Sexe gay dans une ferme

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Sexe gay dans une ferme

Publié le 05/11/14 à 19h45
— Mis à jour le 06/11/14 à 12h30



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06/02/14 | Montpellier


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Série : Dressage à la ferme

Premier texte : Dressage à la ferme (01)
Texte précédent : Dressage à la ferme (02)
Ce texte est le dernier Ă©pisode soumis par l'auteur

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Un matin, alors que j’avais Ă©tĂ© encagĂ© la veille par Mathieu, en regardant machinalement dans les poches du jeans que je portais j’ai trouvĂ© une note avec son n° de tĂ©l. et un mot me demandant de l’appeler ; ce que j’ai fait trop content d’entrer en contact avec lui. Il avait dĂ» le glisser pendant qu’on attendait nus dans la piĂšce d’à cĂŽtĂ©. Il m’a expliquĂ© que Joe l’autorisait en dehors de son domaine Ă  parfaire mon dressage Ă  l’obĂ©issance, si toutefois j’acceptais - ça n’était pas dans le « contrat » initial - et si c’était compatible avec mes obligations personnelles. Il s’agissait d’une expĂ©rience nouvelle avec Tahar, un collĂšgue et d’autres amis de confiance. Comme Mathieu a une compagne et qu’il a dĂ©jĂ  du mal Ă  se libĂ©rer pour les week-ends au domaine de Joe, il m’a dit qu’il ne serait pas nĂ©cessairement prĂ©sent Ă  chaque fois. Je n’étais pas tenu de m’engager au-delĂ  de la premiĂšre sĂ©ance, de toute façon il continuerait Ă  bien s’occuper de moi au domaine. Tahar est un collĂšgue d’origine algĂ©rienne partageant, m'a-t-il dit, son goĂ»t de l’autoritĂ©. Pendant cette conversation, c’était la premiĂšre fois qu’on se parlait d’égal Ă  Ă©gal bien sĂ»r puisqu’en AriĂšge, moi je suis un esclave soumis et lui un maitre visiteur. J’ai rĂ©pondu respectueusement que j’étais Ă  ses ordres s’il dĂ©sirait me mettre Ă  l’épreuve avec d’autres dominateurs et du coup il a vite repris le ton sec qui me donne des frĂ©missements dans les burnes.

Mathieu est un maitre exigeant avec tous : les « jeunots » du groupe peuvent en tĂ©moigner tout autant que Vincent « l’homme mĂ»r » qui ne bronche pas sous ses coups de trique. Mais je suppose que lui, Tahar et leurs copains, comme je l’ai dĂ©couvert par la suite, doivent trouver un surplus de plaisir dans le fait de soumettre des types qui pourraient ĂȘtre leur chef dans la vie professionnelle. J’ai Ă©tĂ© convoquĂ© dans un bar du centre, « Chez Hakim ». SitĂŽt arrivĂ©, je me dirige vers le comptoir et explique au jeune serveur, un beau brun aux cheveux bouclĂ©s, totalement craquant (en mon for intĂ©rieur, je me dis que ça commence plutĂŽt bien et je me vois dĂ©jĂ  en position soumise devant lui). Il me glisse au creux de l’oreille - il y avait pas mal de consommateurs Ă  proximitĂ© - que je suis attendu, que je monte au premier et que j’entre dans la piĂšce de droite et que je « me mette en tenue pour l’inspection ». HabituĂ© aux exigences de Joe et Nick j’en viens de suite Ă  la conclusion qu'« en tenue », c’est nu en attitude soumise et que l’« inspection » sera une palpation humiliante dans toutes les positions comme lors de ma premiĂšre rencontre avec Joe et Dominic. Les deux seules chaises qui meublent cette piĂšce exigĂŒe me font d’ailleurs comprendre qu’elles sont destinĂ©es Ă  recevoir mes fringues. ExĂ©cution donc, la porte Ă  peine refermĂ©e, et attente de la suite des Ă©vĂšnements Ă  genoux mains Ă  la nuque.

