Sexe en public avec cette vidéo d'une skins party

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Sexe en public avec cette vidéo d'une skins party


Skins party à Poitiers : chaud, mais cadré

Posted by laurencemondon under Coquine | Étiquettes: electro , poitiers , sexy , skins party |
[8] Comments 

Archived Entry

Post Date :
21 mai 2010 at 13:29
Category :
Coquine
Étiquettes: electro , poitiers , sexy , skins party Do More :
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Creat Event's organise la première Skins Party officielle à Poitiers.
C’est une sorte de bal costumé un peu spécial, avec pour fond musical, de l ‘électro à donf. Vous avez le droit d’être déguisé en bonne soeur ou en diable, en clown ou en infirmière, en sorcière ou en pétasse… Les organisateurs de cette Skins Party promettent d’ailleurs une bouteille pour la skinneuse la plus provocante/ sexy /trash, histoire d’être sûrs qu’il y aura plus de porte-jarretelles et de balconnets pigeonnants que de combis de Spiderman et de capes de Zorro (encore que, avec rien dessous…).
Creat Event’s organise la première Skins Party à Poitiers samedi 22 mai , à la discothèque l’ Inox , avenue du 8 Mai 1945. Le principe, c’est de faire monter la mayo en gardant secret le lieu de la soirée, en organisant des préventes sur la place publique, en créant un groupe Facebook pour assurer un noyau sûr de participants. 1675 ont déjà assuré qu’ils viendraient, 2590 hésitent encore et plus de 7000 n’ont pas répondu.
On a pigé le truc : c’est chaud ! Dégradant diront certains. La soirée est interdite aux mineurs d’ailleurs.
Des soirées considérées sans limites ou la folie est de rigueur, ça donne quoi ?
Le phénomène des soirées Skins a beaucoup fait parler (l’article de Franck Berteau dans l’Express.fr ) après des soirées, qui ont dégénéré, entre ados en manque de sensations. Le genre orgie d’alcool, de sexe, de drogue et de techno dans des lieux annoncés au dernier moment, souvent glauques, presque toujours inadaptés. Ca rappelle les rave-party en plus sexe.
Creat Event’s, association organisatrice d’événementiels, la joue pro et fait les choses dans les règles, en boîte, redécorée pour l’occasion (y aura des oreillers et des matelas partout ?). « C a n’a rien à voir avec ces soirées qui sont nées après la diffusion de la série britannique Skins « , assure Gaël Carrière, à la tête de l’association.
Ma panoplie de soubrette lubrique est prête !
Vidéo d’une Skins Party organisée à Aix en février 2009
C’est quoi la tenue de rigueur exigée ?
Si on veut vraiment être dans le ton, il faut être très provoc et sexy. Un costume de Bugs Bunny, ça le fait pas, en revanche, le lapin de Playboy c’est mieux !
Plus attirant que les apéros facebook en tout cas!!! AL
Autant arrosé, mais plus déshabillé !
Lady Gaga en guest, c’est possible ?
Comment, j’ai oublié de vous dire qu’elle était de la fête ?
Je croyais que Lady Gaga était à Ibiza avec un aviateur…
A ce qu’il parait oui. Tu as tapé mon nompour trouver le blog? Trop fort!
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Vidéos Sexe De Fête. Films de baise dans des Soirées chaudes !
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Je m’appelle Claire Lamboulé, je suis étudiante à la Haute Ecole Defré à Bruxelles en 2e section éducateur spécialisé en accompagnement psycho-éducatif. Je crée ce blog dans le cadre du cours d’éducation aux médias.
J’ai décidé d’aborder le thème de l’influence des médias dans la construction identitaire des adolescents âgés de 12 à 18 ans.
J’ai choisi de présenter un thème concernant les adolescents, car j’ai effectué plusieurs stages, mais j’ai également occupé plusieurs emplois auprès de ce public .
J’ai pu me rendre compte que ce public est particulièrement sensible et vulnérable à ce que peuvent véhiculer les médias. Les adolescents de 12 à 18 ans sont en pleine construction identitaire et ne demandent qu’à s’identifier aux différents modèles qui leur sont envoyés.
D’après moi, les adolescents de cet âge peuvent être plus précisément influencés par les publicités, les films et les séries télévisées qui leurs sont destinés.
