Si Sex and the City était bien
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Si Sex and the City était bien
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Catherine Wilkening was born on July 16, 1963 in Dijon, France. She is an actress and director, known for Jesus von Montreal (1989), Le crime d'Antoine (1989) and A vágyakozás napjai (2008).
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Born:
July 16 ,
1963
in
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(2002)
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2005
Emily la princesse...
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2005
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- N°867 Catherine Wilkening
(1987)
... Self / Comédienne
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2001
2000 Cinématons
(TV Movie documentary)
Self
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Dubbing voice of Tilda Siwnton in the French post synchronized version of Wes Anderson 's "Moonrise Kingdom" (Moonrise Kingdom).
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Avec sa nouvelle collection dont les héros sont des vampires ou des loups-garous sexy, la multinationale du roman sentimental surfe sur le succès planétaire de «Twilight». Enquête
Un Virgin sur les Grands Boulevards, le 2 janvier. Pour une lectrice d'Harlequin, c'est un jour qui compte. La multinationale de la prose langoureuse lance en effet une collection intitulée «Nocturne». L'amour toujours, mais avec un vampire ou un loup-garou cette fois, comme dans «Twilight». On demande donc à la libraire «l'Empreinte du loup» de Rhyannon Byrd aux Editions Harlequin. Silence. «Désolée, nous n'avons pas cette collection.» «Vous me conseillez quoi, à la place ?» La libraire se dirige vers le rayon science-fiction, propose «Ames perdues» de Poppy Z. Brite (chez SF Folio), me met en garde car, dit-elle, «c'est un peu plus élaboré» , hésite, et finalement montre une table de best-sellers américains. «En fait, si vous avez commencé par Harlequin, il vaudrait mieux lire ceci plutôt.» C'est «Trueblood» de Charlaine Harris. «C'est une histoire d'amour entre une serveuse de bar et un vampire, c'est plus simple à lire, ça devrait vous plaire.» On prend le Poppy Z. Brite et le best-seller, mais on insiste tout de même : «Savez-vous où je peux trouver «l'Empreinte du loup» ?» Les Harlequin, explique-t-elle, sont vendus dans les gares, «car c'est une collection un peu particulière» . Dans les grandes surfaces aussi, d'Auchan à Monoprix. Harlequin, c'est l'infini à la portée du Caddie.
Gare Saint-Lazare. Relay, propriété des Editions Hachette, qui détiennent 50% des parts d'Harlequin France, aligne opportunément des titres de fin d'année : «Un Noël à Florence», «le Noël de l'amour», «Noël de rêve pour un médecin». Car rien n'est jamais publié au hasard. Des panels de lectrices réunies dans des focus groups permettent de cerner au plus près les attentes. Quand «Urgences» triomphe, Harlequin sort une série sur l'amour en salle de réa. Si «Sex and the City» fait des émules, Harlequin lance sa collection de chick lit . Alors, quand le fantasme est à la morsure fatale, Harlequin se met sur le créneau. Mais, déception, «l'Empreinte du loup» n'est pas en rayon gare Saint-Lazare.
Pour patienter, un petit Harlequin classique intitulé «Mariée à un séducteur» à 3,85 euros fera l'affaire, une fois assumée l'ironie du vendeur : «Vous avez trouvé votre bonheur ?» C'est une de ces courtes bluettes de la collection «Azur», repérable à ses couvertures d'un kitsch inénarrable. De loin la collection «la plus gnangnan» , aux dires mêmes d'une lectrice acquise pour sa part à des séries plus modernes : «Prélud'», qui installe l'amour dans un cadre plus réaliste, en phase avec les difficultés ordinaires, quand bien même la majorité des lectrices recherche encore dans une harlequinade un tranquillisant léger. «J'ai envie de lire une romance, je veux que ça se termine bien , explique l'une d'elles. Je parie sur un Harlequin car j'ai l'assurance qu'on ira vers un happy end avec finesse.» Ou «Black Rose», pour les adeptes du romantic suspense , c'est-à-dire l'étreinte passionnée sur fond d'intrigue policière.
Nous voici en route vers la gare Montparnasse en quête de «l'Empreinte du loup», plongée dans les mésaventures d'Estrella et Ramôn succombant l'un à l'autre. Des regards se posent sur la couverture: «Mariée à un séducteur»? Aïe. Le coup d'oeil est parfois amusé, mais le plus souvent il est navré. C'est sans doute pour cela que l'Harlequin est un plaisir solitaire. Dix millions d'exemplaires vendus par an, mais la lectrice, c'est la femme invisible. «L'image d'une belle brune alanguie dans les bras du milliardaire grec, je n'assumerais pas en public» , dit l'une d'elles. En vingt-quatre heures de lecture dans le métro parisien, de «l'Epouse bafouée» à «la Vengeance d'une amoureuse», seule une jeune femme aura gratifié d'un sourire entendu l'intrépide affichant aux heures de pointe un romantisme suranné. Stéphanie :«On se cache quand on lit de la romance, c'est comme ça.»
