Sexe gay dans une ferme
đ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đđ»đđ»đđ»
Sexe gay dans une ferme
Publié le 05/11/14 à 19h45
â Mis Ă jour le 06/11/14 Ă 12h30
Une faute ?
0
commentaire
361
partages
Partager sur Messenger
Partager sur Facebook
Partager sur Twitter
Partager sur Flipboard
Partager sur Linkedin
Sauvegarder l'article
En vous inscrivant Ă cette newsletter, vous rejoignez la communautĂ© 20 Minutes â Pourquoi je deviens membre 20 Minutes ?
La politique RSE de 20 Minutes est certifiĂ©e par le label Silver dâEcovadis
Merci de lire 20 Minutes ! Nous respectons votre vie privĂ©e et câest grĂące Ă la publicitĂ© que nous vous permettons de recevoir Ă chaque instant une information de qualitĂ© gratuitement.
En acceptant ces cookies vous pourrez dĂ©guster lâactualitĂ© chaude et croquante, garnie avec les pĂ©pites du web , ou vous pouvez aussi Continuer sans accepter
*20 Minutes a Ă©tĂ© Ă©lue marque prĂ©fĂ©rĂ©e des Français dans la catĂ©gorie presse dâinformation nationale, dans le cadre dâune Ă©tude rĂ©alisĂ©e en juin 2022 avec lâinstitut OpinionWay, auprĂšs dâun Ă©chantillon reprĂ©sentatif de la population française.
Culture Des scÚnes de sexe filmées par un drone
PORNO Un duo de vidĂ©astes a filmĂ© Ă lâaide dâun drone des couples faisant lâamour au milieu de splendides paysagesâŠ
Lâamour de la nature et lâamour dans la nature. Le duo de vidĂ©astes Ghost + Cow a rĂ©alisĂ© un clip Ă lâaide dâun drone. Dans la vidĂ©o Drone Boning , trĂšs partagĂ©e sur les rĂ©seaux sociaux , on dĂ©couvre de splendides paysages au milieu desquels des couples font lâamour.
LâaccĂšs Ă ce contenu a Ă©tĂ© bloquĂ© afin de respecter votre choix de consentement
En cliquant sur « JâACCEPTE », vous acceptez le dĂ©pĂŽt de cookies par des services externes et aurez ainsi accĂšs aux contenus de nos partenaires
Et pour mieux rĂ©munĂ©rer 20 Minutes, n'hĂ©sitez pas Ă accepter tous les cookies, mĂȘme pour un jour uniquement, via notre bouton "Jâaccepte pour aujourdâhui" dans le bandeau ci-dessous.
Plus dâinformations sur la page Politique de gestion des cookies .
On est trĂšs loin de lâesthĂ©tique porno et dâailleurs, on voit peu de sexe et beaucoup de paysage. Le duo dâartistes a voulu crĂ©er une Ćuvre oĂč les couples, formĂ©s de volontaires amateurs et non dâacteurs professionnels, sont «perdus dans leur Ă©treinte».
Ghost + Cow nâen sont pas Ă leur coup dâessai et ont dĂ©jĂ rĂ©alisĂ© plusieurs clips vidĂ©o Ă lâaide de drones. La bande son de Drone Boning est assurĂ©e par Taggart et Rosewood.Â
Google Streetview vous emmĂšne dans les coulisses de lâOpĂ©ra de Paris
06/02/14 | Montpellier
Choix de consentement © Copyright 20 Minutes - La frĂ©quentation de 20 Minutes est certifiĂ©e par lâACPM
(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Série : Dressage à la ferme
Premier texte : Dressage à la ferme (01)
Texte précédent : Dressage à la ferme (02)
Ce texte est le dernier Ă©pisode soumis par l'auteur
© Tous droits réservés. Quadrasoumis.
