Sexy fille noire dévorant des bites d'étrangers

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Sexy fille noire dévorant des bites d'étrangers

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Les femmes russes restent le fantasme ultime de bien des hommes à travers le monde. Mais en partant à leur rencontre sur Internet, vous encourrez des risques, de nombreux risques. Gros plan sur un véritable phénomène de société.

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Elle s’appelait Aliona, était une blonde élancée de 26 ans originaire de Saint-Pétersbourg , avait une peau parfaite et claire et de profonds yeux gris. Marc, 37 ans, a fait sa connaissance sur l’application de rencontre Badoo en avril 2017, alors qu’il planifiait un court séjour en Russie. À Lyon, où il vivait, il a en effet modifié sa véritable géolocalisation pour indiquer « Saint-Pétersbourg », souhaitant rentrer en contact avec une Russe avant de franchir la frontière de ce pays de l’Est. C’est Aliona qui a effectué le premier pas.
Elle lui a rapidement fait savoir : « Je cherche un homme afin de développer une relation amoureuse sur le long terme ». Cette annonce a surpris Marc, mais il a poursuivi cet échange : « Elle était plutôt mignonne et drôle » , se rappelle-t-il.
Sur cette application, ils ont conversé une semaine, puis sont passés à WhatsApp. Elle lui envoyait alors des photographies : d’elle mangeant une pizza avec des amis, buvant un café sur les quais, ou faisant un selfie allongée sur le canapé. Ils évoquaient la Russie, la littérature , le hockey (Marc aime le hockey), les voyages. Il s’est d’ailleurs avéré qu’Aliona ne s’était jamais rendue à l’étranger. Elle répétait ainsi fréquemment qu’elle souhaitait aller à divers endroits, mais qu’elle n’en avait pas les moyens. Pour les Russes, sortir du pays est très onéreux, disait-elle.
Après deux semaines, Marc a proposé une rencontre à Saint-Pétersbourg. Aliona a cependant rétorqué qu’il lui fallait absolument aller chez sa grand-mère à Rostov (610 kilomètres au sud-est de Saint-Pétersbourg) pour cette période. « J’étais contrarié, mais prêt à changer mes plans. Je l’appréciais bien », a confié Marc, qui a donc suggéré à la jeune fille un appel téléphonique. Cette dernière a cependant soudainement commencé à avoir « des problèmes de communications ». Pourtant, avant cela, elle l’avait d’ores et déjà qualifié à plusieurs reprises de « probablement ma destinée ». Aliona lui a alors prié de lui envoyer de l’argent pour un nouveau téléphone, pour pouvoir enfin entendre le son de sa voix. Ou pour réparer l’ancien. La somme ? 500 euros. Marc a refusé. Elle l’a alors bloqué sur WhatsApp et l’a supprimé sur Badoo. Et a disparu.
De quoi s’agissait-il donc ? D’une Russe mercantile ? Non, seulement d’une arnaqueuse de la romance, une escroquerie répandue sur Internet, où une personne se fait passer pour un partenaire désirable, charme une proie, puis lui soutire de l’argent sous différents prétextes. Vraisemblablement, les photos envoyées par Aliona n’étaient en réalité pas les siennes. Ces individus peu scrupuleux volent en effet régulièrement des clichés sur les réseaux sociaux. Il est également probable qu’« Aliona » n’était même pas une femme. Toutefois, les Russes étaient et sont encore les plus attirantes de toutes selon les étrangers.
À la télévision russe des chiffres sont évoqués : 25 millions de dollars seraient chaque année envoyés à des affairistes de Russie et de la CEI (principalement d’Ukraine et de Biélorussie) par des hommes australiens. Une somme équivalente serait également dépensée par les Américains. Viennent ensuite le Royaume-Uni, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis.
Cela ne traduit cependant qu’une chose : les pièges les plus évidents fonctionnent toujours aussi bien. « Une femme russe m’a demandé d’ouvrir un compte à ma banque. Elle a dit qu’elle souhaitait y déposer de l’argent. Lorsqu’elle le fait, elle veut que je le retire et le lui envoie. Est-ce une arnaque ? », a publié un utilisateur du site de questions-réponses Quora. Oui, cette « femme » est indubitablement une escroc. Réfléchis donc un peu, demandes-tu toi-même souvent à un inconnu d’un autre pays d’ouvrir un compte à son nom ?
Néanmoins, les arnaqueurs parviennent, avec leurs manèges pourtant simples, à être parfois convaincants. « Quelques semaines après, une Russe nommée Karina Popova m’a envoyée des emails avec des images, de courtes vidéos et une bonne conversation. En même temps, elle me dit qu’elle n’est pas sur les réseaux sociaux, qu’elle utilise un téléphone portable à son travail, bloqué pour les appels internationaux, qu’elle m’écrit depuis l’ordinateur de son bureau, que le sien est cassé, etc. Je suis presque sûr que ce sont des escrocs. Je ne sais juste pas où ils obtiennent leurs photos et vidéos pour avoir l’air aussi convaincants » , témoigne Wander Och, lecteur de Russia Beyond.