Pour cette prise de contact, Mathieu est là ; c’est lui qui est venu me chercher. Mains sur la tĂȘte, mais debout, il m’a conduit dans une sorte de bureau oĂč Ă©taient dĂ©jĂ  assis ceux que j’allais connaitre sous le nom de Tahar et Karim, l’un algĂ©rien, l’autre marocain, aussi bandants l’un que l’autre. Mathieu les a rejoints et je me suis mis Ă  genoux au milieu de la piĂšce, attitude d’obĂ©issance de base apprise de Joe et Nick.

— Avec Nick et Joe, ça ne plaisante pas. Il encaisse les coups sans broncher quand il reçoit une punition mĂ©ritĂ©e et suce bien. LĂšve-toi et montre ta chatte


— Beau cul musclĂ©, mais la raie est trop poilue. Tahar, va chercher la tondeuse et rase-moi ça, je veux voir bien nettement son Ɠillet.

L’échange entre Karim, le patron du bistrot et Mathieu donnait bien le ton de ce qui m’attendait. A quatre pattes sur la table et jambes Ă©cartĂ©es, Tahar m’a rasĂ© la raie pour dĂ©gager la rondelle et Karim m’a plantĂ© un doigt bien Ă  fond ; n’étant pas lubrifiĂ© je l’ai senti passer.

— Non, il prend bien, mais il est Ă©troit ce qui en fait le prix ; il faut le travailler avant une sĂ©ance avec des godes progressifs. Nick arrive Ă  lui enfoncer des courgettes de belle taille; il rĂąle, mais il s’y plie.

— On l’emmùne vendredi soir à la maison pour le tester.

La « maison », c’était une ferme abandonnĂ©e Ă  quelques kilomĂštres de Toulouse que Karim avait achetĂ©e et qu’il retapait Ă  temps perdu ; destinĂ©e Ă  ĂȘtre sa rĂ©sidence secondaire avec sa compagne, il l’utilisait Ă  ce moment-lĂ  pour satisfaire certains besoins avec ses copains, Tahar, Mathieu (quand celui-ci pouvait se libĂ©rer) et d’autres surtout blacks et beurs. Eux trois semblaient bisexuels, avaient une copine, mais aimaient se retrouver en dehors de leur vie de « couple ». Leur « truc », c’était d’humilier des hommes installĂ©s socialement, prĂ©sentables physiquement (jusqu’à la cinquantaine). Ce vendredi soir, j’ai donc pris le train pour la petite ville d’Auterive. Tahar attendait sur le parking adossĂ© Ă  une fourgonnette. Trois autres mecs descendus visiblement du mĂȘme train ont pris la mĂȘme direction que moi.

Tahar nous a discrĂštement intimĂ© l’ordre de monter derriĂšre : pendant le trajet, on devait se mettre complĂštement Ă  poil et tout laisser sur des Ă©tagĂšres amĂ©nagĂ©es. Sur le moment, l’idĂ©e m’a excitĂ©, mais a laissĂ© place Ă  l’inquiĂ©tude quand je me suis imaginĂ© ce qui se passerait s’il y avait un contrĂŽle de police ou un accident
 Les trois autres gars n’en menaient pas plus large, ils avaient l’air de cadres qui se demandaient un peu dans quoi ils s’étaient fourrĂ©s ; on a quand mĂȘme Ă©changĂ© quelques mots de sympathie et Ă  voir comment un ou deux commençaient Ă  bander, j’ai compris que cette premiĂšre expĂ©rience d’humiliation ne leur dĂ©plaisait pas totalement. L’idĂ©e d’ĂȘtre dressĂ© sous peu par Tahar et Karim n’est pas non plus restĂ©e sans effet sur moi, mais enfermĂ© dans ma CB3000s ma bite Ă©tait brimĂ©e et douloureuse. Et c’est sous leurs railleries que nous sommes descendus du vĂ©hicule dans la cour de la ferme quand tous les deux ont constatĂ© notre Ă©tat.

— Pour vous apprendre, on va vous conduire Ă  la grange et vous enfermer quelque temps pour mĂ©diter sur l’arrogance qu’il y a Ă  bander sans ordre des maitres.