Un matin, alors que jâavais Ă©tĂ© encagĂ© la veille par Mathieu, en regardant machinalement dans les poches du jeans que je portais jâai trouvĂ© une note avec son n° de tĂ©l. et un mot me demandant de lâappeler ; ce que jâai fait trop content dâentrer en contact avec lui. Il avait dĂ» le glisser pendant quâon attendait nus dans la piĂšce dâĂ cĂŽtĂ©. Il mâa expliquĂ© que Joe lâautorisait en dehors de son domaine Ă parfaire mon dressage Ă lâobĂ©issance, si toutefois jâacceptais - ça nâĂ©tait pas dans le « contrat » initial - et si câĂ©tait compatible avec mes obligations personnelles. Il sâagissait dâune expĂ©rience nouvelle avec Tahar, un collĂšgue et dâautres amis de confiance. Comme Mathieu a une compagne et quâil a dĂ©jĂ du mal Ă se libĂ©rer pour les week-ends au domaine de Joe, il mâa dit quâil ne serait pas nĂ©cessairement prĂ©sent Ă chaque fois. Je nâĂ©tais pas tenu de mâengager au-delĂ de la premiĂšre sĂ©ance, de toute façon il continuerait Ă bien sâoccuper de moi au domaine. Tahar est un collĂšgue dâorigine algĂ©rienne partageant, m'a-t-il dit, son goĂ»t de lâautoritĂ©. Pendant cette conversation, câĂ©tait la premiĂšre fois quâon se parlait dâĂ©gal Ă Ă©gal bien sĂ»r puisquâen AriĂšge, moi je suis un esclave soumis et lui un maitre visiteur. Jâai rĂ©pondu respectueusement que jâĂ©tais Ă ses ordres sâil dĂ©sirait me mettre Ă lâĂ©preuve avec dâautres dominateurs et du coup il a vite repris le ton sec qui me donne des frĂ©missements dans les burnes.
Mathieu est un maitre exigeant avec tous : les « jeunots » du groupe peuvent en tĂ©moigner tout autant que Vincent « lâhomme mĂ»r » qui ne bronche pas sous ses coups de trique. Mais je suppose que lui, Tahar et leurs copains, comme je lâai dĂ©couvert par la suite, doivent trouver un surplus de plaisir dans le fait de soumettre des types qui pourraient ĂȘtre leur chef dans la vie professionnelle. Jâai Ă©tĂ© convoquĂ© dans un bar du centre, « Chez Hakim ». SitĂŽt arrivĂ©, je me dirige vers le comptoir et explique au jeune serveur, un beau brun aux cheveux bouclĂ©s, totalement craquant (en mon for intĂ©rieur, je me dis que ça commence plutĂŽt bien et je me vois dĂ©jĂ en position soumise devant lui). Il me glisse au creux de lâoreille - il y avait pas mal de consommateurs Ă proximitĂ© - que je suis attendu, que je monte au premier et que jâentre dans la piĂšce de droite et que je « me mette en tenue pour lâinspection ». HabituĂ© aux exigences de Joe et Nick jâen viens de suite Ă la conclusion qu'« en tenue », câest nu en attitude soumise et que lâ« inspection » sera une palpation humiliante dans toutes les positions comme lors de ma premiĂšre rencontre avec Joe et Dominic. Les deux seules chaises qui meublent cette piĂšce exigĂŒe me font dâailleurs comprendre quâelles sont destinĂ©es Ă recevoir mes fringues. ExĂ©cution donc, la porte Ă peine refermĂ©e, et attente de la suite des Ă©vĂšnements Ă genoux mains Ă la nuque.
Pour cette prise de contact, Mathieu est lĂ Â ; câest lui qui est venu me chercher. Mains sur la tĂȘte, mais debout, il mâa conduit dans une sorte de bureau oĂč Ă©taient dĂ©jĂ assis ceux que jâallais connaitre sous le nom de Tahar et Karim, lâun algĂ©rien, lâautre marocain, aussi bandants lâun que lâautre. Mathieu les a rejoints et je me suis mis Ă genoux au milieu de la piĂšce, attitude dâobĂ©issance de base apprise de Joe et Nick.