La romance: c'est ainsi que les milliers de lectrices désignent ce genre, (très) lointain parent de la littérature gothique du XIXe façon «les Hauts de Hurlevent». La romance est un monde à part. Un angle mort dans le paysage éditorial, aucun journal ne publiant jamais une ligne sur Harlequin, sauf tous les dix ans pour retracer la success story éditoriale, les débuts en 1954 d'une petite entreprise familiale canadienne de Toronto qui en 1972 rachètera le fonds romantique des éditions anglaises Mills and Boon, puis l'arrivée en France. Pour pallier ce silence, deux sites, Blue Moon et Onirik (1), se consacrent à la critique des Harlequin. Objectif: légitimer le genre comme une littérature populaire d'évasion au même titre que le polar ou la BD : «Ras-le-bol d'avoir honte , explique Valérie Revelut, fondatrice d'Onirik Quand vous lisez Marc Levy, c'est un Harlequin. Mais Harlequin est beaucoup mieux écrit, mieux construit.» Une autre lectrice : «Bien sûr, on peut le lire à haute voix et se moquer. Mais on peut faire exactement pareil avec un livre de Bernard-Henri Lévy.» La maison n'a pas de fonds ni de titres phares, même si certains auteurs sont, comme Susan Wiggs aux Etats- Unis, en tête des ventes chez d'autres éditeurs.
Sur chaque nouveau Harlequin, un mot de l'éditrice signale les parutions à venir. Le modèle s'apparente à la presse. On peut s'abonner à une collection. Un Harlequin chasse l'autre. Les habituées font observer que le stéréotype masculin a évolué. «Avant, l'homme était un macho fini, les femmes se faisaient limite violer. Aujourd'hui, il y a un bon dosage entre l'amour et le sexe.» Comme dans les «James Bond» où la bombe exhibe désormais son doctorat de physique nucléaire, la femme Harlequin est indépendante, et l'homme n'est plus le prédateur des années 1960. Ombrageux certes, mais partenaire attentif. «D'abord il satisfait la femme, et ensuite ils se fusionnent.» Une autre: «Je rougis parfois quand je lis ça. La sexualité fait partie du succès. Les femmes qui lisent Harlequin cherchent ça aussi. L'héroïne est décomplexée. Ca fait rêver, ça donne envie.» Ainsi, l'Harlequin est aphrodisiaque.
Gare Montparnasse, Relay «L'Empreinte du loup» est en rayon, avec en couverture le torse imberbe du mâle de 1,90 mètre se découpant sur un fond de pleine lune. Coup de foudre olfactif au café où Mason flaire dans la foule la présence de l'âme soeur. Cinq pages plus loin, l'idylle démarre sur cette déclaration: «Vous sentez tellement bon que j'ai envie de vous dévorer.» Avec ce scoop à la clé: les loups-garous préfèrent les rousses.
Source : « Le Nouvel Observateur » du 14 janvier 2010
Autumn leaves (1956) de Robert Aldrich commence comme un drame sentimental : le générique s'égrène sur "Autumn leaves" interprété par Nat King Cole, standard langoureux et mélancolique qui pour un moment nous fait oublier que l'on se trouve chez Aldrich. Joan Crawford y incarne Millicent Wetherby, une dactylo de quarante ans qui travaille à son compte et qui a passée toute sa vie à s'occuper de
son père, négligeant ainsi sa vie amoureuse. Le premier mouvement du film, magnifique, dépeint la solitude de Millicent : une femme dont l'indépendance n'est que l'envers
d'une profonde solitude. Il est beau de voir avec quelle
simplicité muette et méticuleuse Aldrich se penche sur le quotidien de
cette femme, tantôt galvanisée par sa liberté, tantôt coupée dans son
élan par une solitude qui l'étreint par surprise. Je n'ai pas vu tous
les films d'Aldrich mais j'ai le sentiment qu' Autumn leaves révèle plus
qu'ailleurs, parce qu'il se trouve là à l'état d'épure, toute la
vulnérabilité, la fragilité presque honteuse, obscène, des personnages
aldrichiens qui sont tous de grands malades (avec cette attention portée ici aux seconds rôles, aux vieilles dames, ces voisines de solitude). La
perversité qui les entoure y est tellement corrosive qu'elle finit par
s'infiltrer en eux, à même leur peau (le masque de maquillage de Bette
Davis).Ils sont détraqués, encrassés par la solitude et le mal-être. Dans Autumn leaves c'est le corps épais, fragile et
complexé de Joan Crawford en maillot de bain, un corps que l'on sent
intouché depuis des lustres et qui a perdu l'habitude d'être regardé. J'aime profondément ces films sur des personnages épuisés de solitude, ici Aldrich dépeint comment une soirée passée en solitaire est tout à la fois galvanisante et asphyxiante : tout peut arriver mais rien n'advient jamais. C'est là peut-être la première occurence de la folie dans le film.
On est ici encore loin du pessimisme farcesque des années
60 ( Qu'est-il arrivé à Baby Jane ?, Hush, hush...sweet Charlotte, The Killing of Sister George... ),
mais déjà, solitude et amour ne sont que des modalités de la folie : on ne sort jamais de la folie puisque chez Aldrich, sa
caractéristique est d'être partout, jusque dans la forme même du film,
qui peut faire penser au Lolita de Kubrick. Une forme qui progressivement s'infecte, une forme toujours en crise et dont il faut toujours attendre qu'elle s'écartèle, qu'elle devienne schizophrène : la bleuette se retourne alors en drame psychiatrique. Il y a toujours chez Aldrich des plans vacillants, mentaux, filmés depuis le point de vue de cette folie.
Cette première partie est la plus belle du film et rappelle ce que peut être le woman's picture crawfordien : d'une tonalité tout autre que celui de Bette Davis. Plus domestique, plus atone et fébrile, plus réaliste et moins métaphysique, et tout cela est à prendre comme des qualités. Millicent rencontre Burt, ils sont comme deux morceaux de solitude qui se reconnaissent. La solitude de Millicent lui a appris à se méfier, elle sait que la solitude peut la conduire à se précipiter, à tout ressentir trop fort, à s'enthousiasmer pour des choses qui n'en valent pas la
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