On a en effet suivi Tahar qui nous a fait rentrer chacun dans une cage mĂ©tallique oĂč l'on tenait juste accroupis. Mais au moins ici, on avait le droit de parler, on a donc fait plus ample connaissance dans l’obscuritĂ©. L’un Ă©tait cadre dans une banque, un autre responsable dans une grande surface et le dernier - tenez-vous bien - policier, de la CRS 57 basĂ©e Ă  Carcassonne qui se demandait du reste comment concilier Ă  l’avenir ses possibilitĂ©s de permission avec le rendez-vous en gros mensuel Ă  la ferme. Ils avaient visiblement en commun avec moi le dĂ©sir d’expĂ©rimenter l’autre cĂŽtĂ© de l’autoritĂ© et du commandement. Surpris par ma cage de chastetĂ© j’ai dĂ» leur expliquer que je subissais un autre dressage avec obligation de chastetĂ© deux semaines avant les week-ends en AriĂšge.

Une heure plus tard, Tahar est venu nous dĂ©livrer. Amateur, comme Mathieu, d’entraĂźnement paramilitaire, il nous a concoctĂ©s, sous l’Ɠil goguenard de Karim, une bonne petite sĂ©ance menĂ©e Ă  la baguette (une jeune branche de saule bien souple et cinglante coupĂ©e dans le prĂ© voisin) : faire des tractions, ramper, grimper Ă  une corde installĂ©e au portique d’une balançoire, marcher en Ă©quilibre sur une poutre de rĂ©cupĂ©ration installĂ©e dans la cour, faire le poirier contre un mur et rester ainsi jambes Ă©cartĂ©es pendant qu’ils tĂątent le matos, nous mettent le doigt au cul, porter des parpaings, etc. avant de passer au jet d’eau glacĂ©e et retour aux cages mĂ©talliques.

Trois copains, deux blacks et un beur sont venus les rejoindre avec plein de victuailles et de boissons pour passer la soirĂ©e. On nous a sortis de nos cages pour faire le boulot : dresser une table improvisĂ©e dehors (il faisait doux), disposer dessus vaisselle de camping et provisions apportĂ©es. Les cinq mecs se sont dĂ©shabillĂ©s ne conservant que leurs T-shirts puis se sont installĂ©s tandis qu’on a dĂ» passer sous la table pour les honorer de notre bouche durant le repas. La tĂȘte enfouie entre les cuisses musclĂ©es d’un des blacks je me suis sĂ©rieusement mis au travail : tour Ă  tour, lĂ©chant les couilles, suçant le gland ou avalant tout le chibre, promenant les doigts dans son Ă©paisse toison pubienne. Les « oh putain c’est bon, continue » qui Ă©maillaient sa conversation m’ont laissĂ© entendre qu’il n’était pas trop mĂ©content.

On avait ordre de les exciter sans les faire jouir, car ils voulaient garder leurs rĂ©serves pour la suite la soirĂ©e. Le CRS qui Ă©tait Ă  genoux Ă  cĂŽtĂ© de moi, emportĂ© par son enthousiasme, a senti que l’autre black qu’il Ă©tait en train de pomper activement allait jouir : il a sorti au dernier moment sa bite de la bouche, mais trop tard, un copieux jet de foutre lui a couvert le visage tandis que le noir hurlait de plaisir. Il a dĂ» sortir de sous la table et se mettre Ă  genoux pour s’excuser.

— Oui maitre, je mĂ©rite d’ĂȘtre corrigĂ©.

— Va retirer le ceinturon de mon jeans sur cette chaise là-bas et porte-le-moi à quatre pattes dans la gueule.