â Avec Nick et Joe, ça ne plaisante pas. Il encaisse les coups sans broncher quand il reçoit une punition mĂ©ritĂ©e et suce bien. LĂšve-toi et montre ta chatteâŠ
â Beau cul musclĂ©, mais la raie est trop poilue. Tahar, va chercher la tondeuse et rase-moi ça, je veux voir bien nettement son Ćillet.
LâĂ©change entre Karim, le patron du bistrot et Mathieu donnait bien le ton de ce qui mâattendait. A quatre pattes sur la table et jambes Ă©cartĂ©es, Tahar mâa rasĂ© la raie pour dĂ©gager la rondelle et Karim mâa plantĂ© un doigt bien Ă fond ; nâĂ©tant pas lubrifiĂ© je lâai senti passer.
â Non, il prend bien, mais il est Ă©troit ce qui en fait le prix ; il faut le travailler avant une sĂ©ance avec des godes progressifs. Nick arrive Ă lui enfoncer des courgettes de belle taille; il rĂąle, mais il sây plie.
â On lâemmĂšne vendredi soir Ă la maison pour le tester.
La « maison », câĂ©tait une ferme abandonnĂ©e Ă quelques kilomĂštres de Toulouse que Karim avait achetĂ©e et quâil retapait Ă temps perdu ; destinĂ©e Ă ĂȘtre sa rĂ©sidence secondaire avec sa compagne, il lâutilisait Ă ce moment-lĂ pour satisfaire certains besoins avec ses copains, Tahar, Mathieu (quand celui-ci pouvait se libĂ©rer) et dâautres surtout blacks et beurs. Eux trois semblaient bisexuels, avaient une copine, mais aimaient se retrouver en dehors de leur vie de « couple ». Leur « truc », câĂ©tait dâhumilier des hommes installĂ©s socialement, prĂ©sentables physiquement (jusquâĂ la cinquantaine). Ce vendredi soir, jâai donc pris le train pour la petite ville dâAuterive. Tahar attendait sur le parking adossĂ© Ă une fourgonnette. Trois autres mecs descendus visiblement du mĂȘme train ont pris la mĂȘme direction que moi.
Tahar nous a discrĂštement intimĂ© lâordre de monter derriĂšre : pendant le trajet, on devait se mettre complĂštement Ă poil et tout laisser sur des Ă©tagĂšres amĂ©nagĂ©es. Sur le moment, lâidĂ©e mâa excitĂ©, mais a laissĂ© place Ă lâinquiĂ©tude quand je me suis imaginĂ© ce qui se passerait sâil y avait un contrĂŽle de police ou un accident⊠Les trois autres gars nâen menaient pas plus large, ils avaient lâair de cadres qui se demandaient un peu dans quoi ils sâĂ©taient fourrĂ©s ; on a quand mĂȘme Ă©changĂ© quelques mots de sympathie et Ă voir comment un ou deux commençaient Ă bander, jâai compris que cette premiĂšre expĂ©rience dâhumiliation ne leur dĂ©plaisait pas totalement. LâidĂ©e dâĂȘtre dressĂ© sous peu par Tahar et Karim nâest pas non plus restĂ©e sans effet sur moi, mais enfermĂ© dans ma CB3000s ma bite Ă©tait brimĂ©e et douloureuse. Et câest sous leurs railleries que nous sommes descendus du vĂ©hicule dans la cour de la ferme quand tous les deux ont constatĂ© notre Ă©tat.
â Pour vous apprendre, on va vous conduire Ă la grange et vous enfermer quelque temps pour mĂ©diter sur lâarrogance quâil y a Ă bander sans ordre des maitres.