La bande annonce du film « PROJET X »
De même, venez découvrir l’analyse d’un épisode de la série « Skins » selon les six approches médiatiques, par ici !
Je souhaite toucher un public adolescent, et également sensibiliser et responsabiliser les parents au rôle que les médias peuvent tenir dans le développement de l’adolescent. L’importance d’avoir ce type d’activité me semble clairement souligné par le fait que le jeune d’aujourd’hui représente la société de demain. D’après moi, il est essentiel que le jeune adopte un regard plus critique afin qu’il puisse prendre conscience de l’influence qu’exercent les médias. Par là, je veux dire que les photos, les images véhiculées par les médias et les réseaux sociaux peuvent avoir un impact important dans la construction du jeune (estime de soi, confiance, regard des autres, …).
Je ferai cette intervention avec des adolescent(e)s âgés entre 12 et 18 ans se rendant régulièrement dans une maison de jeunes à Bruxelles. Ceux-ci se trouvant dans une période où ils sont à la quête de leur identité propre. De même qu’à ce stade on peut parler du complexe du homard, cité par Françoise Dolto, psychanalyste, née le 6 novembre 1908 à Paris. Si vous souhaitez plus d’informations, je vous conseille vivement d’aller faire un petit tour par-là !
C’est en travaillant avec les adolescents que j’ai pu me rendre compte qu’à ce stade, ils semblent fragilisés. De nombreuses questions sont belles et bien présentes telles que: « Qui suis-je, moi qui éprouve ces pulsions, moi qui ai ce corps d’homme (ou de femme) ? ». Les expériences homosexuelles sont d’ailleurs fréquentes à l’adolescence. « Comment vais-je devenir auteur de ma vie ? Que vais-je en faire ? ». Le comportement typique de l’adolescent est donc une quête de l’identité. Il doit faire une démarche d’intériorisation et de repli vis-à-vis des adultes. Ne sachant pas qui il est, l’adolescent va vivre différentes expériences, adoptant parfois des conduites extrêmes, lui permettant d’explorer la vie jusqu’aux limites de la mort, recherchant ses propres limites et aussi celles des adultes et de la société. En effet, j’ai pu constater que cette nouvelle génération d’adolescents est, pour moi de plus en plus précoce, ils veulent goûter à de nouvelles choses, comme la drogue, l’alcool et la sexualité de plus en plus tôt, par exemple. Serait-ce dû aux images qu’apportent les séries télévisées actuelles, et à la mise en avant des photos et événements présents sur les réseaux sociaux ?
Cependant, au cours des différents stages et travails que j’ai pu effectuer, j’ai pu me rendre compte que certains adolescents souffraient de cette situation. En effet, soit ils ne se sentent pas eux-mêmes en correspondance avec ces images diffusées par les médias; soit des membres de leur entourage s’y identifient fortement et cela va souvent entraîner des brimades voir un rejet de la part du reste du groupe.
D’après moi, les médias contribuent à cela, dans le sens où les stéréotypes proposés sont peu variés. Les adolescents ont un libre accès aux réseaux sociaux, aux séries télévisées. Ces médias véhiculent régulièrement les mêmes stéréotypes, constants et non diversifiés (prise d’alcool, drogue, mise en avant de plus en plus présente des rapports sexuels). Ils auront donc une influence sur les adolescents, participant ainsi à leur construction identitaire.
Le fait de regarder des séries permet aux adolescents de se changer les idées, d’oublier pendant un court moment le monde dans lequel ils vivent, en mettant leur problème de côté. Ainsi ils plongent dans un monde virtuel tout en oubliant ce qui les entoure. Ils se divertissent et à la fois peuvent s’informer, se référer à certains personnages de la série, ce qui pourra les aider à trouver leur identité
– Besoin de structure, de cadre, par rapport au temps et à la loi;
– Besoin d’exutoire de l’agressivité, d’où l’importance des activités corporelles qui exigent énergie et concentration;
– Besoin du droit à l’essai et à l’erreur, de ne pas être « catalogué » ou « étiqueté »;
– Besoin d’être aidé à trouver son identité, son rôle;
– Besoin de s’échapper du monde réel.