SitĂŽt dit, sitĂŽt fait. Le policier a dĂ» se pencher sur la table, jambes bien Ă©cartĂ©es, et le black lui a assĂ©nĂ© en prenant son temps dix vigoureux coups de ceinturon que le flic devait compter tout en gĂ©missant et qui ont zĂ©brĂ© son cul bien musclĂ©. Dans le train du retour - nous connaissant dĂ©sormais, nous avons fait le trajet ensemble -, le policier a avouĂ© qu’avec les marques qu’il avait, il Ă©tait bien embĂȘtĂ©, car il ne saurait pas quoi dire Ă  sa femme


Puis ils nous ont fait dĂ©barrasser et ranger en nous laissant boire et manger ce que nous souhaitions, et ensuite la sĂ©ance s’est poursuivie dans la grange. D’abord, ils nous ont imposĂ© des postures de soumission dans lesquelles on est restĂ© un certain temps, une tige de bambou de plusieurs mĂštres a Ă©tĂ© posĂ©e sur deux trĂ©teaux au-dessus de nous allongĂ©s Ă  plat dos sur le sol jambes Ă©cartĂ©es. Ensuite, ils nous ont attachĂ©s ensemble par les pieds au bambou, de sorte qu’on Ă©tait exposĂ©s, cuisses Ă©cartĂ©es, sans pouvoir bouger. Avec des branches d’osier ils nous ont « taquinĂ©s » en nous frappant plus ou moins sĂ©vĂšrement selon les endroits : les cuisses, les mollets (plus), la plante des pieds, la bite, les couilles, la raie (moins), mais ça nous faisait gueuler quand mĂȘme, car de temps en temps un coup Ă©tait bien assĂ©nĂ© sur une partie sans danger. Leur repas ayant Ă©tĂ© bien arrosĂ©, ils se sont mis Ă  nous pisser copieusement dessus en nous obligeant Ă  bien ouvrir la bouche pour boire. Ensuite aprĂšs nous avoir dĂ©tachĂ©s ils nous ont fait mettre tour Ă  tour en position du « muezzin » et un des blacks nous a enduit la rondelle d’une sorte de pĂąte Ă  base de piment dont l’effet n’a pas tardĂ© Ă  se faire sentir. On se mettait Ă  gigoter et Ă  implorer qu’on nous essuie ; le prix Ă  payer Ă©tant bien sĂ»r de se faire cingler les fesses Ă  coups de badine.

Pour qu’on soit bien propres pour la baise, aprĂšs un petit tour de cour au trot au clair de lune on a eu droit Ă  une seconde douche glacĂ©e. Puis ça a Ă©tĂ© une vĂ©ritable orgie ; dans la paille de la grange oĂč l'on a Ă©tĂ© Ă  leur merci tout le temps qu’ils ont voulu : leur bouffer le cul, avaler leur bite Ă  s’en Ă©touffer, se faire ramoner Ă  fond (Dominic Ă©tait dĂ©jĂ  bien montĂ©, mais un des deux blacks qui se vantait de ses 25 cm, on l’a senti passer !). Ils Ă©changeaient Ă  leur guise. On n’était pas trop de quatre pour les satisfaire, d’autant qu’au milieu de la soirĂ©e, un jeune mec du coin que Karim connait et qui participe aux travaux de rĂ©novation de la ferme les a rejoints et l’idĂ©e de baiser des mecs qui auraient pu ĂȘtre ses grands frĂšres, voire son pĂšre l’a particuliĂšrement inspiré ! Le roi de la fĂȘte qui s’est terminĂ©e en vĂ©ritable bukkake a Ă©tĂ© incontestablement le policier qui Ă  la fin s’est fait monter par tous les actifs pendant que je le pompais, avant que les autres ne lui Ă©jaculent tous dessus, y compris les autres soumis (qui m’aurait dit qu'un jour j’aurais vu un CRS, plutĂŽt canon par ailleurs, recevoir une bonne raclĂ©e Ă  la ceinture avant que je ne le suce un peu plus tard pendant que tous les autres lui jutaient dessus !)

CrevĂ©s, les gars ont Ă©tĂ© dormir dans le corps de ferme nous laissant la paille de la grange par cette douce nuit. Contrairement Ă  l’élevage de Joe oĂč on est tous enchaĂźnĂ©s la nuit pour Ă©viter toute tentation, lĂ  on Ă©tait libres. Ça n’avait pas la rigueur systĂ©matique du dressage menĂ© par Joe, Nick et Dominic, mais la fougue des mecs avait aussi son charme. On s’était si bien dĂ©menĂ©s pour leur faire plaisir qu’on Ă©tait vannĂ©s, vidĂ©s et qu’on s’est vite endormis tendrement serrĂ©s les uns contre les autres sans plus profiter de la situation !