On a en effet suivi Tahar qui nous a fait rentrer chacun dans une cage mĂ©tallique oĂč l'on tenait juste accroupis. Mais au moins ici, on avait le droit de parler, on a donc fait plus ample connaissance dans lâobscuritĂ©. Lâun Ă©tait cadre dans une banque, un autre responsable dans une grande surface et le dernier - tenez-vous bien - policier, de la CRS 57 basĂ©e Ă Carcassonne qui se demandait du reste comment concilier Ă lâavenir ses possibilitĂ©s de permission avec le rendez-vous en gros mensuel Ă la ferme. Ils avaient visiblement en commun avec moi le dĂ©sir dâexpĂ©rimenter lâautre cĂŽtĂ© de lâautoritĂ© et du commandement. Surpris par ma cage de chastetĂ© jâai dĂ» leur expliquer que je subissais un autre dressage avec obligation de chastetĂ© deux semaines avant les week-ends en AriĂšge.
Une heure plus tard, Tahar est venu nous dĂ©livrer. Amateur, comme Mathieu, dâentraĂźnement paramilitaire, il nous a concoctĂ©s, sous lâĆil goguenard de Karim, une bonne petite sĂ©ance menĂ©e Ă la baguette (une jeune branche de saule bien souple et cinglante coupĂ©e dans le prĂ© voisin) : faire des tractions, ramper, grimper Ă une corde installĂ©e au portique dâune balançoire, marcher en Ă©quilibre sur une poutre de rĂ©cupĂ©ration installĂ©e dans la cour, faire le poirier contre un mur et rester ainsi jambes Ă©cartĂ©es pendant quâils tĂątent le matos, nous mettent le doigt au cul, porter des parpaings, etc. avant de passer au jet dâeau glacĂ©e et retour aux cages mĂ©talliques.
Trois copains, deux blacks et un beur sont venus les rejoindre avec plein de victuailles et de boissons pour passer la soirĂ©e. On nous a sortis de nos cages pour faire le boulot : dresser une table improvisĂ©e dehors (il faisait doux), disposer dessus vaisselle de camping et provisions apportĂ©es. Les cinq mecs se sont dĂ©shabillĂ©s ne conservant que leurs T-shirts puis se sont installĂ©s tandis quâon a dĂ» passer sous la table pour les honorer de notre bouche durant le repas. La tĂȘte enfouie entre les cuisses musclĂ©es dâun des blacks je me suis sĂ©rieusement mis au travail : tour Ă tour, lĂ©chant les couilles, suçant le gland ou avalant tout le chibre, promenant les doigts dans son Ă©paisse toison pubienne. Les « oh putain câest bon, continue » qui Ă©maillaient sa conversation mâont laissĂ© entendre quâil nâĂ©tait pas trop mĂ©content.
On avait ordre de les exciter sans les faire jouir, car ils voulaient garder leurs rĂ©serves pour la suite la soirĂ©e. Le CRS qui Ă©tait Ă genoux Ă cĂŽtĂ© de moi, emportĂ© par son enthousiasme, a senti que lâautre black quâil Ă©tait en train de pomper activement allait jouir : il a sorti au dernier moment sa bite de la bouche, mais trop tard, un copieux jet de foutre lui a couvert le visage tandis que le noir hurlait de plaisir. Il a dĂ» sortir de sous la table et se mettre Ă genoux pour sâexcuser.
â Oui maitre, je mĂ©rite dâĂȘtre corrigĂ©.
â Va retirer le ceinturon de mon jeans sur cette chaise lĂ -bas et porte-le-moi Ă quatre pattes dans la gueule.