En mettant en oeuvre mon intervention, il me semble important de préciser que je ne souhaite pas rentrer dans une action moralisante, où je dénigre ce phénomène des « Skins party », je pense simplement qu’il serait intéressant de trouver là, un juste milieu. N’oublions pas que faire la fête, se retrouver en groupe d’amis peut permettre la construction du lien social. Mais il serait souhaitable de réussir à s’amuser sans pour autant rentrer dans l’excès. C’est-à-dire prendre des drogue sans limite, boire de l’alcool à foison et banaliser les rapports sexuels… Sans doute là, un chemin qui pourrait devenir dangereux pour les adolescents et leur entourage. Or, on remarque ici, un problème de société, où tout devient banal : l’alcool, la drogue, le sexe. Les jeunes ont l’air blasé de la vie qui commence. Ont-ils perdu le goût de vivre ? Ces soirées, pour eux, représentent la liberté. Mais quelle liberté ? Celle d’être dépendant à une drogue, de faire comme tout le monde pour être respecté ?
Enfin, la société diffuse des normes et des valeurs qui doivent être communes pour tous. Il faut se défoncer parce que c’est cool mais surtout pour s’évader du monde dans lequel ils sont. Les adolescents ne sont sans doute pas prêts à endosser ce que veut la société.
Un groupe de dix adolescents se rendant régulièrement dans une maison de jeunes à Bruxelles. Ils sont âgés entre 12 et 18 ans.
Quels sont les objectifs de mon intervention ?
Tout d’abord, j’estime nécessaire de commencer mon intervention par un groupe de parole , en utilisant plus particulièrement la méthode PRODAS : une activité de communication qui favorise l’expression spontanée. Ainsi, le groupe aura l’occasion de s’exprimer en toute liberté et sans jugements. Je peux leur poser diverses questions par rapport à leur perception de la prise d’alcool, de drogue. Leur demander s’ils sont au courant des dérives que l’excès peut entraîner. Ceci pouvant permettre de connaitre l’influence que les médias pourraient avoir sur la construction identitaire des ados.
Ensuite, je proposerai au groupe d’adolescents, un quizz , qui aura pour but de leur montrer que ce qui les entoure et ce qui est répandu par les médias ne représente pas la réalité. En effet, je souhaite leur poser diverses questions telles que:
Question 1: « Le coma éthylique, qu’est-ce que c’est ? Comment est-il déclenché ? »
Question 2: « Quels sont les effets d’une prise excessive de cannabis ? »
Question 3: « Avez-vous déjà entendu parlé de M.S.T. ? »
Question 4: « Une fille a-t-elle vraiment besoin de s’habiller da façon provocante, dénudée pour être attirante, sympathique ? »
Question 5: « L’alcool est-il nécessaire pour être cool ? »
Question 6: « Connaissez-vous l’âge des premiers rapports sexuels, pour les garçons d’une part et pour les filles d’autre part ? »
Question 7: « Participer à une « Skins party », y voyez-vous des dangers ? »
Pendant cette activité, je veillerai à ce que chacun participe, que chacun puisse faire part de son ressenti.
Enfin, je terminerai mon intervention en proposant au groupe, l’organisation de leur « fête idéale », ce qui aura pour but de les responsabiliser, étant donné qu’ils pourront fixer eux-mêmes leurs propres limites. De même, que le cadre sera préalablement défini.
Pour conclure l’intervention, je pourrai amener une éventuelle ouverture en leur demandant, en général ce que l’excès représente pour eux et où le retrouve-t-on ? (Chez une personne boulimique, anorexique, fan de vêtement de marque, par exemple). A ce sujet, je pourrai leur montrer « Super Size Me » un film documentaire américain, qui d’après moi, illustre très bien l’excès. Il a été écrit, réalisé et mis en scène par Morgan Spulock. Le film présente ce dernier se nourrissant exclusivement chez McDonald’s pendant un mois à raison de trois repas par jour. Je vous laisse imaginer la suite…
Pour terminer, j’aimerais que le groupe d’adolescents ressorte de cette activité en ayant atteint les objectifs précédemment cités. J’espère que les adolescents se rendront compte des nombreux stéréotypes que l’on peut retrouver dans toutes sortes de médias. J’aimerais aussi que mon intervention leur permette de prendre conscience qu’il n’est pas obligé de suivre le groupe, pour être quelqu’un de bien, qu’il faut prendre conscience de ses limites. Prendre conscience des dangers. Cette intervention pourra sans doute développer leur esprit critique par rapport aux stéréotypes que nous transmettent les médias. (Comme: « manger McDo est une bonne chose », « porter telle marque de vêtement est bien plus sympa que de s’habiller chez un magasin de seconde main », « boire de l’alcool fort est digne d’un vrai homme », « se maquiller pour être belle et porter un string est digne d’une vraie femme », …).