RĂ©veil Ă  8h, dĂ©crassage menĂ© Ă  la baguette par Tahar et prĂ©paration par nos soins du petit dĂ©jeuner pour les six mecs et nous : le jeune et vigoureux ouvrier (sa bite Ă©tait de longueur moyenne mais dure comme l’acier quand il m’a ramonĂ©) Ă©tait restĂ©. Ils Ă©taient Ă  poil ou en T-shirts comme la veille et aucun n’a protestĂ© lorsqu’ on est passĂ© sous la table, sans ordre express, pour rendre un dernier hommage Ă  leur virilitĂ© pendant leur repas du matin. Ma bouche allait de la pine de Karim Ă  celle du jeune gars du village assis cĂŽte Ă  cĂŽte : si j’en juge par la quantitĂ© de jus que j’ai fini par leur « extirper », la courte nuit leur avait permis de bien reconstituer leurs rĂ©serves !

Puis en vitesse dans la fourgonnette oĂč l'on a juste eu le temps de se rhabiller pour prendre au vol le train de 9h47. Surprise, sur le quai Ă  Toulouse Mathieu m’attendait. Il m’a emmenĂ© prendre un cafĂ© au buffet. Visiblement il voulait tout savoir ! J’ai respectueusement rĂ©pondu Ă  ses questions. Dans ce cadre « hors dressage », il me parlait de façon dĂ©tendue et il s’attendait sans doute Ă  ce que je fasse pareil. Mais je ne voulais pas rompre le lien d’obĂ©issance qui me liait Ă  lui durant les sĂ©ances au domaine de Joe et j’ai donc conservĂ© mon attitude soumise. Je crois que j’étais aussi amoureux de lui que de Nick et je tenais tellement Ă  ce qu’ils restent mes maitres et non pas de quelconques partenaires de jeux sexuels, comme j’aurais pu en rencontrer sans problĂšme dans ma vie quotidienne Ă  Toulouse.

Il cherchait visiblement Ă  me faire comparer les deux dressages, mais je me contentais de dĂ©crire de façon neutre ce qu’on avait subi. Karim, Tahar et leurs copains, en plus d’ĂȘtre attirants Ă©taient exigeants et on avait plaisir Ă  leur obĂ©ir. Avec eux, les activitĂ©s conservaient un aspect ludique qu’il n’y avait bien sĂ»r pas dans l’organisation mĂ©ticuleuse et quasiment militaire de Joe qui en profondeur correspondait mieux Ă  ce que je cherchais. Mais ça, je ne lui ai pas dit, pour qu’il ne prenne pas les autres pour des rigolos, d’autant que je ne voyais aucun inconvĂ©nient Ă  venir une fois par mois me faire dĂ©foncer par ce petit mec de dix-sept ou dix-huit ans si fier de sa jeune virilitĂ©. Aussi quand il m’a demandĂ© si je voulais Ă©ventuellement continuer, en bon soumis j’ai rĂ©pondu que c’était Ă  lui de dĂ©cider, mais que s’il pensait que ce surcroit d’entraĂźnement pouvait contribuer Ă  me rendre plus performant pour les sĂ©ances chez Joe, je n’y voyais pas d’inconvĂ©nient. J’avais l’impression qu’il avait bien envie d’y participer aussi et il m’a assurĂ© que par souci d’équitĂ© la prochaine fois il s’arrangerait pour que la date coĂŻncide avec une pĂ©riode oĂč je ne serai pas encagĂ© pour que je puisse participer Ă  la fĂȘte comme tout le monde !



Une vlogueuse spécialisée dans le jardinage a fait le buzz sur le web grùce à l'une de ses vidéos en tenue trÚs sexy. Non Stop Zapping vous fait découvrir la séquence.


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Geschrieben von

Hornet User

am 10. August 2017



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