Silencieuse mais sexy

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Silencieuse mais sexy
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Qui s'intéresse encore au muet? Pourtant c'est le défi qu'ont décidé de relever Véro Cazot et Julie Rocheleau avec Betty Boob, sans contredit un des plus beaux albums de la saison automnale « bédéesque. »
Journaliste bédé et littérature de l’imaginaire
Nov 4, 2017, 08:00 AM EDT | Updated Nov 6, 2017
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Journaliste bédé et littérature de l’imaginaire
Dans une époque où nos vies sont marquées par l'omniprésence oppressante de la parole, par l'incessant, mais rassurant gazouillis du verbiage inutile et par un silence qui dort, se lancer dans un projet culturel muet prend souvent des airs de pari presque perdu d'avance. Qui s'intéresse encore au muet? Pourtant c'est le défi qu'ont décidé de relever Véro Cazot et Julie Rocheleau avec Betty Boob , sans contredit un des plus beaux albums de la saison automnale « bédéesque. » À l'occasion de la sortie québécoise de cette inspirante comédie au parfum du Paris burlesque de la première moitié du XXe siècle, j'ai rencontré la dessinatrice montréalaise qui n'a jamais été aussi éloquente graphiquement que dans ce nouveau projet, poo poo pee do.
« Le défi m'intéressait beaucoup. Pour les thèmes bien sûr, mais aussi pour l'aspect muet » souligne la bédéiste grande amatrice du cinéma muet et de burlesque. « Autant j'ai du plaisir à illustrer des dialogues savoureux, autant j'en ai, et peut-être même plus, à exprimer à travers les mimiques et les expressions des personnages, les émotions du scénario », confie celle qui dans une autre vie, alors qu'elle œuvrait dans le domaine de l'animation, avait réalisé un court métrage sans paroles.
Et de l'émotion, il y en a beaucoup dans l'histoire de Betty qui doit vivre le deuil d'un de ses seins, de ses cheveux, de son travail, qu'elle a perdu à la suite de sa maladie, et de son amoureux, qui s'est fait la malle après la mammectomie, et qui trouve la paix en intégrant une troupe burlesque où elle deviendra, sous le nom de Betty Boob – mais aucun rapport avec le fameux sex-symbol de celluloïd des frères Dave et Max Fleischer – une des vedettes de leur spectacle.
Si la prémisse de départ n'est pas à première vue hop la joie, la bande dessinée, elle, sous les superbes mots silencieux de Véro Cazot, les magnifiques illustrations toutes en folie de Julie Rocheleau et son utilisation judicieuse et rythmée de la couleur, devient rapidement positive, pleine de rires, de vie et de bonheurs. Loin d'assister à un Xième drame, qui fait augmenter les ventes des Kleenex, sur le cancer et ses répercussions, Betty Boob est plutôt en une ode à la vie, une célébration du corps, quelle que soit la nouvelle forme qu'il prend et une reconstruction identitaire.
« Nous ne voulions surtout pas tomber dans le pathos larmoyant et faire de Betty une pauvre fille. » Au contraire, loin d'être une victime résignée de la fatalité, Betty refuse de rester par terre et de s'apitoyer sur le destin qui s'acharne sur elle. « Elle se relève et ne veut surtout pas se faire définir par le regard que les autres portent sur elle. »
La vision de la Vero Cazot, même si elle est rafraichissante, a quand même déstabilisé l'illustratrice qui a eu, dans les premiers pas de sa collaboration avec la scénariste, de la difficulté à trouver ses repères.
La vision de la Vero Cazot, même si elle est rafraichissante, a quand même déstabilisé l'illustratrice qui a eu, dans les premiers pas de sa collaboration avec la scénariste, de la difficulté à trouver ses repères. « Au départ j'avais tendance à mettre plus de pathos dans mon dessin qu'il en demandait réellement. Je voulais que le lecteur saisisse la douleur de Betty. Mais Vero m'a vite fait comprendre que ce n'était pas le bon ton, que je n'étais pas assez burlesque, pas assez slapstick, que je n'utilisais pas assez l'humour » qui dans des périodes aussi angoissantes et traumatisantes devient encore plus essentiel.
C'est peut-être ici que le choix d'une bande dessinée muette - même si on retrouve quand même, ici et là, quelques mots - devient encore plus pertinent. « Comme il n'y a pas de dialogue, tout doit être représenté dans les expressions des personnages. Elles doivent donc être un peu plus exagérées pour nous permettre de nous représenter d'un coup d'œil leurs motivations, leurs douleurs, et ce, sans avoir besoin de les entendre expliquer ce qui se passe ou se lamenter. C'est peut-être cette simplicité qui nous permet d'inclure plus d'humour », explique la créatrice, qui du même souffle reconnait que l'utilisation du muet lui a aussi demandé plus de temps que d'habitude pour la réalisation de l'album.
« Puisque je ne peux pas utiliser les dialogues, je dois faire plus de pages pour bien illustrer une action qu'ils auraient pu expliquer en une ou deux cases. Pour Betty Boob j'ai pris deux ans au lieu de l'année que me demande d'habitude la réalisation d'une bédé. »
Sans aucun doute, la production la plus mature de Julie Rocheleau, celle où elle maitrise le mieux son potentiel graphique, Betty Boob surprend autant qu'elle séduit et nous présente une nouvelle Julie Rocheleau à la fois très proche et très différente de ses albums précédents. « Je ne sais pas. C'est évident que je m'adapte aux projets qu'on me propose. Je ne veux surtout pas être cantonné dans un style de dessin, ça m'ennuierait. Mais je ne pense pas que je me réinvente à chaque fois, je n'ai pas cette capacité. Je dirais que chaque album me permet d'explorer les différentes facettes de mon graphisme et de les adapter aux ambiances des histoires que j'illustre. »
Mais qu'elle se réinvente ou non, la dessinatrice de la petite patrie montre encore une fois toute la richesse évocatrice et poétique de son pinceau et prouve, comme si nous ne le savions pas déjà, qu'elle fait partie des incontournables du 9 art.
Vero Cazot, Julie Rocheleau, Betty Boob , Casterman .
Journaliste bédé et littérature de l’imaginaire