SitĂŽt dit, sitĂŽt fait. Le policier a dĂ» se pencher sur la table, jambes bien Ă©cartĂ©es, et le black lui a assĂ©nĂ© en prenant son temps dix vigoureux coups de ceinturon que le flic devait compter tout en gĂ©missant et qui ont zĂ©brĂ© son cul bien musclĂ©. Dans le train du retour - nous connaissant dĂ©sormais, nous avons fait le trajet ensemble -, le policier a avouĂ© quâavec les marques quâil avait, il Ă©tait bien embĂȘtĂ©, car il ne saurait pas quoi dire Ă sa femmeâŠ
Puis ils nous ont fait dĂ©barrasser et ranger en nous laissant boire et manger ce que nous souhaitions, et ensuite la sĂ©ance sâest poursuivie dans la grange. Dâabord, ils nous ont imposĂ© des postures de soumission dans lesquelles on est restĂ© un certain temps, une tige de bambou de plusieurs mĂštres a Ă©tĂ© posĂ©e sur deux trĂ©teaux au-dessus de nous allongĂ©s Ă plat dos sur le sol jambes Ă©cartĂ©es. Ensuite, ils nous ont attachĂ©s ensemble par les pieds au bambou, de sorte quâon Ă©tait exposĂ©s, cuisses Ă©cartĂ©es, sans pouvoir bouger. Avec des branches dâosier ils nous ont « taquinĂ©s » en nous frappant plus ou moins sĂ©vĂšrement selon les endroits : les cuisses, les mollets (plus), la plante des pieds, la bite, les couilles, la raie (moins), mais ça nous faisait gueuler quand mĂȘme, car de temps en temps un coup Ă©tait bien assĂ©nĂ© sur une partie sans danger. Leur repas ayant Ă©tĂ© bien arrosĂ©, ils se sont mis Ă nous pisser copieusement dessus en nous obligeant Ă bien ouvrir la bouche pour boire. Ensuite aprĂšs nous avoir dĂ©tachĂ©s ils nous ont fait mettre tour Ă tour en position du « muezzin » et un des blacks nous a enduit la rondelle dâune sorte de pĂąte Ă base de piment dont lâeffet nâa pas tardĂ© Ă se faire sentir. On se mettait Ă gigoter et Ă implorer quâon nous essuie ; le prix Ă payer Ă©tant bien sĂ»r de se faire cingler les fesses Ă coups de badine.
Pour quâon soit bien propres pour la baise, aprĂšs un petit tour de cour au trot au clair de lune on a eu droit Ă une seconde douche glacĂ©e. Puis ça a Ă©tĂ© une vĂ©ritable orgie ; dans la paille de la grange oĂč l'on a Ă©tĂ© Ă leur merci tout le temps quâils ont voulu : leur bouffer le cul, avaler leur bite Ă sâen Ă©touffer, se faire ramoner Ă fond (Dominic Ă©tait dĂ©jĂ bien montĂ©, mais un des deux blacks qui se vantait de ses 25 cm, on lâa senti passer !). Ils Ă©changeaient Ă leur guise. On nâĂ©tait pas trop de quatre pour les satisfaire, dâautant quâau milieu de la soirĂ©e, un jeune mec du coin que Karim connait et qui participe aux travaux de rĂ©novation de la ferme les a rejoints et lâidĂ©e de baiser des mecs qui auraient pu ĂȘtre ses grands frĂšres, voire son pĂšre lâa particuliĂšrement inspirĂ©Â ! Le roi de la fĂȘte qui sâest terminĂ©e en vĂ©ritable bukkake a Ă©tĂ© incontestablement le policier qui Ă la fin sâest fait monter par tous les actifs pendant que je le pompais, avant que les autres ne lui Ă©jaculent tous dessus, y compris les autres soumis (qui mâaurait dit qu'un jour jâaurais vu un CRS, plutĂŽt canon par ailleurs, recevoir une bonne raclĂ©e Ă la ceinture avant que je ne le suce un peu plus tard pendant que tous les autres lui jutaient dessus !)
CrevĂ©s, les gars ont Ă©tĂ© dormir dans le corps de ferme nous laissant la paille de la grange par cette douce nuit. Contrairement Ă lâĂ©levage de Joe oĂč on est tous enchaĂźnĂ©s la nuit pour Ă©viter toute tentation, lĂ on Ă©tait libres. Ăa nâavait pas la rigueur systĂ©matique du dressage menĂ© par Joe, Nick et Dominic, mais la fougue des mecs avait aussi son charme. On sâĂ©tait si bien dĂ©menĂ©s pour leur faire plaisir quâon Ă©tait vannĂ©s, vidĂ©s et quâon sâest vite endormis tendrement serrĂ©s les uns contre les autres sans plus profiter de la situation !
