur Anne 29 ans.
Ni ma soeur ni moi-mĂȘme n'avons connu ton existence durant 26 annĂ©es.
Un jour de l'année 2002, à Pau, non loin de mon laboratoire, une "bonne ùme" originaire de Coutances, notre ville natale, me dit : "Comment va ton demi-frÚre ?".
J'ai tout de suite prévenu notre grande soeur Anne.
Tu avais alors 26 ans, notre grande soeur Anne 55 ans et moi 52 ans (le double de ton ùge, ce détail m'a frappé).
Etienne mon notaire de mari Ă©tait encore vivant.
Je lui ai demandé conseil, pour faire ta connaissance ou non.
Il a réfléchi et m'a dit fort intelligemment : "Tu viens d'apprendre l'existence de Martin; lui sait que tu existes depuis 26 ans; s'il voulait faire ta connaissance, il aurait déjà fait le premier pas".
J'ai suivi ce conseil que j'ai trouvé judicieux et n'ai jamais vu mon demi-frÚre.
Ma grande soeur Anne fit le raisonnement inverse et voulut connaĂźtre son demi-frĂšre, ainsi que la maman de ce demi-frĂšre, laquelle Ă©tait sage-femme, comme notre maman Ă nous.Â
Total respect de la décision de ma grande soeur Anne, qui me raconta que notre demi-frÚre était un garçon intéressant, qui faisait des études de philo.
Notre papa subvenait Ă ses besoins financiers, ce qui est la moindre des choses. Par contre, la seconde femme de papa, HĂ©lĂšne GOUINGUENET nĂ©e REGNAULT Ă Coutances (ou Saint-Nicolas de Coutances) prit cette naissance en pleine tĂȘte.
En effet, la premiĂšre Ă©pouse de notre papa, notre maman, avait 2 filles (ma grande soeur Anne et moi), elle aucun enfant, et notre papa faisait un fils Ă une troisiĂšme femme !Â
Mais voilĂ , la seconde femme de papa eut la bĂȘtise d'arrĂȘter de travailler en devenant "la femme du Docteur Charles GOUINGUENET Ă Coutances".Â
De ce fait, elle Ă©tait pieds et poings liĂ©s par son mariage, car elle n'avait plus de revenus personnels.Â
D'ailleurs, cette dame avait dit devant moi lors du placement de notre papa en Ehpad pour démence sénile : "Je n'ai pas la chance d'avoir mon mari mort". Or, son mari, c'était mon papa.
Un jour de 2008, je suis allĂ©e Ă Vannes (56), oĂč vivaient papa et cette seconde Ă©pouse bafouĂ©e, pour leur rendre visite.
Je demande : "Comment va Martin ?".
Réponse immédiate de l'épouse: "Il est mort".
Il avait 32 ans et était DCD depuis plusieurs mois ! Je ne le savais pas.
Cette mégÚre d'HélÚne REGNAULT (épouse Gouinguenet), jouïssait de la mort de ce pauvre garçon : une pension de moins à verser !
Donc notre demi-frĂšre est mort en 2008.
Comme c'Ă©tait un fils de notre papa, mĂȘme adultĂ©rin (test ADN positif), il Ă©tait son hĂ©ritier au mĂȘme titre que ma soeur et moi.Â
Qui donc était le petit copain de ma grande soeur à ce moment-là ? Cela fleurait bon les héritages, de ce cÎté-là  ...
Notre pauvre demi-frÚre Martin était un héritier GOUINGUENET en trop !
Notre papa, avec son fils gĂ©nĂ©tique adultĂ©rin Martin VIEILLEVILLE, et probablement ses petites soeurs ou ses cousines, chez la maman de Martin. Photo trouvĂ©e dans le porte-feuilles de notre papa le Docteur Charles GOUINGUENET.Â
Martin notre frÚre est mort dans un hÎpital de la région parisienne. C'est tout ce que je sais.
C'est ma grande soeur Anne qui fut prévenue par la maman de Martin, qu'elle connaissait, du décÚs tragique de Martin. Et ma grande soeur apprit la sombre nouvelle à notre papa, déjà trÚs affaibli par son début de démence sénile, ce qui le fit sombrer encore plus, et à sa femme, trop heureuse de ne plus rien payer pour le pauvre Martin.
Une enquĂȘte fut diligentĂ©e, car la maman de Martin n'a pas compris pourquoi son fils est mort alors qu'il Ă©tait hospitalisĂ©. Tentative de suicide ? Overdose ? Empoisonnement ?Â
Les gens meurent plus facilement en milieu hospitalier, ni vu ni connu.
Qui a commandité ton assassinat, Martin mon frÚre, pour t'éliminer de la succession de notre / ton pÚre ?
Notre grande soeur Anne t'aimait bien, d'autant qu'elle est excellente en philo, comme tu l'Ă©tais puisque tu Ă©tudiais cette discipline Ă la Fac. Donc vous aviez un point commun Gouinguenet.Â
Martin garçonnet, avec sa petite soeur ou sa cousine. Photo trouvée dans le porte-feuilles de notre papa, le Docteur Charles GOUINGUENET.
Ma grande soeur Anne et moi, au mĂȘme Ăąge que Martin sur la photo ci-dessus, dans le Marais Ă Coutainville (50), cueillant des fleurs sauvages. Jours heureux.Â
 N.B. J'ai porté plainte contre ma grande soeur Anne et désire annuler cette plainte. Comment dois-je procéder ? Merci.
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