Sharon Lee est une étonnante cochonne qui offre sa chatte et son cul dans une seule séance!

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La " Une " cochonne de Charlie sur Tours





La " Une " cochonne de Charlie sur Tours




Titre


Depuis plus d'une semaine, les passants s'arrêtent devant la vitrine et demandent les prix. Mais ces numéros de collection ne sont pas à vendre.
Élie Veyssière avec la fameuse « Une » consacrée par l'équipe de Charlie Hebdo, le 7 juin 1971, à la ville de Tours et à son maire, Jean Royer.



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Publié le

17/01/2015 à 09:46
| Mis à jour le

27/04/2017 à 22:11


J 'ai fait cette vitrine au soir de l'attentat contre Charlie Hebdo…

Dans la librairie ancienne de la rue Colbert, à Tours, bien connue des amateurs de beaux livres et des collectionneurs , Élie Veyssière, qui a repris la suite de son père Jean-Paul, n'a jamais vu autant de passants s'arrêter devant sa vitrine. Une dizaine de « Unes » de Charlie Hebdo tapissent la devanture. Des archives des années 1970 et 1971. « Beaucoup de gens rentrent pour demander leur prix, mais je ne les vends pas. Ce serait glauque et indécent. Et puis, c'est une collection personnelle, celle que mon père a accumulée. »
" Vendre ces journaux ? Ce serait glauque et indécent "

Des numéros « collector » qui ne valaient guère plus de 10 euros l'unité il y a dix jours, selon le libraire, et qui s'arrachent sur Internet aujourd'hui. Mais pas question pour Élie et son père de céder aux sirènes du profit.
Parmi ces numéros exposés, dont la plupart des couvertures sont signées Reiser ou Wolinski, le tout premier numéro de Charlie Hebdo, daté du 23 novembre 1970. Avec ce gros titre signé Cavanna : « Il n'y a pas de censure en France » et le dessin qui représente un aveugle qui dit : « Liberté de la presse ? Vaut mieux entendre ça que d'être sourd ».
L'hebdomadaire venait d'être créé en complément du mensuel « Charlie », pour se substituer au titre Hara-Kiri interdit après le célèbre « Bal tragique à Colombey : un mort », quelques jours plus tôt, qui faisait suite à la mort du général De Gaulle.
Mais la couv' qui attire tous les regards, dans la vitrine de la librairie Veyssière, c'est celle datée du 7 juin 1971. Le numéro dont la première page est consacrée à « Tours, capitale des rillettes », comme dit un cochon bien occupé sur un autre…
Explication : les jours précédents, le maire, Jean Royer, venait de faire le « buzz » en interdisant dans sa bonne ville de Tours la projection des films « osés » et les publicités pour les collants…
Ce numéro et les autres seront peut-être bientôt offerts au regard des Tourangeaux, car Élie Veyssière réfléchit depuis quelque temps – bien avant les attentats – à organiser une exposition « Caricature et censure, de Daumier à Charlie Hebdo… » On l'attend avec impatience.
Librairie Veyssière, 25, rue Colbert, à Tours.

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Dans la librairie ancienne de la rue Colbert, à Tours, bien connue des amateurs de beaux livres et des collectionneurs , Élie Veyssière, qui a repris la suite de son père Jean-Paul, n'a jamais vu autant de passants s'arrêter devant sa vitrine. Une dizaine de « Unes » de Charlie Hebdo tapissent la devanture. Des archives des années 1970 et 1971. « Beaucoup de gens rentrent pour demander leur prix, mais je ne les vends pas. Ce serait glauque et indécent. Et puis, c'est une collection personnelle, celle que mon père a accumulée. »
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Parmi ces numéros exposés, dont la plupart des couvertures sont signées Reiser ou Wolinski, le tout premier numéro de Charlie Hebdo, daté du 23 novembre 1970. Avec ce gros titre signé Cavanna : « Il n'y a pas de censure en France » et le dessin qui représente un aveugle qui dit : « Liberté de la presse ? Vaut mieux entendre ça que d'être sourd ».
L'hebdomadaire venait d'être créé en complément du mensuel « Charlie », pour se substituer au titre Hara-Kiri interdit après le célèbre « Bal tragique à Colombey : un mort », quelques jours plus tôt, qui faisait suite à la mort du général De Gaulle.
Mais la couv' qui attire tous les regards, dans la vitrine de la librairie Veyssière, c'est celle datée du 7 juin 1971. Le numéro dont la première page est consacrée à « Tours, capitale des rillettes », comme dit un cochon bien occupé sur un autre…
Explication : les jours précédents, le maire, Jean Royer, venait de faire le « buzz » en interdisant dans sa bonne ville de Tours la projection des films « osés » et les publicités pour les collants…
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