Une dernière chose, j’aimerais mettre en avant mon étonnement lorsque j’ai vu les résultats du sondage que j’ai mis en oeuvre. J’ai pu m’apercevoir qu’environ 58% des adultes et adolescents ne connaissent pas le phénomène des « Skins party », environ 33% pensent que la série « Skins » a influencé ce phénomène tandis qu’environ 10 % pensent le contraire.
Enfin, je vous remercie d’avoir pris le temps de lire mon blog.
Voici un extrait qu’une amie m’a conseillé et que je trouve plutôt intéressant.
Extrait tiré d’un reportage France 3 sur les « Skins Party « à Paris [ Mais que font nos enfants la nuit ? ]:
Pour tenter de me renseigner au mieux sur mes questionnements, j’ai décidé de me rendre sur le terrain. Je suis allée à la sortie d’un lycée, à Nancy (d’où je suis originaire), en France. Cela a été l’occasion de poser diverses questions à un petit groupe d’ados que j’ai pu rencontrer.
– « Connaissez-vous le concept des « Skins party » ? »;
– « Pensez-vous que la série « SKINS » soit à la base de ces soirées organisées ? »;
– « Avez-vous déjà participé à ces soirées ? »;
– « Vos sensations ? »;
– « Ces soirées sont-elles fidèles au concept ? »;
– « Est-ce que vous y retourneriez ? »;
– « Est-ce que vous êtes au courant des dérives et dangers qu’il peut y avoir lors de ces soirées ? »;
– « Avez-vous rencontré des soucis, des bagarres, lors de ces soirées ? »;
– « Selon vous, qu’est-ce qui attire les jeunes à participer à ces soirées ? »;
– « Le fait de se retrouver entre amis lors de ce genre de soirée, est-ce que ça joue ? ».
Voici certaines réponses de la part des adolescents interrogés:
Les « Skins party » sont une nouvelle génération de soirée. Elles ne se déroulent plus dans des boîtes branchées où il faut être bien habillé, connaître quelqu’un et payer une fortune pour boire un verre. On peut y venir habillé n’importe comment. Plus c’est fou, mieux c’est ! Beaucoup de gens étaient déguisés, il y avait des gars habillés en super-héros. Moi, je portais un masque blanc et des bretelles. Les tenues des filles étaient mi-fun, mi-provoc’… Celles des mecs aussi, d’ailleurs. L’alcool est moins cher qu’en boîte, ce qui est mieux pour les jeunes.
Le lieu des soirées « SKINS » est tenu secret jusqu’à la dernière minute. Soirée sympa : beaucoup de monde, bonne musique, bonne ambiance. Quand on va en boîte, c’est plutôt pour draguer et être vu. Les soirées « SKINS », on y va pour le fun. »
– « C’était sympa. Ça collait un peu au style de la série « SKINS » (c’est pour ça que j’y suis allé). Tu vois des gens qui veulent retrouver l’univers de la série, faire la fête parce que finalement on est tous les mêmes. »;
– « Oui carrément, j’étais assez inspiré par ce que je voyais à la télé ! »
– « Oui c’était assez fidèle. Peut-être que là, il y a eu un public différent, des gens qui avaient déjà l’habitude de faire des fêtes très bien arrosées et qui voulaient faire ça avec encore plus de monde. »
– « Oui, il y a des dérives quand il y a des cons. Moi je pense que le danger ce sont les gens qui vont se battre, c’est ça qui me choque avec l’alcool. »
– « Oui, t’avais les vigils comme d’habitude mais pas de baston. Peut-être deux ou trois personnes bourrées qui se prenaient la tête à la sortie de la boîte vite fait. »
– « Oui, c’est sympa de découvrir à plusieurs. C’est un moyen de s’affirmer ahah. »
– « Pour ma part, ça a été la simple curiosité. Après, c’est sûrement l’évolution de la société qui veut ça. Les adolescents et adolescentes qui y vont sont peut-être en recherche de nouvelles sensations ou bien en mal-être. Je ne sais pas vrai
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