Sexe intense avec la personne idéale est addictif

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Sexe intense avec la personne idéale est addictif
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Les sex-addicts : quand le sexe fait souffrir



Les sex-addicts : quand le sexe fait souffrir



« Et 10% sont susceptibles de tomber dedans », selon Jean-Benoît Dumonteix.



« Un pervers est quelqu’un qui dépasse les limites de l’autre et qui en jouit. Il y a une jouissance à être hors du cadre. Les sex-addicts sont en dehors du cadre de leur sexualité mais n’en jouissent pas du tout. C’est une souffrance. »



Les sex-addicts. Quand le sexe devient une drogue dure (Hors Collection, 2012), de Florence Sandis avec Jean-Benoît Dumonteix. Ce dernier est l’un des rares spécialistes français à soigner l’addiction sexuelle.



De nombreux sex-addicts se rendent chez les Dépendants Affectifs et Sexuels Anonymes (DASA), des réunions sur le modèle des Alcooliques Anonymes.


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Mis à jour le 20 février 2020 à 17:28


Multiples rapports sexuels par jour, masturbations frénétiques, fréquentation d’escort-girls, de clubs échangistes, grande consommation de porno, voire pratiques sado-maso… Les sex-addicts sont obsédés par le sexe, qui constitue, pour eux, une véritable drogue. L’addiction sexuelle demeure, en France, une maladie taboue. Retour avec le psychanalyste Jean-Benoît Dumonteix sur une véritable source de souffrance.

Jean-Benoît Dumonteix : Dans notre société très sexualisée, le sexe ne doit être que du plaisir. Il est difficilement concevable qu’il puisse être source de souffrance. Si quelqu’un multiplie les rapports sexuels, on va penser qu’il s’agit d’un Don Juan ou d’un(e) grand(e) fêtard(e). Et c’est là le problème. En réalité, il existe des gens qui souffrent de leur sexualité, qui se mettent en danger, en s’exposant aux infections sexuellement transmissibles par exemple. Et il est urgent de s’en rendre compte. Aux Etats-Unis, cela fait trente ans que l’on connaît et que l’on soigne cette maladie.

Jean-Benoît Dumonteix : Les sex-addicts ne maîtrisent plus leur sexualité. Elle n’est plus voulue, elle est totalement subie. Réflexe, presque. Elle fait office de médicament : ces personnes-là répondent à leurs émotions négatives par une sexualité compulsive. Tout en sachant bien que cette sexualité ne leur convient pas. Mais elles y retournent car « c’est plus fort qu’elles ». Elles sont en permanence à la recherche du shoot extrême. Celui qui leur procurera un bien-être incroyable, un oubli total. Mais comme celui-ci ne dure pas longtemps, elles cherchent à le répéter le plus souvent possible. Et mettent la barre de plus en plus haut. C’est pour cela qu’elles se retrouvent souvent dans une sexualité qui n’a rien à voir avec leurs valeurs (SM, hard…).

Jean-Benoît Dumonteix : C’est tout à fait comparable. Il y a des personnes, qui, si elles n’ont pas leur dose, vont être saisies de tremblements, avoir les dents qui claquent… Les mêmes symptômes que chez quelqu’un en manque d’héroïne ou d’alcool. Il y a bien sûr un manque psychologique : l’addiction met dans un état protégé, on est dans un tunnel où les autres et le réel n’existent pas. Mais il y a aussi un vrai manque physique. Le sexe peut donc être une drogue dure à part entière.

Jean-Benoît Dumonteix : Ils vont être des déversoirs, des objets de satisfaction, de consommation, des objets parfois masturbatoires, mais absolument pas des personnes. Une des clés pour sortir de l’addiction sexuelle est d’ailleurs le rétablissement de l’autre dans sa position d’humain, de sujet. Les relations sociales des sex addicts s'amoindrissent d'ailleurs avec le temps, car l'addiction prend de plus en plus de place. Ils peuvent quitter (ou ne pas aller à) un dîner pour pouvoir "faire du sexe", par exemple. S'ils sont en crise et se sentent frustrés, il pourront avoir une attitude agressive, comme pour faire payer aux autres ce qu'ils sont incapables de gérer. D'une façon générale, on retrouve beaucoup de solitude, peu de socialisation, ceci pouvant aussi s'expliquer par la honte ressentie vis-à-vis des autres, et le sentiment d'être "un imposteur": "s'ils savaient qui je suis...'

Jean-Benoît Dumonteix : Le produit, on l’a en soi, sur soi. Il fait partie de l’identité de la personne. Il est très facile d’avoir accès à la masturbation notamment. C’est pour cela que c’est une drogue qui est si difficile à combattre. Autant on peut par exemple mettre l’alcool à distance et ne plus jamais en boire une goutte. Autant il est complètement aberrant de se dire que l’on n’aura plus jamais de sexualité car on sait que l’on risque de tomber dans une addiction. La sexualité, on ne peut pas faire sans. Il va donc falloir faire avec, mais différemment.

Jean-Benoît Dumonteix : Lorsque l’on ne maîtrise plus rien et que l’on se demande ce que l’on est en train de faire, car cela ne nous correspond pas et ne règle rien. Lorsque l’on éprouve aussi face à cela des sentiments de honte, de culpabilité.