RĂ©veil Ă 8h, dĂ©crassage menĂ© Ă la baguette par Tahar et prĂ©paration par nos soins du petit dĂ©jeuner pour les six mecs et nous : le jeune et vigoureux ouvrier (sa bite Ă©tait de longueur moyenne mais dure comme lâacier quand il mâa ramonĂ©) Ă©tait restĂ©. Ils Ă©taient Ă poil ou en T-shirts comme la veille et aucun nâa protestĂ© lorsquâ on est passĂ© sous la table, sans ordre express, pour rendre un dernier hommage Ă leur virilitĂ© pendant leur repas du matin. Ma bouche allait de la pine de Karim Ă celle du jeune gars du village assis cĂŽte Ă cĂŽte : si jâen juge par la quantitĂ© de jus que jâai fini par leur « extirper », la courte nuit leur avait permis de bien reconstituer leurs rĂ©serves !
Puis en vitesse dans la fourgonnette oĂč l'on a juste eu le temps de se rhabiller pour prendre au vol le train de 9h47. Surprise, sur le quai Ă Toulouse Mathieu mâattendait. Il mâa emmenĂ© prendre un cafĂ© au buffet. Visiblement il voulait tout savoir ! Jâai respectueusement rĂ©pondu Ă ses questions. Dans ce cadre « hors dressage », il me parlait de façon dĂ©tendue et il sâattendait sans doute Ă ce que je fasse pareil. Mais je ne voulais pas rompre le lien dâobĂ©issance qui me liait Ă lui durant les sĂ©ances au domaine de Joe et jâai donc conservĂ© mon attitude soumise. Je crois que jâĂ©tais aussi amoureux de lui que de Nick et je tenais tellement Ă ce quâils restent mes maitres et non pas de quelconques partenaires de jeux sexuels, comme jâaurais pu en rencontrer sans problĂšme dans ma vie quotidienne Ă Toulouse.
Il cherchait visiblement Ă me faire comparer les deux dressages, mais je me contentais de dĂ©crire de façon neutre ce quâon avait subi. Karim, Tahar et leurs copains, en plus dâĂȘtre attirants Ă©taient exigeants et on avait plaisir Ă leur obĂ©ir. Avec eux, les activitĂ©s conservaient un aspect ludique quâil nây avait bien sĂ»r pas dans lâorganisation mĂ©ticuleuse et quasiment militaire de Joe qui en profondeur correspondait mieux Ă ce que je cherchais. Mais ça, je ne lui ai pas dit, pour quâil ne prenne pas les autres pour des rigolos, dâautant que je ne voyais aucun inconvĂ©nient Ă venir une fois par mois me faire dĂ©foncer par ce petit mec de dix-sept ou dix-huit ans si fier de sa jeune virilitĂ©. Aussi quand il mâa demandĂ© si je voulais Ă©ventuellement continuer, en bon soumis jâai rĂ©pondu que câĂ©tait Ă lui de dĂ©cider, mais que sâil pensait que ce surcroit dâentraĂźnement pouvait contribuer Ă me rendre plus performant pour les sĂ©ances chez Joe, je nây voyais pas dâinconvĂ©nient. Jâavais lâimpression quâil avait bien envie dây participer aussi et il mâa assurĂ© que par souci dâĂ©quitĂ© la prochaine fois il sâarrangerait pour que la date coĂŻncide avec une pĂ©riode oĂč je ne serai pas encagĂ© pour que je puisse participer Ă la fĂȘte comme tout le monde !
Une vlogueuse spécialisée dans le jardinage a fait le buzz sur le web grùce à l'une de ses vidéos en tenue trÚs sexy. Non Stop Zapping vous fait découvrir la séquence.
Vos réactions doivent respecter nos CGU .
Geschrieben von
Hornet User
am 10. August 2017
Crowdfunding: "Change-couleur", ou l'histoire d'un chantage lié à l'homosexualité en CÎte d'Ivoire
"Night Call", nouvel album enthousiasmant de Years & Years
Une latina trĂšs salope se fait baiser fort
Martina Gold - Videos sexe xxx films porno en streaming
Moka Mora se fait Ă©largir son gros cul