La majorité des arnaqueurs de ce type ne travaillent pas seuls. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce qu’ils trouvent des photographies crédibles et puissent effectuer des appels vidéos. Sur les forums de recherche d’étrangers comme fiancés/petits-amis/sponsors, les méthodes sont partagées ouvertement : « Si tu connais la langue et que tu veux gagner de l’argent, pourquoi pas. Traduire ou écrire soi-même des lettres, aller à des rencontres. Je n’y vois aucune perspective, c’est pour moi seulement un moyen de me faire de l’argent, qui l’été est très rentable », écrit une certaine Angelika. Les arnaqueuses reçoivent même parfois une part du bénéfice de la location des appartements, des hôtels, de l’achat de cadeaux, de repas au restaurant, etc, précise-t-elle, sous-entendant donc la complicité de certains établissements.
Les agences matrimoniales constituent un autre schéma répandu. « Un jour, j’ai obtenu un poste dans l’un de ces lieux. C’était un deux pièces loué dans un immeuble à Tcheriomouchki [banlieue de Moscou]. On ne m’a pas gardée, on m’a jeté. Mais j’ai eu le temps d’apprécier le principe général du travail » , raconte une jeune femme, gardée anonyme à sa demande. La pseudo-agence collecte des photographies réelles de filles sur Internet, mais avec les « fiancés » ne discute qu’une traductrice : « une femme d’âge moyen à la voix agréable ». Au début, de l’argent pour vivre est demandé de manière écrite, puis la conversation se fait de vive voix, tout comme une demande réitérée d’aide financière.
Il existe aussi des sites de rencontre internationaux, et vous n’en reviendriez pas d’apprendre le nombre d’escrocs en ayant fait leur business (un homme a d’ailleurs mené une expérience : en quatre heures passées sur l’un de ces sites, pas moins de cinq arnaqueuses se sont présentées à lui). Enfin, il y a nos applications de dating préférées, telles que Tinder .
« Dernièrement, il s’agit principalement de filles russes tentant de me convaincre qu’elles sont amoureuses de moi (MOI? Un vieil homme laid ?) et m’envoyant des images de mannequins russes sexy, prétendant que ce sont leurs propres photographies » , affirme Francis Xavier, guide touristique de Hambourg.
Évidemment, toutes les femmes russes ne sont pas vénales et ne cherchent pas à tout prix à plumer les célibataires étrangers . Toutefois, certaines ne sont pas prêtes à payer elle-même le trajet pour rencontrer leur interlocuteur, même si leurs intentions sont tout à fait sincères, d’autant plus que beaucoup n’ont effectivement pas les moyens d’obtenir un visa (puisque cela peut représenter le tiers d’un salaire de province).
« Ce n’est pas seulement une question d’économie, mais du fait que les hommes étrangers n’accordent que peu de valeur au sacrifice de soi et ne commencent à voir avec un minimum de sérieux l’entreprise de recherche d’une femme russe que lorsqu’ils y investissent leur argent. C’est vérifié depuis des générations », soutient Evguénia sur un forum.
Dans cet autre article , nous vous révélons la regrettable existence, en Russie contemporaine, d’une forme moderne d’esclavage.

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Publié le 26/02/08 à 00h00
— Mis à jour le 26/02/08 à 18h44



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La vidéo de «Une vraie jeune fille»
Or exceptionnellement pour ce festival, il n’y aura aucune scène censurée, pas même les séquences qui montrent masturbation, fellation ou accouplement.
«La France jouit d'une liberté en matière d'érotisme que j'apprécie beaucoup, dit Takashi Asai, président de la société Uplink, là où sont projetés les films du festival. Dans le cinéma, nous ne sommes toujours pas libres au Japon», a-t-il regretté, en rappelant le cas du cinéaste japonais Nagisa Oshima dont le film culte, «L'empire des sens», n'a toujours pas été montré dans sa version intégrale au public japonais.
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«C'est une pure coïncidence que ce festival de cinéma se tienne quelques jours seulement après le verdict», a assuré à l'AFP Asai, dont la société, créée en 1987, publie des livres d'art, produit et distribue des films et documentaires d'auteurs.

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