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Gravure de John Willie, 1946-1959 - Wikimedia Commons/CC

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lienrag a posté le 17 novembre 2016 à 13h00
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hallalirue89 a posté le 17 novembre 2016 à 13h00
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jmvi a posté le 17 novembre 2016 à 13h00
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brogilo a posté le 17 novembre 2016 à 13h00
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Autour d’un verre de jus de pomme, Gala Fur revient sur une séance d’initiation qu’elle a aussi racontée dans « Gala Strip », son dernier livre.
L’écrivaine et réalisatrice de courts métrages BDSM est élégante, sa voix douce, son débit tranquille :
Contrairement à un cliché qui voudrait qu’en SM, la personne dominante soit celle qui ne sache pas s’arrêter, Gala fait remarquer :
« On les appelle aussi des “souminateurs” », raconte Isa. Il y a six ans, elle a lancé un forum d’informations et de prévention « BDSM ou abus » :
Quelle solution alors ? Avoir de l’intuition et savoir quand s’arrêter, deux qualités sans lesquelles « il ne sert à rien de pratiquer du SM », dit Gala. Toute la difficulté repose dans la variabilité de la souffrance, d’une personne à l’autre.
Pour comprendre les limites dans le SM, il faut comprendre le SM en soi-même. Cette pratique sexuelle a beau être jugée violente par beaucoup, elle nécessite énormément de finesse.
Loin de ce que Gala Fur appelle du « fouetti fouetta », des soirées folkloriques dites SM, il y a des relations à deux. Avant de passer à l’acte, les partenaires se rencontrent. Au calme, ils entament une discussion qui permet de poser les limites de chacun. A entendre Gala raconter ces entretiens, on comprend qu’il faut être un peu psy sur les bords pour faire du SM :
C’est pendant cette discussion que tout se fixe. Des godes ou pas de gode ? Travailler les tétons avec des pinces ou pas ? Marquer la personne à la cravache ou pas ? Dans « Osez tout savoir sur le SM » , Gala raconte :
Ce balisage comporte quelques subtilités. Tous les jeux du SM reposent sur les limites que l’on repousse :
Autre cas de figure : le « non » qui veut dire son contraire.
C’est aussi à cette occasion que les partenaires décident d’un mot de passe, d’un « safe word ». Un mot magique qui mettra fin au jeu s’il va trop loin. Gala :
Et quand la personne soumise est bâillonnée ? « Il y a toujours un code », répond Gala. Le mot de passe est ici remplacé par un système de mimes. Les mains parlent :
Mais, comme dans toute relation, il peut arriver que l’un des partenaires ne soit pas attentif à l’autre. Gala raconte la « mésaventure » arrivée à l’une de ses amies avec un dominateur :
C’est pour lutter contre ce genre de dérapages et faire de la prévention qu’Isa a voulu ouvrir son forum. A l’époque, elle avait rencontré, incrédule, une soumise dans « un état psychologique pitoyable » :
Isa sait que ces cas sont marginaux. Elle dit que ce qui est le plus fréquent, ce sont surtout des maladresses, mais elle souhaitait un espace de parole, sortir du « on lave notre linge sale en famille. »
Qu’importe qu’au lancement du forum, certains du milieu l’aient jugée avec « le mépris qu’on peut accorder à des provinciaux qui ne savent pas de quoi ils parlent » :
Isa raconte les histoires de dominateurs qui jouent le chantage amoureux. « Si tu dis le “safe word”, c’est fini entre nous. »
Elle veut lutter contre l’ignorance qui mène parfois les néophytes à penser le légendaire « Histoire d’O “ de Pauline Réage, publié en 1954, comme un modèle normal, voire unique.
Or, dans ce livre fantasmatique que l’écrivaine Dominique Aury a écrit sous pseudo pour séduire Jean Paulhan , O est devenue une soumise totale. Elle s’est livrée à l’homme qu’elle aime et à ses amis sans retour en arrière possible. Ils lui ont dit :
Isa rappelle un principe fort du SM : la personne soumise ne l’est que parce qu’elle a accepté de l’être.
Sur le forum, les internautes évoquent souvent le problème de l’alcool ou des drogues. Il y a des récits insoutenables de soumis livrés à des dominateurs ivres. C. raconte :
La règle quant à l’alcool est pourtant simple, fait remarquer Isa. On ne boit jamais avant la séance. Gala compare les responsabilités du dominant en SM à celles du conducteur de voiture :
Toutes ces règles semblent évidentes, et Gala regrette presque qu’elles suscitent la curiosité. Après notre entretien, elle m’envoie un e-mail un peu désabusé et inquiet. Faut-il vraiment qu’il y ait des règles si claires pour tout ? 
Pas tenté de suivre vos désirs en-dehors des sentiers battus, ou vos désirs ne sont pas tentés de se conformer à un imaginaire exogène ?