Jean-Benoît Dumonteix : Pour commencer, il est important de garder en tête que l’addiction sexuelle peut toucher n’importe qui. Elle concerne tous les âges, toutes les sexualités, tous les sexes… Néanmoins, avec le recul, on voit un profil se distinguer. Je reçois majoritairement des hommes autour de la quarantaine, qui expérimentent dans leur quotidien des situations de stress ingérables pour eux. Cela peut-être des politiciens, des médecins qui ont des vies au bout des doigts, des personnes qui exercent des postes à responsabilités… Et tous ont trouvé la sexualité comme moyen de décharger cette tension intérieure.

Jean-Benoît Dumonteix : On retrouve en général dans le passé de ces personnes un épisode traumatisant en lien avec le sexe, la sexualité. Un geste déplacé, un contexte de promiscuité sexuelle anormal, un viol dans le pire des cas… Ce contexte les a fragilisés. C’était trop tôt, trop brutal. Leur appareil psychique d’enfant ou d’adolescent n’était pas formé pour recevoir cette information ambivalente, source à la fois de rejet et d’excitation. Sur cette fragilité, cette faille, vont venir se fixer plus tard les angoisses. On trouve aussi souvent chez leurs parents au sens large un climat d’addiction, avec en particulier une addiction à l’alcool.


Jean-Benoît Dumonteix : Il est central. Les sex-addicts recourent sans cesse aux mensonges. Ils ont deux portables, des doubles vies… Un grand nombre de mes patients sont en couple et vont devoir, ou ont dû un jour, avouer à leur conjoint ce qu’il s’est passé. Ce qui revient à prendre le risque de perdre la personne aimée. C’est un aussi moment de honte intense : « ma réalité, c’est cela, j’ai une face cachée ». Mais cette sorte de coming out soulage en général les conjoints, qui savaient bien que quelque chose clochait. Cela leur permet de réaliser que si leur compagnon ou compagne leur est infidèle, cela n’a rien à voir avec eux. Dans la plupart des cas d’ailleurs, passé le choc, les conjoints comprennent. Et restent auprès de la personne pour l’aider. Ils comprennent que les sex-addicts ne pourront pas s’en sortir sans eux. Ce qui est vrai : chez les sex-addicts qui vivent seuls, l’addiction est beaucoup plus ravageuse. Parce qu’il n’y a pas de garde-fou, personne à qui se raccrocher.

Jean-Benoît Dumonteix : Bien sûr. Comme tous les addicts, ils traversent d’abord une phase de déni où ils se persuadent qu’ils ont un contrôle sur leur sexualité. « Qu’ils gèrent ». Alors qu’en réalité, ce n’est pas du tout le cas. Ils possèdent aussi une véritable faculté à oublier ce qu’ils ont fait. Crise après crise, ils font table rase. Tant qu’ils sont dans ce déni, aucune guérison n’est possible.

Jean-Benoît Dumonteix : Oui, bien sûr ! Et c’est ce que je reproche au film Shame, qui fait par ailleurs un portrait crédible de la maladie : la fin laisse l’impression que le héros ne s’en sortira jamais. Alors qu’on peut sortir de l’addiction sexuelle. Mais pas tout seul. Car l’homme sait trop bien se mentir.

Jean-Benoît Dumonteix : Je souhaite à tous les sex-addicts d’aller voir un thérapeute. Mais attention, un thérapeute qui s’y connaît en la matière. La thérapie se déroule généralement en deux phases. La première consiste à parler de la maladie, de son comportement, afin de mettre celui-ci à distance. Il s’agit pour le patient d’être en mesure de prendre du recul, de se poser des questions pendant la crise, pour la désamorcer : « qu’est-ce que je suis en train de faire ? A quoi cela correspond ? Qu’est-ce que je viens de vivre qui m’a contrarié ? ». A partir du moment où l’on réfléchit à tout cela, c’est que l’on est en train de gagner contre la maladie. Ensuite, il est bon d’entamer un travail analytique plus profond pour comprendre d’où vient l’addiction sexuelle. Et pour trouver d’autres réponses que la sexualité à une situation compliquée.

Jean-Benoît Dumonteix : Il s’agit effectivement de remplacer la sexualité par autre chose car elle laisse un blanc immense. L’ennui est aussi le terreau de l’addiction. L’important, c’est de trouver autre chose pour se faire du bien.

Jean-Benoît Dumonteix : Au fur et à mesure du travail, le sex-addict pourra apprendre à ne pas répondre instantanément à ce qui se passe dans son corps en décalant par exemple sa pulsion dans le temps. Il pourra décider de n’y répondre que 5 puis 10 minutes après… Et au bout de ce temps-là, elle aura disparu. Il faudra aussi qu’il puisse anticiper les crises en réfléchissant à tout ce qui pourrait appuyer sur le bouton de l’addiction. Et agir en conséquence.

Jean-Benoît Dumonteix : On ne guérit jamais complètement d’une addiction. Il y aura guérison dans le sens où le comportement va disparaître. Mais la personne restera vulnérable. Et il faut garder en tête qu’un épisode traumatisant auquel elle ne sera préparée pourra entraîner une rechute. Il faut donc rester vigilant. Au départ, cela demande de l’énergie, mais après, cela devient quelque chose d’automatique.
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Actualité publiée il y a 3 mois 3 jours 10 heures

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