Ce n’est pas la même chose...


Est-ce que j’ai parlé de tournantes dans les caves ?


Quand on ne connaît pas ou qu’on n’aime pas quelque chose on ne dit pas « c’est pas bon » et surtout on ne prête pas des intentions absentes


J’ai l’impression qu’il y a une grosse différence entre les jeux pratiqués dans un couple et ceux comme client. On peut parfois faire la même chose mais le résultat est très différent, enfin c’est mon avis.


douleur et plaisir, deux sensations ANTAGONISTES...


Vous êtes sûr de ça ? : -)


Moins connu, mais pas forcément négligeable, il y a toute la série des « Olga » de Georges G. Weiss...




Pendant tout le
trajet du retour à la maison, je ne cessait de repenser à la dernière réflexion
de maman à propos de s'amuser un peu avec les lanières cet après-midi ! Je
m'attendais à etre fouetté en rentrant, aussi, je tremblais de peur en
arrivant, mais maman s'affaira surtout à ranger les courses avec mon aide
jusqu'à ce qu'il ne reste que le fameux martinet à ranger …

" Aller,
poussin ! Prends ton martinet, on va faire des photos ! ".

Je dus faire
semblant de sortir de la maison portant ostensiblement mon martinet à la main,
puis….. Clic !

Une autre dans ma
chambre, observant avec envie mon martinet ! Clic ! Une autre dans le salon,
présentant humblement mon martinet à bout de bras, un genoux à terre, à maman !
Clic ! Une dernière avec l'arrière de mes cuisses nues en mini-short et les lanières
pendant entre mes cuisses ! Clic ! etc…. Clic, Clic, Clic ….. Plein de photos
de moi en short court avec le martinet !

Une de ces photos
sera épinglée dans ma chambre juste au dessus de mon lit et le martinet pendu à
un clou dans l'entrée , pour que tout le monde le voit dès qu'il rentre chez
nous !

Maman : " C'est
super, mon chéri ! Tes jolies p'tites cuisses toutes nues en p'tit short avec
ton martinet, c'est si beau à voir ! A croire que tes cuisses sont faites pour
le martinet ! Tu vas voir comme ça fait du bien, les lanières ! ".

Gros bisous sur mes
cuisses avec force carresses et chatouilles, comme pour me rassurer, puis
dressage de la table sous la tonnelle et déjeuné pendant lequel on parle de la
matinée et de mes réactions face à l'achat de ce martinet. Maman me rappelle
tout les épisodes qui m'ont fait rougir en insistant sur les passages qui
impliquent ma copine, ce qui me fait encore plus honte , me remémorant ma
conversation avec Laura concernant ses rapports avec la fessée et le martinet !
Je ne comprend toujours pas comment une fille de mon âge peut ressentir du
plaisir à recevoir une bonne fessée cul-nu, meme en comparant avec une fouettée
au martinet !

 Je ne savais pas alors ce qui m'attendait avec
cette poignée de lanières qui allait, désormais, faire partie de ma vie
d'enfant de moins de 10 ans !

Je me reposais un
peu sous la tonnelle après déjeuner, pas très rassuré, toujours dans
l'expectative et épiant les moindres gestes de maman qui s'affairait
tranquillement à sa vaisselle, puis tentais de noyer mon angoisse dans le
journal de Mickey acheté le matin meme. Pris par ma lecture, je sombrais dans
une douce insouciance, oubliant un instant ce qui m'attendait !

Vers 14h00, Maman se
chargeât de me sortir brusquement de ma torpeur.

M : " Tu viens,
poussin ? On va essayer le martinet ! ".

Je la regardais et
du blêmir instantanément en la voyant sur le pas de la porte d'entée le
martinet à la main et jouant négligemment avec les lanières !

" non, maman,
non, pas maintenant, stp ! ".

Maman, toujours
souriante et traquant la moindre réaction de ma part: " Mais si, chéri !
C'est maintenant et tout de suite! Aller, viens ! ".

Commençant à
pleurer, je me levais mais ne pouvais faire un pas de plus, tétanisé par ce
martinet et ne pouvant dire un seul mot ! Je me dandinais sur place en tordant
mes mains entre elles.

" NAAAANNNN,
maman, stp, nnaannn !!! ".

M: " Viens tout
de suite, poussin, ou si je vais te chercher, ce sera pire ! Tu es prévenu !
".

Pleurant maintenant
franchement , je me dirigeais vers maman qui m'attendait toujours avec le
martinet sur le pas de la porte. J'avais les yeux rivés sur les lanières et
sentais comme jamais la nudité de mes cuisses qui seraient surement les
premières visées, étant toujours en petit short très court !

M : " C'est
bien, chéri ! Viens tester les lanières sur tes p'tites cuisses toutes nues !
".

Moi, toujours un peu
naïf, je ne m'attendais pas à ce méchant coup de martinet sur l'arrière de mes
deux cuisses au moment ou je passais devant maman sur le pas de la porte !

Instinctivement, je
projetais mes genoux en avant tout en poussant un grand cri !

" AÏE !
AAAHHAAA , AÏE,AÏE, AÏE AAAAAA NNNAAANNNN!!! ".

Frottant aussitôt
mes cuisses avec mes deux mains, je me mettais à trépigner sur place, tellement
mes cuisses me brulaient ! J'avais l'impression d'une morsure fulgurante me
coupant les cuisses en deux ! Le pire est que cette horrible brulure dura plusieures secondes, me faisant
prolonger mes trépignements, mes frottements des cuisses et mes cris de panique
!

M : " Oh, que
ça fouette bien les p'tites cuisses, chéri ! ".

Continuant à se
délecter de mes cris et sautillements, maman me pris par un bras et m'entraina
vers l'éscalier menant à ma chambre.

Un second coup de
martinet sur l'arrière de mes cuisses !

Second hurlement….
Maman avait fouetté l'arrière de mes cuisses en plein milieu ! Les deux cuisses
en meme temps!

Je fis un bon en
l'air en hurlant, puis retrépignais sur place tout en me projetant vers
l'avant, comme pour me proteger des cinglades suivantes. Mais maman me tenait
bien par mon bras gauche si bien que je n'avais que ma main droite pour frotter
mes cuisses, sans grand résultat. Je me résignais à ne me servir de ma main
droite que comme ultime rempart contre les cinglades suivantes, sans illusions
quand à l'efficacité de cette défense désespérée !

Troisième cinglade,
sur le haut de mes cuisses ! SSSCCCHHHLLLAACCCKKKK !

" AAAAHHH,
AAAHHHAAAHHA, AÏE AÏE AÏE !!! AAARRRRAAAAAHHHHAAA, MAAMMMAAAÏE AÏE ,
AARRRRAÏAÏAAAAA !!! ". Je me démenais comme un beau diable, essayant de me
défaire de cette poigne de fer qui me maintenait dans la soumission au martinet
dont les cinglades étaient aussi douloureuses que la première !

M : "
Mmmmhhhhhh, ça fouette ! Ça fouette ! Les p'tites cui-cuisses !!! ".

Maman avait pris
soin de choisir le martinet avec des lanières carrées laissant de be
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